Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Radiothérapie

Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, a procédé, ce lundi 18 décembre 2017, à l’inauguration d’un centre de radiothérapie et d’oncologie. Cet établissement spécialisé dans le traitement du cancer, situé au CHU de Cocody (Abidjan-est), est également le premier du genre dans le pays.

Alassane Ouattara a à cette occasion rassuré les malades du cancer, sur la capacité opérationnelle du premier centre national de radiothérapie, à les prendre en charge avec rapidité et efficacité.

"La construction de ce bel ouvrage est une fierté pour la Côte d’Ivoire et pour tous les Ivoiriens. Ce centre permettra aux populations vivant en Côte d’Ivoire et à celles de la sous-région, l’accès aux thérapies de haut niveau et aux technologies développées pour le traitement et la prise en charge des patients atteints de cancer", a déclaré M. Ouattara.

 « Faites-vous dépister pour une prise en charge rapide et efficace », a-t-il déclaré à l’endroit des malades du cancer.

« Vous pouvez vous soigner ici au pays, la Côte d’Ivoire » , a réitéré le chef de l’Etat, le chef de l’Etat, cité par l’AIP, rappelant les difficultés rencontrées, par les malades, obligés de quitter le pays, pour pouvoir bénéficier de soins afférents.

Une situation qui vient juguler le centre national de radiothérapie, le premier du genre en Côte d’Ivoire, qui permettra aux populations l’accès aux thérapies de haut niveau et aux technologies développées pour le traitement et la prise en charge des patients atteints de cancers, a insisté le chef de l’Etat ivoirien.

Fiche technique

Bâti sur une superficie de 11 500 m2, cet édifice sanitaire a coûté la bagatelle de 13,614 milliards de francs CFA, et travaillera à la sensibilisation, la prévention, le dépistage et les soins, ainsi que, l’accompagnement des patients pour une réinsertion totale.

Il compte, en son sein, des services d’oncologie, de radiothérapie, d’oncologie médicale, un laboratoire, une pharmacie avec des équipements de pointe, composés de deux accélérateurs linéaires des particules, un scanner de simulation, un appareil de curiethérapie et un détecteur de radioactivité, entre autres.

Premier centre de médecine nucléaire en 2018

La ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie  a quant à elle annoncé l’ouverture du premier centre de médecine nucléaire au premier semestre de l’année 2018.

Selon elle, les équipements sont en phase d’essai et le gouvernement n’attend que la validation de l’agence internationale de l’énergie atomique  pour procéder à son inauguration.

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Fabrice Sawegnon, PDG de Life TV, l’un des quatre groupes autorisés à exploiter un service de télévision privée commerciale en Côte d’Ivoire dans le cadre de la libéralisation de l’espace télévisuel dans le pays, a signé avec le président du directoire du groupe M6, Nicolas De Tavernost, un partenariat stratégique à travers la prise de participation capitalistique du Groupe M6 dans le capital de Life TV.

Selon un communiqué transmis à l’AIP lundi, l’accord entre les deux hommes d’affaire a été conclu le 14 décembre.

« Ce partenariat permettra à Life TV de bénéficier de la grande expertise de son partenaire stratégique, le Groupe M6, en matière de diffusion télévisuelle et d’accélérer le développement de la production et de la valorisation des contenus ivoiriens », explique le communiqué.

« Il s’inscrit également dans la mise en capacité de l’écosystème audiovisuel ivoirien avec la construction d’une plateforme de production intégrant un studio moderne de 1.000 m2 », poursuit le même document.

Life TV qui entend jouer une part importante dans l’avenir télévisuel de la Côte d’Ivoire et de la région Afrique francophone,  « travaillera à l’éclosion de talents africains », fait-on savoir.

Fabrice Sawegnon, également fondateur du groupe Voodoo, leader du secteur de la communication publicitaire en Côte d’Ivoire, « marque ainsi son ambition de faire de Life TV, l’acteur  le plus marquant et le plus engagé dans la révolution audiovisuelle, industrielle et culturelle en cours » dans le pays, note également le communiqué.

Le Groupe M6, acteur majeur des médias en Europe, coté sur Euronext Paris, contrôle plusieurs chaines TNT nationales, dont la chaîne de télévision gratuite en France, M6. L’actionnaire de référence du Groupe M6 est RTL Group, majoritairement détenu par le Groupe Bertelsman, leader européen du secteur des médias.

