Lorem Ipsum is simply dummy text of the printing and typesetting industry. Lorem Ipsum has been....
Le démarrage des travaux lourds du Métro d’Abidjan, devant relier la ville d’Ayama au nord d’Abidjan à celle de Port-Bouët dans le sud de la capitale économique ivoirienne, est prévu en « novembre » 2017, annonce l’Agence de presse africaine (APA), citant « une source proche du dossier ».
Suite au bouclage du financement, le chef de l’État ivoirien Alassane Ouattara, a pris un décret portant libération des emprises de la première ligne du métro d’Abidjan. Et ce, en prévision de la construction de ce train urbain.
Selon un récent décret, le démarrage des travaux lourds est prévu en « novembre » 2017, a indiqué cette source. Le projet devrait permettre de transporter quelque 300.000 citadins par jour sur une distance de 37,9 km d’Anyama vers Port-Bouët, une cité balnéaire.
Le financement du Métro d’Abidjan a été bouclé grâce à un appui de la France. Le coût de cette ligne ferroviaire est de 1,4 milliard d’euros soit 918,33 milliards Fcfa. Dans le cadre de l’exécution du projet, le Premier ministre ivoirien avait reçu une mission interministérielle française les 12 et 13 juillet, à Abidjan.
La France a accordé à l’Etat de Côte d’Ivoire 1.394 milliards de Fcfa sur la période 2017-2020. Sur cet appui financier, un peu plus des deux tiers, soit 918,33 milliards Fcfa devraient permettre de couvrir l’engagement total pour cette infrastructure ferroviaire.
La mise en oeuvre du premier tronçon du train urbain de la mégalopole ivoirienne a été plusieurs fois reportée pour défaut de financement. Cette question était au centre d’un désaccord entre le consortium Star (Société abidjanaise de transport sur rail) et l’Etat ivoirien.
Le projet a été discuté entre le chef de l’État ivoirien Alassane Ouattara et son homologue français le 11 juin dernier à l’Élysée. Le financement du métro d’Abidjan est l’un des premiers actes forts de coopération entre Paris et Abidjan depuis l’élection de Macron à la présidence française.
Le Métro d’Abidjan est un réseau ferroviaire de transport urbain qui desservira l’agglomération d’Abidjan comprenant quelque 5 millions d’habitants. Son entrée en service est prévue en 2019.
C’est un fait insolite. Des prisonniers qui devraient comparaître devant le juge au tribunal d’Abidjan-Plateau ont réussi à prendre la poudre d’escampette, ce mardi 8 août 2017, avec l’aide d’individus armés.
Jusque-là, c’était dans les prisons qu’on attendait parler d’évasion de prisonniers, mais ce qui vient de se produire au tribunal d’Abidjan au Plateau, centre d’affaires du pays, ce mardi 8 août est inquiétant. Selon nos informations, c’est autour de 11h 30 mn que les faits se sont produits. Les prisonniers qui attendaient d’être jugés ont pu s’échapper avec la complicité d’individus armés sortis de nulle part pour tenir en respect les forces de l’ordre commis à la surveillance de ces derniers.
«Les forces de l'ordre se sont déployées pour mettre la main sur les fugitifs le plus rapidement possible, a indiqué une source rapportée par fratmatinfo. Une action qui n'a rien apporté. " Cette évasion de prisonniers en pleine justice a été possible avec la complicité de personnes venues de l'extérieur ", a jouté la même source au confrère en ligne.
Selon les sources du confrère Afrikipresse, un homme armé « a tenu en respect les policiers chargés de la sécurité des lieux, qu'il semblait bien connaître », avant de libérer au moins trois détenus; et les autres ont profité. « Un véhicule 4X4 neuf attendait. Ils s'y sont engouffrés et sont partis", a confié un témoin de la scène au journal en ligne.
Le Procureur de la République, souligne le confrère, s'est aussitôt rendu au Ministère de la justice, pour rendre compte à la hiérarchie. Un peu plus tard, après les faits un important dispositif sécuritaire a été déployé aux environs du Palais du Justice pour un ratissage qui va s’étendre à toute la ville d’Abidjan. L'identification des personnes "évadées", devrait pouvoir se faire aisément, en examinant la liste des sorties du jour à la prison civile d'Abidjan, rassure une source sécuritaire qui s’est confiée à Afrikipresse.
