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Le Réseau des Professionnels de la Presse en Ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI) a un nouveau président, élu à l’issu de sa 5e Assemblée générale élective tenue du 11 au 13 décembre 2019 à Jacqueville sous le thème : « Médias numériques ivoiriens : enjeux de la formalisation au regard de la nouvelle loi sur la presse ». Il s'agit de Sermé Lassina, élu avec 95% des voix. Koffi Assa Dietri et Kamagaté Issouf ont, quant à eux, été élus Commissaires aux comptes.
Fraichement élu, le nouveau président du Repprelci, dans un discours de fraternité a appelé tout le monde à l'union et à la solidarité ; « Nous allons essayer de nous mettre très rapidement au travail car il y a de nombreux défis qui nous attendent. C’est pourquoi je lance un appel à l'Union et à la solidarité au sein de notre réseau. Comme j’aime toujours le dire, le groupe est toujours plus fort que le plus fort du groupe », a déclaré Sermé Lassina.
Présente à cette AGE, Mme Rosine Ano, représentant le ministre de la Communication et des Médias a fait savoir les nombreux défis à relever dans le secteur notamment, la formalisation des entreprises de presse en ligne dans un contexte où les réseaux sociaux ont également pour matière première l’information ; « Il revient aux professionnels d'investir dans les nouveaux médias et de faire la différence d’avec les animateurs des réseaux sociaux à travers leurs écrits qui respectent les règles journalistiques. C’est ce qui vous donnera la légitimité. Et cette légitimité puise sa source dans la formalisation de vos entreprises », a-t-elle insisté.
Selon Mme Sidonie Amoakon, Secrétaire Générale de l’Autorité nationale de la presse (ANP), la formalisation donne droit à de nombreux avantages. A savoir, l’obtention de la Carte d’identité de journaliste professionnel (CIJP) et celle de professionnel de la communication, ainsi que l’éligibilité au fonds de garantie qui permet d’accéder à des crédits bancaires, cependant, le non respect de cette formalisation prive les journalistes de la CIJP et les expose à la loi sur la cybercriminalité et au code pénal, a-t-elle encouragé
A noter que le nouveau président succède à Dr David Youant qui a conduit la présidence du Repprelci de 2019 à 2019.
Mohamed Compaoré
Le Conseil d'administration de la Banque africaine de développement a approuvé, ce mercredi 11 décembre, un financement d’environ 245 millions d’euros en faveur de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) en vue de réaliser son programme de développement des réseaux de transport d’électricité et d’électrification rurale.
« C’est un programme stratégique pour le Maroc. Une opération de première importance pour la Banque. », a déclaré Mohamed El Azizi, directeur général de la Banque pour la région Afrique du Nord. « Développer un réseau de transport d’électricité, encore plus fiable, permettra au royaume de répondre à une demande énergétique, en croissance moyenne d’environ 5% sur la dernière décennie. Voilà une dynamique qui favorisera un mix énergétique encore plus vert. » a-t-il ajouté.
Le programme contribuera ainsi à augmenter la capacité de transit du réseau national interconnecté de transport d’électricité. Son objectif stratégique est d’améliorer la sécurité et l’efficacité de la fourniture d’énergie électrique ainsi que la performance technique globale du système électrique national.
Il garantira également l’insertion de la production électrique additionnelle qui sera générée par les moyens de production de sources solaire et éolienne en cours de développement, et l’acheminement de cette énergie propre vers l’ensemble des zones de consommation.
« Cette nouvelle opération est une réponse concrète qui participe de la lutte contre les effets du changement climatique. Sa dimension inclusive est tout aussi importante : plus de 16 000 ménages dans 720 villages seront raccordés au réseau électrique et verront leurs conditions de vie s’améliorer. », s’est réjouie, pour sa part, Leila Farah Mokaddem, responsable-pays de la Banque pour le Maroc.
