Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Un atelier de partage d’expériences, de recueil de contributions et de leçons apprises sur la cohésion sociale en Côte d’Ivoire s’est ouvert, jeudi 12 mai 2022, à Abidjan.

 Cet atelier est organisé conjointement par le ministère de la Réconciliation et de la cohésion nationale, le Grand Médiateur de la République et la Coordination du Système des Nations-Unies pour le développement avec la participation des parties prenantes nationales et internationales.

 Procédant à l’ouverture officielle des travaux, le Médiateur de la République, Adama Tounkara a rappelé que cet atelier « vise à identifier les meilleures pratiques et à recueillir les contributions des différents acteurs en matière de cohésion sociale en vue de les intégrer dans la nouvelle stratégie nationale de réconciliation et de cohésion sociale 2021-2025 ».

 « La paix dont nous gouttons les fruits si succulents est comme le grand arbre des forêts africaines qui puise l’essentiel de ses substances nutritives dans la terre nourricière », a déclaré peu avant le ministre de la Réconciliation et de la cohésion nationale, Bertin Kouadio Konan dit KKB.

 Selon lui, la paix a besoin d’être sédimentée dans le corps social, d’être consolidée pour qu’elle parvienne aux générations futures, pour qu’elle se couvre du manteau sacré qui résistera pendant des siècles et des siècles.

 « Notre trajectoire vers la paix a commencé par la réconciliation et elle devra passer par la cohésion sociale, l’autre nom de la lutte contre les exclusions, les discriminations et cette bienveillance qui restitue à chacun sa place, toute sa place, dans l’humanité », a ajouté KKB, soulignant « l’inestimable appui du Système des Nations Unies » à la Côte d’Ivoire.

 Auparavant, Philippe Poinsot, le Coordonnateur résident des Nations Unies en Côte d'Ivoire a salué l’organisation de cet atelier qui permettra selon lui « d’adresser au mieux les défis résiduels » de la cohésion nationale, mais également les défis du Sahel qui affectent les zones frontalières.  

 La ministre ivoirienne de la Solidarité et de la lutte contre la Pauvreté, Myss Belmonde Dogo a également pris part à l’ouverture de cet atelier qui réunit le corps diplomatique, les agences du Système Nations-Unies, le corps préfectoral et les organisations de la société civile ivoirienne.

 Après avoir été entachée par plus d’une décennie de crise, la cohésion nationale ivoirienne a retrouvé les rails depuis ces dernières années. Ces acquis doivent être est préservés et consolidés.

Source: APA

 

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Le ministre indien de l’environnement s’imprègne des réalités  des opérateurs économiques indiens

En marge à la Cop15 que la Côte d’Ivoire accueille du 9 au 20 mai 2022, le ministre indien de l’environnement et président de la Cop14 Bhupender Yadav a échangé avec la communauté indienne vivante sur le territoire. Cette rencontre s’est tenue dans la soirée du lundi 9 mai dans un restaurant indien de Marcory-Biétry.

Le ministre indien de l’environnement et président de la Cop14  Bhupender Yadav a fait savoir qu’il est venu en terre ivoirienne pour prendre part à la conférence des Nations-Unies pour lutter contre la désertification que la Côte d’Ivoire. En sa qualité de président de la Cop14,  il va remettre le flambeau à la Côte d’Ivoire qui va gérer la présidence de la Cop15.

Le ministre indique qu’il est convaincu qu’avec si les efforts sont menés par  toutes les parties prenantes, à travers cette conférence des Nations-Unies, on peut lutter contre la désertification et relever le défi. Il explique que la désertification a pour conséquence,  la dégradation des sols, la pollution des eaux et de l’air.

 Prenant l’exemple de l’Inde dans cette lutte contre ce fléau, le ministre souligne qu’avec une synergie de huit ministères pour la restauration des sols, son pays a entrepris des actions pour la purification des eaux et la reforestation.

Et d’ajouter que la sécheresse étant l’un des facteurs qui accentuent la dégradation des sols,  son ministère a entrepris des actions vis-à-vis des producteurs à travers la mise en place des systèmes d’assurance de compassion qui les aident à pouvoir supporter les effets néfastes de la dégradation des sols et de la sécheresse.

En outre, sous le leadership du 1er ministre indien, plusieurs actions ont été menées notamment la restauration de  26 mille millions d’hectares de forêts.

