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Du 17 au 22 juillet 2016 se tient à Lagos(Nigéria) la conférence interuniversitaire des études doctorales initiée par dix(10) universités africaines dont celle de Charles Louis de Montesquieu de Côte d'Ivoire, présidée par le Pr Amoa Urbain. En prélude à cet événement, le Recteur de l'Unisersité Charles-Louis de Montesquieu a donné les grandes articulations de cette rencontre, au cours d’un échange avec des journalistes. Le thème: "Université universelle et climat social, sortie de crise. Quelle contribution des écoles doctorales ?"
Cette session de la conférence interuniversitaire des études doctorales verra la participera de dix universités africaines unies par une convention dont l’Université Charles-Louis De Montesquieu(Côte d’Ivoire), l’University of Lagos(Nigeria), University of Education, Winneba(Ghana), University Of Cape Coast(Ghana), etc.
Selon le Pr Amoa Urbain, le but principal est de définir une politique d'encadrement afin d’organiser les formations pour que les doctorants bénéficient de sujets de thèse porteurs de perspectives.
Concrètement, il s'agira pour les responsables de ces différentes universités de mettre en place les politiques d'encadrement des doctorants pour qu'ils puissent amener des réflexions sur des sujets porteurs de lignes directives pour la formation des étudiants, des projets de pensées pour anticiper les crises, et pouvant contribuer a apporter des résolutions aux crises africaines.
En un mot, des thèses de doctorat qui puissent conduire vers la mise en place d'une nouvelle Afrique.
Toujours selon le Pr Amoa, la question du bilinguisme sera aussi abordée lors de cette conférence interuniversitaire.
Il s'agit d'échanges d'étudiants. Et selon la vision, ils doivent être capables de présenter leur thèse en français et en Anglais( les publications littéraires, la vie associative sur les campus), les universités centres d'études et de recherchent deviennent des centres de résolutions de conflits, etc.
Le Pr Amoa Urbain, recteur de l'Université Charles-Louis de Montesquieu, a donné les raisons qui ont motivé sa grève de la faim du mardi 14 juin 2016, à la Basilique Notre Dame de la Paix, à Yamoussoukro. Pour lui, il devrait poser cet acte pour donner un signal, recevant des journalistes à son bureau à l’Université Charles-Louis de Montesquieu, le mercredi 13 juillet 2016.
Selon le Pr Amoa Urbain, il s'agissait de donner un signal. "C'est un signal trop fort et bien fait. Si je devrais le refaire, je le ferai", s'est-il justifié. Et d’ajouter : « C’est un acte préventif », précisant qu'il n'est pas à la recherche d'une nomination quelconque, et non plus de l'argent mais plutôt d'une reconnaissance. C’est pourquoi, a-t-il confié, j’ai refusé les 2 millions de Fcfa du ministre d’Etat, ministre de l'Intérieur Hamed Bakayoko quand il m’a reçu à son cabinet. « Je ne vends pas ma dignité pour de l'argent», a-t-il clamé.
Il observe que les frustrations se font de plus en plus dans les relations entre citoyens ivoiriens. "J’étais même prêt à aller jusqu’à la désobéissance civile. Mais quand les autorités ivoiriennes m'ont demandé se sursoir à ma grève de faim, je l'ai fait par respect», a dit le Recteur de l’Université Charles-Louis de Montesquieu, s’estimant heureux d’avoir mené une telle action qui a eu des échos au sein de la société civile.
Sur la composition des membres de la Chambre des Rois et les chefs traditionnels, il affirme avoir été contacté par le directeur de cabinet adjoint du ministre d'Etat, ministre de l’Intérieur qui lui a proposé le poste de directeur de la documentation au sein de cette Chambre. Une proposition qu’il a trouvée indécente. Il a donc refusé. "Je suis exténué des frustrations et de certaines choses que vit notre pays", a-t-il poursuivi.
