Lorem Ipsum is simply dummy text of the printing and typesetting industry. Lorem Ipsum has been....
Dix jours après le mandat d’amener délivré par la juge Française Sabine Kheris contre Guillaume Soro, président de l’Assemblée nationale ivoirienne, l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Georges Serre, s’est rendu mardi au domicile privé de M. Soro à Marcory Résidentiel.
A sa sortie d’entretien, le diplomate français a dit être venu échanger avec le président de l’Assemblée nationale ivoirienne sur la coopération parlementaire entre les deux pays.
«On a parlé de coopération parlementaire puisque le Président Soro était en mission en France. Il a rencontré à la fois son homologue mais aussi le Président du Senat pour des échanges en matière de constitutionnalité par exemple. On sait qu’il y aura bientôt des réformes constitutionnelles en Côte d’Ivoire, c’est normal qu’il y ait des échanges de ce type-là qui se fassent », a confié Georges Serre, tel que confié par les services du cabinet du chef du parlement ivoirien à koaci.com.
Interrogé sur la mandat d’amener contre M. Soro délivré par la juge française Sabine Kheris dans l'affaire Michel Gbagbo, le diplomate français a plutôt tenu un langage diplomatique: « Les diplomates ne font pas de commentaire sur les affaires judiciaires, c’est une règle qui est immuable », a-t-il esquivé.
Depuis quelques jours, à en croire la presse locale, M. Soro envisagerait se prononcer sur la question du mandat d’amener et l’affaire des écoutes téléphoniques, lors de la session de clôture du parlement sur la question du mandat d’amener et l’affaire des écoutes téléphoniques.
L’observatoire ivoirien des Droits de l’Homme(OIDH), en collaborabation avec la Fondation Friedrich Naumann pour la Liberté, a organisé un pré-atelier de reflexion et de formation à l’intention des acteurs de la société civile, des acteurs étatiques sur le Mécanisme Africain d’Evaluation par les Pairs(MAEP). Cet atelier vise à la mise en place d’une coalition de la société civile en vue de promouvoir le MAEP en Côte d’Ivoire.
Selon Eric-Aimé Semien, président de l’OIDH, cette plateforme de la société civile s’érigera en force de veille, de propositions et d’actions pour la Commission nationale pour le MAEP en Côte d'Ivoire. «Pour nous les acteurs de la société civile, le MAEP se présente comme une bonne opportunité d’amélioration de la gouvernance. Nous estimons que nous devons prendre le devant des choses pour que le processus soit transparent équitable et inclusif, ce n’est donc pas seulement une affaire d’Etat », a-t-il ajouté.
M. Konan Bernard, président de la Commission nationale pour le MAEP, a salué le processus de collaboration avec la société civile. « Notre présence confirme notre engagement à travailler avec la société civile dans nos diversités et différences pour bâtir un pays moderne. (…) La société civile est un instrument de participation à la bonne gouvernance, c’est pourquoi la Commission nationale lui accorde une place de choix. », a indiqué M. Konan, annonçant un plus grand atelier en janvier 2016 qui réunira de nombreuses personnalités africaines, marquant le lancement des activités de la Commission nationale pour le MAEP, créée en janvier 2015.
Pour Sophie Konaté, chargée de programme, cet atelier s’inscrit dans le cadre des activités de la Fondation Friedrich Naumann qui s’intéresse à la bonne gouvernance, à l’économie et au développement social etc.
Plusieurs organisations de la société civile, dont l’ONEF, le RHDH, la LIDHO, l’OFACI, OFACI, RAIDH… ont participé à ce pré-atelier.
Le MAEP est un mécanisme d’auto-évaluation des Etats par les pairs. A ce jour, il y a 35 états membres, dont le Burkina, le Togo, le Ghana, l’Afrique du Sud, le Sénégal…et la Côte d’Ivoire(35eme). Il a quatre centres d’intérêt, à savoir la démocratie et la gouvernance politique, la gouvernance et la gestion économique, la gouvernance d’entreprise, et le développement socio-économique.
Le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro, n’est plus visé par un mandat d’amener en France, bénéficiant d’une immunité diplomatique lors de son séjour, ont assuré mardi ses avocats dans un communiqué.