En plus de Life TV, les autres groupes privés autorisés à exercer dans le secteur audiovisuel en Côte d’Ivoire sont Optimum Media Ci, Société audiovisuelle de Côte d’Ivoire et SORANO-CI.

AIP

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 Les chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ont attribué le poste de président de la Commission de l’organisation à la Côte d’Ivoire à l’issue de leur 52ème session ordinaire tenue samedi à Abuja, au Nigéria.

Ils ont approuvé la nomination de l’actuel ministre ivoirien de l’Industrie et des Mines, Jean Claude Brou, en qualité de président de la Commission pour un mandat de quatre ans à compter du 1er mars 2018.

Concernant l’attribution des autres postes statutaires aux Etats membres, ils ont invité le président sortant de la Commission, Marcel de Souza, à travailler dès à présent avec son successeur pour faciliter la prise de fonction des nouveaux fonctionnaires statutaires.

Toujours au plan organisationnel, ils ont réitéré la nécessité d’opérer les réformes structurelles et institutionnelles devant permettre à la CEDEAO d’être plus efficace et plus efficiente.

Par rapport aux questions relatives à la paix, à la sécurité et à la démocratie dans l’espace communautaire, la rencontre d’Abuja a réaffirmé leur importance pour le développement économique durable de la région.

Seul le chef de l’Etat gambien, Adama Barrow, n’a pas pris part à ce sommet. Il a été représenté par sa Vice-présidente, Fatumatta Jallow-Tambajang.

Quant au prochain sommet, il se tiendra en juin 2018 à Lomé, au Togo, énonce un communiqué de presse de la Commission de la CEDEAO transmis dimanche à l’AIP.

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Initialement prévue pour être prononcée lors du Sommet de la CEDEAO qui s’ouvre ce samedi 16 décembre 2017 à Abuja (Nigéria), la décision d’intégration du royaume du Maroc au sein de l’organisation régionale d’Afrique de l’Ouest, sera désormais tranchée en janvier 2018.

Le dossier de l’adhésion du Maroc a été retiré de l’ordre du jour de cette réunion. Mais pas écarté, puisqu’il s’agira pour cette fois d’analyser les résultats de l’étude d’impact à cette adhésion, commanditée par l’organisation.  

« Seuls les résultats de l’étude d’impact permettront de aux chefs d’Etats de prendre la décision finale. Sinon, le principe de cette adhésion est déjà acquis. Il s’agit juste de procédure », explique à La Diplomatique d’Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net ), une source proche du dossier.

Réticence

Il ressort, selon des indiscrétions que certains Etat comme le Nigéria craignent pour une baisse de leur influence dans la région avec l’entrée du royaume chérifien. De même, des cercles d’affaires, notamment au Ghana, au Nigéria, au Sénégal ou même en Côte d’Ivoire, seraient inquiètes de devoir affronter sur le même marché, des produits marocains de meilleure qualité et à moindre coût.

« Mais il ne s’agit pas de résistance politique », clarifie notre source. « Au niveau de nos dirigeants, il n’y a aucune résistance. Il y a juste lieu de tenir compte de certaines réalités à l’intérieur des pays. Attendons donc janvier ».

Pourtant, des produits chinois, indiens, européens, américains, etc. sont partout présents sur les marchés africains, surtout ouest-africains sans que cela ne suscite autant de grincement de dents.

 Algérie et Sahara marocain

Autre grief, les relations difficiles entre le Maroc et son voisin l’Algérie, sur fond de différend autour du Sahara Marocain ou Sahara occidental. Un territoire faisant partie intégrante du Maroc, mais des ressortissants, soutenus par l’Algérie, réclament leur autonomie.

Pour certains gouvernements d’Afrique de l’Ouest qui entretiennent aussi bien de bonnes relations avec l’Algérie, ce conflit aux récurrents rebondissements et aux multiples crises diplomatiques entre les « frères maghrébins » n’est pas de nature à favoriser les choses.

