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Le Sénégalais Abdoulaye Bathily, candidat au poste de président de la Commission de l’Union africaine (UA), a défendu, jeudi à Abidjan, sa candidature face à la presse ivoirienne.
«Ma candidature entre en droite ligne de mon engagement pour les peuples africains depuis des décennies. Je ne suis pas un candidat de circonstance, motivé par des intérêts égoïstes. Je suis candidat pour apporter ma contribution à la mise en place d’une Union Africaine (UA) plus dynamique au service des gouvernements et des populations du continent», a justifié le Pr Bathily.
Il envisage, une fois élu à ce poste, de bâtir son action autour de quatre axes prioritaires, à savoir la paix et la sécurité, la problématique des transitions démocratiques, l’intégration économique régionale et la promotion des droits des femmes. « Si l’UA améliore son approche de la question, on pourra donner plus de quiétude aux citoyens africains», a estimé Abdoulaye Bathily.
Sur les questions sécuritaires, il a assuré que les forces armées africaines ont besoin d’être restructurées et réorientées, pour faire face au terrorisme.
Ce panafricaniste, titulaire d’un PHD en histoire et d’un Doctorat d’Etat en Lettres et Sciences humaines, entend mettre à profit son parcours professionnel, pour gagner la confiance des chefs d’Etat à la future élection à la présidence de l’Union africaine prévue le 30 janvier, au sommet de l’institution à Addis Abeba, en Ethiopie. Il est également diplômé d’un brevet de préparation militaire supérieure et de parachutiste.
Cinq candidats sont en lice pour la succession de la Sud-africaine Nkosazana Diamini-Zuma, à la tête de la Commission de l’Union africaine (UA).
Le candidat du Sénégal et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Pr. Abdoulaye Bathily, a pour adversaires Moussa Faki Mahamat (Tchad), Pelonomi Venson Moitoi (Botswana), Agapito Mba Mokuy (Guinée Equatoriale) et Amina C. Mohammed (Kenya).
AIP
Le calme est revenu dès samedi soir à Bouaké et dans toutes les villes ivoiriennes touchées par la mutinerie militaire des vendredi 6 et samedi 7 janvier 2017. Après les assurances données par le Président Alassane Ouattara de prendre en compte les revendications des mutins, ces derniers se disant satisfaits de la parole donnée par le chef suprême des Armées ivoiriennes.
Bouaké
« Nous sommes plus ou moins satisfaits », a commenté le porte-parole des soldats, le Second-Maître Siaka Ouattara de la Marine nationale, cité par APA News à Bouaké.
« Le Président nous a compris et il est passé à la télévision et il a démontré aux yeux de la nation ivoirienne qu’il nous a compris », a-t-il poursuivi, tout en invitant ces frères d’armes au calme.
Effectivement, selon des témoins, une accalmie est constatée ce dimanche à Bouaké et dans toutes les villes dans lesquels des soldats s’étaient mutinés depuis vendredi pour réclamer leur prime ECOMOG, une améliorations des soldes, la réduction du temps de passage de grades, entre autres revendications corporatistes.
Odienné
A Odienné, les mutins ont ouvert, dans la nuit de samedi à dimanche, les différents corridors à la circulation après l’accord arrêté avec le Président de la République pour la résolution de leurs revendications.
Il était environ 20H30 quand tous les véhicules stationnés depuis vendredi midi ont fait leur entrée dans la ville d’Odienné (Nord-ouest).
Joint au téléphone par l’AIP, le lieutenant-colonel Soro Dramane, commandant du Bataillon de sécurisation du nord-ouest (BSNO) a confirmé la réouverture des corridors.
Dimanche matin, les militaires étaient toujours aux différents corridors, sans les autres corps comme la gendarmerie. De source sécuritaire, les gendarmes ont reçu les instructions pour se réinstaller aux différents corridors.
