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Le Mouvement des Forces d’Avenir(MFA) tendance Anzouma Moutayé a tenu s’est réuni mardi dernier à son siège sis à Cocody Angré. Il s’agissait pour les responsables de ce parti, de faire le bilan des élections présidentielles, d’amorcer les perspectives.
Anzoumana Moutayé s’est félicité du rôle joué par son parti dans la victoire du candidat RHDP, Alassane Ouattara. Puis, il s’est prononcé sur l’actualité brûlante de l’heure à savoir le retour au PDCI-RDA de tous les partis membres du RHDP. M. Moutayé a préféré jouer la carte de la prudence. Pour lui, il faudrait que son parti ait les conclusions et recommandations des réflexions engagées avant de se prononcer sur la question. « Nous attendons les éléments de réflexion qui permettront au parti de faire le bon choix. Nous attendons ces éléments pour que nous nous prononcions sur le parti unifié car en aucun moment nous ne devons avoir une position ambigüe. Nous ne sommes pas contre mais nous attendons les conclusions pour que nous nous prononcions », a-t-il déclaré, dénonçant le mauvais traitement fait à ses militants dans les différentes équipes de campagne du RHDP. Il a aussi demandé aux militants de son parti de s’apprêter pour les futures joutes électorales. « Nous mettrons des comités en place pour les futures élections locales. En tant que MFA, nous continuerons de travailler sans mettre encore notre appartenance au RHDP en cause», a indiqué Anzoumana Moutayé.
Izoudine Youssef
Très peu d’Ivoiriens connaissent l’histoire de Soro Badrissa, spécialiste de marionnettes. Ce jeune marionnettiste a une intimité extraordinaire avec ses figurines. A l’école de Wêrê-Wêrê Liking, il a appris à les connaitre, à les fabriquer, et à les faire parler… 7 ans de formtion auront suffi pour voler de ses propres ailes. Aujourd’hui, cet ancien pensionnaire du village Ki Yi M’Bock d’Abidjan fait des merveilles avec ses marionnettes.
Soro Badrissa parle avec passion de son metier de marionnettiste. « Au début, c’était difficile. Ceux qui n’ont pu tenir sont partis. Mais moi, c'est ce que j'ai choisi de faire », raconte-il avec beaucoup d’émotion.
Pour le marionnettiste ivoirien, sa spécialisation lui a permis de se faire très tôt une place dans le paysage culturel ivoirien. Et sur le plan international, il est le président de l’union internationale de la marionnette(UNIMA). Mais, son éclosison est partie avec le spectacle « Soro d’Abidjan » qui l’a révélé au public ivoirien grâce à une promotrice américaine.
La compagnie Ivoire marionnettes, ce sont plusieurs spectacles dont « La main qui donne » qui a été présenté au public, le samedi 28 novembre au siège de la Compagnie à Abatta(Bingerville). Il s’agit de l’histoire d’une grande Marionnette Main qui donne naissance à 5 marionnettes géantes qui représentent les 5 continents symbolisant la paix l’union et la fraternité. Ce spectacle a été médaillé d’or aux 7ème jeux de la Francophonie à Nice en septembre 2013.
Le spectacle « Le Tambour de l’union », qui a reçu le prix du concours vidéo ONG/Unesco à Charleville Mezièrres(France). « Ces prix m’ont permis de gagner en maturité », se réjouit-il. C’est même possible pour Soro, selon un de ses proches, de «faire parler » ses marionnettes au cours des spectacles. A cela s’ajoute, le 3ème prix de l’excellence de la Republique de Côte d’Ivoire pour les Arts vivants(2014) et 3ème prix de ASCAD des arts de la rue(2015).
Créée en 2007, la compagnie Ivoire marionnettes est située à Abatta(commune de Bingerville). Elle est spécialisée dans la fabrication, la manipulation et la création de spectacles de marionnettes, mais aussi dans la formation et la promotion de la marionnette. L'objectif de Soro Badrissa, directeur artistique de la compagnie Ivoire marionnettes, est de faire de cette Compagnie un temple de la marionnette.