Par ailleurs, M. Amoa Urbain ne cache pas avoir soutenu le président Alassane Ouattara quand il arrivait au pouvoir en 2011, mais aujourd’hui pense qu’il faut tirer sur la sonnette d’alarme, cela ne fait donc pas de lui un opposant au Chef de l'Etat ivoirien.
"S'il n'y a personne pour dénoncer les choses, on ira tout droit dans le mur", a-t-il prévenu.
Pour rappel, le Professeur Amoa Urbain a observé aux pieds de la Basilique Notre Dame de la Paix de Yamoussoukro, une grève de faim pour, selon lui, protester contre « La Cherté de la Vie et la mal gouvernance», aussi contre ce qu’il a qualifié de « Pillage de ses œuvres d’esprits » et surtout une utilisation «abusive» des résultats de ses travaux de Recherche sur la Chefferie traditionnelle.
La 3ème édition du forum international de l'Etudiant africain, EduMaroc, a été lancée mardi à Abidjan. Les organisateurs le groupe de l'Etudiant marocain et Maroc Export ont donné les grandes articulations de ce forum qui aura lieu du 21 au 22 juillet 2016 à la Chambre de commerce d'Abidjan.
Selon Mestari Nédal, responsable du Forum de l'Etudiant d'Abidjan, l'objectif principal n'est pas différent des précédents forums qui ont eu un bilan positif.
Il s'agit donc de créer une parcelle pour permettre aux élèves, étudiants ivoiriens etc qui désirent faire des études dans les Universités marocaines d'avoir toutes les informations utiles.
Ce forum se présente comme une plateforme d’informations sur les formations continues, professionnelles et supérieures, et les filières de formations( la paramédicale, le tourisme, l'ingénierie, etc, pour 2 à 5 ans de durée). A cela s’ajoutent la scolarité, les conditions de logement…
Le choix d'Abidjan chaque année pour lancé le forum s'explique: "Nous commençons toujours par Abidjan, parce que les parents aiment la destination marocaine à cause de la qualité de formation, des infrastructures, le prix etc », a fait observer M. Nédal, qui précisent les intéressés pourront faire leur préinscription sur place.
Dans l'avenir, souligne le responsable du Forum de l'Etudiant d'Abidjan, des écoles marocaines s’installeront en Côte d'Ivoire pour offrir les mêmes formations qu’au Maroc.
Ce Forum international a aussi caution de Sa Majesté Mohammed VI, Roi du Maroc, qui accorde une attention particulière à la formation supérieure, et surtout au développement des relations sud-sud.
Après Abidjan, la caravane EduMaroc s'ouvrira au Congo Kinshasha du 25 au 26 juillet 2016.
La 4ème édition des JPORCI(Journées ivoiriennes de la viande porcine et ses dérivées) a ouvert ses portes mardi à la Caistab-Abidjan. Thématisées "La viande porcine ivoirienne, mon choix économique", les JPORCI 2016 sont organisées par l'ADVCI(Association des docteurs vétérinaires de Côte d'Ivoire) et l'INTERPORCI(Interprofession porcine en Côte d'Ivoire) dans le but de faire la promotion de la viande porcine ivoirienne, qui fait face à une concurrence déloyale externe. Le parrain est le ministre ivoirien Adjoumani Kobenan Kouassi des Ressources animales et Halieutiques.
A la cérémonie d'ouverture, le Dr Sirima Diawara, représentant le ministre Adjoumani Kobenan Kouassi, a indiqué que le thème choisi s’inscrit dans la politique de son ministère qui fait de la filière porcine un secteur prioritaire à forte croissance économique et pourvoyeur d'emplois. Le choix de ce thème « vise à montrer que la consommation de la viande de porc dans nos ménages est une des solutions contre la cherté de la vie", a-t-il dit, soulignant que le secteur porcin peut contribuer effacement à améliorer les moyens d'existence des éleveurs, charcuteries, bouchers, etc.