"Les documents attestant du caractère officiel de la présence (de M. Soro, ndlr) sur le territoire français à l’occasion de la COP21" ont été fournis à la juge d’instruction qui avait délivré le mandat lundi, ont indiqué Jean-Paul Benoit, Jean-Pierre Mignard et Pierre-Emmanuel Blard, avocats de Guillaume Soro.
La juge a reconnu qu’"il bénéficiait du statut diplomatique et de l’immunité" qui l’accompagne, ajoutent-ils. Leur client n’est donc plus visé, selon eux. La délivrance de ce mandat a suscité une vive protestation des autorités de Côte d’Ivoire qui ont convoqué mardi l’ambassadeur français. La juge d’instruction parisienne Sabine Khéris cherchait à entendre M. Soro dans le cadre de la plainte déposée en 2012 par Michel Gbagbo, fils de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, pour "enlèvement, séquestration et traitement dégradant et inhumain", selon des sources concordantes. Des policiers s’étaient présentés lundi au domicile français de M. Soro qui était absent. Selon une source judiciaire, la juge a délivré un mandat d’amener parce qu’il n’avait pas répondu à des convocations précédentes. Les avocats français de M. Soro ont protesté contre cet acte estimant qu’il avait été "délivré en méconnaissance des pratiques et usages diplomatiques admis et reconnus".
Guillaume Soro "saisira dans les prochains jours la justice française d’une plainte en dénonciation calomnieuse" contre M. Gbagbo, ont-ils indiqué. M. Soro, deuxième personnage de l’Etat, fait partie de la coalition au pouvoir dirigée par Alassane Ouattara, réélu président fin octobre dès le
premier tour.
En 2010, le refus du président Laurent Gbagbo de reconnaître sa défaite à la présidentielle avait débouché sur une crise post-électorale qui a fait 3.000 morts. M. Gbagbo doit être jugé le 28 janvier pour crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye où il est détenu.
Source: AFP, Titre: LDA
La Côte d’Ivoire n’a pas fait le poids face au Maroc, ce dimanche à Abidjan. Les Lions de l’Atlas ont laminé(7-) les Eléphants, prenant ainsi une option sérieuse sur les phases finales de la CAN de futsal Afrique du Sud 2016.
Le Maroc a battu, 7-2, la Côte d’Ivoire en match éliminatoire allé de la CAN futsal 2016. Devant leur public, les Eléphants ont chuté lourdement devant les Lions de l’Atlas. Impuissants face aux hommes du royaume chérifien, les Marocains ont imposé leur dicta aux poulains de Soro Jean.
Le Maroc ouvre le score à la 5e. Les Eléphants répliquent par Mohamed Siby sur une action personnelle (1-1). Le but égalisateur n’a fait que fouetté l’orgueil des marocains. Ils vont avoir les issues face à la maladresse des défenseurs ivoiriens.
Revenus des vestiaires, les Lions planteront 3 buts en 5 minutes. Dès lors, les Ivoiriens paniquent et rien ne leur réussi. Le Maroc déroule et se balade. Trois autres buts seront inscrits faisant 7 au total. Mohamed Siby s’illustrera avec un doublé. Mais, trop insuffisant pour titiller l’ogre marocain.
Dimanche prochain, le match retour se déroulera au Maroc. Le coach Soro Jean dit être dans une logique d’apprentissage face à une équipe marocaine, une valeur sûre du futsal africain.
Izoudine Youssef
Loin derrière l’histoire des boycottes. Le ballon a roulé sur tous les stades de Côte d’Ivoire pour le compte de la 2e journée de Ligue1. Marqué par plusieurs matchs nuls dont le derby des Titans, Asec-Africa (1-1). Avec sa courte victoire 1-0 sur l’Afad, les militaires de la Société Omnisport de l’Armée (SOA) pointent en tête du classement.
Le Stade d’Abidjan s’est fait surprendre par le nouveau promu Yopougon Fc (2-1). L’Afad et le Sewe Sport de San Pedro sont logés dans les profondeurs du classement après leur défaite sur tapis vert lors de la première journée et celle de la 2ème journée sur le terrain. Ce week-end, on enregistre 7 buts. Preuve que nos attaquants n'ont pas marqué assez de buts.
