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Une décision de la Cour pénale internationale(CPI) dans l’affaire Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé contre la Procureure est tombée ce mercredi 27 novembre. Celle-ci contraint les acquittés Gbagbo et Blé Goudé à rester encore à la Haye jusqu’en 2020 sous les mêmes conditions. La cause, une traduction en français de documents pour la défense de M. Laurent Gbagbo.
En octobre dernier, la Défense de M. Gbagbo, principalement, avait introduit une « Requête » aux fins d’obtenir de la Chambre d’appel que, compte tenu de l’urgence, 1) elle ordonne au Greffe de communiquer à la Défense le plus rapidement possible la version officielle française de l’opinion du Juge Henderson datée du 16 juillet 2019, de l’opinion de la Juge Carbuccia datée du 16 juillet 2019 et du mémoire d’appel de l’Accusation du 15 octobre 2019.
La version française de ces documents pouvant leur permettre de préparer sereinement leur défense contre la volonté de la Procureure de faire appel à la décision d’acquittement prononcée le 15 janvier 2019 en faveur de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé.
La chambre d’appel a répondu pour dire que les différentes traductions ne seront disponibles qu’en fin janvier 2020 pour une première partie et la traduction intégrale en juillet 2020.
Mais, avant ces dates, une traduction française révisée du document ICC-02/11-01/15-1263-Conf-AnxC sera prête à la mi-décembre 2019 et au plus tard fin décembre une traduction française révisée du document ICC-02/11-01/15-1277-Conf.
Après ce dépôt de janvier, il sera accordé à la Défense un délai de deux (2) semaines pour répondre. Et si les avocats de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé estiment qu'il y a des choses à ajouter à leurs réponses, ils pourront le faire lors de la dernière traduction de juillet 2020.
" Si le Greffe prévoit de ne pas être en mesure de respecter ce délai, il en informera immédiatement la Chambre d’appel" , fait savoir la CPI.
C’est bien à la suite de toutes ces réponses que la chambre d’appel pourra se prononcer sur la " requête de mise en liberté définitive et sans condition" de la défense de l’ex-président ivoirien et son ancien ministre de la Jeunesse.
S'il devrait avoir un retour au pays de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé ça ne sera pas avant 2020. Mais pour une fois, depuis leur tranfèrement à la Haye, ils fêteront le noël et le nouvel an hors des quatre murs de la CPI.
Daniel Coulibaly
Dans le cadre de la visite d’Etat du président dans la Hambol, le ministre de l’Economie et des Finances, Adama Coulibaly, a déclaré le 27 novembre à Katiola, que la prise de contrôle, par l’Etat, de la Banque de l’Habitat de Côte d’Ivoire (BHCI) vise à protéger les clients.
« Cette prise de contrôle de la Banque fait suite à l’impossibilité pour le repreneur, Westbridge, de répondre aux injonctions de la Commission Bancaire qui a constaté des dysfonctionnements, à la base des difficultés de trésorerie de la BHCI », a fait savoir le Ministre
« En prenant la décision de prendre le contrôle de la Banque, l’Etat veut assurer absolument la protection des clients de la banque. Je voudrais rassurer les Ivoiriens que leur épargne sera préservée et toutes les dispositions seront prises dans ce sens », a rassuré Adama Coulibaly.
.Il a également déclaré que : « Westbridge n’a pu satisfaire aux conditions imposées par la Commission Bancaire », à savoir la finalisation du processus de cession de la banque, au plus tard le 15 octobre 2019, et la recapitalisation de la Banque, le 31 octobre 2019.
La nomination des représentants de l’Etat au sein du conseil d’administration de la BHCI, intervenue ce mercredi 27 novembre 2019, vient donc parachever le processus de reprise de contrôle de l’Etat.
Selon le Ministre, cette situation fait suite aux difficultés de trésorerie dont fait fasse la Banque depuis quelques mois.
