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Le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, a procédé samedi à Agnibilékrou (Est, région de l’Indénié-Djuablin) à l’inauguration officielle du tronçon routier Pont Comoé-Agnibilékrou réhabilité.
Cette portion de la nationale 1, longue de 87,5 km, a bénéficié depuis février 2014 d’importants travaux de réhabilitation d’un coût global de 41 milliards FCFA dont 34 milliards déboursés par l’Union européenne au titre du 10e FED (Fonds européen de développement).
Le Président Ouattara a donc saisi l’occasion de cette cérémonie pour réaffirmer son engagement à poursuivre le vaste programme de réhabilitation du réseau routier, fortement dégradé par plusieurs années de crises sociopolitiques, en vue de redonner à la Côte d’Ivoire sa place de pays leader en matière d’infrastructures routières.
"Merci"
Le maire d’Agnibilékrou, Mandodja Mbia Roger, a exprimé, samedi, la reconnaissance des populations de l’Indénie-Djuablin au président de la république, Alassane Ouattara, à l’occasion de l’inauguration de la route « Pont Comoé-Agnibilékrou ».
« Nos populations (…) sont là pour vous témoigner leur attachement et leur infinie gratitude pour vos actions soutenues à la tête de notre pays en vue d’améliorer leur quotidien », a déclaré le maire d’Agnibilékrou.
Il a cité notamment les actions menées au profit de la région à savoir l’eau potable, l’électricité, les centres de santé, des ambulances, le bitumage de la voirie urbaine, etc.
« L’attente a été certes longue voire pénible mais la délivrance a fini par arriver avec vous », a-t-il imagé indiquant que cette route est « un cadeau de noël » pour les populations.
Longue de 87,5 kilomètres, la route « Pont Comoé-Agnibilékrou » a été financé conjointement par l’UE à hauteur de 34 milliards de francs CFA et par l’Etat de Côte d’Ivoire pour sept milliards FCFA.
Une usine de décorticage de l’arachide et de l’anacarde est en construction à Katiola en vue d’offrir des services pour la qualité des produits agricoles en l’occurrence l’anacarde, l’arachide, le soja et le cacao.
L’usine appartenant à la société agroindustrielle, DINCOMCI, prévoit 200 emplois à la population notamment à la jeunesse et aux femmes, selon le superviseur des travaux de construction, Monh Wahi.
L’ouverture de l’usine de décorticage de l’arachide est prévue au plus tard le 15 décembre 2016, indique-t-on. La DINCOMCI, basée à Abidjan, exerce déjà dans l’import-export. Elle occupe quatre hectares sur l’axe Katiola–Dabakala à quelques 500 mètres de la ville.
Cette société a commercialisé 7000 tonnes d’anacarde la campagne antérieure 2015-2016, à Katiola. Elle prévoit pour la campagne 2016-2017, 15000 tonnes. S’agissant de l’arachide 5600 tonnes sont déjà disponibles pour le décorticage, pour le tri et pour le vannage. Les produits sortis de ces usines seront convoyés directement au port d’Abidjan pour être exporté, explique-t-on.
AIP
’Ong ivoiro-suisse contre la pauvreté a remis vendredi une cantine à l’école primaire publique d’ Allangoua et N’Gbessou (Yamoussoukro) en vue de permettre aux élèves de la localité de prendre « des repas équilibrés » et d’être dans de conditions à midi au sein de leur école.
Il s’agit surtout « de soustraire de leur quotidien les longues distances parcourues pour aller se restaurer auprès de leurs parents dans les champs et de faire en sorte à améliorer le taux de réussite scolaire « , a souligné le président de l’Ong qui lutte contre la pauvreté, Étienne Kouadio Doh, lors de la remise des clés de l’édifice flambant neuf aux autorités éducatives en présence de l’attaché de la coopération internationale suisse, Frédéric Steck, représentant l’ambassadeur de la Suisse en Côte d’Ivoire.
La cérémonie d’inauguration de la cantine « Mamie Modjo » du nom de la mère du président de l’Ong ivoiro-suisse été suivie de la pose de la première pierre d’un bâtiment de trois classes grâce à l’appui de la Suisse. « Ceci marque le renforcement de la coopération entre nos deux pays », a fait remarquer l’attaché international de coopération Suisse.