Roch Marc Christian Kaboré, candidat du Mouvement du Peuple pour le Progrès (MPP), a été élu président de la République dès le premier tour avec 53,49 % des voix à la présidentielle et législative couplée du 29 novembre 2015 au Burkina, selon les résultats provisoires annoncés lundi soir par la Commission électorale nationale indépendante(CENI). Il devance largement Zéphirin Diabré, son rival de l'UPC, deuxième avec 29,65 % des voix, et loin derrière Benewendé Stanislas Sankara (UNIR/PS) qui obtient 2,77% des voix.
Roch Marc Christian Kaboré du MPP a été élu président de la République dès le premier tour à la majorité absolue avec le score de 53,49 % des voix. Son rival et principal adversaire, Zéphirin Diabré, candidat de l’Union du peuple pour le changement (UPC), arrive en deuxième position avec 29,65 % des voix, et la troisième place est occupée par Benewendé Stanislas Sankara (UNIR/PS) qui obtient 2,77% selon les estimations. En ce qui concerne les tendances pour les législatives, sur la base des rapports transmis à la CENI, émergent des partis comme l’ADF/RDA, le CDP, le MPP, le PDS/Metba, l’UPC.
À 58 ans, le futur locataire du palais de Kosyam et fils d’ancien ministre a su quitter à temps l’ex-président Blaise Compaoré dont il a été l’un de ses plus proches collaborateurs pendant près de trois décennies pour voler de ses propres ailes.
Le bimensuel français La Lettre du Continent (LC) accuse ouvertement dans sa dernière parution Yehni Djidji, une blogeuse ivoirienne, d’être favorable à Guillaume Soro, président de l’Assemblée nationale ivoirienne. La Lettre du Continent se base sur les publications de la blogueuse au sujet de M. Soro. Ce dernier accusé depuis quelque temps d’être l’un des commanditaires du coup d’Etat laconique au Burkina-Faso, selon des écoutes téléphoniques mises en ligne sur le web, mène une véritable contre-attaque sur le web à travers des sites internet, des réseaux sociaux... Ainsi dans l'entendement de la Lettre du Continent, la blogeuse ivoirienne ferait partie des recrues pour l'équipe de communication sur le web du président de l’Assemblée nationale ivoirienne. Mais, à en croire l’écrivaine blogueuse, c'est un grossier mensonge fabriqué de toutes pièces par le journal français. En dessous sa réaction.
Publication d’un démenti face aux propos diffamatoires de la lettre du continent
Suite à la publication d’une information erronée me concernant dans la Lettre du Continent n° 718 paru le 25 Novembre 2015, dans l’article « Côte d’Ivoire-Pris dans la toile, Soro déploie sa Task force 2.0 », disant que j’avais été recrutée sur la toile pour magnifier l’action du chef du Parlement ivoirien, j’ai entrepris la démarche de leur faire parvenir un erratum, le 28 Novembre 2015, refusant de croire qu’un journal sérieux puisse offrir délibérément des informations fausses à son lectorat. Voici la réponse que j’ai reçue du rédacteur en chef de la lettre du continent ce même jour:
« bonjour, disons que votre blig est très favorable au PAN. Cdt. FI». La capture d’écran est disponible.
Ce message laconique comme réponse à mon erratum, montre d’une part le manque cruel de professionnalisme de cet organe de presse, d’autre part l’absence totale de preuves et d’arguments pour défendre leur point de vue, mais mieux encore que la mention de mon nom dans cet article était un acte délibéré à des fins connues d’eux seuls.
Non seulement je ne me reconnais nullement dans une série d’articles qui permettraient de cataloguer mon blog de « très favorable » au PAN mais quand bien même ce grossier mensonge serait vrai, en quoi est-ce que être favorable veut dire être recruté ou employé pour une fonction de griot en ligne ?
