Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Daniel Coulibaly

Daniel Coulibaly

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Plusieurs médiax ivoiriens ont donné l’information selon laquelle, la caution à la présidentielle est passée de 20 millions Fcfa à 50 millions Ffca. Dans un communiqué la CEI(Commison électorale indépedante) organe chargée des élections, a formellement démenti cette augmentation de la caution aux élections en Côte d'Ivoire. Voici le communiqué. 

Les 11, 12, 13 et 14 mars 2017, plusieurs médias nationaux ont publié un article selon lequel la Commission Electorale Indépendante (CEI) aurait proposé, au cours de son atelier d’évaluation des activités électorales de 2016, tenu à Grand-Bassam du 06 au 09 mars 2017, le relèvement du cautionnement de 20.000.000 F CFA à 50.000.000 F CFA, s’agissant de l’élection du Président de la République et de 100.000 F CFA à 1.000.000 F CFA, s’agissant de l’élection des Députés à l’Assemblée Nationale.

Elle aurait également souhaité, selon ces médias, que la recevabilité de la candidature à l’élection du Président de la République soit conditionnée au dépôt de 250 signatures d’élus et de Chefs coutumiers. La Commission Electorale Indépendante dément formellement ces informations. L’atelier qui, du reste, visait à évaluer le processus électoral de 2016 marqué par la Révision de la Liste Electorale (RLE 2015), le Référendum et l’Election des Députés à l’Assemblée Nationale, n’a, à aucun moment, recommandé la modification, encore moins l’augmentation des cautionnements exigés pour les différents scrutins.

Une telle recommandation n’a jamais figuré au nombre de celles formulées par ledit atelier au terme de ses travaux. Ces recommandations ont d’ailleurs été lues en présence de la presse lors de la cérémonie de clôture. La Commission Electorale Indépendante en appelle au sens de responsabilité des journalistes quant au traitement des informations relatives aux questions électorales. Par ailleurs, la Commission Electorale Indépendante rassure la communauté nationale et internationale qu’elle œuvre chaque jour à la consolidation de l’expression démocratique en Côte d’Ivoire et n’entend pas déroger à ce principe.

Fait à Abidjan, le 14 mars 2017

Me Victoire Alley

Porte-parole

 

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Un Ivoirien habitant les Etats-Unis depuis dix ans a été retrouvé en hypothermie à la frontière Canada-Usa. Il a voulu traverser illégalement la frontière pour aller au Canada, selon les informations de jeuneafrique, à la suite du décret anti-immigration du président américain Donald Trump.

Arrivé aux Etats-Unis en 2006, l’homme est chauffeur de taxi à New-York. Il avait fui la Côte d’Ivoire à cette époque-là. Le 4 mars, par crainte d’être renvoyé dans son pays d’origine par les autorités américaines, il s’est présenté au poste frontière de Lacolle (Québec) pour déposer une demande d’asile.

Malheureusement, sa demande a été refusée. Alors toujours selon les informations du magazine, l’homme dont l’identité n’a pas été dévoilée « a attendu la nuit pour traverser la frontière à pied » en passant par les  chemins forestiers, selon Me Eric Taillefer, son avocat, qui tente de régulariser sa situation par une procédure parallèle qui n’a que « 2 ou 3 % » de chances de réussir.

Il a donc été retrouvé « inconscient » et « dans des vêtements gelés » dans un état où sa température était en dessous de 35 dégré (hypothermie) dans la nuit du 4 au 5 mars, après avoir traversé une rivière et un lac en plein hiver près de la frontière entre les États-Unis et la province canadienne du Québec. Selon son avocat, il lui est très difficile de bouger les doigts, mettre les chaussures car ses pieds sont trop enflés et il a des bouts de peau encore noircis.

Pour sauver son client de cette situation, Me Taillefer compte plaider le volet humanitaire, un processus prenant plus de 2 ans. « Une course contre la montre » est engagée car « il n’y a pas grand chose » qui s’oppose à son renvoi, et il pourrait être expulsé « assez rapidement », selon lui. 