Frédéric Steck a invité les élèves et leurs parents ainsi que les responsables de l’école à s’approprier le local et en faire un lieu d’épanouissement intellectuel.
Le directeur des cantines scolaire a offert à l’occasion des cuillères, des assiettes, des carafes et des gobelets à la cantine de l’école puis invité la population et les cadres à contribuer à l’approvisionnement de la cantine. Construite en 1972, l’école primaire publique d’Allangoua N’Gbessou a un effectif de 330 élèves dont 145 filles.
AIP
Dans le cadre des journées de l’administration agricole délocasée (JAAD) , le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly, a procédé, vendredi, dans le département de Vavoua à l’inauguration du barrage de Gnah, un ouvrage dédié à la culture du riz et du maraiche
Ce barrage, d’un coût de 2,5 milliards, va permettre de produire 830 tonnes de riz padi, faire du maraicher, produire 83 tonnes de légumes, développer la pêche et de créer 139 emplois directs, précise–t-on.
Le porte-parole des populations, Vanié Maurice a indiqué que ce barrage va permettre de développer le village Youala et le canton Natis, générer des revenus considérables et réduire le chômage.
Il a tiutefois souhaité l’obtention d’une pompe hydraulique, la réhabilitation de celle déjà existent, la construction d’un dispensaire, l’indemnisation des propriétaires terriens, la construction de logements pour les enseignants et l’électrification de 7 autres villages du canton, ainsi que la réhabilitation des voies.
Le ministre de l’Agriculture et du Développement Rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly, a pour sa part souhaité que ces infrastructures, qui sont « la concrétisation des engagements pris par le chef de l’Etat lors de sa visite d’état à Daloa », soient exploitées.
« Maintenant que l’Etat a mis à dispositions des infrastructures, il faut que ces infrastructures soient exploitées parce que nous apprenons qu’il y a certains localités où les propriétaires terriens eux-mêmes n’exploitent pas les périmètres aménagées et n’autorisent pas que d’autres personnes puissent les exploiter… Si l’Etat consent ce genre d’investissement, c’est pour que ces investissements soient utilisées », a averti le ministre.
Apres cette inauguration, M. Sangafowa Coulibaly a visité un germoir qui est le centre de production contrôlé de plantules de café.
Cette visite s’inscrit dans le cadre du projet de constructions de 7 barrages pour une capacité de 21.453.000m3 et l’amenagement de plus de 788 hectares de parcelles pour la culture de riz et de maraicher d’un coût globale de 19,765 milliards.
AIP
Des Camerounais, Ivoiriens, Malgaches, Congolais occupent les dix premières places, parmi les 30 plus grosses fortunes d’Afrique francophone. Les très riches de la région sont présents dans les télécoms, l’immobilier, l'hôtellerie, la banque, les médias, l'agro-industrie et le pétrole.
Pour la première fois, une femme apparaît dans cette liste dressée par le magazine Forbes Afrique. Il s'agit de Kate Fotso, veuve d’André Fotso, l'ex-président du patronat camerounais. Elle est à la tête de Telcar Cocoa, leader au Cameroun de l'exportation de fèves de cacao en partenariat avec le géant Cargill, et s’arroge la 20e place avec une fortune estimée à 252 millions de dollars.
Un match inégal
Toutefois les grosses fortunes d’Afrique francophone viennent loin dernière les très gros patrimoines nigérians, égyptiens ou d’Afrique du Sud. Le Camerounais Baba Danpullo, patron des minoteries Le Coq rouge, qui arrive en tête du classement pour l'Afrique francophone, détient une fortune chiffrée à 940 millions de dollars. A comparer avec la première fortune africaine, le Nigérian Aliko Dangote avec près de 13 milliards de dollars. Ensemble, les 30 plus riches d’Afrique francophone ne parviennent qu'à 10,5 milliards de dollars.
Famille Billion et Diagou
Sur la deuxième marche du podium, on trouve ensuite l'industriel belge né en RDC George Forrest, patron du groupe du même nom. Le Camerounais Paul Fokam Kammogne rafle la troisième place avec 690 millions de dollars. Au pied du podium, la famille Rawj, arrivée d’Inde en RDC il y a une cinquantaine d’années. L’homme d’affaires franco-malgache Ylias Akbaraly, patron du groupe Sipromad, ferme le top 5.
