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La Côte d’Ivoire a été retenue pour l’organisation de l’édition 2018 de « Ease of Doing Business Initiative » (Conférence internationale sur le monde des affaires, en français), selon le communiqué de la réunion du Conseil des ministres tenue jeudi sous la présidence du chef de l’Etat, Alassane Ouattara.
Organisée à l’initiative de la Banque mondiale, la Conférence internationale sur le monde des affaires 2016 a eu lieu du 02 au 05 mai à Nairobi, au Kenya. Elle se tient dans le cadre des échanges de bonnes pratiques en matière de réformes Doing Business, programme de l’institution financière internationale.
L’édition 2016 qui a porté sur « Informatisation du monde des affaires : l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC), comme outil d’amélioration du climat des investissements », a enregistré la participation d’une délégation ivoirienne conduite par le ministre auprès du Premier ministre, chargé de l’Economie et des Finances.
Au cours de cette plateforme d’échange de bonne pratique sur les réformes mesurées par le rapport Doing Business du Groupe de la Banque mondiale, il été retenu la numérisation et la dématérialisation des activités comme des opportunités de simplification de l’activité économique.
La Conférence internationale sur le monde des affaires permet aux pays participants de promouvoir les bonnes pratiques acquises à travers l’effort d’amélioration des environnements des affaires, mais aussi de tirer les enseignements des expériences, des succès et des défis rencontrés par les pays réformateurs.
AT
Le gouvernement a adopté le projet de partenariat entre l’Etat de Côte d’Ivoire et la Banque africaine d’Import-Export (Afreximbank), portant sur le financement de 2.000 ha de zones industrielles dans le pays.
Ce partenariat, qui s’inscrit dans le cadre d’une initiative commune d’Afreximbank et de China Eximbank, est destiné à développer des zones et parcs industriels dans plusieurs pays africains dont la Côte d’Ivoire, indique le communiqué de la réunion du Conseil des ministres tenue jeudi à Abidjan sous la présidence du chef de l’Etat, Alassane Ouattara.
« Ce projet permettra d’accélérer l’industrialisation de notre pays par la promotion d’une industrie manufacturière, la transformation des produits agricoles et non agricoles et l’implantation sur les sites retenus, d’entreprises nationales et internationales », rapporte le communiqué, ajoutant que le protocole d’accord relatif à ce partenariat va être signé dans les jours à venir.
AIP
Les producteurs de cacao de l’une des plus importantes coopératives de la zone du Sud-Ouest ont lancé jeudi dans le village de Moussadougou, dans le département de San Pedro, un appel au gouvernement et au Conseil de café-cacao (CCC), afin que la route principale de la côtière, dans un état de dégradation avancée, soit réparée pour faciliter leur déplacement et la livraison de leurs produits aux acheteurs.
« On a trop de problèmes au niveau de la route, on a du mal à partir à San Pedro, à Abidjan (…) On demande à l’Etat et au Conseil de café-cacao de nous aider à refaire la route, surtout la côtière qui est totalement gâtée », a déclaré le PCA de la Coopérative agricole de Bagré (COAB), Koffi Kobenan François, selon une dépêche de l'AIP.
Situé le long de la côtière à une quarantaine de kilomètres de la ville de San Pedro, Moussadougou et ses planteurs craignent d’être coupés du reste de la Côte d’Ivoire dans peu de temps, en raison des routes devenues impraticables du fait des pluies, même pour les gros camions. Les véhicules de transport en commun et les camions de transport de produits commencent à se faire rares, parce que régulièrement confrontés à des pannes.
Les planteurs ont expliqué se cotiser par moment pour refaire certaines pistes. Mais ils reconnaissent leurs limites et sollicitent tant pour les pistes que pour la côtière une intervention du CCC et du gouvernement.
La COAB est une coopérative de 1200 planteurs de café et cacao, produisant et commercialisant en moyenne entre 4000 et 5000 tonnes de cacao par an. Cette coopérative a été primée en 2014 par le CCC meilleure coopérative du Bas-Sassandra (Sud-Ouest) et 3ème au plan national.
A. T.
Le ministre auprès du président de la République, chargé de la Défense de Côte d’Ivoire, Alain-Richard Donwahi a annoncé son intention de réformer l’armée à travers un ambitieux chantier de refonte de l’institution militaire.
Selon Alain- Richard, qui a accordé une interview à « Ouest-France », dans sa publication de jeudi, la création d’une armée républicaine comme d’antan, s’impose. « Nous voulons une armée attachée aux valeurs morales de la république, soucieuse des droits de l’Homme. Une armée qui ne s’occupe pas de politique, comme ça a été le cas pendant quelques années ici. Une armée qui n’est pas contre son peuple mais qui est là pour protéger ce peuple. Une armée au comportement et à la tenue qui inspirent de la fierté à la population et une armée fière d’être aux côtés de la population », a déclaré M. Donwahi.