Frontières Mali et Burkina
La circulation à Pogo et Laléraba, respectivement aux frontières de la Côte d’Ivoire avec le Mali et le Burkina Faso, bloquées depuis vendredi à la suite des émeutes militaires qu’a connu le pays, a été libérée dimanche.
Les forces de police et des douanes commises aux contrôles à ces différents postes qui avaient été délogées ont repris du service et la circulation devenue fluide, à la joie des transporteurs qui relient le pays à ceux de l’hinterland (Mali, Burkina Faso, Niger…).
« Ces deux jours ont été difficiles pour nous et nous avons eu peur que cette situation ne dure plus longtemps. Heureusement tout est bien terminé », a commenté Coulibaly Souleymane, un chauffeur de camion entre la Côte d’Ivoire et le Mali.
Les commerces et le marché fermés après une fausse alerte dans la ville de Ouangolodougou, à la mi-journée de samedi, ont aussi rouvert et les populations vaquent à leurs occupations quotidiennes. La vie a donc repris son cours normal.
À Bouaké, tout rentre dans l'ordre. Le ministre de la Défense qui était retenu en otage par des soldats mutins, le samedi 7 janvier 2017, a été libéré après plus de trois heures d’otage, apprend La Diplomatique d’Abidjan auprès de journalistes qui faisaient également partie des personnes séquestrées.
Le cortège du ministre a quitté, aux environs de 22 heures, la résidence du sous-préfet, où se tenaient des discussions entre lui et les mutins réclamant des primes, une augmentation des salaires et une amélioration de leurs conditions de travail.
Des journalistes qui avaient été enfermés dans la cuisine ont également été libérés, ainsi que les autorités locales.
Dans une déclaration Le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, a invité les mutins à regagner leurs casernes, promettant de prendre en compte leurs revendications.
La situation s’est normalisée dans certaines villes, dont Korhogo, Duékoué, Abidjan, après la déclaration du Président Ouattara.
Les soldats mutins ont pris en otage, à Bouake, le ministre ivoirien de la Défense ainsi que sa délégation après l’annonce du compromis et les promesses du président Alassane Ouattara de prendre en compte leur revendication, rapporte des journalistes présents sur le lieu.
Les mutins exigent d’être payés avant de relâcher les otages. Mécontents après l’annonce du compromis, ils se sont mis à tirer des rafales sur la résidence du sous-préfet de Bouake où s'est tenue la rencontre avec le ministre de la Défense.
Le ministre de la Défense, Alain-Richard Donwahi, est dans cette résidence avec le sous-préfet, le colonel Wattao, des journalistes et toute la délégation qui l’accompagnait pour les pourparlers. Tous sont encore retranchés à l'intérieur, selon le correspondant de VOA Afrique.
Selon un journaliste joint au téléphone et qui se trouve encore dans la résidence du sous-préfet, il s'agirait de militaires mutins incontrôlés qui disent que la lutte a été vendue. Les personnes contactées sur place affirment que l’incident a tout l'ère d'une prise d'otage puisque les mutins refusent d’attendre vendredi.
Les mutins soutiennent qu'ils ne laisseront aucune autorité sortir de Bouaké si l'argent promis n’est pas payé aujourd'hui. Pendant ce temps, les barrages sont en train d'être levé à Abidjan.
Source : http://www.voaafrique.com/
Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a invité, samedi, les soldats entrés en mutinerie depuis vendredi dans plusieurs villes du pays, à regagner les casernes, marquant son « accord pour la prise en compte des revendications relatives aux primes et amélioration des conditions de vie et de travail des soldats ».
« J’ai donné des instructions au ministre chargé de la Défense, Alain Richard Donwahi, pour rencontrer ce jour à Bouaké, une délégation désignée par ces soldats. Après le compte-rendu du ministre en charge de la Défense, en présence des membres de ladite délégation, je confirme mon accord pour la prise en compte des revendications relatives aux primes et amélioration des conditions de vie et de travail des soldats ; (…) ayant marqué mon accord, je demande à tous les soldats de regagner leurs casernes pour permettre l’exécution de ces décisions dans le calme », a déclaré M. Ouattara à l’ouverture d’un Conseil des ministres extraordinaire, dans la soirée de samedi.
