Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Neuf orpailleurs clandestins d’origine chinoise ont été appréhendés, lundi, sur le site aurifère d’Allé, près du village de Kouakougnangnou, à 40 km de Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué), lors d’une opération de déguerpissement menée par la gendarmerie.

Selon des sources proches de la gendarmerie, ces chinois s’adonnaient à l’extraction illégale de l’or avec du matériel industriel à leur disposition. Ils ont été mis aux arrêts en attendant de les présenter au parquet de Bouaflé.

L’opération de déguerpissement suivra son cours pendant plusieurs jours, afin de détruire les installations illicites et mettre fin à l’orpaillage clandestin dans les localités de Kouakougnangnou, Angovia et  Alahoubazi, a appris l'AIP.

Source AIP

 

 

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La zone d’Abidjan connait désormais ses dix clubs qualifiés pour la phase finale du championnat national de première division 2015 de Maracana. Ces dix  formations ont obtenu leurs billets au complexe Jesse Jackson de Yopougon.

La manche retour du championnat national senior de Maracana, zone d’Abidjan, a eu lieu les samedi 25 et dimanche 26 avril au complexe Jesse Jackson de Yopougon. Un rendez-vous d’une importance capitale qui a vu pour vingt-cinq (25) clubs de première division disputer âprement leur chance. Au final, ce sont 10 clubs qui ont pu tirer leur épingle du jeu, obtenant ainsi leur ticket pour la phase finale à Yamoussoukro prévue les 23 et 24 mai.

Liste des  dix clubs qualifiés et leur poule :

POULE  A

-        ASAC DE YOPOUGON

-        CAMA  ABOBO

POULE B

-        OCV KOUMASSI

-        GEMA DE YOPOUGON

POULE C

 -        BOLLORE MC DE TREICHVILLE

-        CAM  BOUAKE

POULE D

 -        SOMACY (YOPOUGON)

-        GEMC  YOPOUGON

POULE E

 -        MC 180  YOPOUGON

-        ANCIENS DU CAMPUS (COCODY)

 

 

Izoudine Youssef

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Le cancer du col est la 2ème cause de cancer féminin et le 2ème cancer féminin le plus fréquent chez les femmes âgées de 15 à 44 ans en Côte d’Ivoire, selon le groupe Merck Sharp & Dohme (MSD).

 

Environ 1 346 nouveaux cas de cancer du col utérin sont diagnostiqués chaque année en Côte d’Ivoire (estimation pour 2012) et 866 femmes meurent chaque année de la maladie.

 

D’après les estimations, en Afrique, 266 000 femmes meurent chaque année du cancer du col de l’utérus. Plus de 85 % de ces décès frappent des femmes des pays en développement.

 

Le cancer du col de l’utérus est le cancer le plus fréquent en Afrique et demeure donc une importante menace qui exige une attention immédiate dans la région africaine. En 2012, plus d’un demi-million de nouveaux cas de cancer du col de l’utérus ont été diagnostiqués dans le monde. Un cas sur cinq se trouvait en Afrique sub-saharienne.

 

La cause principale des lésions précancéreuses et du cancer du col de l’utérus est une infection persistante ou chronique avec un ou plusieurs types du virus du papillome humain (VPH) à haut risque. Le VPH est l’infection la plus répandue contractée lors de relations sexuelles. Elle est contractée le plus souvent par les adolescents et les jeunes adultes lors de leurs premiers rapports sexuels.

 

Le cancer du col de l’utérus est une maladie qui peut être évitée. La vaccination, associée au dépistage et au traitement, constitue la meilleure stratégie pour réduire rapidement la charge que représente le cancer du col de l’utérus.

 

« Depuis plus de 100 ans, les scientifiques de MSD découvrent et développent des vaccins permettant de prévenir certaines maladies chez les enfants, les adolescents et les adultes », a déclaré Farouk Shamas Jiwa, Directeur Afrique, Public Policy and Corporate Responsibility, MSD.

 

Filiale de Merck & Co. Inc., MSD est un acteur majeur de la santé. Avec ses médicaments, vaccins, thérapies biologiques, produits de santé animale et grand public, le Groupe MSD propose des solutions innovantes dans plus de 140 pays à travers le monde. L’engagement de MSD en faveur de l’accès aux soins se fait également à travers de larges programmes de donation et de mise à disposition de médicaments pour ceux qui en ont le plus besoin.

 

source : AIP

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L'Afrique est devenue ces dernières années une destination de choix pour les exportations néerlandaises, qui ont connu au cours de la période 2008-2014, une hausse moyenne de 3 pc, selon des chiffres de l'Office néerlandais des statistiques (CBS).

