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La Côte d’Ivoire participe à la 8ème édition du Festival international du triangle du balafon qui se déroule de jeudi à samedi à Sikasso, au Mali, rapporte un communiqué de Côte d’Ivoire Tourisme.
Le directeur général de Côte d’Ivoire Tourisme, l’Office National du Tourisme, représentant du ministre du Tourisme, M. Siandou Fofana, porte haut la voix culturelle et touristique de la Côte d’Ivoire à ce carrefour culturel.
Ce festival a été créé à l’initiative des ministres de la Culture du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire et du Mali, trois pays ayant en partage cet instrument mythique.
Cette activité culturelle vise à pérenniser et à promouvoir le balafon en tant qu’instrument traditionnel de musique et moyen d’expression culturelle qui participe au renforcement de la fraternité sous régionale et à la valorisation de la diversité culturelle. Aussi, cette plateforme entend apporter une contribution significative à la consolidation de l’intégration et de la paix entre populations des pays participants et invités.
Espace de rencontres et d’intégration des peuples par la culture, ce festival est rythmé par une série de conférences sur le patrimoine immatériel et le balafon, des spectacles dans la ville de Sikasso, un village artisanal et enfin des soirées de compétition, qui mettront aux prises les troupes venues des pays participants.
Les pratiques et expressions culturelles liées au balafon des communautés Sénoufo du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Mali ont été inscrites par l’UNESCO sur la liste représentative du patrimoine immatériel de l’humanité en novembre 2011.
AIP
La Plateforme des organisations de la société civile pour l’observation des élections en Côte d’Ivoire, a bénéficié d’un appui financier de 890 000 $ (soit 445 millions de francs CFA) de la part de ses partenaires que sont le National Democratic Institute (NDI) et l’Agence des Etats Unis pour le développement international (USAID).
Une note d’information dont copie a été transmise jeudi, à l’AIP, précise que cette manne financière a permis à l’ONG « de son rôle d’acteur à équidistance des acteurs gouvernementaux et politiques dans les différents processus électoraux ». La POECI a pu être active et présente lors des différents processus électoraux de l’année 2016.
Pour évaluer le chemin parcouru, les membres de cette ONG ont organisé les 2 et 3 février, à Grand-Bassam, la retraite annuelle pour faire le bilan de l’exécution du projet autour du thème « Appui de la POECI au renforcement de la démocratie en Côte d’Ivoire à travers une révision constitutionnelle et un processus électoral de 2016 inclusifs et apaisés » et dégager les perspectives pour 2017-2020.
En terme de perspectives pour 2017-2020, la POECI veut orienter ses activités sur quatre axes stratégiques qui sont « Observation des processus électoraux », « Education à la citoyenneté », « Gouvernance et suivi des politiques publiques » et « Mobilisation des ressources et suivi de la stratégie ».
A travers ses axes stratégiques, la POECI veut d’abord continuer à améliorer sa contribution à la surveillance de l’organisation et du déroulement des élections. Elle entend devenir un « acteur clé » de l’éducation à la citoyenneté, améliorer sa contribution à la consolidation de la bonne gouvernance et la démocratie en Côte d’Ivoire et enfin diversifier et accroitre les ressources qui lui sont allouées afin de réussir sa mission.
AIP
Le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, s’est entretenu jeudi au Palais présidentiel, au Plateau, avec le président de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), Christian Adovelande.
Au terme de l’entretien, le président de la BOAD a indiqué être venu faire au chef de l’Etat, président en exercice de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), le point des activités de son institution au titre de l’année 2016.
Les investissements de la BOAD au titre de l’année 2016 s’élèvent à 500 milliards FCFA contre 300 milliards de FCFA en 2015, a révélé M. Adovelande. Il a souligné avoir profité de la rencontre pour évoquer avec le Président de la République, la coopération entre la Banque et la Côte d’Ivoire.
Ces investissements concernent notamment les secteurs de l’énergie, des infrastructures de transport et de l’agriculture.
