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Le président de la République française, Emmanuel Macron aura un déjeuner de travail avec son homologue ivoirien, Alassane Ouattara, jeudi, à l’Elysée, annonce l'AIP, citant l’agenda hebdomadaire du président français. La rencontre de travail aura lieu à 13 H (heure française).
C’est la deuxième fois que le président de la République de Côte d’Ivoire sera reçu à l’Elysée par Emmanuel Macron, après la rencontre du 11 juin où les deux chefs d’Etat avaient échangé sur les questions de sécurité, de lutte contre le terrorisme, de développement économique.
Selon des sources, lors de cette seconde visite, les deux chefs d’Etat évoqueront plusieurs questions, notamment les préparatifs du sommet Afrique-Europe qui se tiendra à Abidjan au mois de novembre.
Le Président de la République, Alassane Ouattara, qui est depuis le 11 août en France pour un séjour privé, marque un signal fort pour la reprise des activités gouvernementales prévu la semaine prochaine, indique-t-on.
Depuis que les premiers réseaux mobiles ont été établis en Afrique dans les années 1990, les opérateurs de réseaux mobiles ont connu une croissance exponentielle et comptent désormais parmi les entreprises les plus importantes et les plus rentables du continent. Des opérateurs tels que MTN sont régulièrement classés parmi les 10 entreprises les plus importantes d'Afrique. La contribution du secteur des télécommunications au PIB des pays africains est immense : le Bureau National Nigérien de la Statistique a établi en 2016 la contribution du secteur des télécommunications et de celui des TIC à 10% du PIB total du pays, par ailleurs riche en ressources pétrolifères.
Cependant, alors que les mégatendances technologiques de l'hyperconnectivité, du cloud computing et des appareils connectés remettent en question les modèles commerciaux traditionnels (business models), les opérateurs de réseaux mobiles doivent absolument se réinventer pour ne pas être dépassés. Alors que jusqu'ici les opérateurs pouvaient dégager des marges confortables des services telles que la voix, les données, etc. - une période désormais révolue -, les bouleversements à grande échelle exercent une pression immense sur les entreprises de télécommunications qui doivent réinventer leurs modèles commerciaux pour continuer à répondre aux exigences de leurs consommateurs.
Les services OTT ou « par contournement » ont également contraint les opérateurs de télécommunications à repenser la façon dont ils extraient de la valeur de leur infrastructure réseau étendue. WhatsApp, par exemple, compte plus de 900 millions de membres qui envoient pas moins de 30 milliards de messages par jour gratuitement, contournant ainsi les opérateurs de réseau et érodant leurs revenus traditionnels - voix et texte (SMS). Selon Ovum, les entreprises de télécommunications perdront jusqu'à 386 milliards de dollars entre 2012 et 2018 au seul profit des services de VoIP par contournement. Par ailleurs, alors que certains pays - comme l'Éthiopie - ont interdit les appels et l'envoi de photos via ces services par contournement tels que WhatsApp, les opérateurs intelligents tirent profit de ces mêmes services pour offrir une plus grande personnalisation à leurs clients.
Appareils intelligents, modèles commerciaux plus intelligents
À l'ère où les périphériques intelligents pullulent et où les analyses en temps réel foisonnent, les attentes des consommateurs ont également atteint un niveau record. Cela oblige les entreprises de télécommunications à innover et à développer de nouvelles sources de revenus qui tirent profit de leur vaste infrastructure de réseau.
Les entreprises de télécommunications occupent également une position de choix qui leur permet de capitaliser sur l'IdO : les réseaux intelligents du trafic urbain qui s'appuient sur l'infrastructure des réseaux mobiles pourraient fournir des informations en temps réel sur la gestion de la ville qui peuvent être appliquées pour améliorer l'expérience du citoyen. NTT au Japon, par exemple, conduit actuellement un projet dans le secteur des transports publics qui vise à surveiller les conducteurs fatigués afin de s'assurer qu'ils sont reposés ou remplacés avant un incident.
Prendre une longueur d'avance grâce au Cloud
Selon les prévisions, le trafic du cloud mobile sera multiplié par onze entre 2014 et 2019, ce qui offrira une opportunité sans précédent aux entreprises de télécommunications de tirer parti de leur réseau unique d'infrastructures pour développer et héberger des applications « cloud ».
Par exemple, les opérateurs pourraient mettre en place des nuages (ou clouds) gérés par des entités privées et héberger des solutions ERP pour les entités publiques locales, ce qui leur éviterait de devoir investir - le plus souvent lourdement - dans du personnel, des frais généraux, une main d'œuvre qualifiée, etc.