Selon le gouvernement, les mutins réclament le « paiement de primes », une « augmentation de salaires », une « réduction du temps à passer dans les grades » et des « éclaircissements à propos d’une supposée prime ‘ECOMOG‘ ».
«Je voudrais redire que cette manière de revendiquer n’est pas appropriée. En effet, elle ternit l’image de notre pays, après tous nos efforts de développement économique, et de repositionnement diplomatique », a toutefois déploré le chef de l’Etat.
Cette mutinerie militaire qui a éclaté vendredi dans quatre villes du pays, à savoir Bouaké (Centre), Daloa (Centre-ouest), Korhogo (Nord), Daoukro (Centre-est), s’est étendue, samedi, à des villes de l’Ouest, Man, Touleupleu, Duékoué, Taï, ainsi qu’à Tabou (Sud-ouest), Bouna (Nord-est) et Abidjan (Sud). Elle a également atteint les villes de Téhini (Nord-est) et Agnibilékrou, où des tirs ont été entendus samedi.
Source : AIP/Titre : LDA
Le ministre ivoirien de la Défense, Alain Richard Donwahi, est arrivé à Bouaké, samedi en début d’après-midi, pour « écouter » les soldats entrés en mutinerie depuis vendredi dans plusieurs villes du pays, dont Abidjan, la capitale économique, et « apaiser la situation ».
« J’ai été envoyé par le président de la République pour venir les (mutins) écouter et pour apaiser la situation », a expliqué M. Donwahi à son arrivée à la résidence du sous-préfet central de Bouaké, où les discussions devraient avoir lieu.
Le ministre de la Défense était accompagné de personnalités civiles et militaires, dont le l’archevêque métropolitain de Bouaké, Mgr Siméon Awana, président de la Commission nationale pour la Réconciliation et l’Indemnisation des Victimes (CONARIV), des membres du corps préfectoral, ainsi que le lieutenant-colonel Issiaka Ouattara dit « Wattao », commandant adjoint de la garde présidentielle et des officiers supérieurs de la hiérarchie militaire locale.
Ces soldats réclament, selon le gouvernement, le « paiement de primes », une « augmentation de salaires », une « réduction du temps à passer dans les grades » et des « éclaircissements à propos d’une supposée prime ‘ECOMOG ‘ », rappelle-t-on.
Concernant la paralysie de la vie socioéconomique à Bouaké à cause de cette mutinerie, Alain Richard Donwahi indique que le sujet sera abordé lors de ces discussions. « « On va en discuter avec eux, que les populations ne s’inquiètent pas. On est ici en famille. On n’est pas ici pour déranger les populations ni pour détruire les biens des familles », a-t-il dit, rassurant qu’ « il y a de l’espoir».
Cette mutinerie militaire qui a éclaté vendredi dans quatre villes du pays, à savoir Bouaké (Centre), Daloa (Centre-ouest), Korhogo (Nord), Daoukro (Centre-est), s’est étendue, samedi, à des villes de l’Ouest, Man, Touleupleu, Duékoué, Taï, ainsi qu’à Tabou (Sud-ouest), Bouna (Nord-est) et Abidjan (Sud). Elle a également atteint les villes de Téhini (Nord-est) et Agnibilékrou, où des tirs se font entendre depuis la mi-journée de samedi.
Voie Abidjan-Bingerville fermée
La voie menant à Bingerville (Banlieue est d’Abidjan), passant par la Riviéra II dans la commune de Cocody (Abidjan), a été fermée à la circulation ce samedi matin par des militaires du camp d’Akouédo en colère lâchant des tirs en l’air, a appris l’AIP auprès du lieutenant-colonel Tchoumé Hervé, commandant de l’Ecole militaire préparatoire technique (EMPT) basée à Bingerville.