Toutefois, le ministre rappelle que sous sa présidence de Cop14, le défi majeur auquel il a été confronté est la pandémie de covid-19.

En l’endroit de la Côte d’Ivoire qui va occuper la présidence de la Cop15, le ministre signale que  la collaboration va continuer en termes d’assistance et de conseils.

‘’La Côte d’Ivoire regorge une forte communauté indienne qui sont investies dans la vie économique du pays, qui ont bâti de grandes entreprises, et qui sont confrontées à certaines situations.  L’occasion de ce dîner, c’est non seulement de pouvoir les retrouver, communier avec eux pour qu’ils puissent me partager leurs doléances et d’un autre côté, je puisse les apporter un certains nombre d’encouragement, un certain réconfort, par rapport aux actions que l’Inde peut mener vis-à-vis d’eux et à fortifier cette communauté’’, fait savoir le ministre.

Le ministre a conclu en saluant les efforts que mène le  gouvernement ivoirien  pour harmoniser et assainir le milieu des affaires.

Ibrahima Khalil de Siekèlou

                         

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Pour celles et ceux d'entre nous qui vivent près de l'océan, le changement climatique n'est pas une menace imminente mais un danger actuel et réel. Nous avons déjà été contraints d'investir dans des mesures d’atténuation et de changer nos modes de vie ainsi que nos moyens de subsistance. Les générations futures risquent d'hériter du fardeau de notre inaction si la communauté internationale ne fait pas enfin ce qui est responsable : se fier à la science et agir pour minimiser l'impact humain sur le climat et l'environnement.

En tant que Président de la 76ième session de l'Assemblée générale des Nations Unies, j'ai choisi "l'espoir" comme thème de ma présidence. Car, si nos défis sont toujours redoutables, c'est bien l'espoir qui sert de tremplin et stimule l'ingéniosité humaine qui permet de trouver des solutions lorsque tout semble insaisissable. Les Nations Unies doivent être à l’avant-garde de la recherche de solutions et plaident pour leur mise en œuvre.

Répondre aux besoins de la planète est l'un des cinq piliers de ma présidence de l'Espoir – parallèlement au redressement postpandémie, à la reconstruction durable, au respect des droits de tous et à la revitalisation des Nations Unies. 

Du 9 au 14 mai, j’aurai le plaisir de me rendre en Côte d'Ivoire et en Angola, où je rencontrerai des représentants des Gouvernements, le personnel des Nations Unies, des femmes et des jeunes, pour échanger sur les cinq piliers de ma Présidence de l'Espoir.

A Abidjan, je participerai à la 15ème session de la Conférence des Parties (COP15) de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD). Le thème de cette année, "La Terre. La vie. Héritage : de la rareté à la prospérité", est un appel à l'action pour garantir que nos terres restent saines et productives pour les générations actuelles et futures.

La sécheresse n'est pas seulement une absence d'eau. Elle est souvent le résultat de la dégradation des sols, du changement climatique et d'une utilisation non durable de l'eau. Si les sécheresses existaient bien avant la révolution industrielle, la science montre que l'activité humaine a considérablement exacerbé ce phénomène, entraînant des pénuries d'eau et de nourriture, des incendies de forêt, des déplacements de familles, la perte de vies humaines et animales ainsi que des retombées économiques. 

Pendant mon séjour en Afrique, je me rendrai également en Angola. Je tiens à exprimer ma solidarité avec le Gouvernement et la population angolaise qui, malgré quelques précipitations, sont confrontés à la pire sécheresse qu’a connu dans le pays en 40 ans. J’aurai l’occasion d’écouter les témoignages des populations directement touchées par ce fléau. Les femmes sont les plus vulnérables au changement climatique et sont souvent les plus touchées par ses effets. Cependant, elles sont aussi des guerrières du changement climatique et doivent être associées à toute prise de décision.

                                                        

Selon le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies, les infestations de criquets pèlerins et la sécheresse qui sévissent dans les provinces de Huila, Namibe et Cunene, dans le sud-ouest de l'Angola, exposent près de 1,6 million de personnes à un risque de famine grave.

La sécheresse, combinée à la pandémie de la COVID-19 et à l'évolution des conditions météorologiques, provoque un recul des progrès accomplis par l'Angola dans la réalisation des objectifs de développement durable des Nations unies et dans l'amélioration de la vie de ses habitants.  