Mohamed Compaoré, envoyé spécial dans le Hambol
La mère supérieure est tombée amoureuse d'un homme de la région, rapporte lepoint.fr qui cite « La Repubblica ». Alors les autorités de l’église ont décidé de faire fermer ce couvent de la ville de Toscane(Italie) du XVIIe siècle.
Une histoire d'amour qui fait fermer un couvent, la chose n'est pas courante. Et pourtant, c'est bien ce qu'il se serait passé en Toscane, Italie. Comme le rapporte le quotidien La Repubblica, le couvent de Sansepolcro, dont la construction remonte au XVIIe siècle, a dû fermer ses portes en raison de l'histoire d'amour supposée entre une de ses quatre religieuses et un homme de la région.
Laissé à l'abandon après des années, le couvent avait rouvert en 2015 et sa direction avait été confiée à des sœurs bénédictines. Mais l'une d'elles, la mère supérieure Maria Teresa serait tombée amoureuse d'un riverain et aurait été contrainte de quitter sa position au sein du couvent. Le quotidien italien décrit une religieuse quadragénaire « pleine d'énergie et toujours souriante ».
Un départ dévastateur
Mais son départ a entraîné au final la fermeture « définitive » du couvent. Les trois autres nonnes, dont une âgée de plus de 80 ans, ne pouvaient pas assurer le maintien de l'établissement et des activités qui y sont attachées. Les nonnes récoltent des olives, des fruits et mettent à disposition une vingtaine de lits pour les pèlerins, ainsi que plusieurs bungalows dans les bois alentour. Des cérémonies religieuses, comme des baptêmes et des mariages, y sont souvent célébrées.
Auprès de La Repubblica, sœur Maria Teresa a confié être dévastée par la fermeture du couvent. « Les gens pleurent en raison de la fermeture du monastère, et je pleure aussi. » « Cette souffrance me marquera à vie », a-t-elle ajouté, soulignant qu'il lui serait sans doute difficile de maintenir sa relation avec l'Église.
Auprès du quotidien italien, elle ne confirme toutefois pas que son départ est directement lié à une histoire d'amour. « L'histoire est bien plus compliquée qu'elle n'y paraît », a-t-elle simplement déclaré. L'évêque d'Arezzo, Riccardo Fontana, s'est de son côté contenté de souligner qu'il n'était pas impliqué dans la décision de demander à la religieuse de quitter le couvent : « Le Saint-Siège est intervenu et ça s'est arrêté là. La situation est très douloureuse pour tous ceux qui sont impliqués. »
Source : Le Point.fr
En marge de la visite d'Etat du Président dans le Hambol, un conseil des ministres s'est tenu mercredi 27novembre à la préfecture de Katiola, en présence du chef de l'Etat. Plusieurs projets ont été arrêtés, notamment celui relatif au nom.
A en croire le ministre en charge de la communication et des Médias , cette décision, s’inscrit dans le cadre de la réforme des codes usuelles rendus nécessaires par l’évolution de la société ivoirienne et de l’impératif de l’adaptation de la législation nationale aux standards internationaux, notamment en matière d’égalité homme et femme.
Ainsi, ce dispositif autorise désormais, sur la base du principe d’égalité entre l’homme et la femme, la mère à faire adjoindre son nom à celui du père, de sorte que l’enfant, issu aussi bien de la filiation légitime que de la filiation naturelle, puisse porter un nom double.
Par ailleurs, ce même décret permet désormais, en ce qui concerne la procédure de changement de nom, à des personnes ayant des noms différents de porter le nom de leurs auteurs communs en vue d’uniformiser les noms dans la même famille.
Mohamed Compaoré, envoyé spécial dans le Hambol
Le mercredi 27 novembre 2019, un Conseil des Ministres s’est tenu de 11h30 à 15h30, à la Préfecture de Katiola, sous la présidence de Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, Président de la République, Chef de l’Etat.
