Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Daniel Coulibaly

Daniel Coulibaly

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Plus d'une dizaine de journalistes ivoiriens figurent parmi les candidats en lice aux législatives 2016 en Côte d'Ivoire. Des journalistes de la presse-écrite et audio-visuelle qui veulent siéger à l’hémicycle au soir du 18 décembre prochain, selon un décompte réalisé par l’Union des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), la principale organisation professionnelle, tel que rapporté par le site Alerte-info.net.

 

Amos Béonaho, un ancien président de l’UNJCI, et ancien journaliste du groupe Olympe, et par ailleurs PDG du défunt journal « La Tribune ivoirienne » est candidat “indépendant’’ à Bangolo (ouest ivoirien), sa région natale. Dans cette circonscription, il avait tenté de se faire élire maire en 2013. 

La curiosité pourrait être lui. Le jeune journaliste présentateur de journal télévisé de 20 heures à RTI1 Hamza Diaby s’est lancé dans la course à la députation en indépendant à Bingerville (banlieue abidjanaise). 

Un autre patron du journal satirique “L’Eléphant déchainé’’, Assalé Tiémoko, veut déranger l’ordre à Tiassalé (centre). Et comme s’il s’était entendu avec l’un de ses collaborateurs Francis Taky, un autre journaliste, a décidé de se lancer dans la bataille pour être député dans la circonscription électorale de Kouassi-Datékro (nord-est), où il sera en face du ministre Anzoumana Moutayé. 

Et que dire de la candidature de Dieudonné Wognin, ancien journaliste à “Le quotidien d’Abidjan’’, et journaliste à « Côte d’Ivoire économie », à Grand-Bassam(banlieue abidjanaise), où il devra se battre pour faire plier l’échine à l’actuel Premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan. 

Le groupe Olympe aura son candidat en la personne du journaliste Bamba Idrissa, du quotidien “Soir Info’’ qui sera en face de l’ancien ministre Ibrahim Cissé Bacongo, aujourd’hui conseiller spécial chargé de la Réforme constitutionnelle à la présidence, à Koumassi (commune au sud d’Abidjan).

Michel Beta, membre du Forum des Directeurs de publication de Côte d’Ivoire (FORDPCI), veut représenter le peuple de Marcory (sud d’Abidjan) à l’Assemblée nationale. 

A cette liste, s’ajoute le nom de Léandre Koffi journaliste culturel à l’hebdomadaire Top Visages, Pierre Lemauvais , du défunt quotidien “Le National’’ et ancien membre du cabinet de Charles Blé Goudé, l’ex-leader des “Jeunes patriotes’’ . 

Parmi ces journalistes en course pour la députation, il y a ceux qui ont décidé de se présenter sous la bannière d’un parti politique. C’est le cas du  journaliste Félix Dessrait, du quotidien Notre Voie, et Léonard Guédé Pépé dit James cenach, journaliste au défunt journal Le Nouvel Horizon, qui se présentent sous les couleurs du FPI(Front populaire ivoirien-Opposition). James Cenach est tête de liste à Issia (centre-ouest), dans une zone réputée favorable à son parti, dit-on.

Qu’est-ce qui pourrait bien motiver ces candidatures des journalistes ivoiriens ?

 

Source: Alerte-info.net

 

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La 1ère édition de Jumia Travel Awards s’est déroulée jeudi 17 novembre 2016 dans une résidence hôtelière à Cocody. Sept établissements hôteliers ont reçu des prix pour la qualité de leurs services.

 

Cette 1ère édition a concerné 5 catégories, récompensant le mérite de sept hôtels majoritairement issus du District d’Abidjan.

Ainsi, le 1er prix de la catégorie Customers’ choice award du meilleur hôtel évalué par les clients est revenu à Détente hôtel, le 2ème prix à la Résidence Case Ivoire et le 3ème à la Villa Oasis. Le prix booking Award destiné à l’hôtel qui a enregistré  plus de réservation sur la plate-forme Jumia Travel, selon les données des organisateurs, a été attribué à la Résidence Emeraude. Enotel Beach de Grand-Bassam s’est adjugé le prix du Best Hôtel partner Award de cette édition de la meilleure intégration réussie également sur la même plateforme. Quand à Accor Hôtels, il s’offre le prix Rising Star Award de la plus grande chaîne hôtelière partenaire. Le coup de cœur de Jumia Travel est revenu à la Résidence hôtel le Vaisseau ayant le plus de potentiel.