Aligné sur les priorités stratégiques de la Banque, le programme répond à la réalisation des deux objectifs « Eclairer l’Afrique » et « Améliorer la qualité de vie des populations ». Il est également en adéquation avec les priorités de la nouvelle Stratégie énergétique nationale du Maroc qui vise à développer un mix énergétique dont 42% à base d’énergies renouvelables en 2020 et 52% à l’horizon 2030.
Depuis le début de ses interventions au Maroc en 1970, la Banque a financé 18 opérations d’investissement dans le secteur de l’énergie pour un montant total de plus de 1,5 milliard d’euros.
Le partenariat entre le Maroc et la Banque africaine de développement dure depuis plus d’un demi-siècle et couvre différents secteurs stratégiques, notamment les transports, l’énergie, l’eau et assainissement, l’agriculture et le développement social.
M.C
Hassane Diane, secrétaire général du conseil national des droits de l’homme(CNDH), a donné quatre principes qui pourraient garantir une élection démocratique et respectueuse des droits de l’homme en Côte d’Ivoire, le jeudi 12 décembre 2019. Il s’exprimait à l’occasion d’un atelier organisé par le CNDH sur le thème : « "Formation des formateurs sur l'exercice des droits civils, politiques et des libertés en période électorale".
Selon lui, ces quatre principes fondamentaux sont l’inclusion, la transparence, la responsabilité et la confiance du public aux organes chargés des élections. « Quand les citoyens n’ont pas confiance aux organes chargés d’organiser les élections, ça sera difficile qu’ils acceptent des résultats venant d’eux », a-t-il expliqué.
Il a relevé d’autre aspects relatifs à l’accès libre aux espaces publics, le droit au rassemblement, à manifester publiquement, permettre à tout citoyen en âge d’accomplir son droit de vote et surtout les personnes en situation d’handicap, etc.
Peu avant le secrétaire général du CNDH, Jonas Mfouaté, le représentant résidant du PNUD par intérim, a effectué une visite surprise aux participants à l’atelier. « Le sujet nous intéresse beaucoup. Nous sommes très heureux de voir tout ce monde et surtout la présence des Préfets de région », a-t-il dit. Ajoutant qu’il faut que chacun des acteurs joue son rôle pour des élections transparentes, inclusives et surtout « apaisées » en 2020.
Pour sa part, laura Sinner, vice-président du CNDH, a réitéré « les remerciements sincères » de l’institution au PNUD pour son appui technique et financier. « Nous avons tous besoins d’être outillés pour aller à des élections transparentes et apaisées », a-t-elle indiqué.
Rappelons que cet atelier a lieu du 11 au 13 décembre 2019 à Abidjan. Il a pour objectif de former des formateurs issus des 31 commissions du CNDH et des représentants d'institutions étatiques et non gouvernementales, afin de contribuer au respect des droits civils, politiques ainsi que des libertés publiques dans le processus électoral de 2020, pour des élections apaisées et sans violence en Côte d'Ivoire.
Daniel Coulibaly
Depuis ce matin, jeudi 12 Décembre, le Réseau des Professionnels de la Presse en Ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI) a entamé les travaux en commission de sa 5e Assemblée Générale Elective.
Pour le Comité d’organisation piloté par le doyen Sériba Koné, Jacqueville, petite ville balnéaire au sud d’Abidjan, cadre propice pour la réflexion a été choisi pour abriter les travaux. Doter le réseau de textes solides pour son bon fonctionnement, tel est l’objectif que se sont fixés les congressistes présents à ce rendez-vous important dans la vie de leur réseau commun.
Au sortir de cette AGE qui prend fin le vendredi 13 décembre, le réseau connaitra son nouveau président. Il succédera au président sortant Dr Davide Youant qui a conduit avec brio le Repprelci (2013-2019). Les travaux de cette journée fait place à trois commissions. A savoir : la commission statuts et règlements intérieur, la commission autonomie de l’OMENCI (instance d’autorégulation du réseau) et la commission chargée des réformes des prix Alfred Dan Moussa et Samba Koné
A ce jour, deux candidats sont lice pour la présidence du Repprelci. A savoir Lacina Sermé de APA News et Bakayoko Adama de Woroba.net. Tous présents dans l’union et la fraternité.
