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Le directeur général du Service d’aide médicale Urgent (SAMU), Dr Jacques Cissoko, a déclaré samedi à Yamoussoukro que l’insuffisance rénale chronique est une maladie grave et dangereuse qui atteint tout le monde quel que soit l’âge, estimant que seule la greffe des reins demeure actuellement la solution définitive au problème de l’insuffisance rénale.
« Nous essayons donc de vulgariser la greffe des reins qui se fait désormais en Côte d’Ivoire et pratiquée par des néphrologues ivoiriens », a fait savoir le directeur du SAMU lors de la remise de 3 000 kits de dialyse au centre d’hémodialyse du SAMU de Yamoussoukro.
Dr Cissoko a souligné qu’il ne s’agit pas d’une simple greffe mais d’intervenir de sorte à éviter les rejets après la greffe, vu que les médicaments du rejet reviennent à 300 000 FCFA par mois sur une période de trois voire quatre ans. « Et s’il n’y a pas ces médicaments, vous redevenez insuffisants rénaux et vous revenez à la dialyse », a-t-il prévenu.
En 2015, on a enregistré plus de 353 millions de personnes, soit 5 % de la population mondiale, souffrant d’une insuffisance rénale chronique. Selon l’OMS, les maladies du rein occasionnent environ 35 millions de décès par an. « Aujourd’hui, nous ne nous battons plus pour la séance de dialyse qui, grâce à la volonté du Président Ouattara, coûte 1 750 FCFA par rapport au privé qui est de 80 000 FCFA à 150 000 FCFA. Des montants payés à vie », a précisé le DG du SAMU.
Dr Cissoko a expliqué que les ordonnances après dialyse reviennent à 80 000 FCFA par mois. « Nous travaillons sur ce sujet avec madame la ministre de la Santé pour voir comment faire entrer des médicaments à des prix acceptables pour mettre à votre disposition à des prix très bas », a-t-il confié, ajoutant que bientôt le sang ne sera plus vendu aux malades de rein.
De dix postes de soins des malades de reins, la Côte d’Ivoire est passée à ce jour à 64 postes. Ce sont environ 650 malades d’insuffisances rénales chroniques et aiguës qui dialysent dans les centres du SAMU sur l’ensemble du territoire national. « Il nous faut 94 000 kits de dialyse pour pouvoir prendre en charge tous les malades d’insuffisance rénale dans les services du SAMU », a fait savoir Dr Jacques Cissoko.
AIP
Bassolé Simon Benjamin, journaliste à l’Agence ivoirienne de presse (AIP), a été sacré lauréat de la troisième édition du «Prix Alfred Dan Moussa », récompensant le meilleur journaliste-web pour la promotion de paix dans l’espace de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, lors d’un diner-gala dans la soirée de samedi au centre des conférences des Affaires étrangère d’Abidjan.
Ce prix initié par le Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI), était couplé à cette occasion de la première édition du « Prix Samba Koné de la Meilleure entreprise de presse en ligne », sous le parrainage du publicitaire ivoirien Fabrice Sawegnon, PDG du groupe Voodoo, et en présence d’un représentant de la Commission de la CEDEAO. Vingt-cinq journalistes et entreprises de trois pays, la Côte d’Ivoire, le Togo et le Sénégal, étaient nominés aux deux prix.
Avec une moyenne de 15 sur 20, Bassolé Benjamin a été déclaré vainqueur du « Prix Alfred dan Moussa », pour son article intitulé « Côte d’Ivoire/Ossibassa ou l’intégration ouest africaine autour du poisson ». « Je dédie ce prix Mme la directrice de l’AIP (Barry-Sana Oumou) que je remercie pour nous avoir inculqué le sens du travail bien fait, ainsi qu’à tous les journalistes de la maison », a réagi M. Bassolé.
Il est suivi de Sériba Koné du journal en ligne Crocinfos.com, ayant pour sa part obtenu une moyenne de 12 sur 20.