Rappelons que le 6 août dernier, 3 prisonniers se sont évadés de la prison civile de Gagnoa qui sont encore dans la nature.
Daniel Coulibaly
A l’occasion de la célébration des 57 ans d’indépendance de la Côte d’Ivoire, le Président chinois, Xi Jinping, a adressé un message à son homologue ivoirien Alassane Ouattara, depuis la Chine, le 6 août 2017.
« À l’occasion du 57ème anniversaire de l’indépendance de la République de Côte d’Ivoire, je tiens à exprimer au nom du Gouvernement de la République Populaire de Chine et du Peuple chinois ainsi qu’en mon nom propre, les chaleureuses félicitations et les meilleurs vœux, à Votre Excellence, et à travers Vous, aux Gouvernement et Peuple amis de la Côte d’Ivoire », indique le président chinois dans son message.
Depuis ces dernières années, relève-t-il, les relations sino-ivoiriennes s’avancent à un bon rythme, la coopération dans tous les domaines s’avère fructueuse. « J’attache beaucoup d’importance aux relations sino-ivoiriennes et entends travailler ensemble avec Vous, en promouvant la mise en œuvre des acquis du Sommet de Johannesburg du Forum de Coopération Chine-Afrique, afin d’approfondir et d’élargir la coopération amicale et mutuellement bénéfique entre nos deux pays », soutient Xi Jinping. Et de conclure : Je forme les vœux de prospérité pour la République de Côte d’Ivoire et de bonheur pour son Peuple ».
Daniel Coulibaly
L’Ambassade des Etats-Unis en Côte d’Ivoire recherche de jeunes filles(élèves et étudiantes) pour un camp gratuit sur la Science, la Technologie, l’Ingénierie et les Mathématiques dénommé « STEM Camp » du 21 au 24 août 2017, à ’Université Internationale de Grand-Bassam (IUGB), indique un communiqué de presse dont nous avons reçu copie, précisant qu’il est ouvert uniquement aux jeunes élèves et étudiantes âgées de 15 à 23 ans ayant obtenu d’excellentes moyennes dans les matières scientifiques.
Le communiqué explique que le « STEM Camp » a pour objectif principal d’offrir à ces filles des choix professionnels afin de susciter en elles un engouement pour les carrières scientifiques et technologiques. A travers ce camp, poursuit-il, l’Ambassade des Etats-Unis souhaiterait également aider à créer au sein des établissements scolaires des clubs STEM pour encourager les jeunes filles à opter pour des carrières scientifiques et technologiques.
Les candidates à ce camp seront sélectionnées après une séance de rédaction d’une dissertation qui aura lieu le jeudi 10 août 2017 à 09h00 dans les centres suivants :
Les candidates à ce camp sont invitées à s’inscrire en appelant au 22-49-40-55 / 22-49-42-49, ou en envoyant un courrier électronique au Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser., ou en appelant aux numéros de téléphone des différents centres ci-dessus mentionnés. Chaque candidate, souligne le communiqué, doit se présenter avec ses bulletins de fin d’année ou des relevés de notes universitaires.
Daniel Coulibaly
Le président ivoirien Alassane Ouattara a indiqué au cours d’une adresse à la nation sur la télévision nationale (RT1), la veille de la célébration du 57 anniversaire du pays, que 232 milliards Fcfa ont été payés à 3.900 entreprises dans le cadre du règlement de la dette intérieure.
«L’Etat vient de payer les arriérés de la dette intérieure au profit de 3.900 entreprises pour un montant de 232 milliards de Fcfa », a confié Alassane Ouattara dans son discours, ajoutant qu’il va permettre de « relancer l’investissement et la consommation ».
Le Premier ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly avait avancé le 6 juillet dernier le décaissement de la somme de 232 milliards FCFA pour régler la dette intérieure, au cours d’une rencontre avec des chefs d’entreprises, précisant que selon les principes le paiement allait commencer par les créances les plus anciennes.
A ce jour, le stock global de la dette ivoirienne atteignait « 48,5% du PIB, très inférieur à la norme de 70% de l’Uemoa », selon un rapport de la Banque mondiale sur la situation économique de la Côte d’Ivoire publié en juillet 2017.