Il a expliqué que le programme global de réforme de la sécurité nationale comporte quelque 108 points et permet de mettre en œuvre toute la stratégie de sécurité nationale qui a été pensée par le Conseil national de sécurité. Selon lui, la plus grande réforme porte sur la réorganisation du ministère de la Défense et des différents commandements, estimant que le vote de la Loi de programmation militaire donne un cadre pour les années 2016-2020. « Cette réorganisation a été conduite de façon participative avec les forces armées de façon à faciliter sa mise en œuvre, même s’il est toujours difficile de réformer l’existant ou de changer les mentalités », a-t-il précisé.
Pour le ministre de la défense, cette armée réorganisée, s’assigne un double objectif, notamment une participation à la reconstruction et une capacité de projection pour prendre part à des opérations extérieures. Nous équipons actuellement deux bataillons du génie pour que, dans chaque zone de défense, les forces de sécurité puissent contribuer au relèvement économique et au développement, a-t-il expliqué, annonçant subséquemment une formation accrue des bataillons d’infanterie selon les normes onusiennes et projetables.
Charles Donwahi s’est félicité de la levée de l’embargo sur les armes en Côte d’Ivoire, estimant que désormais, « il n’y a plus d’obstacle au relèvement capacitaire de nos forces ». « Les capacités de l’armée de l’air et de la marine, celles des forces terrestres, étaient presque réduites à néant. Il s’agit donc de les rééquiper en armement, de contribuer à leur mobilité terrestre et aérienne, de donner à la gendarmerie des capacités de maintien de l’ordre appropriées », a-t-il indiqué.
Il s’agit aussi de mettre à la disposition des militaires des casernements aux normes, modernes, qui soient hors des villes, de façon à ce qu’ils évoluent dans des environnements plus sécurisés et moins en contact direct avec la population dont ils ne doivent pas gêner la vie quotidienne. Les infrastructures de santé devront aussi être rénovées. Chaque zone de défense sera dotée d’un hôpital militaire, a fait savoir Alain Donwahi.
AIP
Le nouveau directeur général du Trésor et de la Comptabilité publique, Jacques Assahoré Konan, a officiellement pris fonction, vendredi, en présence de l’inspecteur général des Finances, Sylla Lassana, rapporte l'AIP.
Nommé le 30 juin par le président de la République à la suite d’un appel à candidature, Jacques Assahoré a exprimé sa gratitude au directeur général sortant qu’il a qualifié de « mentor » et à la détermination de l’ensemble du personnel.
« Je souhaite que vous mettiez cette détermination, cette envie de travailler, ce soutien à ma disposition pour qu’ensemble, nous relevons le défi que le gouvernement nous propose », a-t-il affirmé en recevant les documents afférents à sa charge.
Représentant le ministre de l’Economie et des Finances, le directeur de cabinet, Adama Coulibaly, a engagé le Trésor public à plus d’efforts, en termes de mobilisation de ressources.
« Monsieur le directeur général, je voudrais vous engager à maintenir souder la grande famille du Trésor public et à faire en sorte que la discipline et la bonne entente soient maintenues et que les prévarications soient bannies », a-t-il déclaré, tout en invitant le nouveau DG à poursuivre les efforts, afin que le Trésor public demeure « une administration financière moderne, transparente, efficace et capable de répondre aux exigences de notre époque ».
Jacques Assahoré Konan succède à ce poste Koné Adama, nommé ministre de l’Economie et des Finances dans le gouvernement Duncan II en janvier.
Le principe de l’appel à candidature pour désigner le nouveau directeur général avait provoqué le mécontentement de certains mouvements syndicaux au sein des régies financières, rappelle-t-on.
A. T.
Soupçonner le président de la République, Alassane Ouattara de vouloir changer la constitution pour s’éterniser au pouvoir , c’est faire preuve de mauvaise foi , a déclaré le président du directoire du Rassemblement des Houphouetistes pour la démocratie et la paix (RHDP), Amadou Soumahoro, lors d’une conférence de presse, jeudi, à la maison du parti du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI).
» Le président Alassane Ouattara ne sera pas candidat (…) il n’entretient aucune ambiguïté sur cette question » a affirmé M. Soumahoro, en réponse aux préoccupations de certains journalistes . Pour le président du directoire du Rhdp , le chef de l’état ivoirien veut laisser à la Côte d’Ivoire une constitution moderne, qui ne renferme pas de termes discriminatoires.
Son ambition est de laisser » à la postérité des institutions fortes dans un pays ou l’union et la paix seront des valeurs cardinales » en pérennisant, par ailleurs, l’œuvre accompli par les houphouétistes à la tête de ce pays, a-t-il fait savoir.