Selon Cynthia Aïssi, directrice de Jumia Travel, l’objectif est d’encourager les hôtels à améliorer leurs services et de créer une saine émulation entre les différents établissement hôteliers de Côte d’Ivoire, promettant de grandes choses pour l’édition 2017. 

Ralph Yao, représentant le directeur général de Côte d’Ivoire Tourisme, Jean-Marie Somet, a encouragé cette initiative qui vise à promouvoir l’industrie touristique dans le pays. 

De son côté, M. Serhami, le directeur de l'Ecole Hôtellerie de Bassam, a exhorté les acteurs du secteur de l'hôtelerie a toujours mettre l'accent sur la qualité du service et aussi de la formation.

 

 

 

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Le champion en titre de la ligeu1 l’As Tanda a été battu par le champion de la ligue 2, Williamsville Athlétic Club(WAC) par (1-3), lors de la première journée de la ligue professionnelle de football(LPF) au stade Robert Champroux de Marcory, le samedi 19 novembre 2016.  La surprise a été très grande.

La ligue professionnelle de football a repris. Le match d’ouverture a tenu toutes ses promesses. Un beau match devant un beau public. Dans un match dantesque, le nouveau promu a créé la surprise. Un hold-up parfait. Williamsville Athlétic Club(WAC), champion de la Ligue2, a fait d’une bouchée l’As Tanda, le champion en titre du championnat de la ligue1. Une humiliation qui sonne mal pour le champion sortant. « Comment cela a pu arriver ?» , se demandaient ses supporters. Dans ce match, tout est allé très vite. Dès la 3è mn, les poulains du coach Kouassi Aby Yao ont  pris le jeu en main. Le Wac manque d’ouvrir le score. Un avertissement que les poulains du coach Koffi Firmin de Tanda ne prennent pas au sérieux . Et à la 6mn, le Wac revient à la charge et manque une fois de scorer sur une mauvaise sortie de Badra Ali, le portier de Tanda. Ce n’est que partie remise. Acculé par le WAC, l’AS tanda va concéder un pénalty à la 14e mn sur une faute de main d'un joueur dans la surface de réparation. Le capitaine Kouassi Diallo du Wac se propose et prend à contre pied parfait Badra Ali. 1-0 pour le WAC. A la 17 minutes, l’équipe venue de Williamsville qui jusque-là est maitre du jeu se montre menaçante avec Diakité Aboubacar(18). Après cette action, la réaction de l’As Tanda ne se fait pas attendre. A la 19 minutes sur un contre attaque, le gardien du Wac, Dante El Hadje, sort de sa surface et touche de la main une balle chaude. Coulibaly Abou, l’arbitre central, n’hésite pas à sanctionner son geste par un carton rouge. Le Wac évoluera donc à 10 contre 11. Le coup franc qui suit fait mouche pour les hommes du président Kobenan Severin. Le gardien entrant qui apprécie mal la trajectoire du ballon concède un but sur son premier ballon. 1-1 partout, nous sommes à la 25ème minutes. Avec cette égalisation et le Wac qui évolue désormais en infériorité numérique, tout le monde se disait que Tanda va prendre le match en mains. Mais erreur. C’est au contraire, le Wac qui impose son jeu à l’As Tanda perdu depuis le début de cette rencontre à l’image d’un Zougoula Kevin amorphe et qui n’a pu frapper une seule balle au but(remplacé à la 57 mn par Koffi Foba Stevens). C’est le Wac qui a failli corser l’addition, si son attaquant avait été lucide dans les arrêts de jeu de la première mi-temps. Le score reste 1-1 à la mi-temps.

La seconde mi-temps n’est pas différente de la première. Le Wac reste toujours maitre du jeu, malgré son handicap. Le capitaine Kouassi Dialo et les siens développent un jeu plaisant fait de courtes passes et d’une touche. Ce jeu comparable à celui des Académiciens de l’Asec Mimosas à son temps désarçonne les joueurs de Tanda qui ne font que courir après le ballon. Cette dénomination du Wac va se concrétiser par un deuxième but sur un coup de pied arrêté. Nous sommes à la 62 ème minutes. Poe Jean Morel oblige Badra Ali à rester statique sur sa ligne  de but en nettoyant sa lucarne. Le Wac mène 2-1. Tanda fait tout pour revenir au score mais n’arrive toujours pas à se jouer de la défense des hommes de Williamsville. Toutes leurs tentatives restent stériles. C’est bien le Wac qui domine sur le plan tactique, technique et physique; et obtient un autre coup franc. Poe Jean Morel(7) se propose et crucifie Badra Ali qui était trop sur de lui. 3-1 pour le WAC à la 71 mn. Badra Ali se rend à l’évidence de ses lacunes. Dans les derniers instants de la fin du match, le Wac a failli même alourdi la marque. C’est bien sur ce score humiliant que l’arbitre central du match Coulibaly Abou met fin à ce match d’ouverture du championnat de ligue 1 ivoirien au stade Robert Champroux de Marcory.