A noter qu’au départ trois candidats étaient en courses pour la présidence. Et à la dernière minute, un des candidats, notamment Joel Nianzou s’est retiré de la course. Cette annonce du retrait de sa candidature le mardi 10 décembre par mail puis du dépôt physique au siège du repprelci suivie d’une déclaration vidéo produite
Mohamed Compaoré
La présidentielle ivoirienne se tiendra en octobre prochain. Comme à chaque échéance électorale, les forces de défense et de sécurité sont sollicitées pour sécuriser cette élection. Mais, il a été souvent observé que des agents de sécurité outrepassent leur mission de sécurisation de bureaux de vote et les urnes pour se constituer en agent de commission électorale indépendante(CEI).
Pour mettre fin à cette pratique inappropriée, l’Etat de Côte d’Ivoire a décidé de mettre des balises sur l’agissement des hommes en tenues lors des élections.
«En 2020, il aura des consignes écrites pour les hommes en tenues qui seront sollicités pour sécuriser les élections », a confié le Lieutenant Sahiri Abibi Herman, lors d’un atelier de formation de formateurs sur l’exercice des droits civils, politiques et des libertés publiques en période électorale du 11 au 13 décembre 2019. Organisé par le conseil national des droits de l'homme(CNDH), il a pour objectif de contribuer au respect des droits civils, politiques ainsi que des libertés publiques dans le processus électoral de 2020, pour des élections apaisées et sans violence en Côte d'Ivoire. Le Lieutenant Sahiri Abibi Herman s'exprimait sur la question relative au "rôle des forces de sécurité en période électorale".
"Les hommes en tenues ne doivent pas être dans le bureau de vote et ne doivent pas toucher l’urne de vote. Leur rôle est de veiller au processus de vote et escorter l’urne" jusqu’au siège de la commission centrale de la CEI, a-t-il expliqué.
Daniel Coulibaly
Le Conseil national des droits de l’homme(CNDH) organise un atelier de formation des formateurs sur l’exercice des droits civils, politiques et des libertés publiques en période électorale. Cet atelier a lieu du 11 au 13 décembre 2019 à Abidjan.
Objectfif: contribuer au respect des droits civils, politiques ainsi que des libertés publiques dans le processus électoral de 2020, pour des élections apaisées et sans violence en Côte d'Ivoire.
Il s'agira de former des formateurs issus des 31 commissions du CNDH et des représentants d'institutions étatiques et non gouvernementales autour du thème: "Formation des formateurs sur l'exercice des droits civils, politiques et des libertés en période électorale".
Cinq modules seront développés autour de deux thèmes centraux, à savoir les normes et standards internationaux en matière de droits civils et politiques et le cadre juridique national des libertés publiques et leur applicabilité en période électorale.
Mme Namizata Sangaré, présidente de la CNDH, le représentant du PNUD, le secrétariat d’Etat auprès du Garde des Sceaux et le représentant du ministre de l'Administration du Territoire et de la Décentralisation...ont procédé à l'ouverture de cet atelier.
Les participants sont entre autres des autorités de l’armée, des politiques, la société civile, des journalistes, des magistrats, la commission électorale indépendante(CEI), des préfets de région, etc.
Cet atelier est entièrement financé par le PNUD.
Daniel Coulibaly
Abidjan, la capitale économique ivoirienne abrite depuis jeudi novembre un Forum regroupant des experts de la Coalition internationale du foncier (ILC) pour l'accès à la terre ou en anglais "International Land Coalition''. Au centre des débats, la politique de gestion foncière dans le monde, plus particulièrement en Afrique. Ce, avec la participation de 200 acteurs du foncier venus de 26 pays.