Au titre des perspectives, le président de la BOAD a réitéré la volonté de son institution d’accompagner la Côte d’Ivoire en honorant son engagement de contribuer, à hauteur de 350 milliards FCFA au Plan National de Développement (2016 – 2020).
Le ministre, secrétaire général de la Présidence de la République, Patrick Achi, et le directeur de cabinet du Président de la République, Fidèle Sarassoro, ont assisté à cet entretien, rapporte un communiqué de la Présidence de la République ivoirienne.
AIP
La marque de savon et de produits Dove a procédé, vendredi à Abidjan, au lancement de la deuxième édition du concours de beauté « Egéries Dove», destiné à «valoriser la beauté naturelle », dont la finale est prévue en mai 2017.
Ce concours dont les inscriptions des candidates ont débuté le 26 janvier et devraient prendre fin le 12 février, vise à « choisir les visages qui représenteront la marque et ses valeurs en Côte d’Ivoire durant une année », a expliqué la responsable marketing de Dove en Afrique francophone, Yvonne Paraiso, lors d’une conférence de presse, jeudi à Abidjan.
« Cette édition est plus que jamais placée sous le signe de la beauté naturelle ; parce que pour nous, toutes les femmes sont belles et doivent rester naturelles quel que soit leur teint », a ajouté Mme Paraiso, invitant « toutes les jeunes femmes âgées de 18 ans et un peu plus, qui se sentent belles tel qu’elles sont, à postuler en s’inscrivant sur le site web www.egeriedoveafrique.com ».
Au terme de la présélection prévue le 24 février, 25 candidates seront choisies et soumises au vote sur la page facebook du concours du 8 mars au 10 avril. Dix finalistes seront ainsi sélectionnées pour s’affronter à la finale le 6 mai.
La première édition des « Egéries Dove» s’est tenue en 2014 et a été remportée par Elodie Séa, désormais membre du jury du concours, aux côtés d’autres personnalités dont la comédienne et mannequin ivoirienne Marie-Christine Beugré.
Cette dernière, « reconnue et appréciée des femmes ivoiriennes pour son naturel, son élégance et sa simplicité », a été désignée « ambassadrice » et « marraine » du concours. Elle « aura pour mission d’expliquer aux ivoiriennes que la beauté est une source de confiance et non d’anxiété », a conclu Yvonne Paraiso.
AIP
Une solution technologique dénommée « mFarms », une plateforme personnalisable basée sur le Web et le mobile, servant à organiser et à gérer efficacement les chaînes de valeur agricoles, a été présentée jeudi, pour la première fois en Côte d’Ivoire
« C’est un système qui permet de mettre en relation les différents acteurs d’une ou plusieurs chaînes de valeur, de leur permettre de créer des relations d’affaires, de les maintenir mais également de pouvoir véhiculer des informations pertinentes, de faire de la planification pour la production et pour assurer des marchés structurés », a expliqué la directrice commerciale de Imagead, l’entreprise promotrice de cette application, Mme Garcia Honvoh.
Cet outil permet un suivi en temps réel des activités agricoles, a-t-elle indiqué, précisant que l’application est accessible par abonnement. Selon la directrice commerciale, mFarms est une application flexible, personnalisable et peut s’adapter à la réalité de l’utilisateur.
« La plateforme améliore le revenu des producteurs », a-t-elle commenté, indiquant qu’elle aide le producteur à avoir une maîtrise des prix et surtout à venir proposer ses produits sur la plateforme. « Le but final est de libérer davantage le potentiel du secteur pour de meilleures performances dans la production et les revenus issus des ventes », a soutenu Mme Honvoh.
A cette rencontre, les fonctionnalités clés de la plateforme mFarms pour la l’agro-business et celles en tant que l’outil de la collecte et de la gestion des données ont été présentées. Cette plateforme compte à ce jour plus 186.000 acteurs. Lancé au Ghana, cet outil est implémenté en Afrique de l’Ouest et du Centre.
AIP
Un feu de brousse dont l’origine est pour le moment inconnue a dévasté la forêt sacrée ainsi que le marché de la commune de Sifié située à une trentaine de kilomètres de Séguéla (Nord-ouest, région du Worodougou), a appris l’AIP auprès de quelques habitants.