Je suis blogueuse mais également écrivain. J’ai toujours pensé que le rôle de l’écrivain différait de celui du journaliste en ce que si le premier invente de toutes pièces, crée des histoires fictives et croustillantes par la seule force de son imagination, le second a un devoir de vérité, de recherches pointues et d’investigations poussées, tenu tant par la déontologie et l’éthique de son métier que par le respect le plus élémentaire de l’intellect de ses lecteurs.
Grande fut donc ma surprise de constater que la Lettre du Continent, que j’ai découvert d’ailleurs à la faveur de ses propos diffamatoires, ait choisi ses colonnes pour s’adonner à un exercice de fiction.
A toutes fins utiles, je précise et rappelle que je n’ai jamais été une employée du Président de l’Assemblée Nationale. D’ailleurs, parmi les 1162 articles disponibles sur mon blog, ceux parlant du parlement ivoirien et de son premier responsable se comptent sur les doigts de la main. Travailler pour lui étant loin d’être un crime, je n’aurai pas de scrupules à l’admettre si ce grossier mensonge devenait un jour vérité.
Pour l’instant, je continuerai de mettre un point d’honneur à transcrire avec le plus d’impartialité possible mon regard sur le monde et de prêter ma voix aux causes que j’estime nobles et démocratiques, comme je le fais depuis 2008. Mon blog étant ouvert et disponible à l’adresse www.yehnidjidji.com, chacun pourra constater que les allégations de la Lettre du Continent sont totalement et purement infondées.
NB : J’ai fait parvenir un droit de réponse à la Lettre du Continent ce 30 Novembre 2015 et reste dans l’attente de leur réaction.
L’ONG Brin d’Espoir International a remis plus de 150 kits de bébé à plusieurs mamans, dont l’âge des enfants est compris entre 0 et 1 mois, jeudi 27 novembre 2015. Les responsables de cette ONG se sont rendus dans 4 centres de santé communautaire du District d’Abidjan. Le coût des kits de bébé est estimé à près de 1 million de francs CFA.
Le bien-être des enfants, Mme Konet Massaty, présidente fondatrice de l’ONG Brin d’espoir international, en a fait une priorité. D’ailleurs, elle en parle avec beaucoup de détermination, et surtout avec amour.
Pour elle, si l’on dit que l’avenir d’un pays appartient à sa jeunesse, il est claire que cela commence par le bébé depuis son berceau. C’est pourquoi, elle a décidé de jouer sa partition en apportant amour, joie et aides aux enfants de 0 à 14 ans à travers son ONG qui œuvre pour le bien-être de tous les enfants.
Dans cette dynamique, elle s’est rendue avec quelque collaborateurs au centre de santé communautaire rural d’Adjamé Agban village, d’Abobo Clotcha, de Yopougon Attékoubé Lokodjoro et la maternité de Williamsville-Macaci.
Ce sont 150 kits de bébé essentiellement composés de couches jetables, de lingettes, de la poudre, du coton, de l’eau de cologne, des gangs de toilettes, etc qui ont été remis à des mamans dans ces différents centres de santé communautaire.
Selon la présidente fondatrice de l’Ong Brin d’espoir innternational, rien ne rend plus heureux que d’apporter du bonheur aux enfants. « Nous voulons apporter un brin d’espoir à tous les enfants, surtout à ceux issus de familles moins aisées. Et nous serons toujours avec vous», a-t-elle dit, indiquant que son organisation s’autofinance grâce à ses membres, et aura donc besoin des prières de tous pour grandir. « Nous pensons que c’est avec votre soutien et vos prières que nous pourrons aller loin », a-t-elle ajouté.
Au centre de santé de Williamsville Macaci, le docteur Drissa Coulibaly, médecin chef, n’a pas manqué d’exprimer sa joie en voyant tous ces dons pour les bébés du centre de santé qu’il dirige. « Le couple mère-enfant est essentiel pour l’avenir d’un pays, souligne-t-il, car c’est de là que tout part », sans oublier de remercier les responsables de cette ONG.