Concernant l’alternance politique en faveur du Pdci en 2020, le président du directoire du Rhdp a invité les militants de son groupement politique à privilégier l’esprit d’équipe , la cohésion et le rassemblement .
« Aucun parti seul ne pourrait accéder au pouvoir politique ( ..) restons unis et rassemblés pour la famille Houphouët Boigny », a affirmé le président du groupe parlementaire du Rdr, soulignant que le choix du candidat de l’alternance en 2020 était du ressort exclusif des présidents du Pdci et du Rdr .
AIP
La direction générale de l’Emploi organise vendredi, à la Maison de l’entreprise d’Abidjan, un atelier de restitution du rapport d’évaluation de la politique nationale de l’emploi (PNE) 2012-2015 suivie du lancement de la nouvelle PNE 2016-2020.
Au cours de cet atelier présidé par le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Dosso Moussa, il sera également question de présenter la vision du gouvernement sur la question de l’emploi, de restituer les résultats de l’étude d’évaluation de la PNE 2012-2015, de dégager les axes stratégiques devant faire l’objet d’orientation de la nouvelle PNE et de mettre en place le dispositif technique (acteurs, méthodologie, calendrier…) pour l’élaboration de la PNE 2016-2020.
Cette rencontre d’échanges qui est en fait le démarrage effectif du processus d’élaboration de la nouvelle PNE, sera l’occasion de présenter le dispositif et les équipes techniques devant assurer les missions de formulation de la nouvelle PNE. En outre, les feuilles de route des différentes équipes, le mode opératoire du processus et le chronogramme des activités feront l’objet de large partage.
La PNE 2012-2015 a permis l’opérationnalisation de plusieurs initiatives en faveur de l’emploi avec des résultats encourageants obtenus en matière de création d’emplois. Ainsi, le taux de chômage est passé de 9,4% en 2012 (enquête Emploi) à 5,3% en 2014 (ENSETE), précise une source ministérielle.
La 3ème phase du programme d’appui à la promotion de l’emploi et à la réduction de la pauvreté lancé
Le Bureau international du travail (BIT), en collaboration avec les ministères de l’Emploi et de la Protection sociale, et de la Promotion de la jeunesse, de l’Emploi des jeunes et du Service civique, a procédé, jeudi à Abidjan, au lancement du programme d’appui à la promotion de l’emploi et à la réduction de la pauvreté (APERP3).
Selon le directeur-pays de l’Organisation internationale du travail (OIT) en Côte d’Ivoire, Dramane Haïdara, conséquemment aux deux premières phases couronnées de succès, cette phase vise à améliorer la gouvernance du marché du travail, à faciliter la transition de l’économie informelle vers l’économie formelle, à améliorer l’employabilité des jeunes et à renforcer les capacités des mandants tripartites de l’OIT dans des domaines techniques de l’emploi couverts par le projet.
Le programme qui est régional, concerne potentiellement tous les pays du Maghreb et de l’Afrique subsaharienne. Il couvrira notamment la Côte d’Ivoire, le Mali, le Niger, le Burkina Faso, le Togo, le Bénin, Madagascar et l’Algérie, explique-t-on.
Il va s’étendre sur une durée de quatre ans et coûter un peu plus de deux milliards de FCFA, don de la France.
Le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Moussa Dosso, a donné l’assurance du gouvernement ivoirien de ne ménager aucun effort pour apporter sa contribution à la mise en œuvre de cet important programme.
« Il est impérieux d’apporter des réponses appropriées à tous ceux qui sont exclus du marché du travail », a-t-il indiqué.
Pour le ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des jeunes et du Service civique, Sidi Touré, la réduction de la pauvreté ne peut se faire que par la création d’emplois qui plus est, a-t-il expliqué, traduit une nécessité du rajeunissement de la jeunesse ivoirienne.
« Il faut favoriser la création d’emplois pour soutenir la croissance économique de la Côte d’Ivoire », a-t-il affirmé, estimant que près deux millions de jeunes sont concernés par le problème d’emploi.
Le programme APERP3 contribue à mettre en œuvre la décision adoptée par les chefs d’Etat et de gouvernement africains lors du sommet extraordinaire de Ouagadougou en 2004, placer l’emploi au cœur des politiques économiques et sociales afin de lutter contre la pauvreté, signale-t-on.
AIP
Dans une vidéo diffusée jeudi par 21 organisations non gouvernementales africaines et internationales, des activistes de plusieurs pays d’Afrique clarifient certains malentendus concernant la Cour pénale internationale (CPI) et soulignent la nécessité pour les gouvernements africains de soutenir la Cour.
Dans un communiqué de presse transmis à l’AIP, Jim Wormington, chercheur à Human Rights Watch (HRW) Afrique de l’ouest, rappelle qu’en janvier dernier, l’UA a accordé à son Comité ministériel à composition non limitée un mandat pour élaborer une « stratégie globale » sur la CPI, envisageant même le retrait des pays membres africains de la CPI.