Grâce à de vastes réseaux, même dans les zones rurales où d'autres formes d'infrastructure de communication peuvent manquer, les entreprises de télécommunications peuvent également jouer un rôle important dans la connectivité dite « du dernier kilomètre » aux écoles, tandis que les agriculteurs peuvent avoir accès à des données météorologiques et commerciales importantes pour améliorer leurs rendements et s'assurer qu'ils obtiennent un rendement optimal pour leur récolte.
Un nouveau mode de vie à l'ère du numérique
Un sondage conduit par le Mobile World Congress a révélé que 50% des entreprises de télécommunications mondiales estiment que la proportion des revenus provenant de nouveaux services se situerait entre 15 et 50%. En Afrique, certaines entreprises de télécommunications ont tiré parti de leur carnet de clients solides pour se positionner au cœur de nouveaux services numériques tels que la sécurité intérieure, le transport, le divertissement et les services financiers.
Safaricom, par exemple, a lancé Little Cab, un concurrent d'Uber conçu pour le marché kenyan. En utilisant l'infrastructure réseau de l'opérateur et en tirant profit de solutions telles que M-PESA, qui offre la possibilité de paiement sans numéraire, Little Cab offre aux plus de 25 millions d'abonnés de l'opérateur kényan une alternative plus économique et personnalisée au transport traditionnel.
Le noyau numérique au service de l'innovation des Telcos
Au cœur des modèles d'entreprises de télécommunications réinventés, il y a un processus continu de transformation numérique. La nécessité d'un noyau numérique qui prenne en charge les analyses en temps réel devient primordiale pour les entreprises de télécommunications dans leur souci permanent d'améliorer l'expérience client, de réagir avec précision et en temps réel aux menaces émergentes et aux nouvelles opportunités, et de moderniser les processus - depuis l'approvisionnement jusqu'à la gestion de la main-d'œuvre et plus encore.
Ces mêmes entreprises doivent pouvoir interagir avec leurs clients sur le canal de leur choix - courriels, réseaux sociaux, téléphone, etc., afin de pouvoir leurs offrir un service personnalisé. Pour ce faire, ces entreprises doivent se doter d'une plate-forme qui intègre tous les canaux et qui offre une vue unique et précise d'un client donné, ce qui leur permettra effectivement d'interagir avec leurs clients à un niveau individuel.
Avec la percée du Big Data et de l'analytique, les entreprises de télécommunications cherchent également à se doter des capacités de comprendre les problèmes en temps réel et de pouvoir y répondre avec la plus grande précision.
Les réseaux établis durant les années 1990 ne pourront tout simplement plus répondre aux demandes toujours plus nombreuses d'aujourd'hui. Dans de nombreux pays, les régulateurs exigent que les entreprises de télécommunications garantissent un taux de disponibilité des services de 99,999%, au risque de devoir payer des amendes. Les Telcos peuvent s'appuyer sur les performances de la plateforme SAP HANA Cloud pour numériser leurs opérations et accélérer le développement et le déploiement des nouvelles innovations destinées à servir les clients.
Les PDGs des entreprises de télécommunications sont aujourd'hui à la croisée des chemins. La grande ruée vers l'or qui a caractérisé l'industrie arrive à son terme. Les services dits « par contournement » exercent une pression sur les revenus, alors que les bouleversements vont se poursuivre voire s'accélérer. Ceux qui aujourd'hui gèrent scrupuleusement leurs opérations et qui optimisent les processus tout en conduisant l'innovation seront les mieux placés pour devenir les fournisseurs numériques préférés des consommateurs et de l'industrie.
Il est temps à présent de créer les nouvelles sources de revenus qui les porteront lors de la prochaine décennie.
Une Tribune signée Mariam Abdullahi, Leader Telco chez SAP Afrique
ABIDJAN, Côte d'Ivoire, 28 août 2017, -/African Media Agency (AMA)/- Depuis que les premiers réseaux mobiles ont été établis en Afrique dans les années 1990, les opérateurs de réseaux mobiles ont connu une croissance exponentielle et comptent désormais parmi les entreprises les plus importantes et les plus rentables du continent. Des opérateurs tels que MTN sont régulièrement classés parmi les 10 entreprises les plus importantes d'Afrique. La contribution du secteur des télécommunications au PIB des pays africains est immense : le Bureau National Nigérien de la Statistique a établi en 2016 la contribution du secteur des télécommunications et de celui des TIC à 10% du PIB total du pays, par ailleurs riche en ressources pétrolifères. |
Arnaque ou malchance ? Une cinquantaine de candidats ivoiriens au Hadj 2017 et leurs parents ont bruyamment manifesté ce vendredi 25 août 2017 à Abidjan, où ils avaient occupé dans la matinée une partie du boulevard Valerie Giscard d’Estaing (VGE) au niveau de la commune de Treichville.