La famille Billon en Côte d'Ivoire, Samuel Foyou au Cameroun, l’Ivoirien Jean Kacou Diagou, le Camerounais Colin Mukete et Luc-Gérard Nyafe en RDC complètent le top 10.
Lire l’article original sur RFI, Titre : LDA
Révolution. Après la libération du transport fluvial en commun sur la lagune Ebrié d’Abidjan, la concurrence s’annonce rude. Car les deux sociétés ayant acquis la concession du gouvernement ivoirien pour le transport par bateau-bus, STL et CITRANS, ont commencé à brandir leurs premiers navires. En effet, La Diplomatique d’Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net) relayait mardi l’embarquement, depuis les Pays-Bas, des premiers navires de la STL. Et ces engins devraient arriver à Abidjan à la mi-décembre 2016.
Ce vendredi 02 décembre 2016, c’est au tour du second concessionnaire, CITRANS de l’homme d’affaire Zoumana Bakayoko dit Zoum Bak, qui dévoile ses premiers navires. Et lesquels ? Des bateaux-bus de dernière génération conçus sur un chantier naval du Cap en Afrique du Sud. Depuis ces lieux, Zoum Bak a posté, sur sa page facebook, l’essai et l’embarquement du navire baptisé « Lady Dominique » (Photo), l’une des perles de sa flotte. « Le ‘Lady Dominique’ accueilli avec enthousiasme par les ouvriers du chantier naval....bientôt sur les berges de la lagune Ébrié pour améliorer le transport des Abidjanais. Merci à tous pour votre Soutien », a notamment écris l’homme d’affaire.
Dernière génération
Les bateaux-bus de dernière génération sont plus modernes que ceux qu’on a connus jusqu’à présent à Abidjan. Ils ont par exemple une plus grande capacité (deux à trois fois plus de sièges que les bateaux-bus ordinaires). Aussi, une plus grande vitesse les permettant de relier dans un délai de 8 à 30 minutes la quasi- totalité des communes d’Abidjan.
Un hic… quid des quais appropriés?
Pour permettre l’exploitation de ces navires, le gouvernement ivoirien avait annoncé, début 2016, la construction d'une vingtaine nouveaux quais ultramodernes dotés d’infrastructures de pointes répondant aux normes internationales de sécurité maritimes, fluviales et portuaires.
Mais voilà que ces engins sont en route et aucun signe de réalisation de ces gares lagunaires promises n’est visible dans la capitale économique de Côte d’Ivoire et sa banlieue. Ces travaux devraient coûter environ 20 milliards de FCFA. Vivement que cet important chantier s’ouvre pour permettre aux entreprises concessionnaires de mener efficacement leurs activités.
Armand Tanoh
Il s'appelle Oscar Lognon (Photo), ivoiro-français vivant à Nantes (France). Certes, un nom peu connu en Côte d’Ivoire, mais qui rayonne dans l’hexagone dans le domaine des sports cérébraux, en particulier les jeux de dame.
En effet, Oscar Lognon est aujourd’hui champion de France dans cette discipline, et vient même de se qualifier pour la coupe du monde qui se déroulera en Estonie en 2017. Le sociétaire du club Saint Lumière de Clisson de Nantes y représentera la France. L’homme qui vise le titre mondial suscite déjà beaucoup d’espoir chez les supporters français.
Armand Tanoh
M. dos Santos, âgé de 74 ans, va céder sa place à la tête du Mouvement populaire pour la libération de l'Angola (MPLA) à l'actuel ministre de la Défense João Lourenço, a précisé à l'AFP un membre du comité central du parti, João Pinto.
La Constitution angolaise ne prévoit pas de scrutin présidentiel, mais précise que le poste de chef de l'Etat revient au chef du parti qui remporte les législatives.
M. dos Santos a officiellement lancé vendredi la campagne de son parti pour les élections de 2017 lors d'un discours devant son comité central, sans toutefois y préciser s'il serait candidat à un nouveau mandat.
Le communiqué officiel du MPLA publié à l'issue de cette réunion n'a pas non plus évoqué sa succession, mais à l'issue de sa lecture, la radio nationale a précisé en citant des sources internes au parti que M. Lourenço avait été désigné pour lui succéder.
"Le président José Eduardo dos Santos ne sera pas candidat" à sa succession à la tête du pays, a confirmé à l'AFP M. Pinto.