« En Afrique, moins de 10% des propriétés foncières appartiennent à des femmes. La situation est encore plus dramatique si on va sur les terres communautaires », a dénoncé Martin Romuald Otongo, l'un des participants, appelant les gouvernant africains à revoir redresser cette courbe, d'autant plus que les femmes jouent un rôle important dans la sécurité alimentaire du continent.
Pour le spécialiste Ward Anseeu, la question foncière reste l'un des enjeux majeurs du moment, ce qui demande plus d'attention à l'égard des femmes. C'est pourquoi, a-t-il justifié, ce forum a permis à plusieurs intervenants sur le foncier d'échanger et de partager leurs expérience, mais surtout pour faire des récommandations aux dirigeants africains.
Un plaidoyer appuyé par Ramata Thioune, une spécialiste de programme au Centre de recherches pour le développement international du Canada : « La situation des femmes par rapport au foncier, c'est un défi pour nos communautés en Afrique. Et il y a beaucoup de solutions que nous avons proposées. Il faut faciliter l'accès des femmes au crédit et il faut surtout qu'on ait des législations foncières plus favorables aux femmes surtout en milieu rural », a-t-elle dit.
Ces spécialistes s'exprimaient lors d'une conférence de presse sanctionnant ces deux jours de travaux, autour du thème « renforcement du secteur foncier en Afrique : comment la transparence de la gouvernance foncière peut soutenir les efforts de développement ».
Armand Tanoh
Le nom à l’état civil et le nom officiel d’un Chef de l’Etat sont deux noms différents. Et en Côte d’Ivoire, il y a souvent une polémique autour de ces deux noms. Or, lors de la prise de fonction du Chef de l’Etat depuis son premier mandat (si notre mémoire est bonne), un communiqué de la présidence a bien précisé que le nom officiel du président de la République est : Alassane Ouattara. C’est donc un lapsus linguae pour ceux qui disent « Alassane Dramane Ouattara » et un lapsus calami pour ceux qui écrivent « Alassane Dramane Ouattara ». Ils devraient plutôt dire ou écrire « Alassane Ouattara ».
On a souvent entendu à des cérémonies officielles, lors des allocutions, bien de personnes dire « Alassane Dramane Ouattara». Cette erreur va jusqu'à apparaître sur des documents offciels de structures privées. Et même publiques. Non, c’est « Alassane Ouattara ». C’est, le nom officiel du Chef de l’Etat ivoirien.
Généralement ceux qui disent "Alassane Dramane Ouattara" sont, soit sous l’effet de l’émotion, soit ils l’ignorent. A côté, ceux qui écrivent « Alassane Dramane Ouattara » font de la provocation. Et bien de journalistes ont vu leurs journaux écopé d’une suspension de plusieurs mois de parution pour cette histoire de nom officiel. Des présidents d’institution, citoyens etc font cette erreur. Il faut donc faire la différence entre le nom à l’Etat civil d’un Chef de l’Etat et son nom officiel de fonction.
Pour des questions diplomatiques, de prononciation, de respect et bien d’autres aspects, un nom officiel est donné à un président. Attention ! Cela ne veut pas dire que celui-ci renie son nom à l’état civil indiqué sur son extrait de naissance.
Dans un article du confrère Afriksoir publié le 1er décembre 2019, et titré « Je suis Alassane Dramane Ouattara votre fils » : Finalement comment doit-on appeler Ouattara ? Le confrère évoque le fait que le concerné lui-même a dit : Dramane » et de rappeler un communiqué de l’ANP(Autorité nationale de la presse) interdisant tout journaliste d’écrire ou dire « Dramane ».