En 2014, la valeur des exportations des Pays-Bas vers l'Afrique a atteint plus de 14,2 milliards d'euros, dépassant ainsi celle des exportations néerlandaises vers l'Espagne, indique le CBS.

Neuf pays africains figurent parmi les 20 Etats émergents les plus importants, souligne la même source, ajoutant que le Togo, le Ghana et le Sénégal figurent au top 5 de ces pays africains émergents.

En 2014, la valeur des exportations hollandaises vers ces trois pays a atteint près de 2,8 milliards d'euros, soit légèrement au-dessus de la valeur des exportations néerlandaises vers le Brésil, précise-t-on.

source AIP

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La Côte d'Ivoire est invitée à présenter ses opportunités d'investissements à l'occasion du prochain forum Union européenne-Afrique qui se déroulera du 6 au 8 mai prochain à Mons, en Belgique, a appris l'AIP de source officielle.

Sur l'initiative de la Chambre UE-Afrique de commerce (EUACC), ce premier rendez-vous de haut niveau, dénommé UE-Africa B2B Forum, est avant tout de réunir les professionnels d'affaires qui discuteront de leurs attentes, besoins et opportunités mutuelles en matière de business.

Une occasion de plus pour la délégation ivoirienne de rappeler certainement la grande ambition des autorités ivoiriennes de "faire de la Côte d'Ivoire un pays émergent à l'horizon 2020", avec une ouverture accrue du pays aux investisseurs internationaux, grâce à d'importantes réformes structurelles et sectorielles réalisées par le gouvernement pour "amplifier le dynamisme du partenariat public-privé".

UE-Africa B2B Forum va rassembler près de 500 participants en provenance de 50 pays dont ceux de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) qui vont présenter plusieurs projets d'infrastructure tels que l'aménagement d'importants axes routiers reliant de grandes villes ouest- africaines à l'occasion de l'atelier dédié à l'Union.

EU-Africa B2B Forum qui se tiendra en collaboration avec Euronews, permettra aux professionnels des pays d'Afrique et des secteurs privés européens d'initier des contacts d'affaires.

La Chambre UE-Afrique de commerce dont le siège est à Bruxelles a pour mission de promouvoir le développement du secteur privé africain et d'encourager des partenariats gagnant-gagnant et durables entre les secteurs privés européens et africains.

AIP

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L'armée nigériane a affirmé, mardi, avoir libéré 200 filles et 93 femmes dans un fief du groupe islamiste Boko Haram. « Les troupes ont pris et détruit cet après-midi trois camps de terroristes dans la forêt de Sambisa », un des principaux repaires de Boko Haram, dans le nord-est du Nigeria », a déclaré Chris Olukolade, le porte-parole de l'armée, dans un communiqué, faisant référence à un district de l'Etat de Borno.

Toutefois, l’armée n’a pas précisé si certaines d'entre elles faisaient partie des 276 lycéennes enlevées à Chibok le 14 avril 2014, dont 57 avaient pu s’enfuir. « Il n'est pour l'instant pas confirmé que les filles soient celles de Chibok. On vérifie l'identité des personnes libérées », a-t-il ajouté. Selon Amnesty International, au moins 2 000 femmes et fillettes ont été enlevées au Nigeria depuis le début de l'année dernière.

 

Les Nations unies et des organisations de défense des droits humains ont aussi dénoncé le ciblage délibéré d'enfants, garçons et filles, par les islamistes, dont l'insurrection et la répression armée ont fait au moins 15 000 morts depuis six ans. Plusieurs personnalités ont apporté leur soutien au mouvement Bring Back Our Girls (« Ramenez-nous nos filles »), dont Michelle Obama, la Première dame des Etats-Unis, et Malala, la jeune lauréate pakistanaise du prix Nobel de la paix.

Source : AIP

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Bakary Kamega est le nouveau président de la Fédération ivoirienne de boxe (FIB). Il a mis au tapis le président sortant Wayebi Adebayor dit Waby Spider à l’issue d’une assemblée générale élective. Son élection met ainsi fin à une interminable crise au sein de cette fédération, et à 2 ans de règne de Waby Spider(élu le 26 janvier 2013) qui a perdu son fauteuil au profit de son vice-président.

 

Le sort de Waby Spider a été scellé par 47 clubs appartenant au Collectif des présidents de boxe de Côte d'Ivoire. L’assemblée générale élective, qui a eu lieu le samedi 25 avril 2015, à la Bourse du travail de Treichville, a permis aux clubs d’exprimer leur ras-bol. Elu à l'unanimité, le nouveau président aura comme première mission d’accompagner le Comité national olympique de Côte d'Ivoire (CNO-CIV), dans l'organisation des élections de cette fédération sportive le 10 mai 2015.