Il justifie cette assertion par le fait que les acteurs de la filière peuvent tirer d'importants revenus dans la vente de la viande porcine et ses dérivées. Sans manquer d'apporter le soutien du gouvernement à cette filière, dont la production, et l'importation est passée de 26376 tonnes(2011) à 56858 tonnes en 2015 à travers la mise en place d'un plan stratégique de développement de l'Elevage, de la Pêche et de l'Agriculture(PSDEPA 2014-2020), et soutenu par un fonds d'appui financier destiné aux éleveurs.
De son côté, Charles Emmanuel Yacé, président de l'INTERPORCI, a salué le soutien indéfectible du ministre Adjoumani Kouassi au développement de la filière porcine en Côte d’Ivoire.
Selon lui, l'élevage porcin repose sur cinq piliers que sont: la génétique, l’alimentation, la prophylaxie, le logement et la conduite de l'élevage. "Les JPORCI ont pour but de faire connaitre le porc dans toutes ses dimensions et de vulgariser sa consommation", a fait savoir M. Yacé.
Cette filière occupée à 50 % par les femmes, dénonce le président de INTERPORCI, est cependant confrontée aux importations de la viande porcine et ses dérivées de mauvaise qualité.
"Je suis persuadé que les communications qui seront données, apporteront une contribution positive au développement de notre filière", dira, pour sa part, Dominique Koidjo, PCO des JPORCI 2016.
Notons qu’il est prévu des conférences thématiques, des espaces bouffe, exposition d'animaux, etc, durant ces quatre jours (12, 13, 14, 15 juillet 2016) de découverte et de consommation de la viande porcine «Made in Côte d’Ivoire ».
L’équipe dirigeante de l’APSFD-CI(Association professionnelle des systèmes financiers décentralisés de Côte d’Ivoire) a conduit une mission à Yamoussoukro, les 7 et 8 juillet 2016. Objectif, échanger avec les membres de l’association pour mieux s’imprégner de leurs difficultés et leurs attentes.
L’Association professionnelle des systèmes financiers décentralisés de Côte d’Ivoire a été créée avec un objectif clé: promouvoir le secteur de la microfinance professionnel, responsable et inclusif qui contribue à l’amélioration des conditions de vie des ménages en Côte d’Ivoire.
Pour atteindre cet objectif, l’APSFD-CI privilégie l’esprit participatif dans son modèle de prise de décision. Et cela passe par une bonne stratégie de consultation de sa base pour mieux cerner les difficultés auxquelles ses membres font face. C’est dans ce cadre que l’association est allée à la rencontre de ses membres de Yamoussoukro avec une délégation composée de Kouassi Yao Georges (PCA), Cyrille Tanoé (directeur exécutif), Alexis Kaunan (vice-président) et Diama Eric (administrateur).
Les quatre hommes ont pu visiter deux établissements de microfinance de la ville de Yamoussoukro, à savoir la Financière et le Fond Communautaire d’Epargne et de Crédit. Il s’agissait pour la délégation de voir dans quelles conditions évoluaient ces deux institutions et surtout d’écouter leurs responsables respectifs. Cette visite leur a permis de toucher du doigt les réalités de la microfinance dans la capitale politique ivoirienne. Les mêmes que vivent plusieurs établissements de microfinance de l’intérieur du pays. Cela a été vérifié lors de la rencontre du vendredi 8 à l’Hôtel Président. A cette rencontre, les responsables des systèmes financiers décentralisés sont longuement revenus sur les besoins en formation de leur personnel, certaines dispositions du cadre institutionnel et réglementaire qui représentent une difficulté à leur épanouissement, sans oublier les problèmes liés à la gestion quotidienne du crédit.
Des questions liées à la concurrence avec les banques et les grands groupes étrangers ont été aussi évoquées. Des éléments de réponse ont été apportés à ces différentes préoccupations et des pistes de solution proposées pour d’autres sujets sur la base de l’expérience des uns et des autres.