« Le Président Alassane Ouattara, président du RHDP, ce jeudi 28 novembre 2019, lors d’un meeting à Niakara, dans le cadre d’une visite d’Etat dans la Région du Hambol. Chose surprenante, c’est la prononciation du prénom « Dramane », au cours de son intervention, pour se désigner, alors que le Conseil National de la Presse (CNP), qui s’est mué en Autorité nationale de la Presse (ANP), a interdit aux journalistes d’utiliser ce prénom du chef de l’Etat, dans les colonnes de leurs différents journaux » , écrit AfrikSoir.
Et de poursuivre : « Dans un communiqué en date juin 2012, l’organe de régulation de la presse en Côte d’Ivoire dirigé par Raphael Lakpé, membre du bureau politique du RHDP, avait « enjoint à la presse nationale à mettre fin à cette fâcheuse pratique qui relève de la malséance et de l’irrévérence à l’égard du président de la République ». Avant de s’interroger : « On se demande l’utilité d’une telle mesure quand le concerné lui-même se désigné publiquement par ce nom. La presse doit-elle s’autocensurer ? »
Oui, il l’a dit. Mais, il faut aller au-delà et situé ces propos dans le contexte. Il était face à des populations qu’il a considérées comme « ses parents ». Et il précise : « votre fils ». Le mot « fils » à son importance ici. Il leur a parlé en tant que « leur fils » et aussi en tant que président. Comme « fils », il s’appelle « Alassane Dramane Ouattara » et comme président « Alassane Ouattara ». Et cela veut dire aussi qu’il est le fils de son père feu Dramane Ouattara qu’il n’a jamais renié contrairement à ce qui se raconte.
Oui, lui, il a le droit de s’appeler « Dramane », mais le journaliste ou le citoyen lambda ne peut que l’appeler par son nom officiel : Alassane Ouattara. C’est ce que le communiqué de l’ANP veut nous faire comprendre. Un journaliste qui dit ou écrit « Alassane Dramane Ouattara » tombe dans la provocation et bien évidemment dans l’irrévérence au Chef de l’Etat. Idem pour un citoyen qui en fera de même sur les réseaux sociaux ou n'importe quel support. En somme, si le président dit le prénom « Dramane », ce n’est pas une invite à l’appeler ainsi.
C’est vrai, comme l’a souligné AfrikSoir, il n’y a vraiment pas de lois réglementant la presse en ligne, mais rien n’autorise un journaliste de presse en ligne à manquer de respect au président de la République. La loi légiférant la presse écrite et audiovisuelle est la même pour l’instant pour la presse en ligne. C’est le support de publication qui change. C'est tout.
En Côte d’Ivoire
Félix Houphouët Boigny père de la Nation ivoirienne est né Dia, mais avait pour nom officiel Félix Houphouët Boigny
Aimé Henri Konan Bédié a pour nom officiel Henri Konan Bédié
Laurent Koudou Gbagbo a pour nom officiel Laurent Gbagbo...
En Afrique
Paul Biya, né Paul Barthélemy Biya'a Bi Mvondo a pour nom officiel Paul Biya(Cameroun)
Jerry Rawlings, né Jeremiah John Rawlings a pour nom officiel : Jerry Rawlings(Ancien président du Ghana)
Matamela Cyril Ramaphosa a pour nom officiel Cyril Ramaphosa(Afrique du Sud)
Faure Essozimna Gnassingbé nom officiel Faure Gnassingbé(Togo)
Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo nom officiel Félix Tshisekedi(Congo-RDC)
Ali Bongo Ondimba, né Alain-Bernard Bongo nom officiel Ali Bongo Ondimba(Gabon)
Patrice Talon et non Talon Patrice(Bénin)…
A travers le monde
John Fitzgerald Kennedy avait pour nom officiel John Kennedy(ancien président Etats-Unis)
Barack Hussein Obama II a pour nom officiel Barack Obama(ancien président Etats-Unis)
Donald John Trump nom officiel Donald Trump(Etats-Unis)
Emmanuel Macron et non Macron Emmanuel(France)
Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa nom officiel Nicolas Sarközy(ancien président France)...