Le décret de Donald Trump en cause

De nombreux migrants ont opté pour le Canada en traversant illégalement la frontière pour y faire leur demande d’asile depuis le décret anti-immigration de Donald Trump, parce qu'une fois au Canada, ils ne peuvent être renvoyés aux États-Unis. Or, ces demandes ont « 2 ou 3 % » de chances de réussir. 

 

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Dans une interview accordée à la chaine française Canal Sport + et diffusée le mardi 14 mars 2017, lors de l’émission le « Onze », l’Ivoirien a donné les raisons de son retrait de l’équipe nationale. Le milieu de terrain de Manchester City et des Eléphants de Côte d’Ivoire a confié qu’il a eu des "mésententes" avec les dirigeants du football de son pays, et surtout "beaucoup de promesses non tenues" par ces derniers. 

« Mésententes »

«(…) Il y a eu des différends entre moi et certains dirigeants de l' équipe nationale. Je ne le cache pas, je le dire ouvertement », a-t-il confié.

Pour Yaya Touré, il ne sert à rien de cacher certaines choses qui peuvent constituer des freins à l’évolution du football africain. « Je pense qu’aujourd’hui, si le football africain doit avancer, il faut arrêter de se raconter des salades et dire les choses comme elles sont», a soutenu le joueur.

« Promesses non tenues »

«Quand on promet quelque chose, on la fait(…), mais promettre et ne pas la faire, c’est autre chose », a-t-il déploré.

«Si j’envie de revendiquer ou parler à certaines personnes, je sais à qui m’adresser, si donc on n’a pu avoir le temps de discuter, c’est que j’avais pris ma décision avant. Beaucoup de choses m’ont été promises dans le temps et qui n’ont pas été réalisées », a ajouté le cadet de Kolo Touré, sociétaire de Celtic Glasgow FC(Ecosse), dénonçant les mauvaises interprétations des faits à son sujet.  

«J’ai voulu rester discret dans cette situation, parce que rentrer dans les polémiques, c’est quelque chose pour moi qui n’a aucun sens, épuis je n’aime pas rentrer dans les discours inutiles», a-t-il soutenu.

On retiendra de cette partie de son interview avec Canal Sport+ que «Beaucoup de choses » n'ont pas été détaillées par que le joueur.

 

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Un prix a été créé par l’Institut Goethe d’Abidjan pour honorer la mémoire de Henrike Grohs, l’ancienne directrice de l’Institut, tuée lors de l’attaque terroriste de Grand-Bassam, le 13 mars 2016. 

Il s’agit du prix Henrike Grohs qui a été créé le lundi, jour anniversaire de sa mort, pour récompenser les jeunes artistes africains, a indiqué l’Institut dans le communiqué transmis à AFP.

Le "prix Henrike Grohs pour les artistes africains" vise à "encourager le dialogue international", souligne l’AFP tel qu’indiqué dans ce communiqué.

Le prix de 20.000 euros sera décerné chaque année à un ou plusieurs lauréats dans le domaine des arts visuels, de la danse, du théâtre, de la musique ou du film et sera également ouvert à ceux qui travaillent dans une démarche interdisciplinaire.

Les lauréats seront choisis par un jury composé de représentants de différents secteurs culturels en Afrique ainsi qu’un représentant de l’Institut Goethe. Le prix s’adresse aux artistes de moins de 40 ans, qui vivent et travaillent sur le continent africain.

"Henrike Grohs était une collègue qui a défendu le pouvoir unificateur de la culture. Dans le cadre de son travail au Goethe Institut, elle s’est engagée à soutenir la contribution des artistes africains dans leurs communautés, pour le continent et le monde. Nous tenons à honorer cette contribution et à récompenser les artistes africains", s’est confié Johannes Ebert, Secrétaire général du Goethe-Institut, à l’agence de presse. 

Avant Abidjan, Henrike Grohs avait passé quatre ans en poste à Johannesburg pour l’Institut Goethe et sept années à la Philharmonie de Berlin en tant que responsable du programme éducatif.

Le dimanche 13 mars 2016, trois assaillants ont mené une attaque terroriste sur la plage de Grand-Bassam faisant 19 morts et au moins 33 blessés. Elle a été revendiquée par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).

