Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Les ministres des Finances, les gouverneurs des Banques centrales et les présidents des institutions régionales de la Zone Franc ont réitéré leur engagement à œuvrer pour le développement de cette initiative et à mettre en œuvre des politiques économiques soutenables au bénéfice des populations, selon le communiqué final qui a sanctionné la réunion d’Abidjan, rapporte l'AIP.

Réunis vendredi, au regard du contexte économique marqué par des incertitudes au plan international comme régional, ils ont réaffirmé leur attachement au principe de solidarité régionale afin d’apporter des réponses concertées et communes aux défis économiques, sociaux et sécuritaires que certains Etats rencontrent.

Selon le communiqué final, face à que la hausse du niveau d’endettement et aux chocs exogènes que des Etats rencontrent, les participants ont exprimé leur volonté à réduire les déséquilibres budgétaires afin de garantir le bon fonctionnement des unions monétaires et de préserver la l’élan de développement.

Ils ont par ailleurs, souligné la nécessité de poursuivre la mise en œuvre des mesures permettant de renforcer cette intégration régionale, facteur de résilience et de solidarité des Etats de la Zone Franc face aux chocs exogènes négatifs.

S’agissant du recours aux marchés financiers internationaux, les participants se sont accordés sur une approche globale de leurs stratégies en se fixant plusieurs principes.

Il s’agit de la préservation d’une trajectoire soutenable d’endettement, la transparence dans le cadre des analyses de viabilité de la dette, le dialogue régulier avec les créanciers souverains et les institutions financières internationales, l’équilibre du recours aux différents types d’instruments de dette, le renforcement des capacités de gestion des émissions obligataires, et enfin le caractère régulier du partage d’expérience notamment lors des réunions semestrielles des ministres de la Zone Franc.

Pour ce qui est de l’initiative Compact with Africa du G20 visant à accroître l’investissement privé, notamment dans les infrastructures, dans les pays d’Afrique subsaharienne, plusieurs Etats de la Zone Franc ont manifesté leur intérêt pour participer à cette initiative et ont formulé le vœu que les travaux du G20 débouchent sur des actions concrètes. La prochaine réunion des ministres des finances de la Zone Franc aura lieu à Paris, France.

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La commune de Tortiya, située à l’Ouest du département de Niakaramandougou (Centre-Nord, région du Hambol), va bénéficier d’un appui de l’Agence américaine de développement international (USAID) en Côte d’Ivoire pour la mise en œuvre d’un projet visant le reboisement d’une vingtaine d’hectares, a appris l’AIP vendredi auprès de l’USAID.

Selon le chef de bureau du projet « Droits de propriété et développement du diamant artisanal » à Tortiya cofinancé par l’USAID et l’Union européenne (UE), Emile Kpan, les autorités municipales vont entreprendre incessamment le reboisement de 24 ha dans le périmètre communal, notamment dans les zones périurbaines et urbaines.

“Le reboisement des sites dégradés par l’artisanat minier, particulièrement le diamant, permettra aux autorités municipales, appuyées par l’USAID et l’UE, de restaurer le couvert végétal avec pour avantage l’amélioration des données pluviométriques et hydrométriques”, a-t-il indiqué. Pour lui, le changement climatique et son influence sur l’environnement et la société sont au cœur des préoccupations.

Selon le maire de la ville de Tortiya, Yéo Zoumana, ce projet est une ébauche de réponse face non seulement  au réchauffement climatique dû à la déforestation mais aussi et surtout à la détérioration du sol du fait de l’exploitation du diamant, un problème spécifique à la commune de Tortiya, qui entrave son développement.

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Quelque 156 migrants Ivoiriens, dont 13 mineurs, en provenance de Libye, ont été accueillis, jeudi, à l’aéroport Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, en présence du ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, Ally Coulibaly et des responsables de l’Organisation internationale de la migration (OIM), rapporte l'AIP.

« C’est une grande émotion pour moi, chaque fois que des migrants ivoiriens retournent dans leur pays. Grâce au soutien du gouvernement  et de l’OIM, l’opération de rapatriement s’est déroulée dans de très bonnes conditions. Elle marque la volonté du gouvernement ivoirien de venir en aide à tous les compatriotes en situation de détresse dans quelques pays que ce soit », a exprimé le ministre Ally Coulibaly à l’arrivé des migrants.

Ally Coulibaly a également lancé un appel aux jeunes ivoiriens, estimant que « c’est en Côte d’ivoire qu’ils peuvent réaliser leur bonheur et qu’il n’y a pas lieu de prendre des risques inconsidérés et périr dans les eaux méditerranéennes ». Il a tout de même sollicité l’aide de la communauté internationale, de l’Union européenne en particulier, pour faciliter l’intégration de ces jeunes migrants revenus de Libye.