Il peut sembler déplacé pour un homme comme moi, qui vient d'un archipel entouré d'océan, d'écrire sur la sécheresse. Je viens des Maldives, une nation de quelque 1 190 îles de l'océan Indien, où les inondations dues à la pluie sont le phénomène naturel le plus fréquent. Les îles de mon pays sont en train d’être graduellement submergées par l'eau. Au rythme actuel du réchauffement climatique, on estime que près de 80 % des Maldives pourraient être inhabitables d'ici 2050.   

Pourtant, bien qu'entourée d'eau de mer, la majeure partie du pays souffre d'un manque d'eau potable. Nous n'avons pas de rivières ou de ruisseaux permanents aux Maldives, et la lentille d'eau douce de presque chaque île souffre de l'intrusion du sel et de surconsommation. Ainsi, le pays a dû se tourner vers l'eau dessalée, qui est coûteuse et consomme beaucoup d'énergie.

L'un des sujets que j’aborderai lors de la COP15 sur la désertification en Côte d'Ivoire est l'importance pour la communauté internationale de proposer des solutions holistiques et équilibrées. Nous savons ce qui doit être fait, mais nous avons besoin de volonté politique pour y parvenir.

Je rappellerai également que les questions d'adaptation, de désertification, de lutte contre le changement climatique, de maintien de la biodiversité et de lutte contre la pauvreté sont toutes interconnectées – et également reliées aux Objectifs de développement durable.

La conférence des parties sur la désertification intervient au début de la Décennie des Nations unies pour la restauration des écosystèmes, qui a débuté en 2021. Il s'agit d'un appel au ralliement pour la protection et la renaissance des écosystèmes dans le monde entier, dans l'intérêt des populations et de la nature.

Le 17 juin, nous marquerons la journée annuelle de la désertification et de la sécheresse. Cette journée internationale a trois objectifs : sensibiliser le public à la désertification et à la sécheresse ; faire savoir que la désertification et la sécheresse peuvent être combattues efficacement ; et renforcer la mise en œuvre de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification dans les pays connaissant de graves sécheresses et/ou la désertification, en particulier en Afrique.

Au cours de mon mandat en tant que Président de l'Assemblée Générale, la communauté internationale s’est réunie lors de réunions de haut niveau sur la biodiversité, la désertification, les océans, l'énergie et le climat. Pour avoir une vision plus globale de toutes ces questions interconnectées, j'organiserai en juillet un évènement dédié à la nature à l'Assemblée générale. Ce sera une occasion importante pour la communauté internationale de jeter un regard collectif sur nos accomplissements et de planifier l'avenir pour adresser les lacunes et les insuffisances.

Le message que j'adresse à la communauté internationale est celui que je n'ai cessé de répéter: Nous devons agir maintenant, tant que nous avons encore l'espoir d'inverser les dommages que nous avons causés à la nature et à l'environnement. Nous avons les ressources nécessaires. Nous en sommes capables. Faisons preuve de volonté. Nous le devons à nos générations futures.

Par Abdulla Shahid,

Président de la 76ème session de l'Assemblée générale des Nations unies.

                                               

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La recrudescence des assassinats politiques au sein du Congrès national africain (ANC), parti au pouvoir en Afrique du Sud, est très préoccupante et doit être dissuadée à travers le renforcement des interventions des services de police, a indiqué jeudi 5 mai 2022 le président national du parti, Gwede Mantashe.

“La flambée des meurtres de membres et de dirigeants du parti ne sera dissuadée que si les responsables en charge de l’application des lois arrêtent, poursuivent et condamnent les auteurs des crimes. Il n’y a rien d’autre qui puisse dissuader cette criminalité”, a déclaré M. Mantashe.

Il a ajouté que tout criminel qui tue des gens pour des ambitions politiques doit être arrêté et faire face à la justice “en écopant des peines de prison les plus lourdes”.

Par ailleurs, M. Mantashe a mis en garde que toute intervention du parti au pouvoir ne devrait pas occulter le fait que la tâche de dissuader la criminalité incombe aux responsables de l’application des lois dans le pays.

“Tuer une personne est une infraction pénale, donc de tels incidents doivent être traités en cette qualité. Tout effort pour s’écarter de cela ne peut qu’aggraver la situation”, a-t-il poursuivi.

Il a de même relevé que “l’ANC ne remplira jamais le rôle de la police. Le parti ne peut qu’avertir les camarades qu’ils ne peuvent pas s’entre-tuer pour des raisons politiques, mais il ne peut pas remplacer les agents d’autorité”.