La Fondation « African initiative women » (AWI) organise du 29 au 30 août à l’hôtel Sofitel d’Abidjan-Cocody, un forum sur les enjeux de l’autonomisation économique de la femme dans le développement communautaire en Côte d’Ivoire, a annoncé, mercredi, sa présidente-fondatrice, Fofana Fadiga Mariam, au cours d’une conférence de presse rapportée par l'AIP.
Selon Mme Fadiga, ces assises sont organisées en vue de créer un cadre de rencontre, d’échanges et d’informations entre les femmes de la chaine agricole et structures d’appui en vue d’apporter des solutions à la questions de l’autonomisation de la femme et son impact dans le développement communautaire.
« La fondation AWI, plateforme de coordination entre les femmes de la chaîne agricole et les structures d’appui veut contribuer à rendre les femmes autonomes et les impliquer dans le développement communautaire », a-t-elle précisé.
Plusieurs ateliers seront au programme de cet atelier organisé en partenariat avec le Programme national de développement communautaire (PNDC). Des thèmes relatifs à la contribution des femmes autonomes dans le développement communautaires, le renforcement de l’entreprenariat féminin et l’accès au financement, la production, la transformation, la commercialisation et les nouvelles opportunités de marchés seront traités par plusieurs experts.
Des rencontres d’affaires (B to B) sont également prévues à ces rencontres qui entendent réunir plus de 300 femmes du secteur agroalimentaire. De même que des structures d’appui, des partenaires au développement, des organisations professionnelles agricoles, etc.
La fondation AWI a été portée sur les fonts baptismaux le 26 février 2016 et a pour mission principale d’accompagner les femmes afin de leur offrir l’opportunité d’être autonomes et de contribuer au développement de leur famille et de leur milieu social.
L’expert marocain, Dr Hicham El Moussaoui a affirmé mercredi à Abidjan, lors de l’atelier ayant pour thème « l’exclusion économique : terreau fertile à l’extrémisme violent», que 40 % de jeunes recrutés par les groupes extrémistes sont motivés par le manque d’emploi.
« 40% de jeunes recrutés dans le monde sont motivés par le manque d’emploi. Sur 75 millions de jeunes chômeurs dans le monde, 38 millions sont en Afrique et sur 200 millions de jeunes africains, 53 millions sont en situation d’emploi précaire », a-t-il relevé, cité par l'AIP. Il a souligné que cette situation constitue « une bombe à retardement » qui fragilise l’Afrique et l’expose aux groupes extrémistes.
Comme solution aux chômage des jeunes enclins à se laisser duper par les extrémistes, il appelle les États africains à « changer de stratégie de croissance » en tenant compte de la « loi de débouchés » prônée par l’économiste Français Jean- Baptiste Say qui souligne entre autres que l’offre crée sa propre demande, que la stimulation de l’offre passe par le développement de la compétitivité et de la productivité et qu’il faut cibler en priorité les secteurs à fort contenu en emplois comme l’agriculture et l’industrie manufacturière.
Dr Hicham s’est appesanti également sur la nécessité d’une nouvelle approche concernant la notion de développement inclusif. « L’inclusion implique une approche du développement par le bas et le développement par le bas passe par la réhabilitation de l’esprit d’entrepreneuriat », a -t-il affirmé à l’endroit de la trentaine de jeunes participant à cet atelier.
Cette rencontre s’est tenue dans le cadre d’un séminaire de trois jours qui prend fin ce jeudi. Il a pour thème central « La liberté : antidote à l’extrémisme violent ». C’est une occasion pour les organisateurs d’échanger avec les participants sur les meilleurs moyens de prévention face à l’extrémisme violent.
Pour le Dr Hicham El Moussaoui, conférencier, du projet Libre Afrique, il s’agit de doter les jeunes d’outils appropriés pour devenir non seulement une force de résistance et d’orientation auprès de leurs proches, mais également une force de proposition auprès des décideurs.
La commission nationale du mécanisme africain d’évaluation par les pairs (CN-MAEP) a initié à Abidjan, un forum citoyen axé sur la gouvernance en Côte d’Ivoire, dédié aux partis et groupements politiques, créant ainsi un cadre de concertation des partis politiques sur la question, annonce l'AIP.
Les partis membres du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition au pouvoir) sont « condamnés » à s’unir autour d’un seul candidat à l’élection présidentielle de 2020, pour espérer rester au pouvoir encore plus longtemps, a estimé, samedi à Abidjan, le secrétaire général par intérim du Rassemblement des républicains (RDR, parti présidentiel), Amadou Soumahoro.