Tous les présidents en fonction ont toujours un nom officiel. Il faut tout simplement les appeler ainsi. Et le faire, n’est pas une autocensure. Et AfrikSoir doit comprendre cela.
Daniel Coulibaly
La mairie de Séguéla a organisé les 28 et 29 novembre 2019, un séminaire sur le plan stratégique de développement de la commune 2020-2025 (Psdcs).
Sous le parrainage du ministre de la Défense, Hamed Bakayoko, cet atelier s’est déroulé à la fois à la préfecture et à la mairie de la ville. Lors de cette rencontre du donnée et du recevoir, le premier magistrat de la commune, Lassina Diomandé a soutenu qu’aucun développement ne peut se concevoir sans un plan d’action et la participation des populations. « Le développement ne se décrète pas, mais se matérialise par un plan, c’est-à-dire une matrice d’action programmée avec la participation des populations », a-t-il souligné.
Pour lui, l’objectif de l’atelier est de parvenir à la détermination d’une feuille de route et d’orienter les prises de décisions des autorités communales qu’elles sont, en prenant en compte les aspirations des populations. Cette nouvelle démarche, à l’en croire s’inscrit dans une nouvelle dynamique de gestion de la commune à travers une démarche participative et inclusive de chaque citoyen, afin qu’il soit un acteur de l’exercice du pouvoir communal. Lassina Diomandé a soutenu que le concept de démocratie participatif exige l’implication des populations dans la définition des notions de développements communaux. « C’est pour cette raison, que nous avons voulu ce présent séminaire, le plus inclusif possible, avec la participation de l’administration locale et des différentes composantes de la population (société civile, les religieux, les représentants des jeunes et des femmes, les leaders d’opinion, les acteurs et les opérateurs économique) »,a-t-il justifié.
Aussi, il a fait savoir que selon l’agenda 21 des Nations Unies sur les ODD, au sommet de Rio en 1999, que ce sont les collectivités locales qui construisent, exploitent et entretiennent les infrastructures économiques sociales et environnementales, et qui surveillent les processus de planifications en fixant les orientations des projets de développement. Au terme des deux jours de réflexion, qui ont abouti à la mise en place du plan stratégique de développement de la commune de Séguéla 2020-2025, Mme Traoré, préfet de Séguéla, représentant le ministre de la défense, Hamed Bakayoko a salué tous les participants et a souhaité que les réflexions puissent se poursuivent.
Elle a également dit son optimisme de voir cet exercice faire tâche d’huile en côte d’Ivoire. Au maire, elle a déclaré ceci : « Je vous exhorte à chercher des partenariats et les financements où toutes les actions programmées pour permettre à vos citoyens de bien vivre dans cette cité ».
Sercom
Après 12 mois de consultations fructueuses avec les régulateurs et les parties prenantes de l’industrie, Uber, l’application smartphone qui connecte les chauffeurs avec les passagers, est officiellement lancée aujourd’hui à Abidjan, en Côte d’Ivoire, pour compléter les infrastructures de transport existantes.
Marjorie Saint-Lot, Manager Pays pour Uber en Côte d’Ivoire, déclare : « Je suis très enthousiaste du lancement d’Uber à Abidjan, et tout particulièrement de le réaliser avec le soutien du gouvernement. Ce lancement représente une réelle opportunité pour les personnes qui vivent et se déplacent à Abidjan ainsi que pour les entreprises qui y opèrent - et, plus largement, pour l’ensemble de mon pays. Le lancement d’Uber à Abidjan est une première en Afrique francophone et contribue au rayonnement international de la ville tout en créant de nouvelles opportunités économiques. »
Avec le lancement d’Uber à Abidjan, la ville rejoint les 15 autres villes d’Afrique sub-saharienne où l’appli est disponible. Abidjan, pôle économique dynamique et destination touristique plébiscitée, était un choix évident pour lancer Uber, d’autant plus avec sa population d’environ 4,7 millions de personnes et les plans ambitieux de la ville pour favoriser le développement et l’expansion économique.
