Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) a admis à sa cote les cinq premiers Sukuk émis par la Côte d’Ivoire, le Sénégal et le Togo, le mardi 18 octobre 2016 en marge du 2ème Forum sur la Finance Islamique en Afrique tenu à Abidjan

Cette première cotation concrétise l’engagement de la BRVM pour le développement de la finance islamique sur le Marché Financier Régional de l’UEMOA. Elle va renforcer l’attractivité et la liquidité de ses obligations islamiques, particulièrement pour les porteurs personnes physiques, tout en assurant le succès des futures émissions des Etats de l’UEMOA.

Les Sukuk constituent des sources innovantes de financement des économies de l’UEMOA. Outre les Etats, les Institutions financières et le secteur privé sont invités à émettre des SUKUK pour le financement des économies de l’Union en vue d’accélérer sa croissance. Pour son Excellence Monsieur Daniel Kablan DUNCAN, Premier Ministre, Ministre de l’Economie, des Finances et du Budget de Côte d’Ivoire : "le développement de la finance islamique est un axe majeur pour le développement du Marché Financier régional en vue du financement de la croissance de la Côte d’Ivoire et de l’ensemble de l’UEMOA".

La Société Islamique pour le Développement du secteur privé (SID), filiale de la Banque Islamique de Développement est le grand acteur des opérations  avec le concours des Sociétés de Gestion et d’Intermédiation et des Sociétés  de Gestion des Fonds Communs de Titrisation. Elle confirme ainsi son engagement à soutenir le développement de l’Afrique. Pour le Directeur Général de la SID, Monsieur Khaled AL ABOODI : "cette cotation est l’une des plus importantes jamais encore réalisées à travers le monde et la SID est fier d’en être l’un des acteurs".

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Pascal Abinan Kouakou, ministre de la Fonction publique et de la modernisation de l’administration a échangé avec la plateforme nationale des organisations professionnelles du secteur public de Côte d’Ivoire, mardi, à son cabinet au Plateau. Il a exprimé la détermination du gouvernement à trouver des solutions aux préoccupations des fonctionnaires et agents de l’Etat de Côte d’Ivoire.

 

La plateforme nationale des organisations professionnelles du secteur public de Côte d’Ivoire entend observer un arrêt de travail de 72 heures (8, 9 et 10 novembre 2016) pour revendiquer entre autres, le paiement intégral du stock des arriérés relatifs aux mesures de revalorisation de 2009, le retrait des dispositions antisociales de l’ordonnance 2012-303 du 4 avril 2012 portant organisation des régimes des pensions gérées par l’IPS(CGRAE), l’arrêt des violations des libertés syndicales dans l’administration publique, etc.

En recevant la Plateforme nationale à son cabinet, Pascal Abinan Kouakou, ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’administration, a pu faire le point sur la satisfaction des revendications, après la rencontre du 20 mai 2016. Une fois encore, le ministre l'a rassurée de la détermination du gouvernement à trouver des solutions à ses problèmes.

« Les portes du ministère sont ouvertes. (…) le fait de parler des problèmes même si les résultats attendus ne sont pas immédiats ça veut dire que le gouvernement est conscient de leur existence», a-t-il affirmé, soutenant qu’ « Aucun gouvernement ne peut mépriser ses propres fonctionnaires et agents ».

Pour M. Abinan, il faut croire en la bonne volonté de l’Etat à œuvrer pour le bien-être de ses travailleurs. « Il n’y a pas de problèmes sans solution. Mais c’est dans le dialogue et la convivialité qu’on peut trouver les solutions et non dans un bras de fer », a-t-il souligné, évoquant la poursuite des discussions. 

De son côté, le président de la Plateforme nationale, Théodore Gnagna Zadi, dire avoir compris le ministre, et attend revenir à la table des négociations. « Nous avons été très heureux de rencontrer le ministre pour échanger sur nos problèmes. Il nous a rassurés de sa disponibilité à la discussion et nous sommes également disposés, afin de trouver des solutions aux différentes préoccupations », a-t-il dit, sans manquer de préciser que la levée du mot d’ordre de grève dépendra de la suite des échanges.

