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Les enseignant qui observeront la grève projetée, mardi, par la coalition du secteur éducation/formation de Côte d’Ivoire (COSEFCI), vont s’exposer à des sanctions pouvant aller jusqu’à leur radiation des effectifs de la fonction publique ivoirienne, a prévenu, lundi la ministre de l’Education nationale, de la l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kandia Camara.
Selon Mme Camara qui s’exprimait lors d’une conférence de presse à Abidjan, ces mesures sont la ponction sur le salaire, la mise à la disposition de la fonction publique et une procédure de radiation.
(AIP)
Mohamed Compaoré
La 14e édition de eLearning Africa qui attend plus de 1200 participants originaire de 50 pays, se tiendra du 23 au 25 Octobre 2019 à Abidjan. Cette année, l'accent sera mis sur l'apprentissage et la formation dans le secteur agroalimentaire. D'où, eLearning Africa s'engage sur la "voie agricole"
Ce sont 12 pays de l'Afrique de l'ouest et centrale qui ont pris part à ce séminaire à l'Institut de Sécurité Maritime Internationale (ISMI) qui s'est tenu du 16 au 19 Avril sous le thème : " Lutte contre la piraterie: exercice des pouvoirs de la police en mer"
Financé par la coopération Française, ce séminaire avait pour objectif de donner aux chefs d'équipe de visite et aux personnels navigants habilités à constater les infractions. Egalement, les connaissances en droit et en procédure pénale de sorte que les interventions puissent aboutir à des condamnations réelles.
Plusieurs experts de haut niveau issus d'horizon diverses notamment la police technique et scientifique ivoirienne, Interpol, la marine nationale Française, le représentant du centre for maritime Law and Security-Africa.
Ils se sont succédés pour animer des cours théoriques et pratiques à l'endroit des participants.
Le Golf de Guinée en lui seul, concentre 40% des attaques de pirateries dans le monde.
En 2018, tous les enlèvements qui ont eu lieu en mer, se sont produits dans cette zone.
Mohamed Compaoré
Le Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Sansan Kambilé était, lundi, devant les conseillers économiques, sociaux, environnementaux et culturels pour leur présenter plusieurs réformes initiées par le gouvernement en matière de droit des personnes et de la famille, en vue de recueillir leur avis, conformément aux dispositions constitutionnelles.
L’article 163 de la constitution ivoirienne de novembre 2016 stipule notamment que « les projets de loi de programme à caractère économique, Social, Environnemental et Culturel sont soumis au Conseil économique, social, environnemental et culturel (CESEC) pour avis.
Le ministre de la Justice, en qualité de commissaire du gouvernement, a, dans ce cadre, lors d’une séance plénière, présenté les projets de loi relatifs au mariage, à la filiation, à la minorité, et aux successions, nouvellement adoptés et en attente d’être soumis au parlement.
Il a souligné les grandes innovations qu’introduisent ces nouveaux textes élaborés pour mettre au goût du jour le cadre réglementaire encadrant ces domaines, devenu désuet aujourd’hui.
« Après son accession à l’indépendance, la Côte d’Ivoire s’est dotée de plusieurs lois portant sur le droit des personnes et de la famille. Plus de 50 ans après, l’application de ces textes a révélé leur inadaptation à l’évolution sociologique, culturelle et juridique actuelle. Mais également leur non-conformité aux engagements internationaux souscrits par l’Etat ivoirien », a fait comprendre le garde des Sceaux
Il a mis un accent sur le fait que ces engagements internationaux pris par la Côte d’Ivoire commandent l’adoption d’un cadre normatif intégrant d’une part, l’égalité des droits entre homme et femme et assurant une protection plus accrue de l’intérêt des enfants et partant de la famille, d’autre part.
« C’est dans ce contexte que le ministère de la Justice et des Droits de l’Homme a élaboré au terme d’un processus participatif, qui a réuni différentes couches de la société et des experts, plusieurs projets de loi réglementant le droit des personnes et de la famille », a indiqué M. Kambilé avant de solliciter l’apport du CESEC.
« Notre société a vraiment évolué. Ces textes de 1964 ont été suffisamment éprouvés pour nous amener à faire quelques changements », a-t-il insisté.
Le président du CESEC, Charles Koffi Diby a salué la démarche du gouvernement qui, selon lui, va contribuer à la réalisation de l’ambition de l’institution de tenir pleinement son rôle dans un contexte notamment de quête de transformation de la vision de la société ivoirienne sur une institution dont l’utilité n’est pas toujours perçue.
AIP
En présence d'un représentant de l'ambassade de France et du représentant d'expertise France et Côte d'Ivoire, le ministre du Commerce, de l'Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, a procédé le vendredi 12 avril dernier au lancement du Plan d'action national du partenariat pour un gouvernement ouvert (PGO) 2018-2020.
Ce programme a pour objet de soutenir et d'accompagner les administrations et la société civile, dont les médias dans la réalisation de leurs engagements en lien avec le PGO.