Sékou Ibrahim, 16 ans, a exprimé sa joie de retrouver la Côte d’Ivoire. Il a exhorté les jeunes Ivoiriens qui seraient tentés par cette aventure de renoncer. « Je demande à mes camarades qui veulent s’y rende de renoncer immédiatement. En Libye, des bandits tuent. Ils s’invitent dans les camps et vous arrosent. Des amis avec qui je suis allé sont morts », a-t-il révélé.

En 2016, environ 12 000 migrants ivoiriens dont 1200 mineurs avaient été recensés en Libye, selon les chiffres de l’OIM qui prône le respect de la dignité humaine.

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Le préfet de Tengréla, Diomandé Cyrille Ambroise, a effectué une visite sur le chantier de construction de la mine d’or de Sissengué, à 24 km de la ville, détenue par la société Perseus Mining SA. La visite conduite par le directeur général adjoint de la société minière, Diarra Yacouba, mercredi, a permis au préfet et à sa délégation de parcourir les différents sites de la mine en construction.

A cette occasion, le directeur général adjoint de la société a indiqué que la première coulée d’or de la mine de Sissengué est prévue pour mars 2018, date à laquelle, estime-t-il, les travaux dans l’ensemble seront achevés. « Pour l’heure, le camp de logement du personnel avec les commodités qui vont avec, notamment le restaurant, le bar, les bureaux sont achevés à 90% après les travaux de terrassement qui sont complètement achevés. Les travaux de construction de l’usine de traitement sont estimés à 10% et les autres travaux tels la construction de l’aérodrome, le site de la retenue d’eau usée sont également entamés et avancent bien », a rassuré le DGA à la délégation préfectorale.

Le préfet s’est réjoui de l’état d’avancement des travaux de la mine, « entité économique importante » selon lui dans le département. Il a également félicité et encouragé les responsables de Perseus Mining SA pour les actions de développement déjà entreprises au profit des populations.

Il les a invité à « travailler continuellement dans la concertation, le dialogue et la pédagogie » avec toutes les parties prenantes. « Je tiens à un climat apaisé dans l’exécution du projet. Je voudrais vous demander d’être pro-réactifs dans la mise en œuvre des projets identifiés par les populations pour éviter tout malentendu », a-t-il recommandé aux responsables de la société minière.

Les travaux de construction de la mine d’or de Sissengué ont été lancés le 26 avril 2015 par Daniel Kablan Duncan, alors premier ministre. Le coût de la construction de cette unité industrielle, d’une production prévisionnelle de 30 T d’or, est estimé à 66 milliards de francs CFA, pour 375 emplois directs à générer au cours de cette phase.

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Les clubs ivoiriens de l’Association Sportive de Tanda et de l’Asec Mimosas qui jouent ce weekend pour le compte des matchs retour des 16e de finale du tour de cadrage de la coupe de la Confédération africaine de football (CAF), sont confiants en une qualification pour le tour suivant.

Après sa victoire de (2-0) sur l’équipe Sud-Africaine de Platinium Star au stade Robert Champroux de Marcory, l’AS Tanda est en déplacement à Johannesburg pour confirmer le résultat de la manche aller. « On donnera tout pour la qualification. Je connais bien l’Afrique du Sud. Nous avons une avance de deux buts mais nous allons évoluer comme si on recommençait à zéro. L’équipe est à même de revenir avec la qualification mais il faut être prudent », a rassuré l’entraîneur du club, Firmin Koffi.

De son côté l’Asec Mimosas rêve aussi d’une qualification face au club Gabonais du Centre de formation de Mounana. Battu (1-2) au stade de l’Amitié de Libreville, les Mimosas qui retrouvera ses deux internationaux Burkinabè que sont le portier Hervé Koffi et Aristide Bancé, donnera tout pour venir à bout  de son adversaire. La rencontre est prévue dimanche, à 16heures (GMT) au stade Robert Champroux de Marcory.

En cas de succès, l’Asec Mimosas et l’AS Tanda seront qualifiés pour la phase de poules de la compétition. Il s’agit de l’une des innovations introduites dans l’organisation des coupes d’Afrique des clubs par la CAF à partir de la saison 2016-2017, précise-t-on.

AIP

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Le général Dogbo Blé Bruno, ex-commandant de la Garde républicaine et les Colonels Aby Jean, adjoint de Dogbo Blé, et Okou Modi, Commandant du PC du Palais présidentiel, ont été déclarés, jeudi, complices des faits qui leur sont reprochés dans le procès de l’affaire du Novotel.