 

Daniel Coulibaly(08077227)

 

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Les travaux pour la construction du barrage hydroélectrique de Singrobo-Ahouaty vont débuter en 2017, pour un coût de 108 millions d’euros soit 71 Milliards de FCFA, annonce un communiqué du ministère des Infrastructures économiques.

Ce projet, porté par la société Ivoire Hydro Energy S.A, est le premier partenariat public-privé (PPP) signé par l’Etat ivoirien dans le domaine de la production hydroélectrique, souligne le comuniqué.

 

Le barrage est constitué essentiellement d’une digue en enrochement d’une longueur de 1400 mètres qui relie les villages de Singrobo (rive gauche) et d’Ahouaty (Rive droite). La Puissance installée est de 44 MW avec un productible de 215 GWh. Il produira une électricité propre et moins chère que le thermique et offrira aux populations du département de Taabo des opportunités de développement, notamment dans les domaines de la pêche professionnelle,  de l’écotourisme,  des infrastructures sociales, explique le document.

 

La construction de l’infrastructure va durer trois ans, permettra de créer environ 1.200 emplois directs et indirects, et désenclavera tous les villages de la rive droite du fleuve Bandama qui n’auront qu’à franchir une digue de 1400 mètres, au lieu de parcourir 40 km nécessaire à ce jour, pour rejoindre l’autoroute du Nord.

 

Le barrage hydroélectrique de Singrobo-Ahouaty est situé à 23 km en aval du barrage existant de Taabo sur le fleuve Bandama et à 140 km au nord d’Abidjan sur l’autoroute du Nord. On y accède en empruntant une piste situé à 3 km du rond-point  de la sortie du village de Singrobo allant sur l’autoroute.

 

AIP

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« Personne ne pourra », un des titres du single que vient de mettre sur le marché musical ivoirien l’artiste reggae Tom D Genèse, à l’état civil Hien Sié Thomas, originaire de Bouna localité située dans le Nord Est de la Côte d’ivoire.

Un single composé de deux titres dont « Personne ne pourra » et « Microbes », où l’artiste toujours engagé traite des faits de société et appelle les africains à être unis pour le développement de leur continent.

Ce single produit par l’artiste lui-même se veut le CD promo pour une carrière internationale. L’artiste entend donc commencer une campagne de communication dans les semaines à venir afin de mener son combat pour une « Afrique » qui ne tend pas toujours la main aux colonisateurs. Un message fort dans ce single qui fait suite au premier album de 10 titres sortie en 2012 intitulé « Réveille-toi Africa ».

Aujourd’hui, Tom D Genèse s’inscrit dans le cercle des reggaemakers ivoiriens et se distingue comme une valeur sûre de la musique reggae made in Côte d’Ivoire. Avec son orchestre composé de jeunes musiciens, il fait surtout la promotion de sa culture, de la région du Zanzan. Fils de Bouna, l'artiste Tom D GENESE, chante en Lobi et a même organisé en avril 2015, une tournée de réconciliation baptisée INAKAH TOUR qui veut dire «Aimons-nous», en langue Lobi de Bouna, avec des artistes issues de sa région, dont Hamed Farras.

C’est en 1997 à Bouaké, qu’il a débuté sa carrière au quartier Belle ville auprès de l’orchestre « LES WILSONS » de la mairie de Bouaké. Fan inconditionnel de la musique reggae, il était toujours abonné aux nouveautés de Lucky Dubé, Alpha Blondy, et surtout feu Bob Marley. En 1999, il entre en studio et enregistre sa première maquette. Le résultat est moyen ce qui amènera l’artiste a redoublé d’effort tant au plan vocal et dans ses compositions. Une fois sur les bords de la lagune Ebrié il se dit que tout est réuni pour parfaire et réussir cette carrière musicale dont il rêvait tant. Il découvre par la suite le fils de feu Mamadou DOUMBIA du nom de Moses propriétaire du studio DMB à Yopougon avec qui, il boucle l’enregistrement de son 1er album intitulé « Réveille-toi Africa » en 2010.

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Nadège KOFFI

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Une usine de riz sera bientôt bâtie à Foungbesso, dans le département de Touba, a annoncé, lundi, la présidente du conseil d’administration de la Fédération nationale des sociétés coopératives de vivriers de Côte d’Ivoire(FENASCOVICI), Irié Lou Colette.