Quant au « Prix Samba Koné de la Meilleure entreprise de presse en ligne », il a été remporté par le journal en ligne Politikafrique.info, suivi des sitewebs Africadailynews.com et Tomorrowmag.com.
Le lauréat classé premier au Prix Alfred Dan Moussa recevra la somme d’un million de francs CFA en espèce, quand le second gagnera 500.000 FCFA, lors d’une cérémonie prévue à cet effet.
L’entreprise classée première au « Prix Samba Koné » reçoit un lot d’équipements d’une valeur de deux millions FCFA. Celles classées 2ème et 3ème recevront respectivement du matériel d’une valeur d’un million de FCFA et 500.000 FCFA, lors d’une cérémonie prévue au siège de la Compagnie ivoirienne d’électricité, partenaire de l’événement.
Le parrain Fabrice Sawegnon, qui a encouragé les entrepreneurs de la presse en ligne à « mettre du sérieux » dans leur contenu pour espérer rentabiliser leur projet, a promis la somme de 500.000 au site d’information Africadailynews.com, essentiellement constitué de jeunes femmes, une tablette numérique Ipad et 500.000 FCA à la meilleure entreprise de presse en ligne, et 250.000 francs CFA au comité d’organisation. Des sommes et dons devant être déduits des valeurs initiales des différentes récompenses des deux prix, précise-t-on.
Le président du REPPRELCI, David Youant, a expliqué que ces prix, destinés à promouvoir la presse en ligne, portent les noms d’Alfred Dan Moussa et Samba Koné, des journalistes émérites ivoiriens, en raison de « leurs grandes qualités professionnelles, leur probité, leur humilité, et leur sens du partage de la connaissance ».
Ces derniers ont exprimé leur gratitude aux initiateurs de ces distinctions pour les avoir honoré de leur vivant, assurant rester à la disposition des jeunes générations du secteur des médias.
AIP
Les populations de Tiébissou dénoncent la qualité et la quantité de l’eau courante fournie par la Société de distribution d’eau de Côte d’Ivoire (SODECI) depuis plusieurs mois.
La qualité de l’eau est aggravée ces derniers temps surtout dans les quartiers comme Espoir 1 et Espoir 2, situés au Sud de la ville et dans les villages de Gbomikondé Yaokro et Gbomizambo qui depuis plusieurs jours sont privés d’eau.
Des dépôts boueux et une certaine odeur ont été constatés dans la fourniture d’eau. Une situation qui constitue un véritable calvaire surtout pour les élèves qui doivent aller à la recherche d’eau.
Même si d’emblée, l’on explique cette situation par l’absence de pluies, le correspondant de l’AIP a tenté vainement d’obtenir des explications crédibles.
AIP
Le Conseil municipal a offert des vivres et non vivres aux lépreux de Dimbokro, lors d’une cérémonie de remise, vendredi, en présence des autorités coutumières et religieuses, à la salle de mariage de la mairie.
Ce don constitué de 14 sacs de riz, de 24 bouteilles d’huile et de 160 morceaux de savon et du sucre est, selon le maire Bilé Diéméléou Amon Gabriel, une manière pour « le conseil municipal d’apporter sa compassion, son amour, son soutien et sa solidarité à l’endroit de ses frères souffrant de cette maladie invalidante ». Il a rassuré les lépreux de son soutien constant et exhorté la population à s’inscrire dans cette dynamique de compassion et d’assistance.
Appelant à éviter la stigmatisation des lépreux, le maire Bilé a plaidé pour que cette solidarité passe par leur intégration sociale et économique une fois la guérison recouvrée. Il a remercié les professionnels de la santé pour leur apport dans cette lutte contre la lèpre.
Relevant les nombreuses actions du maire en matière de santé en faveur de sa population notamment la construction de la maternité de Comikro et du centre de santé de la cité Sogefia, le directeur départemental de la santé de Dimbokro, Dr Alléchi Prospère, en réceptionnant le don, a salué ce « meilleur soutien et gros sponsor des lépreux » de Dimbokro et rassuré sur la distribution.