Car, intégrer le Maroc, serait synonyme de reconnaitre dans la totalité de son intégrité territoriale (y compris la partie litigieuse du Sahara marocain toujours revendiquée par le Front Polisario). Une position que ne partagent pas vraiment tous les pays d’Afrique de l’Ouest, même s’il faut reconnaitre que la quasi-totalité de la région, dont la Côte d’Ivoire, soutiennent la position marocaine sur le dossier sahraoui.   

Pour les partisans d’une entrée du Maroc dans la CEDEAO, cette adhésion permettra à sa sous-région d’être économiquement beaucoup plus compétitive. Le royaume chérifien étant déjà présent sur les marchés ouest africains avec de nombreuses entreprises dans divers secteurs, contribuant considérablement à renforcer la croissance dans ces pays.

Armand Tanoh

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L’UNICEF veut que les gouvernements et le secteur privé s’adaptent au rythme des changements pour ne pas exposer les enfants aux nouveaux risques et dangers des incidents d’Internet et des réseaux sociaux, rapporte son rapport annuel portant sur la situation des enfants dans le monde en 2017, transmis jeudi à l’AIP.

« Qu’elle soit utilisée à bon ou à mauvais escient, la technologie numérique fait désormais partie intégrante de nos vies, et ce, de manière irréversible. Dans un monde numérique, notre double défi est d’atténuer les effets nocifs et d’optimiser les avantages d’Internet pour chaque enfant », a déclaré le directeur général de l’UNICEF Anthony Lake.

Le rapport souligne, par ailleurs, qu’ « Internet accroît la vulnérabilité des enfants aux risques et dangers : utilisation de leurs informations personnelles à mauvais escient, accès à des contenus nuisibles et intimidation en ligne, notamment. Car, avec l’omniprésence des dispositifs mobiles, l’accès à Internet de nombreux enfants est moins surveillé et potentiellement plus dangereux ».

C’est pourquoi le Fonds des Nations unies pour l’enfance est une agence de l’Organisation des Nations unies consacrée à l’amélioration et à la promotion de la condition des enfants,  recommande aux autorités gouvernementales de promouvoir l’habileté numérique pour permettre aux enfants de s’informer et de se connecter en toute sécurité tout en protégeant  la vie privée et l’identité des enfants en ligne.

« Conçu pour les adultes, Internet est de plus en plus utilisé par les enfants et les jeunes  et la technologie numérique affecte de plus en plus leur vie et leur avenir. Les politiques, pratiques et produits numériques devraient, de ce fait, davantage tenir compte des besoins des enfants, de leurs points de vue et de leur voix », a estimé le directeur général de l’UNICEF, Anthony Lake.

L’UNICEF a commencé sa mission en 1946 pour venir en aide aux enfants après la seconde Guerre mondiale. Son mandat fut rapidement élargi et il a commencé à aider les enfants dont les vies étaient menacées dans les pays en développement. Près de 60 années plus tard, l’UNICEF emploie plus de 7 000 personnes dans 157 pays et territoires du monde entier. Neuf membres du personnel sur 10 travaillent avec les gouvernements locaux et nationaux et d’autres partenaires, partout dans le monde.

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Les questions institutionnelles, la situation politique et sécuritaire en Guinée-Bissau, l’attribution des postes statutaires à la CEDEAO, le statut d’observateur de la Tunisie, l’accord d’association de l’organisation régionale avec la Mauritanie et l’adhésion du Maroc à l’espace communautaire sont les principaux sujets à aborder à la 52ème session ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) prévue samedi à Abuja, au Nigeria.

En juin 2017, à Monrovia, au Liberia, lors de leur 51ème session ordinaire, les leaders ouest-africains avaient donné leur accord de principe pour l’adhésion du Maroc à la Communauté, tout en demandant à la Commission d’examiner les implications d’une telle adhésion conformément aux dispositions du Traité Révisé de la CEDEAO, et de soumettre les résultats à cette 52ème session.

Pour ce faire, une étude d’impact à cette adhésion a été commanditée, et ses résultats seront présentés à ladite session, rappelle un communiqué de presse de la Commission de la CEDEAO transmis vendredi à l’AIP.

Concernant la Mauritanie, ancien Etat membre, les dirigeants ouest-africains lui ont demandé de présenter une requête de réadmission à la CEDEAO, alors qu’à la Tunisie, ils lui ont accordé le statut d’observateur. Ils ont, par ailleurs, instruit la Commission de prendre les dispositions en vue de s’assurer que toutes les règles et procédures relatives au statut d’observateur sont adoptées.