Les responsables des microfinances venus de Bouaké, Daloa, Oumé, Korhogo et Bouaflé ont reconnu que leurs difficultés ne pourront trouver des solutions sur le long terme qu’avec une faitière forte, capable de porter leur voix aussi bien au plan national qu’international.
Pour Cyrille Tanoé directeur exécutif de l’APSFD-CI, c’est seulement avec l’engagement de tous les acteurs que la microfinance ivoirienne pourra être plus forte. Son PCA Kouassi Yao Georges a lui invité les responsables des systèmes financiers décentralisés à rester mobilisés et à être des professionnels.
Source: ServCom
Le ministère ivoirien de la Construction et de l'Urbanisme organise du 11 au 13 juillet 2016, les journées de vulgarisation du schéma directeur d'urbanisme du District d'Abidjan, de la présentation des projets de schéma directeur d'urbanisme des chefs-lieux de région et de la présentation d'offres de terrains urbains qui seront viabilisés, à l’espace CERRAE-UEMOA-Abidjan. Selon le patron de ce ministère, le ministre Mamadou Sanogo l’objectif visé est de permettre aux villes ivoiriennes d'avoir des documents de planification efficaces et réalistes, afin de maitriser le développement de celles-ci.
A la cérémonie d’ouverture, Mamadou Sanogo a souligné l'opportunité de ces schémas directeurs d'urbanisme des villes ivoiriennes, intervenant dans un contexte où les anciens schémas directeurs d'urbanisme et les plans d'urbanisme directeur des villes sont devenus caducs, engendrant des difficultés de mobilité, le désordre urbain, insuffisance de logements décents, l'occupation anarchique des espaces, etc.
C’est pourquoi, il a indiqué que l'objectif visé par ces nouveaux schémas directeurs est de permettre aux villes ivoiriennes d'avoir des documents de planification efficaces et réalistes, afin de maitriser le développement de celles-ci.
"Nous sommes convaincus que nos villes seront bientôt des cités où il fait bon vivre », a-t-il soutenu, ajoutant qu’elles abritent 11.276.646 habitants, soit 49,7% de la population ivoirienne.
En outre, le ministre ivoirien de la Construction et de l’Urbanisme a évoqué la question du foncier urbain qui demeure une source de conflit entre les populations. Pour lui, de nouvelles dispositions permettront de professionnaliser ce secteur où sévissent de nombreux arnaqueurs, annonçant 37 aménageurs fonciers agréés par son ministère, afin de produire des terrains viabilisés et leur mise en vente. "Notre objectif est de créer un corps de métier composé de professionnels, afin de mettre progressivement fin à l'existence des lotisseurs informels qui sont des arnaqueurs et qui alimentent les conflits dans le secteur du foncier urbain", a-t-il dit.
M. Kra Kouman, directeur central de l’urbanisme, M. Konan Yao Godefroy du ministère du Transport, et M. Dimba Pierre du ministère des Infrastructures économiques, ont co-présenté les différents schémas directeurs d’urbanisme, à savoir le schéma directeur d'urbanisme du grand Abidjan qui comprend le schéma directeur des transports urbains[métro, transport lagunaire, et le service rapide des bus(SRB)], les projets de schéma directeur d'urbanisme des chefs-lieux de région qui seront soumis à l'observation des maires, députés, des décideurs, etc pour des suggestions, afin d'améliorer les schémas pour les 15 ans à venir, et ce jusqu'au 15 septembre 2016 et la présentation d'offres de terrains urbains qui seront viabilisés par les aménageurs.
Selon M. Kra Kouman, le coût total de tous ces projets est estimé à 11 mille milliards de Fcfa, soit 4,6 du PIB.
Notons que l'Agence japonaise de coopération internationale(JICA) a entièrement financé à hauteur de 3 milliards de Fca la réalisation du schéma directeur d'urbanisme d'Abidjan.
La voie repressive a été pendant longtemps utilisée dans la lutte contre la drogue. Et malgré les actions d'envergure pour mettre fin à ce fléau, la drogue continue son avancée avec son corrolaire de malheurs, de destructions, de trafiquants et de consommateurs.