« Le Comité s’est réuni en avril et a défini trois conditions à remplir pour que l’UA n’appelle pas les pays africains à se retirer de la Cour. Ces conditions incluent une demande d’immunité accordée aux chefs d’État en fonction et aux hauts fonctionnaires à l’égard de toute poursuite de la CPI, ce qui est contraire à un principe fondamental de la Cour », écrit-il.
On ne sait pas exactement si l’UA tiendra compte des évaluations et des recommandations du Comité à composition non limitée lors de son prochain sommet à Kigali, au Rwanda, du 10 au 18 juillet. La vidéo présente 12 activistes africains, qui soulèvent des inquiétudes face aux actions de l’UA envers la CPI.
Six des neuf situations africaines faisant l’objet d’enquêtes de la CPI ont été déférées à la demande ou sur attribution de compétence de gouvernements africains – au Mali, en Côte d’Ivoire, en Ouganda, en République démocratique du Congo et en République centrafricaine par deux fois. Deux autres enquêtes en Afrique, concernant le Darfour au Soudan et la Libye, ont été déférées à la CPI par le Conseil de sécurité des Nations Unies. Au Kenya, le procureur de la CPI a reçu l’autorisation d’une chambre préliminaire de la CPI d’ouvrir des enquêtes après que le Kenya a négligé, à plusieurs reprises, d’enquêter sur les violences postélectorales de 2007-2008 au niveau national.
« Alors que l’immunité générale pour les chefs d’État en fonction existe dans certaines juridictions nationales, elle n’a jamais été possible devant les tribunaux pénaux internationaux qui jugent les crimes graves », souligne HRW.
En 2015, l’UA a adopté un protocole pour donner à son tribunal continental l’autorité de juger les crimes graves, mais une disposition controversée prévoit d’accorder l’immunité aux chefs d’État et autres hauts fonctionnaires en fonction. Ce protocole doit encore être ratifié par les États et 15 ratifications seront nécessaires avant qu’il n’entre en vigueur.
AIP
Une société de distribution de produits pétroliers en Côte d’Ivoire a donné jeudi, à Abidjan-Cocody, le coup d’envoi officiel de la commercialisation de nouveaux types de carburant économique, dénommés Fuelsave diesel et Fuelsave super.
Lors de la démonstration technique de ces produits « révolutionnaires et de dernière génération », les promoteurs ont indiqué qu’ils contiennent des ingrédients actifs et sont conçus pour une meilleure efficacité des moteurs de véhicules légers dès le premier remplissage des réservoirs, pour une plus grande longévité.
Les nouveaux types de carburant, aux dires des responsables de la société Vivo Energy, ont été testés et approuvés par plusieurs automobilistes dans le monde. Ils viennent remplacer le diesel extra et le super extra dans les 185 stations-service Shell sur toute l’étendue du territoire ivoirien aux mêmes prix que les anciens.
Pour le directeur général de Vivo Energy Côte d’Ivoire, Ben Hassan Ouattara, la mise sur le marché du carburant Fuelsave est une des réponses aux préoccupations des clients. Il a invité tous les automobilistes ivoiriens à tester et adopter ses nouveaux produits pétroliers économiques pour aller plus loin sans dépenser plus.
La Côte d’Ivoire est le 32è pays au monde à bénéficier de ces innovations technologiques de Shell.
Le quintuple champion ivoirien du rallye, Soumaoro Moriféré, a été fait ambassadeur national de FuelSave super et diesel, a-t-on appris.
AIP
Une mission du fonds monétaire internationale (FMI) vient de s’achever après deux semaines de discussions avec les autorités ivoiriennes notant des perspectives macroéconomiques à moyen terme « favorables » en 2016 tout en invitant les autorités ivoiriennes à compenser les risques à travers les politiques mises en œuvre.
« Les perspectives macroéconomiques pour le reste de l’année 2016 seront favorables à la condition que les politiques mises en œuvre permettent de compenser les risques » a indiqué au terme de la mission, jeudi, le chef de mission du FMI, Dan Ghura relevant cependant une performance macroéconomique « solide » en 2015 et durant le premier trimestre 2016.
Selon la mission du FMI, après discussions avec les autorités ivoiriennes, pour préserver la viabilité de la dette, le déficit budgétaire devra converger vers 3% du PIB à l’horizon 2019. Le déficit budgétaire global devrait ressortir à 3,4% du PIB en 2016 contre 3,6% projeté en 2015, d’après des chiffres du ministère du budget.
Au niveau des réformes, la mission s’est dit « favorable » à volonté des autorités ivoiriennes à restructurer les banques et entreprises publiques en difficultés. La mission devrait revenir à Abidjan après l’élaboration du budget 2017 et ses travaux devront permettre la signature d’un nouveau programme économique et financier.
AIP