Anthony Rabé, Secrétaire général de la FIB, a évoqué les raisons qui ont conduit à la chute de Waby Spider. Selon lui, le collectif reprochait au président sortant d’avoir une gérance opaque de la fédération, et d’utiliser les logos de la FIB à des fins personnelles.

« C'est la première fois qu'on observe une union véritable au sein de la famille de la boxe. Je suis sûre que le comité directeur qui sortira des prochaines élections sera meilleur », s’est réjoui, pour sa part, le colonel Daouda Doumbia de la Soa.

 Izoudine Youssef

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Le plus gros scandale de l’histoire du sport ivoirien vient d'éclater au bord de la lagune Ebrié. Nos héros. Les Eléphants de Côte d’Ivoire. Après avoir triomphalement décroché et ramené Dame Coupe d’Afrique des Nations chez nous, redoré le blason de la tunique Orange-blanc-vert suite à tant d’années infructueuses. Après avoir rendu au pays sa fierté et sa dignité. Après avoir donné un l’espoir d’unité nationale retrouvée. Après avoir remis les Ivoiriens sur le chemin de cette « Patrie de la Vraie Fraternité ». Après avoir fait soupirer le premier des Ivoiriens : « Ah quel bonheur ! ». Sont aujourd’hui en attente de leurs dernières primes. Aux yeux de tous, aux yeux du monde.

Et ceux-là, que font-ils ? Comme des bambins, ils se lancent des pierres sans inertie. Ils se lancent des défis absurdes à gorges déployées : "Allons à la confrontation". Des piques à la teneur de leurs égos débordés d’orgueil et de sarcasme. "Ils", c’est bien eux! l’un est ministre en charge de le Jeunesse, des Sports et Loisirs. L’autre, président de la Fédération ivoirienne de football. L’un est surtout chargé d’inculquer le civisme chez les Ivoiriens ; c’est-à-dire le respect des valeurs sacrée de la République. L’autre de préparer et organiser la défense des couleurs nationales sur le gazon vert à travers le sport roi. Ils se prénomment Alain (Lobognon) et Sidi (Diallo). Oui, ces deux-là, si nous nous en tenons à nos lectures et remarques sur leurs rapports mutuels depuis bien longtemps, nous conviendrions avec ceux qui concluent à l’idée qu’ils ne s’aiment pas beaucoup. Au point qu’à un moment pareil, où chacun doit ravaler son "moi" pour éviter le déshonneur à la patrie, ils oublient du coup, chacun son niveau de responsabilité, son mandat de garant de la bonne image du pays devant l’extérieur. Ils préfèrent éclabousser la Nation de leur haine réciproque.

Ainsi, une affaire aussi simple qu’on aurait pu régler par simple concertation, loin de toute oreille indiscrète et de tout esprit polémiste, a été expressément, volontairement, laissée pourrir par les deux camps pour que la terre entière inhale sa nauséabonde senteur de mal gouvernance publique. Et dans cette situation, qui est vraiment écornée ? C’est bien la pauvre Côte d’Ivoire. Par qui ? Par Alain et Sidi. Et le pire, c’est qu’ils ne se rendent même pas compte qu’ils dénudent leur propre patrie de sa fierté à chaque fois qu’ils se lancent des anathèmes d’une façon aussi ouverte. L’un mime le loubard "nouchi" de la pire espèce par le langage ("les monmonseurs de jetons…") dans un humour forcé qui ne fait pas rire du tout, l’autre, préfère alimenter la polémique.

Et on oublie même le portée sociale de cette coupe d’Afrique. La symbolique d’unité nationale qu’elle représente. Mais encore pire, l’image d’un pays corrompu avec laquelle la Côte d’Ivoire va sortir de ce scandale. C’est pourquoi, nous estimons que cette affaire, au-delà de son caractère scandaleux, constitue une honte éléphantesque pour la Côte d’Ivoire, infligée par l’attitude d’Alain et Sidi. Une honte nationale qu'ils doivent nous épargner en faisant, chacun, preuve d'humilité et de retenue. Ou tout simplement, s'ils le veulent bien, qu'ils aillent se battre ailleurs !

 

Abdoul Razak Dembélé

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Le ministre ivoirien de l’agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly, a qualifié d’« exemplaire » la coopération maroco-ivoirienne dans le domaine agricole, comme en témoigne la participation du Royaume en tant que pays d’honneur au Salon de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (SARA), organisé du 03 au 12 avril 2015.