Selon le lieutenant-colonel Tchoumé Hervé, les bruits de bottes de ces militaires s’inscrivent dans le même cadre que les mouvements de grogne militaire constatés dans plusieurs villes du pays depuis vendredi.
Selon les mutins réclament le « paiement de primes », une « augmentation de salaires », une « réduction du temps à passer dans les grades » et des « éclaircissements à propos d’une supposée prime ‘ECOMOG ‘ » serait à l’origine de ces soldats.
La mutinerie militaire qui a commencé vendredi dans des villes de Côte d’Ivoire, avant de s’étendre à d’autres localités, a atteint samedi Abidjan, la capitale économique, où des soldats ont érigé des barricades dans les environs de l’ancien camp d’Akouédo dans la commune de Cocody, laissant entendre des tirs à l’arme automatique, a constaté l’AIP.
Les mutins sont également visibles au rond-point Blaise Pascal et au rond-point de la Clinique st Viateur.
Ces soldats réclament, selon le gouvernement, le « paiement de primes », une « augmentation de salaires », une « réduction du temps à passer dans les grades » et des « éclaircissements à propos d’une supposée prime ‘ECOMOG ‘ ».
Cette mutinerie militaire qui a éclaté vendredi dans quatre villes du pays, à savoir Bouaké (Centre), Daloa (Centre-ouest), Korhogo (Nord), Daoukro (Centre-est), s’est étendue, samedi, à l’Ouest, au Sud-ouest et au Nord-est du pays, touchant les villes de Man, Touleupleu, Duékoué, Taï, Tabou et Bouna.
A Ferkessédougou, dans le Nord, un vent de panique s’est emparé de la ville à la mi-journée de samedi, suite à tirs émis par des militaires. Les commerces ont fermé, et plusieurs habitants ont regagné leurs domiciles.
Le ministre de la Défense, Alain Richard Donwahi, est attendu ce samedi à Bouaké, avec une délégation d’officiels ivoiriens, pour entamer des discussions avec les soldats mutins.
AIP
La mutinerie militaire qui a éclaté vendredi dans quatre villes de Côte d’Ivoire, Bouaké (Centre), Daloa (Centre-ouest), Korhogo (Nord), Daoukro (Centre-est), s’est étendue, samedi, à l’Ouest, au Sud-ouest et au Nord-est du pays, touchant les villes de Man, Touleupleu, Duékoué, Taï, Tabou et Bouna, où des tirs se font entendre depuis la soirée de vendredi et la matinée de samedi, a constaté l’AIP.
Ces soldats réclament, selon le gouvernement, le « paiement de primes », une « augmentation de salaires », une « réduction du temps à passer dans les grades » et des « éclaircissements à propos d’une supposée prime ‘ECOMOG ‘ ».
A Man (Ouest), concentrés d’abord dans le centre-ville, les tirs sont désormais entendus dans les quartiers périphériques. La circulation s’est arrêtée et les rues se sont vidées de leur monde.
Depuis 4 heures du matin à Touleupleu (Ouest), des hommes en tenu militaires, brandissant des armes, ont investi les rues de cette localité frontalière avec le Libéria. Ils occupent l’axe principal de la ville, allant du corridor jusqu’au commissariat, circulant dans des véhicules militaires et civils de type 4X4.
A 10 H, plusieurs d’entre eux étaient attroupés au « Carrefour du bonheur » devant la CIE. Les commerces de la ville ont été fermés, mais la situation était relativement calme.
A Taï également, des tirs sont entendus depuis samedi matin, quand à Duékoué, des militaires ont érigé des barrages devant leur camp. A Bloléquin, des soldats d’attroupaient devant la préfecture, sans émettre de tirs, aux environs de 9 heures.
Du côté de Tabou (Sud-oues), ville frontière également avec le Libéria, des tirs nourris en provenance du camp des Forces armées de Côte d’Ivoire (FACI) sont entendus depuis 9 heures ce samedi, créant une peur panique au sein de la population qui a déserté les rues.