La construction de cette unité, selon Mme Irié Lou, intègre un programme d’investissement dans le Bafing financé par la Banque africaine de développement (BAD) à hauteur de trois milliards F CFA.

« Ce programme est immense et va créer de nombreux emplois. C’est une aubaine pour vous les jeunes», a souligné  Irié Lou Colette, rappelant que cette initiative va rayonner grâce au travail des femmes et des jeunes.

Elle intervenait dans le cadre de la cérémonie de lancement du Programme d’appui à la production vivrière et à la sécurité alimentaire (PAPV-SA). Les responsables des coopératives et associations féminines agricoles ont, au nom du  délégué régional du Bafing de la FENASCOVICI, Nabintou Bamba, marqué leur adhésion à ce programme et se sont engagés à faire de la région de leur région, une zone de grande production de vivriers.

AIP

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Merck, entreprise de pointe spécialisée dans les sciences et les technologies, annonce aujourd’hui l’ouverture officielle de sa filiale à Abidjan, Côte d’Ivoire, qui sera la plateforme régionale pour les opérations de la société dans les pays francophones de l’Afrique Centrale et de l’Ouest.

“Depuis plusieurs années, la Côte d’Ivoire a montré une croissance continue, ainsi qu’une stabilité économique, politique et sociale. Le moteur de cette réussite étant une augmentation de la compétitivité et un progrès maintenu”, a déclaré le Dr. Frank Stangenberg-Haverkamp, président du Conseil d’administration et du Conseil de la famille d’E. Merck KG, lors de l’inauguration. “Nous sommes ravis d’ouvrir une filiale à Abidjan, qui sera notre première dans l’Afrique francophone subsaharienne”, a-t-il ajouté.

La filiale a été inaugurée par son l’ambassadeur de la République fédérale d'Allemagne en Côte d'Ivoire, Dr. Claus Auer, en présence de  personnalités importantes du gouvernement ivoirien, du Dr. Stangenberg-Haverkamp et du Dr. Karim Bendhaou, Président de Merck pour l’Afrique du Nord et de l’Ouest.  

“Cette nouvelle implémentation nous permet de renforcer et de développer nos activités déjà existantes dans le pays et sera la plateforme pour l’Afrique de l'Ouest et Centrale francophone. Nous continuons à fournir des produits spécialisés et de haute qualité pour servir les patients et les aider à améliorer leur qualité de vie,” a rajouté le Dr. Bendhaou.

Merck a également fait don de deux mini-laboratoires (« minilabs ») dans l’objectif de soutenir la Côte d’Ivoire dans sa lutte contre les médicaments contrefaits. Les mini-laboratoires, permettant la détection des contrefaçons, sont produits par le “Global Pharma Health Fund” (GPHF), une organisation caritative créée et gérée par Merck. 

“Nous avons le plaisir de confirmer que notre souhait d’établir un partenariat public-privé dans la lutte contre la contrefaçon se traduit par des mesures effectives incluant le don de minilabs ainsi qu'une participation active dans la campagne de sensibilisation menée par Madame la Ministre de la Santé et d’Hygiène Publique,” a déclaré le Dr. Bendhaou. La cérémonie de don a été honorée par la présence de Madame, la Première Dame de Côte d’Ivoire, Dominique Claudine Ouattara et S.E. Madame la Ministre de la Santé et d’Hygiène Publique, Dr. Raymonde Goudou Coffie. Ces mini-laboratoires seront les premiers à être utilisés en Côte d’Ivoire.

“Ce don de Merck permettra de renforcer notre système de contrôle des médicaments. Les populations seront rassurées qu’elles investissent dans des médicaments sûrs, non dangereux et propres à la consommation,” a confié pour sa part la ministre ivoirienne de la Santé et de l’Hygiène publique, Raymande Goudou Coffie. “Les laboratoires compacts mobiles sont uniques dans le monde pour leurs capacités à détecter très rapidement les contrefaçons de manière rapide et fiable et le Ministère de la Santé et de l'Hygiène Publique fait du contrôle qualité une priorité", a-t-elle dit. 

Le combat de Merck contre les médicaments contrefaits fait partie de ces initiatives en matière de responsabilité d’entreprise dans le domaine de la santé. Beaucoup de personnes dans des pays à revenu faible et intermédiaire n’ont pas accès à des solutions de santé de haute qualité et Merck utilise son expertise et collabore avec des partenaires de référence afin de développer des solutions innovatrices pour ces patients.