Réactions après match

Après leur brillante victoire, le président et l'un des joeurs du WAC se sont exprmés. Pour le président Koné Abacar, cet exploit est à saluer, car le match n’était pas gagné d’avance. Mais, il était confiant qu’il allait repartir avec les trois points. Pour Poe Jean Morel, le bourreau de l’AS Tanda, il faut dire « merci » à Dieu pour cette victoire. Les deux restent confiants pour la suite du championnat de la ligue1.

Les innovations

Il faut dire que pour la ligue professionnelle de football 2016-2017, c’est bien Canal+ , la chaîne de télévision généraliste nationale française privée qui a le droit exclusif de la retransmission des matches. La chaîne de télévision diffusera 4 matches par semaine sur 26, et uniquement ceux qui se jouent au stade Champroux, selon le contrat avec la Fif. Ce partenariat avec la télévision  va générer pour chaque club une manne de 70 millions de Fca en remplacement de la subvention que la fédération donnait aux différents clubs à chaque saison . 

Les stades retenus

9 au total. La FIF a décidé que les clubs d’élite évoluent au Robert Champroux, et au Parc des Sports de Treichville à Abidjan. Le stade Henri Konan Bédié d’Abengourou, Ali Timité de Bondoukou, stade municipal de Yamoussoukro,, le stade de la PAIX de Bouaké, stade Auguste Denise de San-Pédro, le stade municipal de  Daloa, et le stade Biaka Boda de Gagnoa. Ce sont au total 14 clubs  qui animeront le championnat et qui verra les 13 autres à la conquête du titre. 

 

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Organisée par les Fondations Friedrich Naumann et Réné Cassin, la 4ème session de la formation en droit international humanitaire a débuté lundi à Abidjan, en présence de Paulette Badjo Ezouehu, ministre ivoirienne des Droits de l’Homme et des Libertés  publiques.

 

Selon la ministre Paulette Badjo Ezouehu, le président Alassane Ouattara veut faire de la Côte d’Ivoire « un carrefour des Droits de l’Homme » au niveau de la sous région. Une volonté affichée depuis son accession au pouvoir en avril 2011. Cet engagement au respect du droit international humanitaire prend également en compte celui des enfants.Car Alassane Ouattara souhaite que le respect des libertés humaines soit une réalité dans son pays. «Sans l’éducation aux droits de l’Homme et la démocratie, il est difficile de promouvoir les idéaux de paix», a-t-elle ajouté.

Pour les organisateurs de cette session de formation, Daouda Seck, chargé de programmes de la Fondation Friedrich Naumann Sénégal et représentant de la directrice régionale Afrique de l’Ouest, et Muriel Sognigbe Sangbana, chargée de programmes de la Fondation Réné Cassin, l’objectif est de renforcer les capacités des participants en droit international humanitaire, en vue de leur permettre de relever les défis liés à la protection et aux violations des droits de l’Homme. 

Ainsi, « une centaine de participants seront formés, afin d’être capables de mener des réflexions, des échanges, dialogues et plaidoiries sur le droit international humanitaire », a indiqué M. Seck.

Dr. Claus Bernar, l’ambassadeur de l’Allemande en Côte d’Ivoire, a félicité le gouvernement ivoirien pour les actions menées à l’amélioration des droits de l’homme, avant de plaider que cela soit plus au niveau de la santé, l’éducation,  l’égalité des sexes, etc.

L’ONUCI de son côté a exprimé son soutien à cette initiative avec Augustin Somé.

La 4ème session de la formation en droit international humanitaire se tient du 14 au 19 novembre 2016 dans plusieurs endroits de la capitale économique ivoirienne. Parmi les participants, on note la présence de magistrats, juristes, défenseurs des droits de l’homme, d'étudiants, etc.

 

 

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Jumia-Ci  a lancé lundi sa campagne Black Friday. En plus d’une liste d’offres et de réductions interminables, cette année, l’accent est mis sur plus de facilité en matière de paiement et encore plus d’économie pour les clients qui opteront pour la livraison en agence Jumia.