Ces commentaires sont intervenus suite à une série d’assassinats politiques perpétrés depuis le début de l’année dans plusieurs régions dans le pays.

Lundi dernier, Andile Andries, un conseiller de quartier de l’ANC dans la ville de Nelson Mandela Bay, et Lubabalo Keso, membre du comité exécutif régional, ont été abattus par des individus non identifiés.

La semaine dernière,  Ofentse Nkomo, membre de l’ANC, a été tué lors d’une assemblée générale de section dans la province du Nord-ouest, provoquant l’annulation de l’évènement.

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L’Union africaine (UA) est déterminée à travailler avec le Gouvernement fédéral de Somalie pour éliminer la menace Al Shabaab et continuer à promouvoir efficacement la paix, la sécurité et la stabilité en Somalie.

Dans un communiqué en réaction à l’attaque menée par le groupe terroriste Al Shabaab contre une Base opérationnelle avancée de la Mission de transition de l’UA en Somalie (ATMIS) dans la région de Middle Shabele, au Sud-Ouest de Mogadiscio, le Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l’UA a affirmé que «l’UA reste déterminée à travailler avec le Gouvernement fédéral de Somalie pour éliminer la menace Al Shabaab et continuer à promouvoir efficacement la paix, la sécurité et la stabilité en Somalie».

Le Conseil qui a fermement condamné l’attaque barbare et lâche contre le contingent burundais de l’ATMIS, a exprimé ses sincères condoléances au Gouvernement et au peuple burundais, en particulier aux familles immédiates des soldats décédés, et a souhaité un prompt rétablissement à tous ceux qui ont été blessés.

Le Conseil a rendu hommage au personnel des Forces de défense nationale burundaises qui a fait le sacrifice ultime dans l’exercice de ses fonctions et pour la cause de la paix en Somalie, dans la région et sur le continent africain en général.

Le Conseil a également rendu hommage à tous les pays contributeurs de troupes et de police (PT/PCC) à l’ATMIS et, en particulier, à tous les hommes et femmes servant dans le cadre de l’ATMIS, les a félicités pour leur engagement et les a encouragés à persévérer jusqu’à l’élimination totale d’Al Shabaab.

Le CPS a souligné qu’il importait de préserver les acquis enregistrés jusqu’à présent en Somalie, ainsi que la dynamique actuelle de la lutte contre Al Shabaab, en renforçant les capacités de l’ATMIS, notamment en mettant à la disposition de la Mission toutes les ressources humaines, matérielles, techniques et financières nécessaires, y compris les facteurs de renforcement et de multiplicateurs de force, afin de lui permettre de s’acquitter plus efficacement de son mandat.

Au moins 10 soldats burundais ont été tués dans l’attaque perpétrée mardi par des éléments du groupe terroriste somalien Al-Shabab contre la base militaire de la force de l’Union africaine (UA) en Somalie.

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Kaspersky, société internationale de référence en matière de cybersécurité et de protection de la vie privée numérique pour les particuliers et les entreprises, est engagée dans la lutte contre la cybercriminalité en Afrique et le développement de bonnes pratiques. Dans le cadre de ses actions, l’entreprise est cette année partenaire du le Cyber Africa Forum qui aura lieu à Abidjan les 9 et 10 mai prochain au Radison Blu Hôtel.

380 000. C’est le nombre de nouveaux échantillons malveillants découverts tous les jours par les chercheurs de Kaspersky à travers le monde. En 1994, c’était un nouveau virus par heure, en 2006, un nouveau virus par minute. Kaspersky s’est donc donné comme mission, depuis sa création en 1997, d’aider ses clients à travers le monde à lutter contre tout type de menace informatique, quel que soient son but et sa provenance.

Aujourd’hui, l’entreprise protège plus de 400 millions d’utilisateurs à travers le monde, et près de 270 000 entreprises. Forte de cette mission, l’entreprise investit depuis longtemps en Afrique et contribue à la montée en compétences en cybersécurité et à la lutte contre la cybercriminalité à travers le continent. Il faut savoir qu’en Afrique plus que jamais, les enjeux de sécurité dans le cyberespace sont importants : entre janvier et août 2020, le continent a été touché par 28 millions de cyberattaques touchant tous les secteurs d’activité.