Dans le cadre de la stratégie de renforcement et de développement du réseau routier national engagée par le Gouvernement, certains axes routiers nouvellement construits ou réhabilités ont été identifiés. après l’autoroute du Nord, pour être mis à péage afin de pouvoir dégager des ressources complémentaires et suffisantes pour leur entretien. <<A cet effet, les postes de péage de Moapé et de Thomasset, sur la route de l’Est, ont été achevés, et le poste de pesage d’Abengourou, sur l’axe Pont Comoé – Abengourou – Agnibilékrou, a été entièrement installé et testé'', a fait savoir le Ministre.
Aussi, le Conseil a entériné la date de mise en exploitation fixée au 15 décembre 2019. Et a approuvé les tarifs consensuels arrêtés par l’ensemble des parties prenantes, constituées par l’Administration routière, l’Administration du Territoire, la Chefferie traditionnelle, les associations de jeunes et de femmes, les syndicats des transporteurs et de conducteurs et les associations de consommateurs et de commerçants, au cours d’un atelier organisé à Abengourou en juillet 2019.
Ainsi, les tarifs par péage se présentent comme suit :
− Classe 1 : véhicules légers : 500 Francs CFA ;
− Classe 2 : minicars de moins de 32 places : 1 500 Francs CFA ;
− Classe 3 : cars de plus de 32 places et gros camions : 2 500 Francs CFA ;
− Classe 4 : camions poids lourds : 3 500 Francs CFA.
Selon le Ministre Porte-Parole: <<En prélude au démarrage du péage, une période d’exploitation à blanc de deux semaines sera observée afin de permettre aux usagers d’avoir une meilleure connaissance des services pour en faciliter l’utilisation'', a-t-il ajouté
Mohamed Compaoré, envoyé special dans le Hambol
L'ambiance qui régnait à l' hôtel IBis Plateau samedi 23 novembre dernier avait pour but de célébrer Mohamed Ali Hachicha, le président directeur général du groupe Soroubat dont l'investissement cumulé, depuis 2015 date de la prise des rênes de FC San Pédro, avoisine les 10 milliards de franc CFA.
Pour le directeur général de Recor Elohim Group, Paul César Ehouman, cette distinction est un mobile d'encouragement pour les nombreux efforts fournis par Mohamed Ali Hachicha dans la promotion et le développement des infrastructures sportives. Car en plus d'avoir racheté le F.C San Pédro, l’homme est en voie d’achever le plus grand centre de formation de football de Côte d’Ivoire estimé à plus de 6 milliards CFA. Il reçoit pour cela le Grand Prix RECOR de meilleur investisseur privé dans le domaine des sports et des PME. Car, a poursuivi le premier responsable du R.E.G, le groupe emploie plus de 2300 personnes en Côte d' Ivoire dans plus d'une quinzaine d’entreprises créées.
Notons que Abdelkarim Bouaziz président délégué de F.C San Pédro a lui aussi reçu le prix du meilleur dirigeant sportif et management pour l'émergence 2019, Traoré Fabien DG du cabinet KVT, Me Zéhouri Bertin Paul Arnaud et l' artiste Coupé décalé Kérozene Dj ont, eux, respectivement reçu le prix RECORD de meilleur consultant dans le domaine de café cacao et dans le développement des régions et de meilleur artiste coupé décalé 2019.
La cérémonie a été rehaussée par la présence de l'ambassadeur de Tunisie en Côte d' Ivoire, du député d' Anyama, du représentant du ministre Epiphane Zoro Bi et de plusieurs directeurs généraux du groupe.
MC
Dans le cadre de la semaine mondiale de lutte contre la RAM du 18 au 24 novembre 2019, le bureau d’Abidjan de l’organisation mondiale de la santé (OMS) a organisé un atelier d’information et de formation de journalistes ivoiriens sur la lutte contre la résistance aux antimicrobiens(RAM) en Côte d’Ivoire, le lundi 18 novembre à son siège. Sous le thème : « L’avenir des antibiotiques dépend de nous tous ».