A cet effet, ils suivront au cours du Sommet d’Abuja des présentations sur la mise en œuvre de l’Accord d’association de la CEDEAO avec la Mauritanie, et le mémorandum d’entente signé avec la Tunisie en qualité d’observateur de l’organisation régionale.

D’autres présentations porteront également sur la situation politique et sécuritaire en Guinée- Bissau, le mémorandum du chef de l’Etat togolais et président en exercice de la Conférence, Faure Essozimna Gnassingbé, sur l’attribution des postes statutaires à la CEDEAO.

Avec AIP

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La Société africaine de plantation d’hévéa  (SAPH) met officiellement en marche son unité industrielle de Bongo (Alépé) qui est la plus grande usine de traitement de caoutchouc naturel en Afrique.

Cette infrastructure a été inaugurée vendredi sur son site situé à l’unité agricole intégrée (UAI) de la SAPH à Bongo par le ministre de l’Industrie et des Mines Jean Claude Brou qui avait à ses côtés son collègue de l’Agriculture et du Développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly, rapporte l'AIP.

Tout en invitant les industriels du secteur hévéa à intensifier et à diversifier leurs investissements, M. Brou les a rassurés sur l’engagement de l’Etat à les accompagner dans leurs activités.

A titre d’exemple, il a noté que les 17 unités agricoles évoluant dans le secteur ne s’adonnent qu’à l’achat et à la première transformation, pour un taux inférieur à 5%. Ce qui permet de produire des ballons, des matelas et des gants. La 2ème transformation pourrait donc permettre de diversifier les produits plus élaborés issus du latex dont des pneumatiques, a fait observer le ministre.

Auparavant, le président du conseil d’administration de SAPH, Jean Louis Billon a fait savoir qu’au moment où le Gouvernement décide de la mise en place d’une autorité de régulation dans la filière, les professionnels s’inquiètent de l’arrivée de profanes dans le métier.

Il a exhorté les deux ministres à faire en sorte que le caoutchouc reste le poumon de l’économie et n’aille pas enrichir d’autres industries. Ce, tout en mettant en avant la qualité du produit.

A travers une production estimée à 500 0000 tonnes, la Côte d’Ivoire est le premier producteur africain de caoutchouc naturel. Le pays compte 164 000 planteurs pour une superficie exploitée de 530 000 hectares.

Avec un investissement de huit milliards FCFA pour cette usine, la SAPH, filiale du groupe SIFCA, constitue un pionnier tant en ancienneté (60 ans d’existence) qu’en volume. Elle compte cinq UAI dans le pays qui produisent plus de 165 000 T, soit plus du tiers de la production nationale.

L’usine de Bongo a une capacité de traitement de 10,8 T/heure avec un potentiel de production de plus de 60 000 T/an, représentant 34% de la production totale de SAPH. Elle emploie 289 personnes.

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L'Etat  ivoirien prévoit 833 milliards de francs CFA pour le financement des projets de santé sur l’ensemble du territoire national, a annoncé le président Alassane Ouattara, ce vendredi 15 décembre 2017, lors de l'inauguration du CHU d'Angré dans la commune de Cocody.

Ce financement va servir à la construction dans les trois années à venir, de trois hôpitaux militaires à Korhogo, Bouaké et Daloa.

Ensuite, l’Etat prévoit la construction, l’équipement, l’entretien et le renouvellement des CHR de Daloa, de Korhogo et de Yamoussoukro. Il est également prévu la construction d’hôpitaux généraux à Abobo-nord, à Abobo-sud, à Adjamé, à Grand-Bassam, et à Yopougon Attié.

La construction de 12 hôpitaux à l’intérieur du pays afin de rapprocher les populations des centres de santé, est également prévue dans ces financements, a-t-il indiqué notant que la Côte d’Ivoire poursuivra ses efforts d’investissement dans le domaine de la santé.

« Notre volonté est de faire de notre pays, un hub sanitaire », a souligné le chef de l’Etat.