Les résultats de la 2e journée
AFAD 0-1 SOA
Korhoga 0-0 Moossou FC
Sporting Gagnoa 0-0 ASI Abengourou
AS Tanda 1-0 Sewe Sport
JCAT 0-0 AS Denguele
Africa Sports 1-1 ASEC Mimosas
Stade d’Abidjan 1-2 Yopougon FC.
Izoudine Youssef
Le Syndicat national des fournisseurs de l’Etat de Côte d’Ivoire(SYNAFECI) annonce un point de presse mardi 15 décembre pour faire la lumière sur des faits qui retardent le paiement de la dette intérieure de l’Etat de Côte d’Ivoire. M. Gré Faustin, président du Synafeci, promet le grand déballage sur certains dossiers brûlants.
Dans un communiqué dont copie nous est parvenue, le Synafeci de Gré Faustin entend faire des révélations sur des sujets brûlants de l’heure tels que les factures de 2000 à 2010 auditées par l’Inspection générale des Finances depuis 2012, mais ne sont pas budgetisées jusqu'à ce jour, la mise en faillite de certaines entreprises en Côte d’Ivoire par des administrateurs de crédit.
Il s'agira aussi pour le Syndicat de faire un point sur sa rencontre avec la direction générale des Impôts, sans oublier l'interpellation faite au président de la Haute Autorité de la Bonne Gouvernance.
Dans une interview accordée un à un quotidien ivoirien, M. Gré a soutenu que les factures payées étaient insuffisantes pour la plupart des fournisseurs dont les arriérés de factures s'élèvent à des centaines de millards. Il estime qu'elles doivent être payées afin de permettre aux entreprises de faire face aux charges fixes.
Le 14 novembre dernier, l’Etat ivoirien a annoncé qu’au terme de l’audit des factures des fournisseurs, ce sont 152,9 milliards Fcfa, qui seront dégagés pour apurer les arriérés relatifs à la dette intérieure, au lieu de 356 milliards FCFA.
Ce matin du 07 décembre 2015, un arrêt de travail de certains machinistes de la SOTRA a perturbé l’exploitation de la SOTRA, occasionnant d’énormes désagréments aux populations abidjanaises pour un lundi, début de semaine.
Cet arrêt de travail s’est opéré sans aucun préavis de grève, pas plus que les motivations évoquées par les grévistes n’aient fait l’objet d’aucune discussion préalable avec la Direction Générale.
Le service minimum qui impose la loi n'a pas non plus été respecté.
L'inspection du travail répresentée par trois (03) inspecteurs a d'ailleurs mis l'accent sur le caractère illégal de cette gréve axée sur les revendications suivantes :
- Paiement sans notation de la gratification à 150% ;
- Augmentation salariale de 8% des minimales catégoriels ;
- Instauration d’une prime de logement de 60 000 F.CFA ;
- Paiement d’une prime de sécurité de 50 000 F.CFA
- Embauche des stagiaires Formation Emploi ;
- Salaire mode horaire sur la base de 160 h / mois (et non plus mensuels) ;
- Avancement catégoriel automatique.
Au terme des échanges, la Direction Générale a concédé le paiement de la gratification au taux uniforme de 150%, et l’augmentation salariale de 8% pour les machinistes et les techniciens.
Les autres points devant être débattus dans le cadre d’un Comité de Suivi regroupant la Direction Générale de la SOTRA, les syndicats, les grévistes et l’Inspection du travail.
La SOTRA condamne cette grève illégale qui n’honore nullement ses auteurs et s’excuse auprès de la population abidjanaise et de son aimable clientèle pour le désagrément que cette situation leur a causé.
Elle les rassure qu’elle a repris l’exploitation de son réseau depuis 15 heures et renouvelle son engagement à poursuivre sa mission de service public avec la plus grande responsabilité dans l’intérêt des Abidjanais.
Fait à Abidjan, le 07 décembre 2015
Le Directeur de la Cellule Communication
Théodore NIAMIEN
Le samedi 29 novembre dernier, à Pullman, s’est tenue une Assemblée générale en vue de l’organisation pratique du concours Miss-CI 2016. Présidée par Victor Yapobi, le président du Comité d’organisation de Miss Côte d’Ivoire(COMICI), cette AG aurait retenu 12 régions dont Divo et Dimbokro. Quand les régions de Gagnoa et Bondoukou, des habituées, auraient été retirées de la liste de l’édition 2016 du concours de la plus belle fille de Côte d’Ivoire.