Daniel Coulibaly
La Côte d’Ivoire compte plus de deux millions d’enfants et adolescents handicapés de 6 à 16 ans non scolarisés, indiquent les résultats préliminaires d’une étude sur les enfants et adolescents en situation de handicap hors du système scolaire, menée par l’Ecole nationale supérieure de statistique et d’économie appliquée (ENSEA) d’Abidjan.
Lors de la restitution des travaux, mercredi, à Abidjan, le directeur de l’ENSEA, Sika Lazare, a pointé pour principales raisons, les préjugés culturels, les railleries et moqueries, le pessimisme sur leurs capacités intellectuelles, l’inadaptation des bâtiments, la mauvaise formation des enseignants, le choix des parents de les cacher ou encore le difficile démarrage de la politique « d’école inclusive ».
Selon la même étude, cette situation touche 32,66 millions d’enfants handicapés en Afrique subsaharienne.
Aussi, une « Journée de réflexion et de promotion de l’éducation inclusive », a-t-elle été organisée dans les locaux du Centre national des matériels scolaires d’Abidjan-Cocody, pour faire le point de l’expérience pilote de la stratégie de mise en œuvre d’écoles pilotes supervisée par la Direction des écoles, lycées et collèges (DELC), en présence des ministres Mariatou Koné et Kandia Camara.
Selon le directeur de la DELC, Méa Kouadio, il ressort principalement de cette étude que les 12 élèves de la première promotion de sourds intégrés, en 2013, à des classes ordinaires en dehors des institutions spécialisées (école des sourds muets de Yopougon), ont présenté avec succès l’examen d’entrée en 6èmeavec des totaux de 116 à 141 points sur 200.
Ils seront tous affectés au collège moderne d’Adokoi (Abobo) où une cellule technique est prête à les accueillir. Leur nombre est passé à 80 dont 30 filles, dans cinq directions régionales d’Abidjan, Bouaké et Yamoussoukro avec 36 enseignants formés au langage des signes. La deuxième phase de l’expérience s’étendra aux non ou mal voyants.
Christine de Brui, représentante adjoint de l’UNICEF, qui a financé le projet, a salué les efforts du gouvernement et réaffirmé le soutien de son institution pour « tous les droits à l’école de tous les enfants partout en Côte d’Ivoire ».
La ministre de la Solidarité, de la Femme et de la Protection de l’enfant, Pr Mariatou Koné a souligné que « le handicap ne doit pas être un handicap à l’accès à l’école, un handicap à l’émergence ». « Oui à l’école obligatoire pour TOUS. Ensemble et non côte à côte pour l’égalité des chances », a-t-elle lancé.
Son homologue de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kandia Camara, a salué la qualité des résultats obtenus par cette phase expérimentale, qui prouve la faisabilité de cette politique d’école inclusive et la « bonne exécution de ce projet structurant », dans le cadre de l’opérationnalisation de la Politique de scolarisation obligatoire des enfants de 6 à 16 ans lancée en 2015.
« Bravo aux enfants. Je suis fière de vous tous. Vous nous donnez envie de nous investir davantage grâce à vos résultats », les a-t-elle encouragés avant de leur remettre des kits (tablettes dotées de systèmes braille pour les non voyants et dictionnaire, deux manuels et appareil auditif du président de la République aux malentendants)
AIP
Le gouvernement a décidé par décret de soumettre à la vérification, la masse brute connue sous l’expression anglaise de Verified Gross Mass (VGM), avant l’embarquement des conteneurs à l’exportation.
Cette mesure, prise mercredi, traduit la volonté des autorités ivoiriennes d’œuvrer de concert avec les autres états, à la sécurité et à la sûreté du trafic maritime, de sorte à éviter les naufrages et les pertes en vies humaines liées à la surcharge ou au mauvais chargement des navires.
La mesure gouvernementale définit les règles de vérification de la Masse Brute Vérifiée des conteneurs emportés destinés à l’exportation, avant embarquement au départ de la Côte d’Ivoire, à bord des navires soumis aux règles de la convention SOLAS sur la sauvegarde de la vie humaine en mer et de ses textes modificatifs, précise le communiqué du conseil des ministres.
Les points de divergence et les accords nécessaires ont été levés pour l’octroi à la Côte d’Ivoire de la somme de 314,8 milliards, dans le cadre du Programme compact Côte d’Ivoire du Millenium Challenge Corporation (MCC).