 

Les ventes de Black Friday ont demarré en ligne. Et ce, jusqu'au vendredi 25 novembre. La première journée placée sous le thème « Pour la maison » est principalement dédiée à l’électroménager et aux mobiliers de maison.

Les consommateurs ivoiriens pourront profiter des démarques exclusives avec encore plus de confort cette année. Désormais trois modes de paiement sont disponibles chez l’e-commerçant : le paiement en espèces à la livraison, le paiement via MTN Mobile Money et le paiement par Orange Money, lancé le mois dernier sur la plateforme.

Il est important de noter que les clients qui paient leurs achats par Mobile Money sur Jumia ne déboursent que le montant de l’article et les frais de livraison. Aucun frais supplémentaire ne leur est débité ; ils ne paient pas de ‘’frais de transfert’’. Au contraire, Jumia offre 1000 FCFA de remise immédiate sur tous les achats réglés par paiement mobile ainsi que de la data gratuite et du crédit intra en partenariat avec MTN et Orange.

Les agences Jumia vont-elles aussi faciliter le shopping des clients. Jumia dispose de 5 agences à Abidjan (Plateau, Cocody, Yopougon et 2 à Marcory) et de 21 dispersées dans plusieurs grandes villes du pays (la liste complète des agences est consultable sur le site). Plus notable encore, commander son article et opter pour un retrait en agence Jumia, coûte 30 à 50% moins cher que la livraison personnalisée à domicile ou au bureau.

Les équipes de Jumia de même que tous les partenaires et fournisseurs ont mis tout en ouvre afin que l’expérience d’achat de chaque client soit la plus parfaite possible durant Balck Friday 2016.

 

Source: Jumia-CI

 

 

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Une  consultation d’experts sur le thème « Les magistrats et le droit international humanitaire  en Afrique francophone » se tient à Abidjan du 05 au 8 septembre 2016, dans les locaux du ministère ivoirien des Affaires étrangères. Le patron de ce ministère, Albert Mabri Toikeuse a bien voulu honorer de sa présence la cérémonie d’ouverture. 

 

Cette consultation est à l’initiative de la délégation régionale du Comité international de la Croix-Rouge(CICR), en partenariat avec l’organisation internationale de la Francophonie(OIF),, ainsi que les ministères ivoiriens de la Justice et des Affaires étrangères. 

Elle se situe dans un contexte où plusieurs pays africains, et surtout de la partie francophone, ont été ces dernières années ou son encore confrontés à des conflits armés soit sur leur territoire, soit par l’envoi de troupes dans le cadre d’opérations de maintien de la paix. Un tel contexte pose avec acuité l’épineuse question du droit de la guerre ou droit international humanitaire très cher au CICR. 

L’objectif général est de mieux comprendre et de renforcer le rôle des magistrats africains francophones dans l’application, la mise en œuvre et le respect du DIH. 

C’est pourquoi, à la cérémonie d’ouverture de cette rencontre d’experts, le chef de la délégation du CICR, Jean-Jacques Tshamala,  a indiqué que « pour le CICR la promotion et l’application du DIH revêtent une importance toujours grande(…) ». 

Mais en dépit du développement du DIH et des actions menées pour garantir le respect, les nombreux conflits ne cessent d’enregistrer de nombreuses violations des règles humanitaires. Pour M. Tshamala,  les Etats doivent faire plus d’efforts pour mieux protéger les victimes des conflits armés et de leurs conséquences directs, sans oublier de  remercier ses différents partenaires. 

Notons qu’une trentaine de juges, de procureurs, directeurs des écoles de magistrature...de 16 pays d’Afrique francophone(le Mali, Sénégal, Cameroun, Gabon, Burkina-Faso, Togo, Congo, la Guinée-Conakry, la Côte d’Ivoire, etc.) prennent part à cette consultation régionale d’Abidjan. 

 

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L’Etat de Côte d’Ivoire dans sa volonté d’instaurer un dialogue public/privé a créé par décret N 213-462 du 19 juin 2013, le Comité de concertation entre l’Etat et le secteur privé(CCESP), dont la mission principale est d’organiser la concertation entre les deux parties, en vue de renforcer la confiance mutuelle entre elles. La présidence est assurée par Daniel Kablan Duncan, Premier ministre, ministre de l’Economie et des Finances. 