Cette réserve de 23 hectares, réhabilitée en 2016 par la Société de développement des forêts (SODEFOR) et constituée essentiellement de tecks et de mélina, est partie totalement en fumée dans l’après-midi de lundi, malgré les efforts des populations avec des moyens rudimentaires pour contrer l’incendie d’une rare intensité, surtout en cette période d’harmattan.
« La perte est énorme’’, a confié le sous-préfet Soumahoro Tokpa dont les services sont à pied d’œuvre pour en déterminer les causes.
Afin de sensibiliser les populations sur la dangerosité des feux de brousse, le ministère des Eaux et Forêts lancera le 18 février une campagne nationale à partir de Sifié, note-t-on.
AIP
Le trésor public a apporté une précision aux allégations publiées par certains quotidiens affirmant « son laxisme dans la gestion du dossier d’agrobusiness », dans le cadre des travaux du Comité de veille, chargé notamment de procéder au remboursement des souscripteurs.
« Le trésor public a agi sur le dossier des sociétés d’agrobusiness en tant qu’un service technique du ministère de l’Économie et des Finances, chargé de la supervision du secteur financier, en relation avec les instances communautaires de l’UEMOA (BCEAO, CREPMF et CIMA) », rapporte une note d’information transmise jeudi au médias. A ce titre, toutes les questions d’ordre financier relève de sa compétence, bien entendu en relation avec les instances communautaires.
« Le trésor public a joué pleinement sa partition et à bonne date, dans la vigilance recommandée sur le fonctionnement du système financier national, aux côtés des autres acteurs et sa prise en main du dossier, à travers la présidence des instances mises en place sur les sociétés « d’agrobusiness » a accéléré ce dossier pour conduire aux résultats connus de tous aujourd’hui », explique la note.
La charge du trésor public est de coordonner l’étude sur le nouveau mode de financement proposé par les sociétés « d’agrobusiness » en mettant l’accent sur les risques encourus par les populations. Cette tâche s’inscrit dans le cadre de la mission du Conseil national de Crédit qui est d’étudier les conditions de financement de l’activité économique nationale, précise la note d’information, expliquant que la genèse du dossier des sociétés « d’agrobusiness » n’est pas du ressort du trésor public.
Pendant que la présidence des travaux du Comité de veille, chargé notamment de procéder au remboursement des souscripteurs sur la base du capital et des montants disponibles dans les comptes bancaires des sociétés concernées, est assurée par le trésor public, le secrétariat technique du Comité de veille, quant à lui est assuré par la direction du financement et du suivi des politiques sectorielles (DFSPS).
Le Comité de veille est chargé également de prémunir toutes formes de résurgence de ce phénomène et sa contagion aux autres secteurs de l’économie, a-t-on appris.
AIP
Le coup d’envoi de la 43è édition du Rallye Bandama sera donné ce vendredi à Yamoussoukro pour prendre fin le dimanche.
Pour cette édition, 428,75 km seront parcourus par 31 équipages. L’innovation cette année sera la course des véhicules de découvertes (SSV), qui permet de faire un rallye et un classement séparé. Elle vise à valoriser les catégories deux roues motrices (motos).
Le rallye Bandama est une compétition de course de véhicules et de motos créée en 1969 par Jean-Claude Bertrand, un français surnommé le père des rallyes tout-terrain, pour sa passion à faire le tour des routes mêmes les plus impossibles, précise-t-on.
AIP
Un mois après sa prise de fonction, le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a publié son Rapport final sur l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) dont une copie a été transmise jeudi à l’AIP.
Dans le document daté du 31 janvier 2017, le SG rappelle le contexte sociopolitique de la Côte d’Ivoire qui « a connu une nouvelle expansion de l’autorité de l’État et un déploiement de services publics, le renforcement des institutions démocratiques, des progrès dans la réforme du secteur de la sécurité et un développement économique soutenu ».