La résistance antimicrobien telle que définie par l’OMS est la résistance d’un micro-organisme à un médicament antimicrobien auquel il était jusque-là sensible. L’OMS considère donc que cette résistance est une menace majeure pour la sécurité sanitaire mondiale ; et la situation se trouve accentuée en Afrique et particulièrement en Côte d’Ivoire.
Or, selon le rapport de l’évaluation externe conjointe(ECC) réalisé en novembre 2016, les capacités du domaine technique de la RAM dans notre pays sont insuffisantes. Il fallait donc trouver des stratégies de lutte contre cette résistance antimicrobienne. Et l’une des stratégies privilégiées par les spécialistes engagés dans cette lutte est l’information, l’éducation, la communication et la formation. D’où cet atelier à l’endroit de 24 journalistes issus de la presse écrite, audio-visuelle et en ligne, afin de renforcer leurs capacités pour contribuer efficacement aux activités de lutte contre la RAM.
‘Il y a urgence », a alerté le Pr Dosso Mireille de l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire et présidente du groupe multisectoriel RAM.
« Les morts liés aux VIH sont peu par rapports à ceux causés par les micro-organismes ou ultra organismes », a-t-elle fait savoir. Et d’ajouter : « Il n’y a plus de médicaments contre les infections microbiennes. C’est malheureux, mais c’est une réalité ».
Pour elle, il serait difficile de gagner la bataille contre cette résistance microbienne. Et la seule alternative, c’est de réduire sa vitesse par la sensibilisation des populations sur la dangerosité de certains comportements qui confortent la RAM.
« Il faut un sursaut de la population. Elle doit changer de comportements liés à l’achat de médicaments de la rue, à l’automédication, l'environnement malsain …causes de plusieurs morts banales qu’on peut éviter. Car si on y prend garde la situation sera plus catastrophique. », a-t-elle prévu.
Les chiffres de l’OMS donnent encore froid dans le dos. Co-animant un atelier portant sur la responsabilité de la presse dans la lutte contre le RAM avec Mamadou Traoré, journaliste-formateur et rédacteur en chef central de la rédaction de l’agence ivoirienne de presse(AIP), le Pr MBengue Gbonon a confié que 7 000 personnes meurent par an du fait de cette résistance microbienne, citant un rapport de l’OMS. Lequel chiffre pourrait atteindre 10 millions en 2050.
Face à la menace sanitaire que représente la RAM, a confié le Pr Nathalie Guessennd, point focal national de la RAM, la Côte d’Ivoire a défini une politique de lutte contre la RAM, conformément au règlement sanitaire international(RSI) depuis 2005. Cette action représente un cadre d’affirmation de la vison du gouvernement ivoirien dans cette lutte, selon l’approche « une seule santé ». Toute chose qui cadre avec les orientations du plan d’action national de sécurité sanitaire(PANSS 2018).
Régina Koko de l’USAID a salué cette initiative de l’OMS avant d’exprimer le soutien indéfectible de l’administration américaine à la lutte contre les RAM en Côte ‘d’Ivoire pour l’atteinte des objectifs internationaux et nationaux.
Dr Tania Bissouma, représentante du représentant des représentants à Abidjan, Jean-Marc Yaméogo, exhorté les journalistes à porter la bonne information sur la RAM aux populations par la sensibilisation, afin de l'amener à avoir moins de comportements à risques.
Daniel Coulibaly
Le réseau professionnel des structures d’accompagnement de l’entrepreneuriat(RSAE) en Côte d’Ivoire a été présenté aux journalistes, le mercredi 20 novembre au cours d’une conférence de presse à Abidjan. Né le mardi 19 novembre à la suite d’une assemblée générale élective sur initiative de la Fondation Friedrich Naumann et aussi de la volonté d’une trentaine de structures étatiques (Agence emploi jeune, Agence Côte d’Ivoire PME) et non étatiques, ce réseau est présidé par Jean-Patrick Ehouman de la structure Akendewa pour un mandat de 3 ans.