 

Le comité technique de concertation(CTC), organe technique du CCESP,  présidé par Adama Koné, ministre auprès du Premier ministre chargé de l’Economie et des Finances, se réunit le jeudi 8 septembre 2016, à Abidjan, afin de réfléchir sur les préoccupations du secteur privé et de proposer des pistes de solutions. 

Georges COPRE, conseiller technique du secrétaire exécutif du CCESP, Mariam Fadiga Fofana, a donné plus de précisions sur cette réunion de concertation au cours d’une rencontre avec la presse, dans les locaux de ce Comité. Soutenu par deux de ses collègues : Ismaël Coulibaly, et Serges Seke Esso, conseillers techniques CCESP, il a indiqué qu’elle(la réunion) va porter sur l’examen d’une matrice présentant l’état d’avancement du traitement des préoccupations du secteur privé,  le financement de la chambre nationale des métiers, … et des divers, avec la présence de ses membres(ministres, directeurs et présidents d’institution étatiques).  

Présentation du CTC

Cette rencontre a été aussi l’occasion pour Georges COPRE de présenter le Comité technique de concertation à l’ensemble des journalistes présents. Le conseiller technique de Mme Fadiga Fofana Mariam a soutenu que ses missions sont entre autres de  proposer des instruments d’arbitrage des conflits entre l’Etat et le secteur privé, Contribuer à la définition des orientations stratégiques et des actions à mener en faveur des acteurs économiques privés, Contribuer  à assurer l’application et le suivi des mesures gouvernementales touchant le secteur privé, Soumettre au Conseil de concertation les budgets et les comptes annuels du Comité, etc. 

Ainsi, le CTC  se donne la tâche d’enregistrer toutes les préoccupations du secteur privé et de proposer des pistes de solutions, avant de les soumettre au Conseil de concertation qui décide en dernier ressort pour l’avancement de l’activité économique.  

Par ailleurs, il peut être saisi par courrier, email:Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou via son site web: www.ccesp.ci par la société civile, les entreprises, l’administration, etc. Il se réunit chaque deux mois.  

La collaboration avec la presse

M. COPRE Georges a souhaité également que le CTC et la presse travaille en étroite collaboration, afin de mieux faire connaitre ce comité technique aux acteurs du secteur privé, à travers ses activités. Nous souhaitons que «vous relayer les activités du CTC », a-t-il précisé. 

 

 

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Le Premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan et Philippe Le Houérou, vice-président exécutif et Directeur général de la société financière internationale(SFI), groupe de la banque mondiale, ont signé un protocole d’accord portant sur le financement et des réformes de l’économie ivoirienne. Le directeur général de la SFI s’est dit satisfait de l’évolution économique du pays, et surtout de la relation entre l’institution financière et le gouvernement ivoirien. 

 

Daniel Kablan Duncan a salué l’apport important du groupe de la banque mondiale dans l’économie de la Côte d’Ivoire. Ainsi lors de cette signature, le Premier ministre ivoirien a indiqué que, depuis 2012, les actions de la SFI ont permis de booster cette économie, favorisant la création d’emplois durables, des reformes économiques et aussi la bonne gouvernance… Aussi ces actions ont-elles contribué à améliorer plusieurs secteurs dont la santé et l’éducation. «  Nous souhaitons que cela  puisse aider davantage à réduire la pauvreté  d’ici à l’horizon 2030», a-t-il dit.

De son côté, Philippe Le Houérou s’est dit satisfait de ces 2 jours de mission en terre ivoirienne. « Les relations entre la Côte d’Ivoire et la SFI sont aux beaux fixes. L’idéal de ce voyage est d’aller plus loin dans ces relations entre maintenant et 2020 comme ce qui avait été promis », a soutenu M. Le Houérou, rassurant que l’institution  qu’il dirige continuera à respecter son engagement de plusieurs années en Côte d’Ivoire, laquelle est devenue un modèle de développement pour d’autres pays africains. 

Selon lui, cet accord de protocole concerne le financement de plusieurs projets dans différents secteurs d’activités : Energie, Transport, Agriculture, Mines, etc. 

Il a confié avoir déjà identifié 3 projets dans le secteur de l’Energie, et 2 au niveau du Transport.

Cet accord concerne également le développement des PME et la réforme du système de financement ivoirien.