Aujourd'hui, la méthode de lutte a changé. Les organisations non gouvernementales et même des organismes internationaux engagés dans la lutte contre la drogue ont décidé d’adopter une autre approche qui consiste à être plus proche des consommateurs, afin d’une socialisation de ces derniers que de les reprimer ou rejeter. D’où le slogan : « Support. Don’t punish » qui veut dire : « Soutenez. Ne punissez pas ».
Ainsi, la platefomme des ONG pour le plaidoyer sur les politiques de drogues RAIDH(Regroupement des acteurs ivoiriens des droits humains) qui veut oeuvrer dans ce sens à travers le projet de "Plaidoyer en faveur des usagers de drogue en Côte d'Ivoire", bénéficiant de l’appui financié de WACSI/OSIWA, a organisé une conférence publique commémorant la journée internationale de la lutte contre les abus et le trafic des drogues à l’attention de jeunes étudiants de Côte d’Ivoire, au siège de la Croix Bleue-Abidjan.
L'objectif est de contribuer à reduire l'impact de la consommation de la drogue dans le pays, à travers la sensibilisation des jeunes en général et des étudiants en particulier. Ce projet vise également à orienter les décideurs sur la gouvernance mais aussi à ameliorer la condition de vie des usagers de drogues, notamment sur leur situation.
Cette conférence publique a donc enregistré deux communications. La première qui portait sur le thème: "L’impact de la consommation de la drogue sur la santé physique et mentale des jeunes et en particulier des étudiants" a été présentée par Fabrice Tiatine, sociologue-anthropologue santé, et coordinateur hôpital et des centres St Camille de Bouaké. Il a, dans un approche sociologique, estimé qu’il faut éviter de stigmatiser les drogués et plutôt leur accorder une attention d’affection, car ce sont des malades qu’il faut aider à guérir. « Il faut changer de regard envers les usagers de la drogue. Ils ne sont pas des dangers, mais plutôt des préoccupations pour la société », a-t-il dit. La seconde thématisée: 'la drogue comme un frein aux projets d’avenir" a été soutenue par Guy Bouabré, formateur des formateurs addictologue spécialiste en prise en charge des usagers de drogues et coordinateur de projet. M. Bouabré, lui-même ancien drogué, a bien voulu partager son expérience avec les jeunes étudiants. « J’ai connu la drogue à 12 ans. Ma rencontre avec elle m’a détourné de mes objectfis, car j’étais promis à un bel avenir ». Et de souligner : «Une prise de conscience m’a permis de sortir de là. Je ne conseille pas la drogue à quelqu’un. Ce n’est pas une bonne chose », a indiqué le président de l'Association "Foyer du bonheur".
En outre, ces deux conférenciers, deux témoignages d'anciens drogués ont exposé les méfaits de la drogue dans la vie du consommateur.
Kanga Marie-Claire, membre de l'association « Foyer du bonheur", qui a passé 30 ans de sa vie avec la drogue, conseille aujourd’hui: « C'est la chose la plus négative qui puisse exister. Je ne le souhaite même pas à mon pire ennemi". Ouattara Aruna, également membre de cette association, qui s’est drogué pendant 7 ans demande pour sa part aux jeunes de ne pas s’y aventurer.
M. Bakayoko Falikou, représentant M. Bamba Sindou le coordinateur de la RAIDH(Regroupement des acteurs ivoiriens des drooits humains), s’est estimé heureux de voir les jeunes prendre conscience des méfaits de la drogue en venant s’informer auprès des acteurs, et surtout que la plateformme s'est donnée pour mission de participer à la lutte contre l'usage abusive de la drogue par la sensibilisation, et des prises en charge des usagers.
De son côté, M. Tall Lacina, PCA du conseil des organisations de lutte antidrogue en Côte d'Ivoire(CONAD-CI), a indiqué qu’il faut continuer la lutte contre la drogue, en ayant une approche plus sociable avec les usagers qui ont besoin d’aide. « Il faut les considérer comme des malades et les soigner », a-t-il ajouté.