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Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a procédé, ce vendredi 15 décembre 2017, à l’inauguration du Centre hospitalier urbain (CHU) d’Angré dans la commune de Cocody, Abidjan, quatrième infrastructure sanitaire du genre dans la capitale économique ivoirienne.  

Fiche technique

Cet édifice d’envergure doté d’une capacité  d’hospitalisation de 250 lits, a été bâti sur une surface de 36 000 m2, avec 19 bâtiments dont quatre logements d’astreinte. Il affiche, entre autres, un scanner de 64 barrettes, un IRM 1.5T, une table télécommandée avec scopie et une radio os-poumon et deux mammographies et quatre colonnes de célioscopie.

Sa construction a été financée par l’Etat ivoirien, à hauteur de 35,320 milliards de francs CFA. Il comprendra un plateau technique très moderne, un centre international d’endoscopie et de technique avancée en chirurgie.Ce CHU est le 4ème d’Abidjan, après ceux de Treichville, de Cocody et de Yopougon.

Le Gouvernement avait pris un décret portant création, attribution et fonctionnement de cet établissement hospitalier de Catégorie 3, le 03 novembre dernier.

Lors de cette cérémonie, la ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie a assuré les populations ivoiriennes le CHU saura combler toutes leurs attentes, en terme de qualité de soins et de gouvernance médicale.

« Par rapport à la pyramide sanitaire, nous avons proposé de passer d’un simple hôpital à un CHU », a-t-elle rappelé, cité par l’AIP.

Onze services

Onze services ont été créés, dont ceux de pédiatrie, d’orthopédie, de traumatologie et de chirurgie plastique, de médecine du travail et d’imagerie médicale de pédiatrie médicale et de médecine interne.

Cette administration sera portée pour la première fois par un directeur général choisi par appel à candidature, Gueye Idrissa. Un contrat de performance  comprendra un audit externe sur la qualité des agents et des services fournis. Les chefs de services et un personnel de qualité ont été sélectionnés.  » Nous voulons changer l’usage de la gouvernance de nos hôpitaux », a insisté le ministre Goudou Raymonde.

Démarrée en 2009, avant de connaitre une interruption le 07 mars 2011, cet hôpital général d’alors était financé par la compensation versée en 2007 à l’Etat de Côte d’Ivoire, suite au déversement des déchets toxiques.  Une part de cette transaction, soit 14 milliards, devait servir à financer un hôpital de service public avec 150 lits avec quatre spécialités médicales, un service de consultation externe et un service d’imagerie, rappelle-t-on

AT

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La secrétaire générale du Rassemblement des républicains (RDR-parti au pouvoir), Kandia Camara, a communiqué mercredi la liste des membres du secrétariat général du parti présidentiel ivoirien, rapporte APA.

Sur cette liste forte de 56 secrétaires généraux adjoints, figurent plusieurs proches du président du parlement ivoirien Guillaume Soro, dernièrement en froid avec le camp présidentiel.

Il s’agit, pour les plus connus, des ex-ministres Sidiki Konaté, Affoussiata Bamba et Alain Lobognon nommés respectivement secrétaire général adjoint chargé des relations avec les communautés, secrétaire générale adjointe chargée de la citoyenneté et de l’intégration et secrétaire général adjoint chargé de la prospective et de l’innovation.

Plusieurs ministres du gouvernement Amadou Gon Coulibaly sont également nommés au secrétariat général du RDR.

Il y a entre autres Adama Koné ( Secrétaire général adjoint chargé de la médiation et du dialogue interne), Sidiki Diakité (Secrétaire général adjoint chargé de la sécurité), Amadou Koné (Secrétaire général adjoint chargé du monde des transports), Issa Coulibaly (Secrétaire général adjoint chargé des relations avec les organisations syndicales) , Ly Ramata Bakayoko (Secrétaire générale adjointe chargée de l’éducation et de la formation) et Mariatou Koné (Secrétaire générale adjointe chargée de l’autonomisation des femmes).

Mme Camara, rappelle-t-on, avait été désignée secrétaire générale du RDR à l’issue du 3è congrès ordinaire de son parti organisé à Abidjan les 9 et 10 septembre derniers. Trois secrétaires généraux délégués avaient également été nommés lors de ces assises. Il s’agit des ministres Bandaman Maurice, Anne Ouloto et Mamadou Touré.