AIP
L’ambassadeur de la République islamique d’Iran en Côte d’Ivoire, Mansour Shakib Mehr, a appelé jeudi à Abidjan, à combattre la propagation du terrorisme dans le monde à travers la coopération entre les pays.
« Aujourd’hui, le terrorisme a dépassé les frontières géographiques et jeté son ombre néfaste sur non seulement le Moyen Orient mais également l’Afrique, l’Europe et l’Amérique. Nous avons la conviction qu’on peut combattre l’infiltration et la propagation de ce fléau par la coopération entre les pays du monde, c’est en cela que la main de l’amitié et de la fraternité de l’Iran est tendue envers tous les pays dans ce domaine », a déclaré M. Mansour.
Il s’exprimait lors de la célébration du 38ème anniversaire de la victoire de la révolution islamique d’Iran, en présence du ministre des Sports et des Loisirs, Albert François Amichia qui représentait le gouvernement et de l’ancien ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, Dr Albert Mabri Toikeusse.
L’ambassadeur d’Iran a également rappelé que la diplomatie de la République islamique d’Iran est fondée sur l’approche de la modération, de l’interaction constructive et de l’effort pour la résolution des conflits, des différents et des malentendus à travers le dialogue et la coopération.
"Le peuple iranien a réussi à s’élever grâce à la révolution islamique"
L’ambassadeur de la République islamique d’Iran en Côte d’Ivoire, Mansour Shakib Mehr, a déclaré jeudi à Abidjan, que le peuple iranien a réussi à s’élever grâce à la révolution islamique sous la guidance de l’Imam Khomeiny.
« En dépit de toutes les animosités, malveillances, guerres et les sanctions, le peuple d’Iran a su suivre fermement durant ces 38 années son mouvement et franchi la voie du progrès et de l’élévation avec motivation et dans la joie », a indiqué M. Mansour.
Il a fait cette déclaration lors de la célébration du 38ème anniversaire de la victoire de la révolution islamique d’Iran, en présence du ministre ivoirien des Sports et Loisirs, Albert François Amichia qui représentait le gouvernement et l’ancien chef de la diplomatie ivoirienne, Dr Albert Mabri Toikeusse.
La révolution islamique qui était un mouvement national, a permis sous la guidance de l’Imam Khoméiny, de remplacer le pouvoir royal par la République islamique d’Iran.
AIP
La commune de Port-Bouët (Abidjan) abritera du 11 au 13 mai, la Foire internationale du commerce et de l’industrie d’Abidjan (FICIA), a annoncé vendredi, le Commissaire général, Yasmine Adjami, lors d’une conférence de presse, au Plateau.
Cet évènement de trois jours, a-t-elle souligné, se veut « un rassemblement inédit » des grandes entreprises commerciales et industrielles. Il a pour but d’orienter l’Afrique vers le monde à travers la variété de l’offre, la qualité des exposants et la portée des échanges sur les nouvelles perspectives commerciales entre professionnels.
La manifestation se déroulera sur un espace de 4 000 m² et réunira environ 300 entreprises venues de plus 15 pays d’Afrique et du reste du monde. Les activités porteront sur des conférences, des rencontres B to B, des panels, des ateliers, des expositions et des remises de distinctions.
« De nombreux salons sont organisés en Côte d’Ivoire mais ils ne se limitent qu’à leurs secteurs d’activités. C’est pourquoi que nous avons décidé de cette foire qui prend en compte à la fois les secteurs du commerce et de l’industrie », a indiqué Mme Adjami, qui s’est réjoui de l’engouement suscité par la FICIA auprès de groupements d’entreprises et Institutions dont le patronat ivoirien, les chambres de commerce et d’Industrie (CCI) de Côte d’Ivoire et de France et le Conseil économique et social, environnemental et culturel (CESEC).