« A tous les partis membres du RHDP, aux héritiers d’Houphouët-Boigny, nous sommes condamnés à vivre ensemble ; (…) et nous travaillerons afin que toutes ces clameurs se taisent, de sorte qu’en 2020, nous allons nous asseoir, et nous allons discuter, nous allons tomber d’accord pour suivre le choix d’un d’entre les enfants d’Houphouët », a notamment déclaré M. Soumahoro, lors d’un meeting des femmes du RDR au Palais de la culture de Treichville.
Cette déclaration intervient dans un contexte de malaise apparent au sein de la majorité, entretenu par les ambitions parfois contradictoires des différents partis membres concernant la présidentielle de 2020.
Pour Amadou Soumahoro, celui qui sera choisi par le RHDP en 2020 « gouvernera pendant cinq ans ». « Et après les cinq ans, nous allons encore nous asseoir, et nous allons encore discuter, on choisira un autre d’entre les houphouétistes, qui va gouverner (pendant) cinq ans », a-t-il insisté, face à des milliers de militantes du RDR en liesse, et des représentantes de structures féminines des autres partis membres du RHDP.
Le SG du RDR a invité les militants du RHDP « à faire confiance aux présidents Alassane Ouattara (chef de l’Etat) et au président Henri Konan Bédié (président du PDCI-RDA) ». « Si les enfants d’Houphouët continuent de rester ensemble, la main dans la main, nous resterons à la tête de ce pays pendant des décennies et des décennies », a-t-il soutenu, cité par l'AIP.
Lors de ce meeting organisé en prélude au prochain Congrès du RDR prévu du 9 au 10 septembre, a également été un cadre de sensibilisation et de mobilisation des militantes du parti pour une participation massive à ce rassemblement qui, selon son président du comité d’organisation, Adama Bictogo, et la ministre Kandia Camara, va sonner l’avènement d’un « RDR Nouveau ».
Le RHDP compte 5 partis à savoir le RDR, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI-RDA), l’Union pour la démocratie et la paix en développement en Côte d’Ivoire (UDPCI), l’Union pour la Côte d’Ivoire (UPCI) et le Mouvement des Forces d’avenir (MFA), ainsi qu’un parti observateur, le PIT (Parti ivoirien des travailleurs.
Dans une interview accordée à Jeune Afrique, Ahmad Ahmad (Président de la CAF), s’est prononcé sur les futures CAN dans les pays déjà retenus pour l’organisation de cette compétition. Il a été très catégorique sur l’existence des infrastructures sportives et hôtelières devant accueillir cette compétition continentale.
"Je serai intransigeant avec le Cameroun comme je le serai avec la Côte d’Ivoire et la Guinée pour les CAN de 2021 et de 2023. On ne peut plus se permettre d’organiser des Coupes d’Afrique là où les terrains sont en mauvais état, où les services médicaux sont insuffisants, où les hôtels ne correspondent pas au standing des joueurs… “, a laissé entendre Ahmad Ahmad.
“Si tel ou tel État n’est pas à même d’accueillir une phase finale, on procédera à un nouvel appel d’offres”, a prévenu le Président de la CAF.
Et d’annoncer” Des missions seront menées par un cabinet d’audit dans les pays organisateurs, avec des spécialistes assistés de techniciens de la CAF. Cela évitera les influences politiques extérieures."
Daniel Coulibaly
Dans une note, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte-d’Ivoire fait part d’une mission de prospection internationale aux USA en Géorgie, du 06 au 11 novembre 2017, à l’occasion de la tenue de Atlanta Socio - Economic Development Exchange (ASEDE 2017).
Cette mission a pour but d’offrir une plateforme d’échanges entre les entreprises Ivoiriennes et Américaines des différents secteurs. « Elle vous permettra de rencontrer des partenaires, mais aussi d’explorer de nouveaux axes de collaboration », ajoute la note.
Vous exercez dans le secteur de la l’agriculture, de l’agroalimentaire, des BTP, des infrastructures, de l’énergie solaire et des TIC, cette mission est la vôtre.
Pour toute information complémentaire, veuillez-vous adresser aux contacts suivants :
Mme DAINHI Catherine
DAEPSP | Chargée du Développement International
Tel : (225) 20 33 16 00 poste 822 | 07 88 80 82
Email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Daniel Coulibaly
Les résultats des orientations en classe de seconde sont disponibles.
Ils peuvent être consultés le site internet de la direction des orientation et de bourses du ministère de l'Education. Suivez les liens ci-dessous pour les consulter:
- RESULTATS AFFECTATIONS/ORIENTATIONS EN 2nde ENSEIGNEMENT GENERAL TECHNIQUE ET PROFESSIONNEL 2017
Le Portail du Ministère de l’Education Nationale est assez lent en ce moment du au nombres de visites. Si vous n' arrivez pas a y accéder, réessayez.
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