« Le séjour du secrétaire général de la présidence, Achi Patrick à Washington DC du 24 au 28 juillet dernier a permis de finaliser les négociations sur cet accord avec le MCC », salue le communiqué du conseil des ministres, mercredi.
Cette rencontre de haut niveau a permis, notamment, « de lever les points de divergence et d’obtenir ainsi les accords nécessaires sur les engagements du gouvernement et les conditions préalables à la mise à disposition du don correspondant », précise le communiqué du conseil des ministres.
Le premier volet de ce don porte sur l’employabilité des jeunes et la productivité des entreprises en améliorant la qualité, l’offre et l’accès aux compétences techniques et de base, en réponse à la demande du secteur privé. Le second volet de cet apport financier vise les transports dans la ville d’Abidjan, pour l’amélioration de la fluidité du trafic et le décongestionnement du corridor central de la ville reliant son port aux zones Nord, Est et Ouest du pays.
« Au regard des efforts importants déployés par le gouvernement en vue d’améliorer l’environnement des affaires dans notre pays, le Comité de gestion des investissements du MCC à Washington, a décidé en juin 2017, d’octroyer à la Côte d’Ivoire la somme de 527,7 millions de dollars US, soit environ 314,8 milliards de francs CFA pour le financement de deux (2) projets dans le cadre du programme compact », a rappelé le communiqué.
Une mission de haut niveau du MCC avait effectuée, à cet effet, à Abidjan en les 28 et 29 juin, rappelle-t-on.
Le gouvernement a adopté une communication relative à l’accès à l’eau potable à coût abordable pour tous dans le cadre de la lutte contre la vie chère, rapporte l'AIP.
D’un coût total de 1320 milliards de francs CFA, le programme « Eau pour tous » pour permettre à environ 95% de la population ivoirienne d’ avoir accès à l’eau potable à coût abordable d’ici à 2020, annonce le porte-parole du gouvernement dans le communiqué final du conseil des ministres tenu mercredi 2 août 2017 sous la présidence du chef de l’Etat, Alassane Ouattara.
Inscrit dans le plan d’actions prioritaires (PAP) 2017-2020, ce programme s’exécutera en deux phases, respectivement de 200 milliards de francs CFA de 1 120 milliards de francs CFA et permettra de résorber les déficits de production d’eau potable partout en Côte d’Ivoire et de corriger les dysfonctionnements des réseaux de distribution.
A ce jour, le taux d’accès à l’eau potable de la population en Côte d’Ivoire est à environ 70%, signale-t-on.
Le gouvernement a identifié des projets structurants pour faire face à cette situation qui crée d’énormes désagréments aux ivoiriens, surtout en période saison sèche.
« Le Conseil a instruit le ministre des Infrastructures économiques et l’ensemble des ministres concernés à l’effet de prendre les mesures nécessaires pour la mise en oeuvre diligente de ce programme », conclut le communiqué du porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné.
L’Ong internationale, Save The Children a lancé, mercredi, à Odienné, un projet de prise en charge intégré des maladies du nouveau-né et de l’enfant en milieu communautaire d’une valeur de 600 millions de FCFA financé par glaxosmithkline (GSK) pour réduire la mortalité infantile dans la région du Kabadougou.
Le projet vise à améliorer l’accès aux services et également à assurer un service de qualité. Il va engager les leaders communautaires dont 60 groupements de femmes et 79b agents de santé communautaire dans la sensibilisation des populations pour un bon suivi de la santé des enfants de 0 à 5 ans. Il va soutenir directement 47 483 personnes dont 10 552 enfants de moins de cinq ans
Les responsables de la santé, et le sous-préfet d’Odienné, Zagou Serge Rodrigue, ont salué l’avènement du projet qui va, selon eux, renforcer la gratuité des soins lancée par le gouvernement ivoirien pour réduire la mortalité infantile.
Depuis 2015, Save the Children Côte d’Ivoire a bénéficié d’un fonds de glaxosmithkline (GSK) pour la prise en charge de 22 408 enfants de moins de 5 ans et de 4695 femmes enceintes à Kouibly. Pour ce projet d’Odienné, GSK a mis ce fonds de 600 millions de FCFA à la disposition de l’ong internationale pour une durée de 3 ans (2017-2020), rappelle-t-on.
AIP