L’ONG Brin d’Espoir International a été créé en juillet 2015, et son siège se trouve à Adjamé 220 logements. L’organisation annonce dans les jours à venir une série d’activités dans la ville d’Abidjan. Sa présentation officielle est prévue pour le 19 décembre 2015.
Lancé en juin 2015 dans le cadre du projet Jeunesse pour les Droits Humains (PJDH), le concours « Génie en herbes » sur les droits de l’homme et les mécanismes de la Cour Pénale Internationale (CPI) a pris fin le 30 septembre 2015. Et comme promis, les 3 jeunes vainqueurs dudit concours avec leurs 2 encadreurs séjournent depuis le mercredi 25 novembre à la Haye aux Pays Bas pour un voyage d’études sur la justice internationale.
Durant 5 jours, ces 5 jeunes ivoiriens rencontreront et échangeront avec les plus hautes autorités de la cour de justice internationale et de la cour pénale internationale (les présidents, la procureure, le greffier, etc.) pour mieux comprendre les missions et le fonctionnement de ces institutions de justice mondiale. Aussi, ils prendront part à des conférences, des émissions et visiteront diverses autres structures dont le Palais de la Paix, à la Haye, abritant le siège de la Cour permanente d'arbitrage, la Cour internationale de justice des Nations unies, l'Académie de droit international de la Haye et de la bibliothèque du Palais de la Paix.
En effet, le projet Jeunesse pour les Droits Humains (PJDH), fait suite à une formation initiée par le Centre d’Education pour une Société Durable (Centre ESD) d’une trentaine de jeunes issus de diverses organisations de jeunesse, le 10 Décembre 2014 à l’occasion de la célébration de la journée internationale des droits de l’Homme, en partenariat avec l’unité de sensibilisation de la Cour Pénale Internationale et avec l’appui de la Fondation Friedrich Naumann pour le Liberté de jeunes issus de diverses organisations de jeunesse, le 10 Décembre 2014 à l’occasion de la célébration de la journée internationale des droits de l’Homme, en partenariat avec l’unité de sensibilisation de la Cour Pénale Internationale et avec l’appui de la Fondation Friedrich. Ce projet a fédéré 13 organisations de jeunesse et avait pour but de former 400 jeunes des 13 communes du district d’Abidjan en droit de l’homme, droit international humanitaire et aux mécanismes de fonctionnement de la CPI. La formation a été suivie d’un concours de génies en herbe qui s’est déroulé du 29 au 30 Septembre à la Fondation Friedrich Naumann avec à la clé un voyage de 5 jours à la Haye au Pays Bas pour les lauréats afin de visiter les différentes instances de justice internationale. L’équipe arrivée 2 ème bénéficiera d’une formation en Droit International Humanitaire de l’Institut des droits de l’homme de Strasbourg offerte par la Fondation Friedrich Naumann pour le Liberté.
Source: Serv Centre ESD
La migration est le naturel de l’homme qui est en quête perpétuelle du changement d’air, d’espace et d’habitudes. Autant pour les adultes que pour les enfants, le voyage contribue à l’épanouissement. En plus d’être un simple loisir dans la majorité des cas, le voyage apporte une connaissance de plus aux enfants. D’où son importance dans leur vie.
L’éducation d’un enfant est aussi passionnante que mouvementée. Si pour les personnes âgées voyager reste un simple loisir, il n’en demeure pas moins pour les plus petits. Pour une vie heureuse et épanouie, les enfants ont toujours besoin d’acquérir de nouvelles valeurs tant morales, spirituelles que sociétales. La migration est le naturel de l’homme qui est en quête perpétuelle du changement d’air, d’espace et d’habitudes. Autant pour les adultes que pour les enfants, le voyage contribue à l’épanouissement. En plus d’être un simple loisir dans la majorité des cas, le voyage apporte une connaissance de plus aux enfants. D’où son importance dans leur vie. L’éducation d’un enfant est aussi passionnante que mouvementée. Si pour les personnes âgées voyager reste un simple loisir, il n’en demeure pas moins pour les plus petits. Pour une vie heureuse et épanouie, les enfants ont toujours besoin d’acquérir de nouvelles valeurs tant morales, spirituelles que sociétales. La connaissance de plusieurs endroits et plusieurs cultures ouvre l’esprit de créativité des enfants.