 

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La Plateforme nationale des organisations professionnelles du secteur public de Côte d’Ivoire pourra-t-elle résister aux démons de la division ? En tout cas, les dernières informations concernant cette plateforme évoquent une mésentente entre les fonctionnaires.

Selon ce que rapporte le site infodromme.com, une partie de ce regroupement des fonctionnaires se sent trahie par la tête, sinon dans la lutte. 

La pomme de discorde, selon les mécontents qui se sont réunis vendredi 10 mars 2017 à Yamoussoukro pour décider de la conduite à tenir à propos de la grève, porte sur l'annulation de l'assemblée générale de la plateforme par Gnagna Zadi, président de la Plateforme nationale des organisations professionnelles du secteur public, qui devrait donner la conduite à tenir face à la reprise ou non de la grève. 

Le leader de ses mécontents, Pacôme Attabi, secrétaire général de la Coordination des enseignants du second degré de Côte d'Ivoire (Cesci), membre influent de la Plateforme, a du mal à comprendre cette demarche de son président.

«Mais, sans l'avis de la majorité du présidium, le camarade Gnagna Zadi a pris sur lui la décision d'annuler l'Ag et empêcher ainsi les camarades de se prononcer sur le projet gouvernemental de trêve sociale. Il convient de noter que le gouvernement n'a pris aucune mesure pour empêcher ou interdire l'Ag. C'est Gnagna Zadi qui a décidé que la rencontre n'ait pas lieu. Nous ne pouvons accepter ce dysfonctionnement grave », a dénoncé Pacôme Attabi joint par téléphone toujours selon l’infodrome, ajoutant que M. Attabi et ses camarades syndicaux comptent prendre leurs responsabilités devant l'histoire pour poursuivre la lutte de la défense des intérêts des fonctionnaires.

«Le bureau exécutif est dans une logique d'abandonner le combat. Suite à la grève, le gouvernement a proposé une trêve sociale sans apporter de réponses à nos revendications. La trêve sociale s'impose avec la satisfaction des préoccupations des fonctionnaires. Les problèmes ne sont pas résolus et on parle de trêve. S'il doit y avoir implosion ou dissidence, il y aura implosion de la Plateforme. Mais, nous n'allons pas accepter de renoncer à la lutte. D'ailleurs, de grandes décisions vont être prises dans ce sens », a-t-il prevenu.

 

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Le match retour des 8èmes de finale entre Barcelone-PSG dans le cadre de la Ligue des Champions a tenu toutes ses promesses mercredi au Camp Nou(Barcelone). Le Barça a créé la surprise en réalisant le scénario impensable(6-1), après avoir perdu 4-0 au match aller aux Parcs des Princes de Paris. Du jamais vu dans une coupe européenne.

Incroyable ! C’est du jamais vu ce qu’a réalisé le FC Barcelone en match retour des 8èmes de finale contre le PSG en Ligue des Champions.

Les observateurs du football avaient déjà prédit la qualification des Parisiens, parce que jamais dans l’histoire d’une coupe européenne une équipe aura réussi à se qualifier en perdant 4-0 au match aller. 

Selon les statistiques, 213 fois les équipes qui ont gagné au match aller( 4-0), 213 fois ces équipes se sont  qualifiées au match retour. Mais ce mercredi 8 mars 2017, cette règle a fait une exception.

Le Paris Saint Germain a plié l’échiné face au Barça 6-1, dans un stade de Camp Nou plein à craquer, et où il lui fallait conserver ses quatre buts d’avance ou concéder une défaite de 4-1 pour se qualifier.

Malheureusement, Edison Cavani(auteur du seul but parisien) et Di Maria n’ont pu marquer d’autres buts pour leur permettre d’être à l’abri de toute élimination. 

Kevin Traap, le gardien parisien, est allé à 6 reprises dans sa cage. A 6-1, le PSG était donc éliminé pour les quarts de finale de la ligue des champions.

Dans cette rencontre dominée de bout en bout par les Barcelonais, il fallait seulement 4-0 au Barça pour se qualifier. A 3 minutes de la fin du match, l’équipe barcelonaise qui menait par 4-1 était toujours éliminée pour les quarts de finale. Et Lionel Messi et les siens ont cru en leur chance. Ils ont forcé le destin et ont réussi l’exploit en marquant 2 buts supplémentaires à trois minutes( 90, 90 +1, 90+5) de la fin du match au temps réglementaire + le temps additionnel. Incroyable scénario! 