Il s’inscrit dans le cadre du projet dénommé «Bab’ Innov», destiné à l’appui de l’innovation et aux structures d’accompagnement de l’entrepreneuriat (startups et micro-entreprises) en Côte d’Ivoire, lancé en août dernier par la fondation.
Son conseil d’administration est composé de 14 membres avec un bureau de 5 membres. A l'absence du premier responsable de ce réseau, Cyriac Gbogou de la structure Ovillage-CI, son premier vice-président, a dévoilé entre autres ses missions, à savoir fédérer tous les acteurs du secteur de l’entrepreneuriat afin de parler d’une seule voix, renforcer les capacités des start-up, faciliter un dialogue public-privé, trouver des financements aux projets des jeunes entrepreneurs, etc.
« Nous voulons travailler en synergie avec toutes les structures pour le dynamisme de l’entrepreneuriat en Côte d’Ivoire qui pourra produire des champions nationaux capables d’attirer des investisseurs étrangers », a indiqué Cyriac Gbogou.
Pour les responsables de la Fondation, l’assistance dans la création de ce patronat a pour objectif de soutenir le développement de l’écosystème de l’innovation en travaillant sur la professionnalisation (renforcement des capacités et la mise en réseau) de structures spécialisées dans l’accompagnement de l’entrepreneuriat en Côte d’Ivoire.
«Ça n’a pas été facile, c’est pourquoi je pense que tous doivent être fiers de la naissance de ce réseau », a fait savoir Sophie Konaté cheffe de bureau Côte d'Ivoire de la Fondation Friedrich Naumann.
Le réseau annonce plusieurs actions dans les jours à venir.
Daniel Coulibaly
Pour un début, on peut dire que la Nouvelle Chaine Ivoirienne (NCI) va faire fort. Cette chaine de télévision annonce le lancement très prochain de ses émissions sur le petit écran.
En effet, NCI sera diffusée, dès ce mois de décembre, sur le canal 204 du bouquet Canal+, le canal 4 de la TNT (Télévision Numérique Terrestre), et sur le bouquet Startimes et sur la TV d’Orange.
Et pour réussir le coup, la chaine, dans un communiqué publié dans la presse annonce des signatures de contrat en cours avec des stars de tous horizons dans ses locaux à Abidjan.
Ainsi, pour ses programmes d’informations, la chaine a signé avec Ali Diarrassouba, talentueux ex-présentateur du journal de 20H sur la RT1.
« Le journaliste a été sollicité par NCI pour la présentation du journal télévisé. Dans à peine quelques semaines, les téléspectateurs pourront profiter du talent et du professionnalisme de ce dernier sur les différents supports de la chaîne », précise le communiqué.
La comédienne Yvidero (à droite en jaune) fait partie des stars recrutées par NCI
Ali Diarrassouba sera accompagné sur les thématiques d’information et les émissions culturelles, de Mélina Makissi, ancienne journaliste chez Réservoir Prod sur l’émission de France2 « Ça Commence Aujourd’hui », et connue pour sa présentation des journaux d’information sur Africa24.
L’humour fait également partie intégrante des programmes de NCI qui annonce sa collaboration avec l’une des web humoristes ivoiriennes les plus en vogue du moment, Yvanne Niaba alias Yvidero. Il y a fort à parier qu’avec elle, le rire et la bonne humeur seront au rendez-vous sur NCI.
Un partenariat avec Nostalgie permettra également au public de retrouver à l’antenne ses animateurs les plus suivis : Gliss, Princesse, Nanda, Chuken Pat, Yves de M’Bella, Mala Adamo, Kokolo Germain, déjà connus pour des émissions célèbres comme « L’Afterwork », « Le Super Morning » ou encore « Rien à cacher ».
Avec ces animateurs déjà plébiscités par le grand public ivoirien, qui rejoignent Cheick Yvhane, journaliste émérite et déjà connu pour ses émissions sur Nostalgie, la Nouvelle Chaîne Ivoirienne fait un pari qui pourrait s’avérer gagnant.
Armand Tanoh