L’édition 2017 de la FICIA est parrainée par le ministère du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des Petites et moyennes entreprises (PME). Au nom du ministre de tutelle, Mme Emma Sombo Allah a rappelé l’intérêt des manifestations commerciales pour le département et souhaité sa pérennisation afin d’accompagner la dynamique de la croissance économique impulsée par le gouvernement.
AIP
Le vice-président, Daniel Kablan Duncan, a exhorté jeudi à Abidjan, les ministres de la CEDEAO en charge des questions du genre, à examiner avec attention les conclusions des travaux des experts.
« J’invite mesdames et messieurs les ministres à examiner avec attention, les conclusions des travaux des experts afin d’y apporter si nécessaire les améliorations complémentaires en vue de leur adoption comme une feuille de route pour les interventions en faveur des filles et des femmes de l’espace CEDEAO », a déclaré Duncan, en les encourageant à prendre en compte le volet relatif au suivi de l’opérationnalisation des actions préconisées, notamment par la mise en place des mécanismes institutionnels de veille stratégique.
M. Duncan s’exprimait à l’ouverture de la cérémonie d’ouverture de la réunion périodique des ministres du genre et de la femme de la CEDEAO de l’édition 2017 , tenue à Abidjan, de mardi à vendredi et qui a pour thème : « les priorités des Etats membres de la CEDEAO dans le contexte de la mise en œuvre de l’acte additionnel EFH pour le développement durable dans l’espace CEDEAO par rapport aux ODD et à l’agenda 2063 de l’union africaine ».
AIP
On le sait, le président ivoirien Alassane Dramane Ouattara (ADO), n’a jamais démissionné de la présidence de son parti, le Rassemblement des républicains (RDR) depuis son accession au pouvoir. Alors que l’ancienne Constitution, celle de la deuxième République, prévoyait qu’une fois élu à la magistrature suprême, tout président de parti devrait démissionner de la tête de sa formation.
Même s’il faut reconnaitre que M. Ouattara s’était mis à l’écart de la gestion quotidienne du RDR, désormais dirigé depuis lors par une direction intérimaire, il n’a jamais caché, à chaque fois qu’il en avait l’occasion, d’affirmer son désaccord avec cette clause constitutionnelle obligeant le chef de l’Etat à démissionner de son parti. Une préoccupation levée par la nouvelle Constitution adoptée en octobre 2016, qui permet désormais au président de la République de diriger un parti politique.
Le feu vert constitutionnel acquis, le RDR prépare minutieusement un congrès pour consacrer le retour à sa tête de son président ADO. Et c’est le secrétaire général adjoint chargé de l’Administration, Organisation et du Patrimoine du parti de la case verte, Gilbert Kafana Koné, himself, qui fait cette annonce. « Un retour, bien sûr, du président Ouattara à la tête du parti ; puisqu’aujourd’hui, rien ne rien ne l’empêche rien ne l’empêche d’être président du parti et ce n’est pas demain que nous allons nous séparer de lui », a notamment déclaré M. Kafana Koné dans une interview parue le juedi 9 février 2016 dans le quotidien Le Patriote, proche du parti présidentiel.
Et le « général Kafana » d’ajouter : « Nous voulons que le parti sorte de l’intérim pour que sa direction ait une légitimité plus forte qui lui permette d’affronter les échéances futures. Ce sera l’objectif de ce congrès. Il ne s’agira pas d’aller bouleverser les textes. Nous aurons le temps de rendre public le thème de ce congrès. Les statuts que nous avons, son suffisamment bien élaborés qu’il y a peu de choses à changer. Mais un congrès est toujours l’occasion de quelques réglages ».
Ce congrès dont la date n’a pas encore été fixée, devra se tenir durant le premier semestre 2017 aux dires de Gilbert Kafana Koné. Une nouvelle qui pourrait changer les donnes quant à l’avenir de l’alliance du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix, la coalition au pouvoir, avec en toile de fond, les enjeux des échéances électorales (présidentielles, législatives, ect.) de 2020.