Il a en outre été prononcé contre eux la destitution militaire. Le tribunal qui a requalifié les faits d’assassinat en meurtre a rendu son verdict tard dans la nuit après de longues heures de délibération.

La plus lourde peine a été prononcée contre le Commissaire Osée Logué qui lui a pris 20 ans de prison et contre qui a été retenu les faits de co-auteur d’arrestation illégale, de séquestration et de disparition de cadavre. Les nommés Guéï  Bléka et  Yoro Tapeco ont pris chacun 10 ans de prison. Il a été retenu contre eux, les faits d’arrestation illégale. Quand aux autres accusés, à savoir Don Joël, Zazou Koffi, Houphouet Félix et Séry Joseph, ils ont été acquittés par le tribunal.

Le 4 avril 2011, au plus fort de la crise post-électorale, Stéphane Frantz Di Rippel, DG du Novotel, Raoul Adeossi, Chellian Pandian et Yves Lambelin, DG d’entreprise, avaient été enlevés au Novotel-Plateau pour être ensuite conduits au Palais présidentiel où ils ont trouvé la mort, rappelle-t-on.

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La capitale économique ivoirienne, Abidjan, abritera du 24 au 28 mai, la 9èmeédition du Salon international du livre d’Abidjan (SILA) autour du thème « Le livre au cœur de la famille », dont l’écrivaine ivoirienne Régina Yaou (Prix d’excellence 2014 pour la littérature) sera l’égérie « pour la qualité de sa production », annoncent les organisateurs.

Tribune d’échanges, de partage et de mutualisation des expériences et passions, cette édition de l’événement phare de l’Association des éditeurs de Côte d’Ivoire (ASSEDI), parrainée par le ministère de Culture et de la Francophonie, lui rendra hommage, selon un communiqué de l’ASSEDI.

Le choix du thème vise à interpeller l’autorité parentale sur l’importance et la nécessité du livre dans la vie familiale, sociale et culturelle tout en interpellant l’autorité publique sur son statut de « bien d’autorité publique ».

Promotion du livre, lutte contre l’analphabétisme et l’illettrisme, promotion de la liberté de publier sont quelques uns des thèmes au centre de cette édition dont la précédente a enregistré plus de 50 000 participants et visiteurs.

L’invitée d’honneur, Régina Yaou, a publié plus d’une vingtaine d’ouvrages et le Royaume d’Espagne en est le pays hôte, note-t-on.

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Le Conseil du café-cacao de Côte d’Ivoire et son homologue ghanéen, Cocoa Board, ont signé jeudi, l’Accord d’Abidjan découlant de la volonté commune des Présidents Alassane Ouattara et Nana Akufo-Addo, en faveur d’une économie cacaoyère durable dans les deux pays, rapporte l'AIP.

Selon le directeur général du Conseil du café-cacao, Mme Massandjé Touré-Litse, cet Accord conclu à la salle de conférence du 23ème étage de l’immeuble de la Caistab, au Plateau, concerne plusieurs points dont le niveau de production, la vente du cacao, le trafic transfrontalier, la promotion de la consommation par les nationaux, la transformation.

L’Accord d’Abidjan porte également sur les organisations internationales et la position commune à adopter vis-à-vis des partenaires privés, il établit aussi des comités de pilotage. Il s’agit de deux comités techniques et d’un comité spécial. Le 1er se réunira tous les trois mois de façon alternative entre Abidjan et Accra et le second le fera autant de fois que nécessaire, a ajouté Mme Touré-Litse.

Quant au directeur exécutif de Cocoa Board, Joseph Boahen Aidoo, il a indiqué que cet accord bilatéral, encore au stade embryonnaire, met l’accent sur la politique de commercialisation du cacao.

« A la lumière de l’engagement des deux Présidents et de l’appui politique, Cocoa Board et le Conseil du café-cacao se sont résolus à bénéficier d’une meilleure commercialisation en faveur des deux pays respectifs », a-t-il résumé.

Pour M. Aidoo, cette première étape de signature augure de réflexions à mener entre Abidjan et Accra, en vue de prendre davantage de mesures en matière de commercialisation ainsi que sur les questions de lutte contre la contrebande des cultures de rente et sur le travail des enfants.

Le cacao joue un rôle prédominant dans l’économie ghanéenne dans laquelle il contribue à hauteur de 25% des exportations et de 8,2% du PIB. En Côte d’Ivoire, premier producteur mondial de la fève, il représente 50% des recettes d’exportation et 15% du PIB, selon la Banque mondiale. Ces deux pays représentent 60% de la production mondiale, aux dires du ministre ivoirien de l’Agriculture et du Développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly.