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Un seul candidat libérien a été admis au baccalauréat 2016 des pays anglophones d'Afrique de l'Ouest sur un total de 42.000.

Armstrong Gbessagee, 18 ans, fréquentait l'école J.J. Roberts United Methodist, un établissement situé dans la capitale, Monrovia,

"Peu importe où vous êtes, nous ne sommes pas moins intelligents que nos autres camarades de l'Afrique de l'Ouest. J'espère que d'autres voient en cela, une motivation.", a affirmé le nouveau bachelier.

Ces examens ont eu lieu au Ghana, au Nigeria, en Sierra Leone, au Libéria et en Gambie pour évaluer les niveaux des élèves.

Selon les résultats publiés par le Conseil d'Examen d'Afrique de l'Ouest (WAEC), en 2013, presque tous les 25.000 candidats libériens ont échoué le test d'admission à l'Université du Libéria, l'une des deux universités publiques du pays.

La présidente Ellen Johnson Sirleaf a réagi, considérant le système éducatif libérien de "gâchis".

Souurce : http://www.bbc.com

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La 2ème édition de la Journée nationale de partenariat Etat/Secteur privé pour une économie performante a eu lieu le jeudi 13 octobre 2016 au Sofitel Hôtel Ivoire et en présence du Premier ministre Daniel Kablan Duncan, président du Comité de concertation Etat/Secteur privé(CCESP) et Adama Koné, ministre auprès du Premier ministre chargé des Finances et des Budgets, son président du comité technique. L’Etat et le secteur privé s’engagent pour une croissance économique forte du pays d’ici 2020. Objectif : être parmi les 50 meilleures économies du monde, souhaite Daniel Kablan Duncan.

 

Parmi les 50 meilleures économies du monde

Daniel Kablan Duncan a relevé qu’il est important pour le public et le privé de marquer un temps afin d’apprécier le chemin parcouru, réaffirmer leur détermination à continuer la marche vers le développement et assurer la mise en œuvre de ce qui reste à faire… Pour Daniel Kablan Duncan, d’ici 2020, la côte d’ivoire doit avoir une économie forte pour être parmi les 50 meilleures économies du monde en termes de « Doing business ». Et dans le cadre du PND 2016-2020, l’ambition fondamentale, a-t-il souligné, c’est la transformation structurelle de l’économie ivoirienne à travers plusieurs secteurs tel que l’agro-industriel et bien d’autres secteurs, rassurant le privé qu’en plus des reformes déjà faites, d’autres suivront pour l’accompagner dans l’environnement des affaires.

De son côté, le ministre Adama Koné, président du comité technique de concertation a indiqué que « faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 » ne peut se réaliser en l’absence d’un partenariat fort entre l’Etat et le Secteur Privé. C’est pourquoi, il « encourage donc vivement le Secteur Privé à prendre toute la place qui lui est accordée dans le processus de reconstruction et de relance de l’économie ivoirienne », promettant la mise en place de conditions qui garantissent l’atteinte des objectifs de développement économique et social du pays.

Les rencontres « B to G »

La JNP 2016 a été également l’occasion pour les opérateurs économiques d’échanger avec les administrations publiques sur leurs préoccupations à travers des rencontres « Business to Gouvernement ». En outre, elle s’est aussi penchée sur la problématique de l’emploi jeune. Cette journée a pu bénéficier de l’appui du Groupe de la Banque Mondiale, le Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD) et la Commission de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA). 

Le but de la JNP

La Journée nationale du partenariat(JNP) initiée par le gouvernement ivoirien se veut un cadre privilégié de réflexions réunissant l’Etat et le Secteur Privé autour de questions stratégiques pour l’émergence économique du pays. Ainsi chaque année, elle est organisée afin de permettre à l’Etat et le Secteur privé de mesurer la qualité du dialogue, de mettre en lumière les acquis, de relever les principales attentes, de définir les perspectives de collaboration et de proposer les axes d’actions prioritaires à décliner dans l’agenda du Dialogue Public Privé. Il incombe donc à l’Etat de prendre toutes les dispositions afin de  permettre au privé de jouer pleinement le rôle de locomotive de la croissance économie du pays. D’autant plus que, les deux ont un destin commun à travers le Plan National de Développement 2016-2020, dont le niveau d’investissement de l’ordre de 30.000 milliards de FCFA sera financé à 38 % par le Secteur Public, soit environ 12 000 milliards FCFA et à hauteur de 62 % par le Secteur Privé, soit environ 18.000 milliards FCFA.