A Bouna (Nord-est), les tirs ont commencé dans la soirée de vendredi aux environs de 21H30, et se poursuivaient samedi matin. Les soldats mutins ont bloqués certains points stratégiques de la ville, et sillonnent à bord de véhicules, arrachés à la police et à la gendarmerie, ainsi qu’à des particuliers. Les populations restent pour l’instant terrées chez elles.
Le ministre de la Défense, Alain Richard Donwahi, est attendu ce samedi à Bouaké, avec une délégation d’officiels ivoiriens, pour entamer des discussions avec les soldats mutins.
La mutinerie militaire qui a éclaté vendredi à Bouaké, dans le Centre de la Côte d'Ivoire, le vendredi 6 janvier 2017 s’est étendu le même jour aux villes de Daloa, dans le Centre-ouest, et Korhogo dans le Nord, Odienné dans le Nord-ouest, et Daoukro dans le Centre-est. Des tirs à l'arme lourde ont résonné toute la matinée à Bouaké, deuxième ville de Côte d'Ivoire, dont les militaires mutins ont pris le contrôle, après avoir attaqué des commissariats de police.
"Prime ECOMOG"
Ces mutins, essentiellement des ex-combattants réintégrés à l’armée nationale après la crise postélectorale de 20110-2011, réclament entre autre une prime de guerre qu’ils ont eux-mêmes baptisé "Prime ECOMOG". En effet, selon eux, il leur avait été promis une somme de cinq millions de francs chacun avant l’assaut sur Abidjan lors de la crise postélectorale. Ce montant s’élève, d’après les mutins, à la somme de 5 millions de francs pour chacun d’entre eux. Ils exigent le paiement de cette somme sans délai. Un communiqué publié vendredi par le ministère de la Défense évoque « une supposée prime ECOMOG ».
Selon le même indique que les mutins réclament également le « paiement de primes », une « Augmentation de salaires », une « Réduction du temps à passer dans les grades ».
Changements à la tête de l’armée
Des soldats interrogés à Bouaké par La Diplomatique d’Abidjan (LDA, ladiplomatiqudabidjan.com) ne n’ont pas caché leur volonté de voir des changements s’opérer à la tête de l’armée. « Il faut que ça change. Nos chefs ne disent pas la vérité à Alassane (Ouattara). On nous maltraite, on ne nous donne pas ce qu’on doit nous donner », s’exclame l’un d’entre eux.
Mais aussi, des mutins, qui ont participé aux combats de la crise postélectorale, réclament une villa pour chacun.
Le gouvernement ivoirien gagnerait à prendre cette situation au sérieux, et à vite régler le problème… avant qu’il ne soit trop tard.
Des coups de feu étaient entendus en milieu de la matinée de vendredi dans la ville de Daloa (Centre-ouest, région du Haut-Sassandra, 396 km d’Abidjan), semant la panique au sein des populations.Dans la panique, les habitants rentraient précipitamment chez eux. L’AIP n’a pas identifié les responsables de ces tirs d’armes de guerre.
Une mutinerie militaire était en cours à Bouaké depuis la nuit de jeudi à vendredi au corridor Sud de la ville, fermé à la circulation par des mutins. Les premiers tirs ont été entendus aux environs de 1H30 du matin. Pour l’heure, les soldats en question n’ont pas encore donné les raisons de leur soulèvement.
Un vent de panique a subitement soufflé vers 9H30, vendredi sur la ville de Korhogo (Nord, région du Poro, 577 km d’Abidjan), suite à une rumeur de mutinerie dont l’AIP n’a pas pu vérifier la provenance. Les magasins ont commencé à fermer, les écoles ont libéré les élèves et le corridor Nord était fermé, a constaté l’AIP, tandis que certaines sources affirmaient que le corridor Sud était également fermé à la circulation.
Source : AIP