Les avantages du tourisme scolaire
Plusieurs systèmes éducatifs intègrent difficilement le tourisme à leur programme. Ils associent cette activité au simple loisir, à la distraction, au plaisir, pendant que l’éducation est plutôt associée au strict objectif à atteindre. Bien que cette option soit la plus partagée, la pratique du tourisme scolaire qui a été vulgarisée et développée seulement à partir du 19è siècle reste aujourd’hui très répandue. Si bien que des organisations naissent à travers le monde pour faciliter le périple aux enfants à travers des colonies de vacances ou des sorties détentes.
Le tourisme scolaire est un formidable outil d’apprentissage, avec des activités ludiques et pratiques qui apportent de nombreux savoirs aux enfants. Il diffère de celui des adultes de par ses caractéristiques qui résident dans les objectifs de formations. Le sortant du cadre de ses habitudes quotidiennes, le voyage est le moyen idéal pour l’enfant d’anirmer sa personnalité, de comprendre le monde extérieur, de choisir un tant soit peu son rythme de vie. Les découvertes touristiques développent l’esprit critique de l’enfant et initient ce dernier dès le bas âge à être ouvert sur le monde extérieur. Une connaissance diversifée aide à cultiver l’enfant. Le sport, la lecture en équipe et les échanges entre de nouveaux amis apportent encore plus.
Les voyages en famille, une aubaine de découverte
En plus des voyages de colonie ou du tourisme scolaire, chaque parent doit prendre l’initiative de faire changer d’atmosphère à son enfant. Le but est le même, donner de nouvelles vues, de nouvelles perspectives à son enfant, lui permettre de mieux connaître et appréhender ce monde extérieur. En vous déplaçant avec vos enfants, prenez soin de tout prévoir. Pour leur santé, assurez-vous de faire tous les vaccins nécessaires. Quand au logis, si vous n’avez pas de maison d’accueil sur place, vous pouvez passer des reservations d’hôtels à distance sur les plateformes telles que Jovago pour être à l’abri de toutes surprises et éviter aux enfants de regretter le déplacement. Laisser son enfant participer aux activités parascolaires, c’est élargir son horizon culturel, participer à son développement personnel. Le tourisme constitue certes un outil d’éducation mais tout parent doit faire attention aux conditions de voyages de son enfant. Prenez toujours toutes les précautions nécessaires au bien-être de votre enfant loin de vous.
Source: Jovago
A l'occasion de la présidentielle d’octobre 2015 en Côte d'Ivoire, l’un des candidats indépendants s’était attaché des services d’un jeune plein d’ambitions. En terre éburnéenne, c’était l’une des rares fois qu’on voyait un directeur national de campagne issu d’une autre nationalité. Un jeune homme de nationalité française.
A la présidentielle ivoirienne d’octobre 2015, le candidat indépendant Gnangbo Kacou avait pour directeur national de campagne, Louis de Gouyon Matignon, président du parti Européen, venu de France. Ce jeune politicien français était bien aux côtés de M. Gnangbo lors de ses tournées et meeting dans les villages, villes et communes d’Abidjan.
Si depuis la proclamation des résultats, Gnangbo Kacou, candidat malheureux avec 18.650 des suffrages exprimés soit 0,60%, est discret, ce n'est pas le cas pour son jeune directeur national de campagne, Louis de Gouyon Matignon.