Selon des sources dignes de foi, des autorités de la ville de Gagnoa auraient mal accueilli cette nouvelle. Pour elles, il est inadmissible que leur région soit écartée au profit de Divo, une autre région voisine, pour les étapes de présélection de ce concours. Et depuis quelque temps, elles feraient pression sur M. Yapobi, afin de lui faire changer d’avis.
Alors, soutiennent les mêmes sources, ces autorités lui auraient proposé près de 5 millions de francs CFA, afin de voir inscrire Gagnoa dans le concours au détriment de Divo.
Joint par téléphone vers 13 heures dans la journée du vendredi 4 décembre 2015, M. Yapobi qui a été maintes fois accusé de s’être trempé dans des actes de corruption au sein du COMICI, a été très clair : « « Je ne sais pas qui vous a donné cette information, mais faites ce que vous voulez avec. Cela fait 20 ans que je dirige le COMICI, si vous me connaissez bien vous n’allez pas me demander ça. Je ne cherche pas l’argent du contribuable. Je ne suis pas corruptible», a-t-il rétorqué, sans toutefois infirmer notre information.
Nous avons tenté de joindre M. Niamien Narcisse, président du Comici régional de Gagnoa, pour avoir la version des autorités de cette région, mais notre tentative a été sans succès.
Affaire à suivre !
Le groupe Magic System en concert le 5 décembre 2015 en faveur des malades de l’ulcère de buruli à l’invitation du Rotary Club d’Abidjan Cocody sud, au Sofitel Abidjan hôtel Ivoire.
"Nous avons un concert gala en cette fin d’année pour pouvoir recueillir des fonds afin de lutter contre l’ulcère de buruli en côte d’Ivoire et cela a valu notre déplacement", a déclaré Asalfo le lead vocal du groupe en compagnie d’Alhi Kéita président du rotary club d’Abidjan cocody sud, à sa descente d’avion mardi, en provenance de Paris, à l’aéroport d’Abidjan.
"Vous savez que Magic System travaille dans l’éducation et la santé et nous avons jugé bon d’associer notre image à des personnes qui pensent à la population (…) ", a-t-il ajouté.
Les fonds recueillis de ce concert organisé par le Rotary Club Abidjan Cocody sud aideront à la lutte pour l’extinction de l’ulcère de buruli, d’ici cinq ans en Côte d’Ivoire, selon le président Alhi kéita.
L’ulcère de buruli est une maladie dont on parle rarement et qui pourtant touche plusieurs personnes dont "50% des enfants en âge scolaire".
Source : AIP
Le Sandton Convention Centre de Johannesburg en Afrique du Sud abrite du 29 novembre au 3décembre 2015, la 7 ème édition du Sommet Africités sur le thème « Façonner l’avenir de l’Afrique avec les populations, la contribution des autorités locales à l’agenda 2063 de l’Afrique ».
A l’instar de plusieurs pays africains, une forte délégation ivoirienne composée, entre autres, du ministre Kafana Koné et du maire Danho Paulin, respectivement président et vice-président de l’Union des villes et communes de Côte d’Ivoire (Uvicoci), et d’une vingtaine d’élus et de techniciens, participe à cette grande rencontre sur l’avenir de l’Afrique. Cette délégation ivoirienne est conduite par le Directeur général de la Décentralisation et du développement local, représentant le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko, M. Gohouro Parfait.
Les représentants ivoiriens ont a été acceuiilis par Sem Amos Djadan, Ambassadeur de Côte d’Ivoire, en Afrique du Sud, qui ont pris part à l’ouverture des travaux aux côtés d’autres représentants de pays africains.
Plus de 5000 élus locaux, acteurs de la vie locale africaine, organisations de la société civile, opérateurs économiques, chercheurs et universitaires sont présents à cette grande rencontre. Ils viennent d’Afrique du Sud, la Tunisie, le Mali, le Burkina, la Côte d’Ivoire...