La grande chancelière ivoirienne, Henriette Dagri Diabaté, qui a hérité du fauteuil de présidente de ladite formation politique lors de ce congrès, a nommé en novembre dernier, une trentaine de vice-présidents dont le président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro au poste de vice-président chargé de la région du Tchologo (extrême nord du pays).

 

La liste des nouveaux secrétaires généraux adjoints du parti

sont nommés :

I- SECRETAIRES GENERAUX ADJOINTS 

1- Monsieur Adama KONE, Secrétaire Général Adjoint chargé de la Médiation et du Dialogue Interne;

2- Monsieur Sidiki DIAKITE, Secrétaire Général Adjoint chargé de la Sécurité ; 

3- Monsieur Amadou KONE, Secrétaire Général Adjoint chargé du Monde des Transports ; 

4- Monsieur Issa COULIBALY, Secrétaire Général Adjoint chargé des Relations avec les Organisations Syndicales ; 

5- Madame LY-Ramata BAKAYOKO, Secrétaire Générale Adjointe chargée de l’Education et de la Formation ;

6- Madame Mariétou KONE, Secrétaire Générale Adjointe chargée de l’Autonomisation des Femmes ;

7- Monsieur Sidi Tiémoko TOURE, Secrétaire Général Adjoint chargé de la Jeunesse et de l’Insertion Professionnelle des Militants;

8- Monsieur Souleymane DIARRASSOUBA, Secrétaire Général Adjoint chargé du Secteur du Commerce et de l’Artisanat ;

9- Monsieur Abdourahmane CISSE, Secrétaire Général Adjoint chargé des PME-PMI ;

10- Monsieur Moussa SANOGO, Secrétaire Général Adjoint chargé de l’Entreprenariat;

11- Monsieur Yves Brahima KONE, Secrétaire Général Adjoint chargé du Monde Agricole ;

12- Monsieur Nicolas DJIBO, Secrétaire Général Adjoint chargé des Organisations et Institutions Internationales ;

13- Madame Aya Virginie KOUAME Epse TOURE, Secrétaire Générale Adjointe chargée des Associations, ONG et Groupements Féminins ; 

14- Monsieur Sidiki KONATE, Secrétaire Général Adjoint chargé des Relations avec les Communautés ; 

15- Monsieur Epiphane ZORO Bi, Secrétaire Général Adjoint chargé des Droits Humains et du Suivi des Secrétaires Nationaux ;

16- Monsieur Ibrahima BAKAYOKO, Secrétaire Général Adjoint chargé de l’Administration et du Patrimoine ; 

17- Monsieur Souleymane CAMARA, Secrétaire Général Adjoint chargé de l’Organisation et de l’Implantation du Parti ; 

18- Madame Maférima DIARRASSOUBA Epse OUATTARA, Secrétaire Générale Adjointe chargée de la Solidarité et Actions Sociales ;

19- Dr. Adama COULIBALY, Secrétaire Général Adjoint chargé du Suivi et de l’Evaluation de la Vie des Structures du Parti;

20- Monsieur Brahima DOUMBIA, Secrétaire Général Adjoint Chargé des Elections ;

21- Monsieur Sié HIEN, Secrétaire Général Adjoint chargé de la Mobilisation de Ressources ; 

22- Monsieur Lassina KONE, Secrétaire Général Adjoint chargé des Relations avec les Députés ;

23- Monsieur Alexis Zékré N’GUESSAN, Secrétaire Général Adjoint, chargé du Secteur de l’Economie Numérique ; 

24- Madame Cecile PAYNE, Secrétaire Générale Adjointe chargée des Relations avec les Cultes Chrétiens ;

25- Monsieur Youssouf FOFANA, Secrétaire Général Adjoint chargé des Militants de l’Extérieur ;

26- Monsieur Lacina KONE, Secrétaire Général Adjoint chargé des Services de Télécommunications ;

27- Monsieur Mamadou BLE, Secrétaire Général Adjoint chargé des Couches Vulnérables et des Personnes du 3ème Age ;

28- Monsieur Sié OUATTARA, Secrétaire Général Adjoint chargé du Monde des Régies Financières ;

29- Monsieur Boiké FOFANA, Secrétaire Général Adjoint chargé du Foncier, des Infrastructures Economiques et des Logements Sociaux ;