Un mois après la présidentielle, il est devenu artiste chanteur. Dans un style zouglou, musique ivoirienne bien aimée par la plupart des européens, l'artiste Louis de Gouyon Matignon fait apprécier sa belle voix dans une chanson intitulée "EURAFRIQUE" avec en featuring MOMO LEKING. Le clip a été réalisé par Barros et tourné à Tibeita, village situé dans la sous-préfecture de Bouaflé.
Yves Louis Noel ZOGBO n’a vraiment pas l’intention de rester animateur toute sa vie. L’actuel membre du conseil d’administration de la Radio Nostalgie (Côte d’Ivoire) a bien une ambition politique. Celle de devenir ministre.
Selon des sources bien introduites, l’émission de divertissement "Tempo" sera bientôt de retour dans les programmes de la Radiodiffusion-télévision ivoirienne(RTI). Dans les coulisses, il se murmure que Yves Zogbo Junior assurerait l’animation de cette émission. Mais le concerné lui-même a bien voulu tirer les choses au clair.
«Qui vous a dit que moi je vais animer Tempo ? Qui ? Vous m’avez bien regardé? Pendant que moi je cherche à être ministre, vous voulez que j’aille faire Tempo ? Non merci. Mon but aujourd’hui, c’est chercher à gérer des affaires administratives, diriger une télévision, donner ma vision pour une nouvelle télévision que je dois diriger. Et vous voulez me ramenez à Tempo? Animer Tempo, ça c’était avant. Maintenant, nous avons dépassé cela. », aurait affirmé Yves Louis Noel ZOGBO, ancien candidat aux élections législatives sous le régime du général Guei, et conseiller du ministre d’Etat chargé de la défense, Moïse Lida Kouassi, rapporté par le site du magazine people ivoirien, Life.
La deuxième édition d’Africa Web Festival, plate-forme du rendez-vous du numérique en Afrique francophone aura lieu ce vendredi à Abidjan. L’évènement qui se déroulera du 03 au 05 décembre 2015 dans la capitale économique ivoirienne a été annoncé par le conseil d’administration présidé par Mme Mariam Sy Diawara, fondatrice de la structure et Alfred Dan Moussa qui en assure la présidence du comité d’organisation.
«Nous voulons faire d’Abidjan la capitale du numérique », a déclaré la fondatrice d’Africa Web Festival, Mme Mariam Sy Diawara pour qui, il faut s’accommoder à l’évolution du temps qui court au rythme de la technologie numérique. Africa Web Festival est la plate-forme, souligne-t-elle, qui donne l’occasion à la jeunesse africaine d’exprimer son talent dans le domaine du numérique afin de l’accompagner dans la réalisation de ses projets.
Autour du triptyque transport intelligent, ville et énergie intelligente au service du développement de l’Afrique, l’édition 2015 attend, annonce M. Dan Moussa la participation de plus de 15 pays africains et des représentants de la France, du Canada, de la Suisse, de la Belgique, de la Colombie mais surtout enregistrera la participation effective de Mme Michaelle Jean, Secrétaire Général de la francophonie pour montrer la dimension internationale de l'évènement.
Plusieurs prix récompenseront les lauréats dont les créations dans la catégorie vidéo, dans la catégorie de Start-Up et Application auront convaincu le jury présidé par Samba Koné. Trois prix exceptionnels dont le prix Alassane Ouattara baptisé ‘‘Afrikenous/Meilleure image de l’Afrique, le prix du ‘‘Meilleur espoir féminin au nom du secrétaire général de la francophonie’’ et le prix du Premier Ministre de la ‘‘Meilleure créativité et de l’innovation’’, viendront couronner la cérémonie.
Sont concernés, toutes les productions vidéo, les créations d’application technologie et de start-up. L’édition Africa Web Festival 2014 avait enregistré 5425 visiteurs, 61 médias dont 5 web TV d’Afrique, d’Amérique et d’Europe, 31 organes de presses écrites, 15 presses en ligne et 10 audiovisuels.
Izoudine Youssef