Le directeur général de la SFI a exprimé, par ailleurs, son soutien à financer l’accès aux logements, le développement des ponts ou autoroutes à péage, la création de nouvelles zones industrielles financées par le privé, la professionnalisation des filières de production du vivrier , etc, et surtout un accent particulier sur le financement des PME qui sont 90% sources d’emplois. « Le plus important, c’est de continuer ensemble ces reformes », a-t-il insisté, sans manquer de partager sa joie pour l’accueil à lui réserver par les autorités ivoiriennes. 

 

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Le Premier ministre  ivoirien Daniel Kablan Duncan a reçu, lundi, en audience Philippe Le Houérou, vice-président exécutif et Directeur général de la société financière internationale(SFI), à la Primature.

Daniel Kablan Duncan a eu une séance de travail avec Philippe Le Houérou à son cabinet au Plateau, dans l’après-midi du lundi. A sa sortie d’audience, Philippe Le Houérou s’est confié à la presse. "Il s’est agi en résumé des reformes et des projets. Ils ont concerné plusieurs grands chantiers tels que les secteurs des infrastructures, l’Energie, le Transport", a-t-il dit.

Le côté finance a été abordé aux cours des échanges avec le développement des PME et l’organisation du secteur financier en Côte d’Ivoire. « Il va s’agir maintenant de prendre secteur par secteur pour voir quelle reforme et quel projet, afin de déterminer l’action de la SFI pour aider le gouvernement ivoirien à atteindre ses objectifs », a rassuré M. Le Houérou, insistant sur les projets bancables. 

Le montant total prévu pour ces investissements est estimé à 1,7 milliards de dollars. Un montant qui peut évoluer ou diminuer. « Tout dépend des projets à financer », a-t-il conclu.

Il faut souligner que Koné Adama, ministère auprès du Premier ministre, chargé de l`économie et des finances, et le ministre Adama Toungara du Pétrole et de l'Energie, ont pris part à cette séance de travail.

 

 

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En conférence de presse jeudi, Michel Dussuyer, coach des Éléphants, a dévoilé la liste des 23 joueurs qui prendront part à la rencontre Côte d’Ivoire-Sierra-Léone dans le cadre des éliminatoires Can « Gabon 2017 »,  le samedi 3 septembre 2016 à Bouaké.

 

Sans grande surprise, la plupart des anciens tels que Gervinho, Salomon Kalou, Serge Aurier, Ousmane Viera ou encore le gardien Gbohouo Sylvain… sont présents, sauf Doumbia Seydou qui a quitté le groupe après qu’il n’est pas  été aligné par Michel Dussuyer face au Soudan, lors de la 3e journée des éliminatoires de la CAN 2017, Yaya Touré, qui réfléchit encore sur son retour en sélection, et Serey Dié(indisponible).

Michel Dussuyer a indiqué sur le cas de Doumbia Seydou qu’il n’a plus confiance au joueur. « J’ai pas confiance en Doumbia Seydou », a-t-il dit. Sur le cas Yaya Touré, il affirme être en discussion avec le joueur qui ne s’est pas encore décidé pour son retour en sélection. A part ces trois anciens qui manquent à l’équipe, le coach des Eléphants pourra compter, en attaque, sur Max Gradel, Gervinho, Salomon Kalou, Kodjia Jonathan qui a fait bonne impression contre le Gabon en juin dernier, le Rennais Sio Giovani, et le Bordeaulais, Touré Thomas.

En milieu de terrain les ténors sont présents tels que Angban Victorien, Kessie Franck' Sery Jean-Mickael, N’Guessan Yao Serge, Doukouré Cheick, Diomandé Ismaël. 

En défense Dussuyer a fait confiance à Serge Aurier, Eric Bailly, Deli Simon, Diarrassouba Ousmane, Goua Mahan Marc de l’Asec Mimosas, Kanon Wilfried, Koné Lamine et Traoré Adama. 

Les perches des Eléphants seront gardés par  Gbohouo Sylvain,  ses remplaçants sont Sangaré Dadra Ali de l’As Tanda, et Sayouba Mandé de Stabaek(Norvège).

Avec ces joueurs, la Côte d’Ivoire part avec l’avantage des pronostics, mais le technicien français sait que ce ne sont pas les noms qui gagnent un match. «  Nous devons nous battre sur le terrain pour nous qualifier et être en tête de notre poule », a promis Michel Dussuyer. 

En outre, les Eléphants auront trois séances d’entraînement avant d’aller croiser le fer avec les Sierra-Léonais. Lundi et mardi  à Abidjan(centre Technique de Bingerville) et le jeudi à Bouaké. 

 

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