Le nom de M. Lourenço, qui avait été nommé vice-président du MPLA en août, sera officiellement dévoilé lors du 60e anniversaire du parti le 10 décembre, selon cet élu.
Le chef de l'Etat avait été réélu en août à la tête du MPLA. Il avait semé le trouble en affirmant en mars qu'il quitterait le pouvoir en 2018, un an après les prochaines élections.
Depuis plusieurs semaines, l'Angola bruisse de rumeurs sur l'état de santé du président, qui suggèrent qu'il s'apprête à prendre sa retraite politique.
Le MPLA est arrivé au pouvoir en 1975 lorsque l'Angola a acquis son indépendance du Portugal. José Eduardo dos Santos a pris les rênes du pays quatre ans plus tard après la mort du chef historique du parti, Agostinho Neto.
En trente-sept ans, il a imposé un règne sans partage sur le pays, plus gros producteur de pétrole d'Afrique subsaharienne avec le Nigeria, mais qui reste l'un des plus pauvres du monde.
AFP
La Diplomatique d’Abidjan apprend de source proche du dossier que les bibliothèques de la renaissance africaine d’Abidjan (BRAA), prévue dans la commune du Plateau (Abidjan), vont démarrer courant premier semestre 2017. En effet, après la signature de l’accord-cadre entre le gouvernement ivoirien et les promoteurs en décembre 2015, il s’agit à présent de passer à la phase d’exécution. « Une autre convention sera signée entre les deux parties début 2017, après l’adoption des modalités par le gouvernement ; cette fois-ci, c’est pour l’exécution du chantier », indique la même source.
49 milliards d’investissements
Les travaux de ce joyau qui vont durer 40 mois, vont coûter environ 49 milliards F CFA, selon les termes de l’accord-cadre.
La BRAA sera la plus grande bibliothèque d'Afrique noire francophone, répondant aux normes internationales. « Elle sera l’une des plus belles d’Afrique. Elle sera physique et virtuelle et disposera d’un espace numérique auquel on pourra accéder à distance. Elle figurera parmi les 10 grandes bibliothèques d’Afrique », avait expliqué le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandama, lors de la signature de l’accord-cadre l’an dernier.
10 000m²
Elle sera bâtie sur un espace de 10 000m2, exactement sur le site actuel de la Direction des examens et concours (DECO) du ministère de l’Education nationale et de l’Enseignement technique. Ce sera un immeuble de 14 étages qui abritera à la fois des activités culturelles et commerciales, des bureaux, un palier ministériel et près de 900 places de parking en sous-sol.
Armand Tanoh
Dans un rapport publié vendredi, Partenariat Afrique Canada affirme que le Cameroun permet à des diamants de conflit provenant de la République centrafricaine de franchir ses frontières et de pénétrer la chaîne d’approvisionnement légale en raison de ses faibles contrôles, de la contrebande et de la corruption, rapporte un communiqué de l’Organisation de la presse africaine (APO).
Le rapport, intitulé « Du conflit à l’illégalité : Cartographier le commerce des diamants de la République centrafricaine au Cameroun », examine l’incapacité du Cameroun à mettre en œuvre le Processus de Kimberley, le système international de certification des diamants destiné à mettre un frein au commerce des diamants de conflit.
Le rapport paraît à la veille de la visite d’examen au Cameroun du Processus de Kimberley, qui doit évaluer la mise en œuvre, par le pays, de contrôles internes régissant la production et le commerce des diamants. Les exportations de diamants depuis la République centrafricaine ont été frappées d’un embargo international après qu’un coup d’État eut déclenché une guerre civile en 2013.
Selon Joanne Lebert, directrice générale de Partenariat Afrique Canada, bien que le tollé international soulevé par le financement de la guerre au moyen des « diamants du sang » en République centrafricaine ait entraîné l’adoption de mesures pour arrêter le commerce, on n’a pas porté la même attention aux voisins de la RCA.
« Au moment de visiter le Cameroun, le Processus de Kimberley doit agir sans délai et montrer aux sociétés, aux détaillants — et par-dessus tout aux consommateurs — qu’il est capable de mettre un terme au flux de diamants de conflit », a renchéri Offah Obale, chercheur chez Partenariat Afrique Canada et auteur du rapport.
AIP