Le leader de l’e-commerce en Côte d’Ivoire Jumia et la célèbre marque de bonbons PECTO ont lancé une grande camapgne de chasse au trésor dénommée " le bon est dans le bonbon". Ce jeu consiste à faire gagner aux clients des smartphones, des télévisions LED, des ordinateurs et des mixeurs...qui trouveront un nombre suffisant de « bons » Jumia dans les bonbons PECTO MAXX, jusqu’au 31 Août 2016. Des milliers de bons, représentant l’étoile du logo Jumia sont cachés dans les paquets de PECTO MAXX déjà distribués dans tout le pays.
Ouvrir un bonbon Pecto Maxx et gagner un smartphone dernière génération ! Telle est l’idée simple mais innovante derrière la campagne dénommée « le bon est dans le bonbon ». Une initiative de Jumia et Pecto. Ainsi, jusqu’au 31 Août, partout en Côte d’Ivoire, les consommateurs pourront collectionner les bons surprises insérés dans les emballages des bonbons Pecto Maxx et se rendre dans les agences Jumia pour recevoir des lots.
Pour un ordinateur portable, il faudra collectionner 50 bons avec l’étoile Jumia ; 40 bons pour une télévision LED de 32 pouces, 30 bons pour un smartphone et 15 bons pour un robot-mixeur. De plus, Jumia offrira sur la même période un sachet de 250 grammes de bonbons Pecto Maxx à ses clients.
«Le jeu que nous lançons avec notre partenaire Pecto est une grande première. Notre souhait est de récompenser nos clients respectifs pour leur confiance en Pecto et Jumia, et j’espère faire découvrir Jumia au plus grand nombre !», a expliqué Francis Dufay, Directeur Général de Jumia Côte d’Ivoire.
Julien Achcar, Directeur Général du groupe Waraba, pour sa part, indique: «Pecto Maxx est un bonbon ivoirien historique fabriqué par le groupe Waraba. Nous sommes heureux de collaborer avec Jumia afin de pouvoir offrir aux clients fidèles à Pecto Maxx la chance de remporter de très beaux cadeaux! Jumia et Waraba sont des entreprises ivoiriennes qui ont pour objectif commun d'offrir la meilleure qualité au meilleur prix! ».
Les instructions du jeu sont disponibles sur la page www.jumia.ci/pectomaxx, sur les affiches dans les boutiques ou en appelant le service client de Jumia au 20 00 61 61/21 22 61 61.
Source: Jumia.ci
Pour finir en beauté la 1ère édition du Filoses( Forum international du logement social économique et standing), la chambre nationale des promoteurs et constructeurs agréés de Côte d'ivoire(CNPC-CI) et la structure A+Médias, initiateurs du Filoses, ont offert un diner-gala aux participants à Ivotel Plateau, le vendredi 1 juillet 2016.
Pour les initiateurs du Filoses, l’objectif était de terminer le forum sur une note festive et de remercier toutes les personnes, entreprises et partenaires qui ont contribué à sa réussite.
C'est pourquoi, son commissaire général, Amos Béhonao, a encore réitéré ses remerciements, comme lors de la cérémonie de clôture, aux ministres Gnamien Konan de l’Habitat et du Logement social, Anzouman Moutayé de l’Entrepreneuriat, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, qui ont tout mis en œuvre pour la tenue de ce forum.
Pour sa part, Siriki Sangaré, PDG de Opes Holding, et président de la CNPC-CI, a souligné la mission assignée au Filoses. « La Côte d'Ivoire a besoin de logements pour que le devoir régalien de l'Etat soit une réalité. Il y a des logements sociaux, mais aussi des problèmes, et nous avons essayé d'apporter des solutions", a-t-il affirmé, exprimant toute sa reconnaissance aux autorités ivoiriennes, sans manquer de féliciter M. Béhonao qu'il a invité à penser à la 2ème édition en 2017. Poursuivant, le président du comité scientifique et d'organisation du Filoses a fait une motion spéciale à Florent Kouamé qui a été incontournable dans la réussite de ce forum.