Les parisiens qui se disaient déjà qualifier avec le but d’Edison Cavani à la 62è(qui valait deux buts à l’extérieur) sont passés du paradis à l’enfer. Catastrophe !

Comme au match aller, le Barça avait été dominé par le PSG dans tous les compartiments, dans ce match retour les Barcelonais ont pris une revanche historique sur les Parisiens. La remontada a bel et bien eu lieu au Camp Nou.

Qui l’eût cru. Le football n’est vraiment pas une science exacte.

 

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Le comité de travail mis en place par le gouvernement dans le cadre du dossier agrobusiness n’a pas encore terminé ses investigations, si l'on s'en tient aux déclarations du ministre Bruno Nabagné Koné, porte-parole du gouvernement ivoirien, en conférence de presse après le conseil des ministres du mercredi 8 mars 2017. Il rassure, cependant que le remboursement se fera à partir du 15 mars 2017.

«En raison de l’importance du volume de travail du comité, le travail de recensement et de vérification des listes , des contrats n’est pas encore achevé », a-t-il dit.

"Il a été enregistré en tout 65.206 contrats et ces contrats ne sont pas rédigés de la même façon, il y a donc confusion entre le capital et le RSI », a ajouté le porte-parole du gouvernement sur le dossier Agrobusiness. 

Sur la somme qui sera reversée à chaque souscripteur, le ministre ivoirien de la Communication a clarifié les choses: " A ce jour, il n’a pas été possible de combiner définitivement les montants qui peuvent être concernés. On s’en tiendra donc aux montants donnés précédemment ».

Pour « éviter toute confusion, le travail va se faire contrat par contrat », a-t-il soutenu, indiquant que des mesures ont été adoptées par le conseil sur proposition du ministre de l’Economie et des Finances pour éviter les amalgames. 

Ce qu’il faut retenir "c’est que la totalité des montants retrouvés dans les comptes seront remboursés aux souscripteurs. C’est-à-dire, si on retrouve sur les comptes 2%, ce sont ces 2% qui seront remboursés. Donc le remboursement se fera sur la base des sommes retrouvées dans les banques », a-t-il insisté, précisant qu’il se fera exclusivement par les banques, sans l’implication du trésor public.

 

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Une trêve sociale sur au moins une longue durée proposée aux syndicalistes de la fonction publique de Côte d'Ivoire à la suite d'une rencontre la veille avec les différents responsables syndicalistes, c’est ce qu’a indiqué le porte-parole du gouvernement ivoirien, Bruno Koné, lors de la conférence de presse après conseil des ministres du mercredi 8 mars 2017.

Pour lui, cette trêve sociale sur une longue durée va permettre à l’Etat de Côte d’Ivoire de trouver les ressources  pour satisfaire les revendications des fonctionnaires du pays. 

Le principe, a expliqué Bruno Nabagné Koné, est de convenir avec les syndicats d’un moment plus ou moins long d’accalmie, faire en sorte que chacun puisse se concentrer sur le travail et que le gouvernement ait la latitude de déployer son programme.

« Le gouvernement est conscient des revendications, mais il faut qu’il ait les moyens pour répondre aux renvendications. Et y répondre, c’est au minimum un pays qui est en paix, un pays au travail pour produire la richesse. Quand on ne produit pas de richesse, on ne peut pas en distribué », a-t-il souligné.

Pour lui, il faut donc créer ce moment d’accalmie qui permet à l’économie ivoirienne de continuer sa marche en avant et à créer la richesse et qui sera plus facilement distribuée.

«Nous leur demandons donc de taire les revendications et pas les enterrer définitivement. Mais de faire en sorte qu’ils ne s’expriment pas d’une certaine façon pendant un certain temps », a soutenu Bruno Nabagné Koné.

 

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Le conseil des ministres du mercredi 8 mars 2017 a adopté des décrets portant sur des accords de prêts en vue du financement d’un projet de production et de traitement de semences certifiées de riz en Côte d’Ivoire et pour le financement du projet d’alimentation en eau potable dans la ville d’Abengourou et les localités environnantes.