Selon le rapport d’évaluation des cybermenaces en Afrique réalisé par Interpol, rien qu’en 2021 la cybercriminalité a coûté 4,12 milliards au continent et les causes sont multiples : manque de formation sur la cybersécurité, systèmes d’information insuffisamment protégés, déficit de procédure de sécurité… C’est dans ce cadre que Kaspersky participe au Cyber Africa Forum, l’évènement de référence sur la cybersécurité en Afrique de l’ouest. Kaspersky entend ainsi adresser deux défis majeurs : d’une part accompagner les populations pour une meilleure connaissance des bonnes pratiques d’hygiène numérique et d’autre part accompagner les décideurs d’entreprises et d’institutions africains innovants, à mettre la sécurité au cœur de leur transformation numérique et de leurs objectifs de croissance. Parce qu’en 2022, la cybersécurité n’est pas une option, c’est un critère stratégique.

« La cybersécurité est omniprésente dans le développement économique d’un pays, dans la croissance d’une entreprise, et dans les discussions géopolitiques internationales. Le Cyber Africa Forum, de par les acteurs qu’il réunit et les conversations qu’il émule est un événement au cœur des grandes questions d’aujourd’hui et nous sommes ravis d’y participer. Nous sommes convaincus que la sécurité dans le cyberespace passera par la sensibilisation, la formation, le recrutement et la communication autour des enjeux du numérique, de la valeur des données, des informations, des systèmes informatiques et opérationnels. Une prise de conscience est indispensable, tout comme les bons outils, et les bonnes clés pour parvenir à ce monde numérique plus sûr. Kaspersky est présent depuis plus de 15 ans sur le continent, où nous travaillons main dans la main avec tous les acteurs du secteur pour contribuer à l’émergence d’un numérique plus sûr en Afrique. » explique Pascal Naudin, Directeur des Ventes B2B sur les régions d’Afrique du Nord, de l’Ouest et Centrale.

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Au terme d'une visite, le jeudi 05 mai 2022 au Sofitel Hôtel Ivoire d'Abidjan, site prévu pour accueillir du 09 au 20 mai, la 15ème Conférence des Parties sur la désertification et la sécheresse (#Cop15), le ministre de l'Environnement et du Développement durable, Jean-Luc Assi, s'est dit satisfait des préparatifs.

"Au terme de cette visite, je me suis rendu compte que le travail est très bien avancé. Nous sommes pratiquement à 90% et nous en sommes  satisfaits Nous réservons la finition des 10% restants pour demain et après-demain et tout sera prêt. Nous pouvons rassurer la population ivoirienne et le monde entier que tout est fin prêt et qu'ils auront droit à une très belle Cop 15", s'est félicité Jean-Luc Assi.

Au nom du gouvernement, il a rassuré tous les partenaires que la Côte d'Ivoire a la capacité nécessaire pour organiser la Cop 15 dans de très bonnes conditions.

Le président du comité d'organisation de la Cop 15, Abou Bamba, a expliqué que la visite a concerné la salle des fêtes du Sofitel Hôtel Ivoire qui va abriter le sommet des Chefs d'État et présidents des  institutions et la salle prévue pour l'ouverture de la réunion plénipotentiaire. 

"Nous avons vérifié la conformité de ces salles, notamment les micros, les chaises, la disposition, les câblages, l'internet, le WiFi, l'éclairage, les écrans, etc. Tout est fin prêt. Nous en sommes pleinement satisfaits", a-t-il dit.

Considéré comme le plus grand événement organisé  en Côte d’Ivoire, la Cop 15 va accueillir près de 5 000 participants venant de 196 pays.

CICG

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Au regard des performances enregistrées dans la mise en œuvre des deux premières phases du Projet Emploi Jeunes et Développement des Compétences (PEJEDEC) financé par la Banque mondiale, la Côte d’Ivoire a obtenu l’accord de financement de la phase III du PEJEDEC signé en février 2022 pour un montant de 86,72 milliards de FCFA.

Cette 3e phase du projet, selon le porte-parole du gouvernement, Amadou Coulibaly, qui s’exprimait au terme du Conseil des ministres, le mercredi 04 mai 2022 à Abidjan, vise 120 000 jeunes bénéficiaires directs et plus de 300 000 bénéficiaires indirects, en termes d’autonomisation des administrations locales et de renforcement de la capacité du système national de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle. Ce, en vue d’améliorer l’employabilité des jeunes et de créer des emplois décents pour les jeunes du monde rural.