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Le Conseil de l’Entente, la première organisation sous-régionale d’intégration créée le 29 mai 1959, aura un nouveau siège à Abidjan d’ici à fin novembre 2019, a indiqué jeudi, le Secrétaire exécutif, Patrice Kouamé, lors de la présentation du projet, au Golf Club de Cocody-MPouto, en présence du ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, Ally Coulibaly, rapporte l'AIP.

Prévu sur une superficie de 17 000 m² dans la commune du Plateau (le centre des affaires d’Abidjan), non loin de la rue des Banques, il s’agit d’un immeuble de haut standing de 20 étages dénommé « Tour de l’entente », avec 17 étages de bureaux en location (un seul pallier abritera le personnel de l’organisation), des parkings et un espace commercial. Le coût global des travaux qui démarreront en juillet et qui dureront 24 mois, est évalué à 50 milliards de francs CFA.

Selon M. Patrice Kouamé, le projet de « Tour Entente » s’inscrit dans la réalisation d’un programme immobilier du secrétariat exécutif, destiné à la location, dans tous les pays membres de l’Organisation afin de pallier les difficultés financières de l’Institution.

Ce projet immobilier contribuera à immortaliser l’œuvre des Pères fondateurs du Conseil de l’Entente qui l’ont voulu un instrument de paix et de développement, de rendre hommage aux Chefs d’Etat en fonction, de pérenniser l’Institution, d’assurer sa visibilité et sa crédibilité et de participer à l’embellissement des villes capitales politiques ou économiques, a-t-il justifié.

Pour le ministre Ally Coulibaly, cette initiative du Secrétariat exécutif est le « symbole de la vitalité retrouvée, de la foi inébranlable en l’avenir et de l’audace des dirigeants » de faire renaître l’Institution de ses cendres. « Ce projet est un pari audacieux qui engage à la fois nos Chefs d’Etat et nos Etats. Un tel projet était impensable il y a six ans tant l’Institution était dégradée », a-t-il déclaré.

Le projet de construction immobilière par le secrétariat exécutif du Conseil de l’Entente a été adopté le 11 juillet 2016 à Niamey par la Conférences des Chefs d’Etat. Vieille de 58 ans, le Conseil de l’Entente regroupe cinq pays de l’Afrique de l’Ouest que sont la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso (jadis Haute Volta), le Bénin, le Togo et le Niger, précise-t-on.

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Le Conseil de l’Entente, la première organisation sous-régionale d’intégration créée le 29 mai 1959, aura un nouveau siège à Abidjan d’ici à fin novembre 2019, a indiqué jeudi, le Secrétaire exécutif, Patrice Kouamé, lors de la présentation du projet, au Golf Club de Cocody-MPouto, en présence du ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, Ally Coulibaly.

Prévu sur une superficie de 17 000 m² dans la commune du Plateau (le centre des affaires d’Abidjan), non loin de la rue des Banques, il s’agit d’un immeuble de haut standing de 20 étages dénommé « Tour de l’entente », avec 17 étages de bureaux en location (un seul pallier abritera le personnel de l’organisation), des parkings et un espace commercial. Le coût global des travaux qui démarreront en juillet et qui dureront 24 mois, est évalué à 50 milliards de francs CFA.

Selon M. Patrice Kouamé, le projet de « Tour Entente » s’inscrit dans la réalisation d’un programme immobilier du secrétariat exécutif, destiné à la location, dans tous les pays membres de l’Organisation afin de pallier les difficultés financières de l’Institution.

Ce projet immobilier contribuera à immortaliser l’œuvre des Pères fondateurs du Conseil de l’Entente qui l’ont voulu un instrument de paix et de développement, de rendre hommage aux Chefs d’Etat en fonction, de pérenniser l’Institution, d’assurer sa visibilité et sa crédibilité et de participer à l’embellissement des villes capitales politiques ou économiques, a-t-il justifié.

Pour le ministre Ally Coulibaly, cette initiative du Secrétariat exécutif est le « symbole de la vitalité retrouvée, de la foi inébranlable en l’avenir et de l’audace des dirigeants » de faire renaître l’Institution de ses cendres. « Ce projet est un pari audacieux qui engage à la fois nos Chefs d’Etat et nos Etats. Un tel projet était impensable il y a six ans tant l’Institution était dégradée », a-t-il déclaré.

Le projet de construction immobilière par le secrétariat exécutif du Conseil de l’Entente a été adopté le 11 juillet 2016 à Niamey par la Conférences des Chefs d’Etat. Vieille de 58 ans, le Conseil de l’Entente regroupe cinq pays de l’Afrique de l’Ouest que sont la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso (jadis Haute Volta), le Bénin, le Togo et le Niger, précise-t-on.

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