Le premier concerne la ratification d’un prêt d’un montant de  4, 4 milliards de Fcfa conclu le 30 juin 2016 entre la BID (Banque islamique de développement) et l’Etat de Côte d’Ivoire.

Le second porte sur une ratification d’accord de prêt d’un montant de 8,4 milliards de Fcfa conclu lui aussi à la même date entre la BID et l’Etat de Côte d’Ivoire .

«Ces projets vont permettre de renforcer les capacités nationales de production de semences certifiées et de tendre progressivement vers les zones de production de riz en Côte d’Ivoire », a fait savoir Bruno Nabagné Koné.

Ils seront mis en œuvre dans les villes de Korhogo, Man, Gagnoa, Yamoussoukro, Odienné, Bondoukou et Agboville, ainsi que dans les localités proches de ces différentes villes.

Ces projets de production de développement de semences certifiées de riz ont pour objectif de renforcer la sécurité alimentaire dans le pays, par l’augmentation des rendements et aussi assurer une augmentation considérable de la production de riz.

En outre, le porte parole du gouvernement a indiqué que deux autres décrets ont été adoptés portant sur un accord de prêt de 8,5 milliards de Fcfa entre le Fonds africain de développement(FAD)  et la Côte d’Ivoire, pour le financement du projet d’alimentation en eau potable dans la ville d’Abengourou et les localités environnantes.

"C’est un projet qui fait partie d’un programme visant le développement économique et sociale de toute la région de l’Est du pays et a pour objectif de sécuriser l’accès à l’eau potable des populations dans les zones indiquées", a-t-il dit.

Il sera mis en œuvre principalement dans les villes d’Abengourou et d’Anuanssué et comprendra la construction d’équipements de pompage, de deux châteaux d’eau, de deux stations d’énergie électrique, etc. 

A terme, il permettra d’améliorer l’approvisionnement en eau potable, d’atténuer les risques de maladies d’origine hydrique et de préserver la santé des populations.

De mêmen un autre accord de prêt d’un montant de 25,4 milliards de Fcfa, selon Bruno Koné, a été signé entre l’Etat de Côte d’Ivoire et la FAD(Fonds africain de développement), le 2 mars 2016. Il servira pour le financement additionnel du programme d’aménagement de routes et de facilitation du transport au sein de l’Union Fleuve Mano.

Ce projet vise particulièrement la réduction du coût des transport, la facilitation de la libre circulation des biens et des personnes entre les trois pays concernés, à savoir la Côte d’Ivoire, le Nigéria et la Guinée-Conakry et aussi l’amélioration des conditions de vie des populations.

 

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Bruno Koné Nabagné a annoncé mercredi au sortir d’un conseil de ministres une cérémonie de commémoration des victimes de l’attaque terroriste de Grand-Bassam, le lundi 13 mars 2017 dans la ville balnéaire.

Cela fait « un an que la Côte d’Ivoire a été victime d’une attaque terroriste » à travers la ville de Grand-Bassam. Pour cela, le gouvernement a décidé d’organiser une cérémonie de commémoration des victimes de cette attaque au lieu du drame à la date anniversaire du lundi 13 mars 2017.

 « Ca sera un moment de rassemblement de la nation ivoirienne autour d’un important événement de son histoire », a-t-il dit.

A cette date du lundi 13 mars, le gouvernement invite toute la population ivoirienne à observer une minute de silence à 12heures 45 mn(heure du déclenchement des premiers tirs) en la mémoire des victimes.

Le président ivoirien Alassane Ouattara sera à cette cérémonie et déposera une gerbe de fleurs en mémoire des victimes.

Au  niveau des enquêtes relatives à cette attaque terroriste, le ministre Bruno Koné a relevé que ce sont au total 38 personnes qui ont été interpellées dont 26 en Côte d’Ivoire, 6 au Burkina-Faso, 4 au Mali et 2 au Sénégal.

Rappelons que l’attaque terroriste de Grand-Bassam du 13 mars 2016 a fait officiellement 19 morts et plusieurs blessés.

 

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