« Ce Salon a été l’occasion pour les deux parties d’échanger leurs expériences respectives acquises dans le domaine agricole », a affirmé, lundi à Meknès, M. Sangafowa Coulibaly, dans une déclaration à la presse, en marge des 8èmes Assises nationales de l’agriculture, organisées sous le thème « Inventer l’agriculture du futur, un projet pour tous ».

Le ministre ivoirien a mis en évidence, dans ce cadre, l’assistance technique apportée par le Maroc à la Côte d’Ivoire pour organiser le SARA 2015, et qui s’inscrit dans le cadre de la Coopération Sud-Sud que « nous devons ensemble encourager ».

M. Sangafowa Coulibaly a rappelé la signature en juillet 2014 de l’accord de coopération visant la mise en place d’une plateforme logistique à Abidjan pour l’importation des produits agricoles marocains, notamment les fruits et légumes.

Par la même occasion, M. Sangafowa Coulibaly a mis l’accent sur les défis que l’agriculture ivoirienne devrait relever, notamment en matière d’investissement et de mobilisation des ressources, d’exploitation rationnelle des ressources en eau, de mécanisation et de transformation de la production agricole pour en tirer plus de valeur ajoutée.

Placée sous le thème « Inventer l’agriculture du futur, un projet pour tous », la 8è édition des Assises nationales de l’agriculture a choisi de se pencher sur l’avenir de l’agriculture marocaine et les moyens concrets pour faire de cette dernière une locomotive de développement économique et social du Royaume.

Organisé sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, ce rendez-vous, marqué cette année par la présence de marque du président sénégalais Macky Sall, se veut un carrefour de rencontres de haut niveau des décideurs du secteur agricole, nationaux et internationaux, afin de délivrer leurs visions sur les perspectives d’une agriculture plus que jamais interpellée pour des défis majeurs liés à la protection des populations, des territoires et de l’équilibre de la planète.

 

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Torture, abus sexuels, non respect des clauses des contrats, violences physiques et morales: la désillusion est très souvent grande pour les jeunes filles africaines ( ivoiriennes y compris), qui tentent l'aventure des pays du Maghreb ou du Golf pour occuper des postes de servantes dans des familles. Souvent traitées, par leurs patrons commes des esclaves de service, c'est très atteintes moralement, souvent même mentalement et au niveau de la santé que ces jeunes filles, pour celles qui ont la chance d'y survivre, retrouvent leurs familles dans leurs pays respectifs. Depuis ces dernières années, le gouvernement ivoirien en engagé dans une lutte contre les réseaux mafieux au service de ce trafic d'êtres humains. Ainsi, la ministre ivoirienne de la Solidarité, de la Famille, de la Femme et de l'Enfant, Anne Désirée Ouloto a rencontré, lundi, à son cabinet d'Abidjan plateau les ambassadeurs de Côte d'Ivoire au Liban, en Arabie Saoudite, en Tunisie, en Egypte et le consul général de Djeddah en vue de solliciter leur collaboration pour la mise en oeuvre d'une stratégie de lutte contre la traite de personnes et pratiques assimilées.

Mme Ouloto a expliqué lors des échanges, que de façon récurrentes des Ivoiriens (en majorité des filles) partent à l'aventure et vivent le calvaire et qu'avec la collaboration d'INTERPOL, de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), de l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime(UNODC) et autres organismes, plusieurs ont été interceptés dans certains pays et rapatriés en Côte d'Ivoire.

"Une stratégie nationale de lutte contre ce phénomène est en préparation avec la participation de toutes les parties prenantes. Nous sollicitons votre contribution en vue de trouver des solutions durables à ce phénomène et mettre ainsi hors d'état de nuire ces réseaux de trafiquants qui appâtent ces filles et garçons pour l'aventure et mettent leur vie en danger", a-t-elle affirmé.

La ministre Anne Ouloto a par ailleurs invité les ambassadeurs à sensibiliser les membres de la diaspora ivoirienne à s'impliquer davantage sur la sensibilisation de leurs parents restés au pays sur les difficultés des conditions de vie dans leurs pays de résidence.

Les cinq diplomates ont affirmé leur disposition à accompagner le gouvernement dans la réussite de cette mission.

Tenant compte de l'exemple de l'Ethiopie et aussi des Philippines, ils ont recommandé l'encadrement du gouvernement pour la création d'un cadre légal qui permet d'avoir des contrats de travail qui protègent les droits des ivoiriens candidats à l'immigration.

Ils ont également exposé les difficultés vécues par certains ivoiriens à l'étranger, et ont surtout plaidé pour un soutien financier de l'Etat de Côte d'Ivoire au sein des ambassades pour la prise en charge de cas urgents nécessitant des soins de santé, l'hébergement, le rapatriement (...).

Armand Tanoh, avec AIP

 

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