30 - Monsieur Issiaka FOFANA, Secrétaire Général Adjoint chargé des Relations avec les Groupes Sociaux Professionnels ;

31 - Monsieur Dominique ADJE, Secrétaire Général Adjoint, chargé du Monde Sportif ;

32- Monsieur Lanciné DIABY, Secrétaire Général Adjoint chargé des Relations avec les Elus Locaux ; 

33- Madame Bintou KONATE Epse KONE, Secrétaire Générale Adjointe chargée des Relations avec la Grande Chancellerie et du Protocole ; 

34 - Monsieur Félicien AGBAHI, Secrétaire Général Adjoint chargé des Relations avec la Chefferie Traditionnelle ;

35 - Madame Victoire LOBA Epse OUATTARA, Secrétaire Générale Adjointe chargée de la Trésorerie et des Finances du Parti ;

36- Monsieur Joseph Tiacoré ODJE, Secrétaire Général Adjoint chargé des Anciens Elus et les Anciens Cadres du Parti ;

37- Monsieur Honore SEA, Secrétaire Général Adjoint chargé du Monde de la Culture ;

38- Madame Patricia Sylvie KOKO Yao, Secrétaire Générale Adjointe chargée des Nouvelles Adhésions ;

39- Madame Massogona BAMBA, Secrétaire Générale Adjointe, chargée du Regroupement des Femmes Rurales ;

40- Monsieur Soungalo COULIBALY, Secrétaire Général Adjoint chargé des Affaires Juridiques ;

41- Monsieur Yayoro KARAMOKO, Secrétaire Général Adjoint chargé du Maintien de l’Ordre, de la Logistique et des Grins ; 

42- Madame Néné Diakité Epse KANATE, Secrétaire Générale Adjointe, chargée des Relations avec les Conseillers Economiques Sociaux, Environnementaux et Culturels ;

43- Monsieur Drissa KONE, Secrétaire Général Adjoint chargé des Relations avec les Cultes Musulmans ;

44- Monsieur Alain LOBOGNON, Secrétaire Général Adjoint chargé de la Prospective et de l’Innovation ; 

45 - Madame BAMBA Affoussiata Lamine, Secrétaire Générale Adjointe chargée de la Citoyenneté et de l’Intégration ;

46- Pr. David SORO, Secrétaire Général Adjoint chargé de l’Ecole du Parti et de la Documentation ;
47- Monsieur Noel KOFFI Maizan, Secrétaire Général Adjoint chargé du Monde Associatif;

48- Madame Fanta Yaya Fofana Epse KABA, Secrétaire Générale Adjointe chargée du Genre et de l’Egalité des Chances ; 

49- Monsieur Ibrahim DOUMBIA, Secrétaire Général Adjoint chargé du Secteur des Mines et Energies et de la Protection Civile ;

50- Madame Olibé Célestine TAZERE, Secrétaire Générale Adjointe chargée de la Société Civile ;

51- Monsieur Abel DJOHORE, Secrétaire Général Adjointe chargé de la Planification Stratégique et des Statistiques Politiques ;

52- Madame Nasseneba TOURE Epse DIANE, Secrétaire Générale Adjointe, chargée de la Jeunesse Féminine ;

53- Monsieur Jean-Louis MOULOT, Secrétaire Général Adjoint chargé de l’Environnement et du Changement Climatique ; 

54- Madame Manssandjé TOURE Epse LITSE, Secrétaire Générale Adjointe, Chargée de l’Habitat et du Cadre de Vie ;

55- Monsieur Kalil KONATE, Secrétaire Général Adjoint chargé du Suivi de l’Electrification Rurale. 

56- Monsieur DA Pierre Alphonse, Secrétaire Général Adjoint chargé de la Coordination des Activités du Comité des Cadres

II- Le Cabinet

1- Monsieur Koffi Norbert KOUAME, Directeur de Cabinet de Madame la Secrétaire Générale ;

2- Monsieur Lanciné DIABATE, Directeur de Cabinet Adjoint ;

3- Madame Gilberte VANIE Epse HAIDARA, Chef de Cabinet.

Fait à Abidjan, le 13 Décembre 2017

La Secrétaire Générale

Le Ministre Kandia CAMARA

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