Alon Lits, Directeur général pour l’Afrique sub-saharienne, déclare également : « Nous sommes à la fois optimistes quant au développement d’Uber à Abidjan et engagés à favoriser les opportunités économiques pour les chauffeurs dans la ville. Nous pensons qu’Uber a le potentiel d’améliorer les opérations existantes de milliers de chauffeurs ivoiriens, ainsi que de continuer à améliorer la sécurité, la fiabilité et l’accessibilité des déplacements pour tous à Abidjan. Nous sommes confiants de l’impact futur que notre technologie et notre équipe locale vont avoir. »
De nouvelles opportunités économiques ouvertes à tous
La technologie Uber est ouverte à tous ceux qui le souhaitent, permettant aux opérateurs de transport déjà sur le marché de travailler avec l’application tout en continuant à exercer indépendamment avec leur structure déjà existante. Conformément aux lois et réglementations en vigueur à Abidjan, l’accès à l’application ne sera disponible que pour les personnes détenant une licence complète et valide pour proposer des services de taxi.
Uber estime que des centaines de courses effectuées par des Abidjanais et des touristes pourraient être dirigées quotidiennement vers les chauffeurs de taxi, leur permettant d’élargir leur clientèle et d’augmenter leurs revenus. « Plus spécifiquement, à Abidjan, nos données indiquent que plus de 50 000 personnes ont déjà essayé d'utiliser l’application Uber dans la ville l’année passée - autant de potentiels nouveaux clients pour des milliers de chauffeurs de taxi à Abidjan», ajoute Lits.
La technologie au service de la mobilité
La sécurité est l’une des priorités absolues d’Uber et sa technologie améliore la sécurité en créant la responsabilité et la transparence là où il n'y en avait pas auparavant. Uber investit et innove en permanence pour placer la barre le plus haut possible en matière de sécurité. Par exemple, Uber fournit aux passagers les informations nécessaires sur leur chauffeur, tels que leur prénom, leur photo et leur numéro de plaque d'immatriculation, ce qui permet aux passagers de reconnaître le véhicule avant même son arrivée. Les utilisateurs - chauffeurs et passagers - peuvent également communiquer entre eux directement par le biais de l'application sans partager leurs données personnelles.
Il existe également un certain nombre de fonctionnalités supplémentaires pour améliorer l'expérience des chauffeurs comme : la technologie GPS pour les aider à se repérer lorsqu’ils sont en course, le partage d’informations sur les jours, les heures et les lieux où il y a le plus de demandes de courses, ainsi que la possibilité de suivre leurs revenus afin de permettre à leur entreprise de prospérer.
Le service client d’Uber est disponible 24h/24 7j/7 directement depuis l’application pour tous les utilisateurs. Pendant les heures d'ouverture habituelles, les chauffeurs partenaires peuvent rencontrer un expert d’Uber dans notre centre d’accueil situé à Marcory, et contacter Uber à toute heure via la rubrique “aide” de l’application.
Par ailleurs, Uber et AXA ont étendu leur partenariat mondial en Côte d'Ivoire et offriront une protection aux chauffeurs et aux passagers en course avec Uber.
« Nous sommes impatients de proposer aux Abidjanais et aux touristes une nouvelle façon de se déplacer dans la ville, et de venir en complémentarité avec les infrastructures de transport existantes. L’équipe d’Uber est prête à débuter le traitement des inscriptions des chauffeurs sur l’application et nous organisons déjà de nombreuses sessions d'informations pour que les chauffeurs potentiels puissent recevoir une assistance personnelle » a conclu Lits.
L'investissement continu d'Uber dans les villes africaines repose sur un esprit de collaboration avec les autorités nationales et locales. Cela a permis à Uber de développer des solutions de transport sur mesure et locales, tout en s'assurant de faire partie de l’écosystème africain en opérant de manière responsable dans la région.