Il bénéficie de l'appui technique et financier du projet d'appui aux gouvernements ouverts Francophone (PAGOF), financé par l'Agence Francophone de Développement.
A travers le PAGOF, la France affirme son soutien au partenariat pour un gouvernement ouvert à la transparence de l'action publique au niveau international.
La France accompagnera également la Côte d'Ivoire dans la réalisation de ce 2e PAN, structuré autour de six axes. A savoir la santé, la lutte contre la corruption et l'ouverture des données, l'éducation, la pluralité d'expression, la transparence budgétaire et l'accès à l'information.
Le PGO est une initiative mondiale pour la transparence et l'intégrité de l'action publique et des agents publics et l'utilisation des nouvelles technologiques en faveur de l'ouverture et de la redevabilité. La Côte d'Ivoire y a adhéré en 2015.
Mohamed Compaoré
Un atelier de validation a réuni ce mardi 30 Avril à Abidjan plusieurs participants représentant les administrations civiles et sécuritaires et des partenaires au développement.
L'objectif visé par cet atelier, est de valider la stratégie de modernisation de la chaîne criminalistique en côte d'Ivoire par l'ensemble des acteurs nationaux et des composantes du programme.
Dans le cadre de l'appui au gouvernement en matière de gouvernance sécuritaire et judiciaire, le Comité National de Sécurité (CNS) a bénéficié du soutien du Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD) pour l'élaboration d'une stratégie nationale de modernisation de la chaîne criminalistique en côte d'Ivoire.
Procédant à l'ouverture de cette rencontre, Luc Grégoire, représentant résident du PNUD s'est dit très heureux, car pour lui : "ce document sera un modèle de référence pour la sous-région et une plateforme de soutien" a-t-il déclaré.
Traoré Vassiriki, coordonnateur National du Renseignement a félicité tous les acteurs présents. :" Ce qui va être mise en œuvre, la côte d'Ivoire sera la pionnière en la matière "a-t-il soutenu.
Non sans oublier d'interpeller les populations en ces termes :" Elle nous aider au quotidien, le renseignement c'est l'affaire de tous. Il y va de la paix sociale et la cohésion. Car le renseignement se fait en amont et en naval ", a souhaité l'expert ivoirien.
Le résultat de ces travaux seront porté devant les bailleurs de fonds, les institutions nationales et partenaires au développement à l'occasion d'une table ronde relative à la sécurité.
Il est important de noter que l'Afrique est confrontée à une criminalité locale et transfrontalière qui porte atteinte à sa stabilité politique et l'harmonie sociale de son territoire. Ainsi qu'à son développement économique.
Conscient de ce fait, les autorités ivoiriennes ont entrepris une réforme de son secteur de sécurité (RSS), de son système de justice (RSJ) et initié une réflexion sur la modernisation de sa Police Technique Scientifique (PTS).
Mohamed Compaoré
A l'occasion de la fête du travail ce 1er mai, le Premier ministre ivoirien Amadou Gon Coulibaly a laissé entendre, l’idée d’une reforme du cadre réglementaire encadrant le droit de grève dans le public eu égard à la particularité du secteur dont le bon fonctionnement est indispensable pour l’équilibre global de la société.
« Tout en respectant le droit des travailleurs à la grève notamment dans le secteur public, l’Etat doit veiller à la disponibilité des services publics auxquels ont droit les populations dans leur ensemble dans un objectif d’équilibre global », a-t-il fait comprendre, déplorant les grèves qui ont perturbé, durant le premier trimestre de l’année, les secteurs de la Santé, de l’Education et de l’Enseignement supérieur.
Pour lui, ces différentes crises sociales doivent inviter à la réflexion sur la nécessité de revoir les textes législatifs et réglementaires en matière de droit de grève dans le secteur public, en vue notamment de protéger les élèves, les étudiants, les parents d’élèves pour le secteur de l’éducation et les malades pour ce qui est de la santé.
« Les grève sont certes un moyen d’avancer dans les revendications d’ordre corporatiste, mais elles ne doivent pas constituer une fin qui met à mal la marche du pays surtout dans des secteurs sensibles comme l’Education et la Santé », a-t-il souligné, avant de prôner le dialogue tout azimut.
Pour le chef du gouvernement ivoirien, « le dialogue doit toujours être privilégié et l’intérêt général sauvegardé ». Il a, dans ce cadre, annoncé l’activation du comité de dialogue social au niveau de chaque département ministériel étant donné qu’« il est primordial de poursuivre la culture du dialogue qui fait notre particularité ».
Amadou Gon Coulibaly a élargi sont appel au dialogue permanent à la sphère politique, annonçant un renforcement des discussions en cours notamment autour de la recomposition de la Commission électorale indépendante (CEI), en vue d’assurer des élections apaisées en 2020.
« Je voudrais vous redire notre conviction que rien ne viendra contrarier la dynamique de progrès impulsé à notre pays depuis 2012 par toutes les forces vives de la nation. Nous devons aller de l’avant et je puis vous dire que nous irons de l’avant ensemble », a-t-il déclaré.