La phase I du projet, tenue sur la période 2012-2017, pour un montant total de 26 milliards de FCFA, a rappelé Amadou Coulibaly, a bénéficié à 33 636 jeunes dont 33% de femmes, soit un taux de réalisation de 121% par rapport à un objectif de 27 500 jeunes ciblés. Le taux d’insertion professionnelle des bénéficiaires de cette première phase était de 62%.

Quant à la phase additionnelle du projet allant de 2015 à 2020, pour un autre financement de 26 milliards de FCFA, elle a enregistré 32 249 bénéficiaires dont 45% de femmes sur 31 500 jeunes prévus, soit un taux de réalisation de 102,4%. Le taux d’insertion des bénéficiaires de cette deuxième phase du projet s’est situé à 72%.

Ces performances ont permis à notre pays d’obtenir la note de « Highly satisfactory », c’est-à-dire « Très Satisfaisant », par le département indépendant d’évaluation de la Banque Mondiale, s’est félicité Amadou Coulibaly.

Le PEJEDEC a été lancé en 2012 avec l’appui de la Banque mondiale, en vue d’améliorer l’accès aux emplois et le développement des compétences professionnelles des jeunes, hommes et femmes, de tout niveau de qualification, âgés de 18 à 35 ans, en situation de sans emploi ou sous-emploi.

mc

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Le Cameroun a écopé d’une amende de l’ordre de 6,4 millions de francs CFA (environ 10.200 dollars) infligée par la Commission de discipline de la Fédération internationale de football (FIFA), a-t-on appris de son site officiel.

Cette sanction disciplinaire a visé l’invasion de l’aire de jeu par les supporteurs camerounais, mettant à mal le service d’ordre et de sécurité, lorsque leur pays a vaincu la Côte d’Ivoire (1-0) à domicile le 16 novembre 2021 et s’est qualifié pour les éliminatoires de la Coupe du monde Qatar 2022.

Conformément à sa politique de tolérance zéro vis-à-vis de la discrimination et de la violence dans le football, la sanction est prise sur des associations membres pour le mauvais comportement des supporteurs, a indiqué la FIFA.

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Le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a réaffirmé mercredi 04 mai 2022 l’engagement de l’organisation à soutenir le Nigeria pour le bien de ses citoyens.

M. Guterres a fait cette déclaration lors d’une cérémonie de dépôt de gerbe à Abuja, en marge de sa visite officielle de deux jours au Nigeria, rapporte l’Agence nigériane de presse (NAN), précisant que cette visite vise à commémorer le 11e anniversaire de l’attaque terroriste du 26 août 2011 contre le siège des Nations unies à Abuja.

Il a qualifié de tragique l’attaque qui a fait 23 morts et 60 blessés parmi les employés et partenaires de l’ONU, et a déclaré que cet événement reste gravé dans la mémoire collective de la famille de l’ONU, ajoute NAN.

Il a déploré la perte tragique de membres du personnel de l’ONU et de civils nigérians, soulignant que les membres du personnel qui ont perdu la vie étaient des héros, qui servaient les Nigérians tout au long des opérations de l’organisation, poursuit la même source.

M. Guterres a ajouté que “les employés de bureau, les réceptionnistes, les chauffeurs et les administrateurs nationaux, les experts associés, les spécialistes du suivi et de l’évaluation et les assistants d’expédition travaillaient tous pour notre organisation et soutenaient les Nigérians, le PNUD, l’UNICEF, l’ONUSIDA et l’UNODC”.

“Aujourd’hui, nous sommes solidaires des familles des victimes, ainsi que des femmes et des hommes qui travaillent chaque jour au siège des Nations unies, pour soutenir et servir les Nigérians”, a-t-il mis en avant.

“Nous sommes solidaires de tous les Nigérians. Dans notre approche de soutien aux victimes, chaque auteur doit être tenu responsable. Nous restons fermes dans notre engagement à soutenir un Nigeria pacifique pour tous les Nigérians”, a-t-il souligné.

Le Secrétaire général des Nations unies a également tenu des réunions avec de hauts responsables du gouvernement ainsi que des délégués des jeunes, des femmes et des chefs religieux.

Il s’agit de la première visite du Secrétaire général de l’ONU au Nigeria depuis sa nomination. Elle s’inscrit dans le cadre d’une tournée ouest-africaine dont la première étape était le Sénégal, suivie du Niger et achevée au Nigeria.

hn

 
 

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