Le thème de la JNP2016 était : « Enjeux d’un dialogue public privé constructif pour la vision 2020 de notre économie».

 

Daniel Coulibaly(08077227)

 

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La solidarité par les actes. C’est le sens fort qu’a voulu donner, samedi, la Fondation Future Africa, en offrant 60 kits scolaires aux élèves du groupe scolaire Anono 1,2,3,4,5,6. Un don chaleureux salué par l’ensemble de la communauté éducation de l’inspection primaire et préscolaire publique de Cocody 2.

 

Le vice-président de ladite Fondation, Franck Kié a tenu à réaffirmer cet attachement à la cause des enfants les plus défavorisées. « Notre combat est celui de donner une chance à l’éducation à tous ces enfants, à qui la vie à parfois privé toute sorte de dignité aux parents et qui, au lieu de s’épanouir pendant leur jeunesse peinent sous le poids des travaux à la décharge », a-t-il indiqué. Avant de préciser : « Ce don, nous le faisons parce que nous croyons fondamentalement que l’accès à l’éducation et au savoir est un droit quelles que soient nos origines sociales », a affirmé Franck Kié, expliquant son organisation veut permettre aux enfants du groupe scolaire Anono d’étudier dans de meilleurs conditions, et d’avoir une chance également de faire partie de l’élite de la Côte d’Ivoire de demain. Au nom de tous les bénéficiaires, la directrice de l’école primaire publique d’Anono 5, Amiezi Deborah a exprimé toute sa reconnaissance à la fondation Future Africa. Rappelons qu’avec pour objectif de créer les conditions d’un futur pour les jeunes en Afrique en général et en particulier en Côte d’Ivoire, dans un environnement sain et par l’éducation, la Fondation Future Africa née en 2013,  n’était pas non plus à sa première action de bienfaisance à l’endroit des écoliers de cette commune de Cocody.

En effet, la FFA a déjà œuvré à l’amélioration des conditions des élèves  en distribuant quelques 200 kits scolaires à Akouédo avec la réhabilitation de la cantine scolaire, de 18 salles de classes et des 8 latrines. Sans compter la distribution de quelques 100 kits scolaires à des jeunes filles dont 20 d’entre elles ont bénéficié d’une prise en charge.

 

 

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Un mois après son lancement, le site des petites annonces en Afrique francophone, Afrimalin, vient de réussir une première levée de fonds de 400 000 euros, près de 262 millions de FCFA, annonce un communiqué parvenu, vendredi, à l’AIP.

Plusieurs investisseurs de référence entrent au capital d’Afrimalin, parmi lesquels la famille Milchior, propriétaire du groupe français Etam, David Kalfon qui dirige le fonds d’investissement français Amaïka Asset Management, ainsi que le financier Yannick Naud à Londres.

Afrimalin a finalisé son premier tour de table en trois jours. Le nouvel acteur du e-commerce africain a été contraint de refuser des investisseurs de premier rang, une fois l'objectif de levée de fonds atteint.

« La rapidité avec laquelle nous avons conclu ce tour de table, mais également son montant et les investisseurs qui nous rejoignent valident notre modèle. Cela prouve la confiance que le marché a dans notre offre et notre stratégie », indique Mamadou Niane, co-fondateur et directeur des opérations d’Afrimalin.

Lancée le 15 septembre 2016 dans huit pays d’Afrique francophone (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Mali, République de Guinée, République démocratique du Congo, Sénégal), Afrimalin enregistre près de 100 000 visiteurs par mois. Sur sa page Facebook, la startup rassemble plus de 140 000 membres.

Cette entreprise annonce pour bientôt de nouveaux recrutements en Côte d’Ivoire, au Cameroun et au Bénin.

Destinés à soutenir la croissance rapide d’Afrimalin, les fonds levés seront notamment alloués au développement d’une nouvelle version du site et d’une application mobile en 2017.

AIP

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