Aux travailleurs, il a redit l’engagement total du gouvernement à travailler à la prise en compte de leurs « légitimes revendications » pour l’épanouissement individuel de chacune et chacun et le développement de la Côte d’Ivoire.
Source: AIP
Alain Gouaméné, Cyrille Domoraud, Akoussou Ghislain..., des « anciennes gloires » du football ivoirien seront face à des pensionnaires de la maison d’arrêt et de correction d’Abidjan(MACA), à l’occasion d’un match de gala, le jeudi 9 mai 2019, au sein de la prison. C’est une initiative de l’ONG N’GBOADÔ en collaboration avec l’Union des anciens footballeurs de Côte d’Ivoire (UAFCI) pour la « Commémoration de la journée internationale de la solidarité avec les prisonniers».
Lors de la conférence de presse annonçant cet évènement, le lundi 29 avril, au siège de l’UNESCO à Abidjan, Job Sodjinou, le président de cette ONG, a indiqué que l’objectif est de redonner la joie de vivre aux pensionnaires de la maison d’arrêt et de correction d’Abidjan. Outre cet objectif, selon lui, l’organisation veut leur inculquer les valeurs civiques, citoyennes et sociales en lien avec la charte de l’UNESCO. Concrètement, il s’agit, à travers le sport, facteur de rassemblement, de partager les valeurs de solidarité, fair-paly, pardon, tolérance, etc.
« Nous voulons enlever la barrière de prison et partager quelque chose avec eux », a-t-il ajouté, rassurant qu’il n’y a pas d’inquiétude à se faire au niveau sécuritaire.
Ce match de gala mettra aux prises une équipe des pensionnaires de la Maca avec des anciennes gloires du football ivoirien au sein de l’établissement pénitencier.
Les artistes Kajeem et Nash (Ambassadeurs de l’ONG) accompagnent cet événement soutenu par le ministère ivoirien des Sports et l’Unesco.
Rappelons que l’ONG NGBOADÔ, lauréate du prix National des Droits de l’Homme –Edition 2017-de la Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire, est une organisation humanitaire, apolitique et indépendante. Elle a pour missions de promouvoir, défendre et protéger les valeurs citoyennes et les droits humains en mettant l’accent sur les droits des détenus et des enfants en rupture sociale.
Daniel Coulibaly
Des représentants des municipalités et des collectivités territoriales seront ainsi rassemblés pour explorer des opportunités de collaboration, de coopération et d’entraide.
La Banque africaine de développement (www.AfDB.org) en partenariat avec Cités et Gouvernements Locaux Unis d’Afrique (CGLU Afrique) accueillera, du 15 au 16 mai 2019, le tout premier dialogue structuré sur l’atteinte commune et concertée des objectifs fixés dans le cadre des Contributions déterminées au niveau national (CDNs). Des représentants des municipalités et des collectivités territoriales seront ainsi rassemblés pour explorer des opportunités de collaboration, de coopération et d’entraide. Objectif : accélérer l’Afrique sur le chemin d’un développement durable, soucieux de l’environnement et résilient aux aléas climatiques.
Quatre ans après l’entrée en vigueur de l’Accord de Paris et le lancement du Partenariat Global de Marrakech pour L’Action Climatique, le constat est sans appel : les CDNs sont encore loin d’être une réalité sur le continent. Malgré des efforts notables, opérés par les pays africains dans l’intégration de la dimension du changement climatique et de la gestion de risques de catastrophes au sein de leurs politiques nationales, il existe encore des défis avérés dans l’accès aux financements climatiques d’une part, et dans le développement inclusif et participatif d’autre part. Au vu des émissions de gaz à effet de serre de l’ordre de 60 %, émanant des zones urbaines, il est ainsi crucial d’impliquer les municipalités et collectivités territoriales dans la lutte contre le changement climatique.
Cette conférence, qui sera ouverte par le président de la Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina, sèmera les germes d’un premier dialogue qui rapprochera une multitude de décideurs africains à plusieurs niveaux. Il est attendu que l’initiative sera propice aux idées de coopération, de partenariats et de points de convergence pour une lutte conjointe contre le changement climatique. Ces discussions couvriront notamment les aspects liés à la capacité institutionnelle et l’accès au financement au sein d’un cadre politique favorable à la levée de fonds et de partenariats avec les institutions internationales et le secteur privé.
Les représentants des gouvernements nationaux et municipaux, ainsi que du secteur privé, des institutions financières, et des agences internationales se réuniront afin d’identifier des synergies, de concrétiser diverses opportunités de collaboration et de mettre en place un cadre propice aux investissements en vue d’atteindre les objectifs fixés dans le cadre des CDNs, d’ici 2030. Il est en effet grand temps pour l’Afrique d’explorer et de capitaliser sur ces potentialités, de manière intégrée, pour un développement résilient et sobre en émissions de gaz à effet de serre.
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