M. Doukouré Vazoumana, conseiller technique et représentant du ministre Gnamien Konan a traduit la satisfaction, les encouragements et les félicitations de son patron aux promoteurs du Filoses 2016.
Par ailleurs, ce diner-gala a aussi servi de tribune pour la remise de prix récompensant le mérite, l’abnégation et l’engagement de certaines personnes dans l’organisation. Ainsi M. Bourgi Khodor, PDG de LGI-BTP, et vice-président de la CNPC-CI a reçu le prix du meilleur jeune promoteur et constructeur de l'AFRIQUE de l'Ouest. « Je remercie tout le monde », a-t-il dit, dédiant son prix à toute la jeunesse africaine. Le prix du meilleur sponsor est revenu à Universelle industries avec son directeur général Adjoint M. Ali Ismail qui n’a pas caché sa joie de recevoir cette distinction, s'est engagé à sponsoriser et à favoriser la réussite de ce forum international. Quand Mme Ouattara, DG de Ital Costruzioni, et la société INOKS Capital(Génève) recevaient le prix de l’entrepreneuriat dans les BTP. La Tunisie a reçu le prix du pays invité d'honneur.
Et pour apporter une note musicale à la soirée, les invités seront invités à apprécier les déhanchements de la jeune artiste Julie Chégué, ex-danseuse de David Tayorault et de Bétika, évoluant dans le coupé-décalé et la danse de «Waraba » proposée par Abou Nidal de Génève.
Au total, 15 000 visiteurs se sont rendus à la 1ère édition de FILOSES 2016 qui s’est tenue du 28 au 30 juin 2016 à la CAISTAB. Elle a été marquée par des panels, tables-rondes, conférences-débats de haut niveau, rencontres B to B, expositions de stands, projections de film-documentaires…
Notons qu'une cérémonie officielle est prévue pour la présentation et la remise officielle des actes de cette 1ère édition dans les jours à venir.
250 enfants de 0 à 14 ans issus du quartier précaire de Watt City à Williamsville dans la commune d’Adjamé ont pu bénéficier d’un vaccin contre le tétanos grâce à l’ONG l’Ong ‘’Brin d’Espoir International’’.
Pour Touré Massaty Konet, présidente fondatrice de ladite organisation, l’objectif est de participer au bien-être des enfants issus de milieux défavorisés. « Tout enfant a droit à la santé, et la santé c’est la vie. Nous voulons développer une véritable chaîne de solidarité autour de l’enfant», a-t-elle dit, exprimant sa volonté de faire vacciner au moins 1000 enfants issues de familles défavorisées avant la fin d’année 2016.
Elle a, par ailleurs, traduit sa gratitude à ses généreux donateurs notamment, Sérifou Yacouba, Touré Awa Sangaré et Touré Wassa Doumbia, sans oublier ses bénévoles qui accompagnent l’Ong ‘’Brin d’Espoir International’’ dans différentes actions sociales.
La présidente de « Brin d’Espoir international » a lancé un appel à l’Etat de Côte d’Ivoire et à d’autres donateurs afin de soutenir son ONG dans ses actions en faveur des tout-petits.
Cissé Fanta, commerçante au sein dudit quartier, mère d’enfant vacciné, et Ouattara Mohamed ont salué cette action de l’Ong ‘’Brin d’Espoir International’’.
Depuis sa création en novembre 2015, l’Ong ‘’Brin d’Espoir International’’ a mené de nombreuses actions de bienfaisance en faveur des enfants dans les hôpitaux, pouponnières d’Abidjan, du village Marchoux (village des lépreux) de Bingerville, puis la remise de présents aux enfants de Wattt City au mois de décembre 2015.