Armand Tanoh
Un atelier a rassemblé lundi et mardi à Ferkessédougou, des responsables municipaux ivoiriens et burkinabés dans le cadre de la mise en œuvre du projet des Partenaires municipaux pour l’innovation en développement local (PMI-DEL) mis en œuvre par l’UVICOCI, en partenariat avec la Fédération canadienne des municipalités (FCM).
Des voies ont été prospectées pour la mise en place d’une stratégie pouvant permettre d’accroître les échanges et booster l’économie dans toute la zone frontalière entre Sikasso (au Mali), Korhogo (Côte d’Ivoire) et Bobodioulasso (Burkina Faso).
Le programme d’une durée de cinq ans (2015-2020) vise la croissance économique durable et équitable dans certains pays d’Afrique (Mali, Burkina Faso, Côte d’Ivoire), d’Asie (Vietnam et Cambodge) et d’Amérique Latine (Nicaragua et Bolivie). Il s’agit notamment de trouver des voies d’accroissement des échanges commerciales entre des communes proches situées de part et d’autre des frontières.
La rencontre de Ferkessédougou a réuni des responsables municipaux de cette ville et de Ouangolodougou en Côte d’Ivoire ainsi que de Banfora et Niangologo au Burkina Faso.
AIP
Le préfet de la région du Tonkpi, préfet du département de Man, Soro Kayaha Jérôme, a ouvert jeudi, un atelier dit de capitalisation des acquis de la prévention et de la réponse contre la maladie à virus Ebola dans la région du Tonkpi.
Le comité régional de coordination de la lutte contre Ebola a fait savoir qu’il s’agit de faire le bilan des activités de la lutte contre la maladie, de partager les expériences des différents acteurs, de capitaliser les pratiques innovantes tout en tirant les leçons des contraintes et difficultés rencontrées.
Il s’agit également de définir les nouvelles perspectives et orientations du Comité régional de coordination en vue d’un élargissement de ses centres d’intérêt à l’ensemble des maladies à potentielles épidémiques et autres urgences.
L’épidémie de la maladie à virus Ebola (MVE) survenue en février 2014 en Guinée-Conakry, s’est propagée dans plusieurs pays de l’Afrique de l’Ouest (Liberia, Sierra Leone, Nigéria et Sénégal), constituant une véritable menace pour la Côte d’Ivoire.
Dès, les premiers moments de l’épidémie, le gouvernement ivoirien a pris des mesures pour empêcher l’entrée du virus et se préparer à une éventuelle riposte. Un cadre organisationnel de la lutte a été défini et un plan de contingence élaboré. Dans la région du Tonkpi, la mise en application des mesures a été coordonnée par le Comité régional de lutte contre Ebola, présidé par le Préfet de région.
Le Comité régional de coordination a mis en place un plan de contingence régional. Le corps préfectoral et les autres acteurs impliqués dans la lutte ont été sensibilisés et la vigilance des comité de veille a été maintenue au sein des communautés. La surveillance a été renforcée aux frontières et les acteurs de la lutte ont été formés. Les centres de santé, des écoles et de nombreux autres lieux publics ont été équipés en même temps qu’un dispositif pour faire face à une éventuelle riposte a été déployé avec la mise en place d’un centre de traitement Ebola à Man, et des centres de transit à Danané, Zouan-Hounien, Biankouma et à Sipilou.
Les organisations internationales et nationales (USAID, Médecins du Monde, Croix-Rouge française et de Côte d’Ivoire, Advancing Partners et Communities…) se sont mobilisées aux côtés du gouvernement et des communautés. Le projet a été exécuté dans le Tonkpi par l’ONG International Rescue Committee (IRC), rappelle-t-on.
Depuis le 8 septembre 2016, le gouvernement ivoirien a annoncé la fin de l’épidémie, la levée des mesures d’interdiction concernant la manipulation et la consommation de la viande de brousse, ainsi que la réouverture des frontières avec la Guinée et le Libéria.
AIP