Le secrétaire général qui estime qu’il faudra certes du temps pour guérir les blessures du passé, se dit toutefois encouragé de voir que les Ivoiriens développent progressivement un sentiment national commun et une fierté nationale partagée, qui peuvent briser les clivages politiques, ethniques et religieux.
Pour lui, la recherche d’une véritable réconciliation nationale doit se poursuivre avec la pleine participation de toutes les parties prenantes afin d’empêcher la survenance de violences et de conflits, notamment avec l’aide de l’équipe de pays des Nations Unies, dans le cadre de la mise en œuvre du plan de transfert.
En outre, le SG se dit préoccupé par le fait que la justice continue d’être perçue comme partisane et que des violations des droits de l’homme demeurent impunies. « À cet égard, je demande à nouveau que tous les auteurs de telles violations, quelle que soit leur appartenance politique, soient amenés à répondre de leurs actes », préconise-t-il.
Selon Antonio Guterres, il faut continuer de renforcer la Commission nationale des droits de l’homme ainsi que la sensibilisation et la formation des agents des institutions juridiques et fournisseurs de services juridiques aux questions de violence sexuelle et sexiste. « L’Organisation des Nations Unies demeure résolue à promouvoir et à protéger les droits de l’homme en Côte d’Ivoire en étroite collaboration avec le Gouvernement. »
L’achèvement de la phase de maintien de la paix marque un tournant, tant pour la Côte d’Ivoire que pour l’ONU, poursuit M. Guterres. Alors que le Gouvernement mène son programme de développement économique et politique, l’ONUCI confie à l’équipe de pays des Nations Unies le soin de régler les difficultés qui subsisteront après son retrait. Un accord à cet effet a été signé par toutes les parties concernées le 17 octobre.
Pour conclure, le SG tient à exprimer sa gratitude à tous les membres, anciens et actuels, du personnel civil et militaire de l’ONUCI, ainsi qu’à sa Représentante spéciale, Aïchatou Mindaoudou, et à tous les dirigeants précédents de l’Opération, qui ont permis à l’ONUCI de mener à bien son mandat et à l’ONU d’être présente pour maintenir la paix.
Il adresse aussi sa gratitude à tous les pays qui ont fourni des contingents et du personnel de police à l’ONUCI ainsi qu’aux pays donateurs et aux organisations régionales, multilatérales et non gouvernementales qui continuent de fournir un appui précieux à la Côte d’Ivoire.
Un hommage particulier a été rendu aussi à l’Union africaine et à la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest. « Le Gouvernement et le peuple ivoiriens méritent également des éloges pour leur remarquable résilience et pour l’usage excellent qu’ils ont fait de l’appui que leur offraient les partenaires internationaux afin de rétablir la paix et la stabilité dans leur pays », termine le SG de l’ONU.
AIP
Le ministre des Infrastructures économiques, Amédé Kouakou, a annoncé jeudi à l’hôtel du district d’Abidjan-Plateau, le lancement à Divo par le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly, le 17 févier, des travaux de bitumage de la route Divo-Guitry ainsi que la réhabilitation entière du tronçon N’Douci-Divo-Lakota-Gagnoa.
Le ministre a fait cette annonce au cours de la réunion préparatoire qui a été organisée, à cet effet, avec la chefferie de la région du Loh-Djiboua et les cadres dont l’ancien ministre Zakpa Roland Komenan, le doyen Kanté Koly et le général de police, Dja Blé Joseph pour préparer l’arrivée du chef du gouvernement à Divo.
« Nous devons tous nous mobiliser pour réserver un accueil chaleureux au Premier ministre Amadou Gon Coulibay », a insisté le ministre Amédé Kouakou.
Le président du Conseil régional du Lôh-Djiboua, Zakpa Komenan, a exprimé sa gratitude au gouvernement avant de saluer l’annonce de ces travaux qui étaient longtemps attendus par les populations du Loh-Djiboua. Pour lui, une ère nouvelle se lève sur la région. « La mise en état de ces routes va contribuer à booster le développement de notre région », a-t-il souligné.
Le comité d’organisation entend mobiliser 5 000 personnes pour l’accueil du Premier ministre.
AIP