Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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La gouvernement ivoirien a adopté, mercredi, un plan de préparation de riposte face à la menace de la maladie à virus Zika, déjà aux portes de la sous-région Ouest-africaine.

Ce plan dont un pan prévoit une opération de démoustication du District autonome d’Abidjan et du Port autonome de San-Pedro est formalisé dans une communication présentée par le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique, validée en conseil des ministres.

« Le conseil a approuvé ce plan et instruit le ministre charge de la Santé à l’effet de prendre toutes les dispositions pour prévenir et lutter contre la menace », a signifié le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, lors d’un point presse consécutif à la réunion.

Le choix des lieux pour l’opération de démoustication est motivé par le fait que « le virus rentre principalement par les voyageurs et les échanges commerciaux », a-t-il indiqué par ailleurs.

Une épidémie de la maladie à virus Zika avec une forte incidence négative pour les femmes enceintes qui peut aller jusqu’à la naissance de nouveaux-nés avec des microcéphalies sévit, depuis octobre 2015, en Amérique latine notamment au Brésil principalement où quelque 1,5 million de personnes ont été infectées, rappelle-t-on.

« L’épidémie a atteint le Cap-Vert, menaçant ainsi directement les pays de la sous-région dont le nôtre », a fait remarquer le ministre Nabagné Koné.

AIP

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Exit les moments de brouilles diplomatiques entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso. En effet, les gouvernants des deux pays ont décidé d’enterrer définitivement les mésententes qui les ont opposés ces derniers moi pour mettre en avant leurs intérêts communs. En effet, le président du Burkina Faso, Roch Marc Christian Kaboré est arrivé le jeudi 28 juillet 2016 à Yamoussoukro, la capitale politique ivoirienne, pour prendre part à la rencontre au sommet du 5ème  traité d’amitié et de coopération (TAC) ivoiro-burkinabé.

Il a été accueilli à sa descente d’avion par le son homologue ivoirien, Alassane Ouattara avec qui il entend œuvrer pour le renforcement de la coopération et de la sécurité entre les deux pays. « Nous sommes maintenant convaincus de la nécessité de mutualiser nos renseignements et nos moyens de combattre contre le terrorisme, et je crois qu’il y a du bon travail qui est engagé dans ce sens », a indiqué en substance M.Kaboré en attendant les résolutions de cette rencontre.

Le président Alassane Ouattara s’est pour sa part félicité de la relance de cet important rendez-vous, au regard de la présence du président Burkinabé. « C’est un moment important pour la Côte d’Ivoire et le Burkina. Quand la coopération s’accélère, ceci se fait dans l’intérêt des peuples, et le président Kaboré en effectuant cette visite nous permettra de reprendre tous les dossiers en cours et nous aurons l’occasion de passer en revue tous ces dossiers », a-t-il déclaré.

Reprise des dossiers communs

Selon Alassane Ouattara, la visite de son homologue burkinabé Marc Roch Christian Kaboré en Côte d’Ivoire permettra de passer en revue, dès vendredi 29 juillet, tous les dossiers communs de leurs deux pays.

« Le président Kaboré, en effectuant cette visite nous permettra de reprendre tous les dossiers en cours dès demain et nous pourrons vous faire le point complet », a indiqué M. Ouattara à l’arrivée, à l’aéroport de Yamoussoukro, de son homologue Jean Marc Christian Kaboré.

M. Kaboré qui effectue ainsi sa première visite en Côte d’Ivoire en tant que président de son pays, y est pour prendre part au cinquième sommet du Traité d’amitié et de coopération ivoiro-burkinabé, qui s’est ouvert jeudi avec un Conseil de gouvernement conjoint des deux gouvernements.

Kaboré pour un élargissement du TAC au Mali et au Sénégal

Le président du Burkina Faso, Roch Marc Christian Kaboré, a aussi souhaité l’élargissement du traité d’amitié et de coopération (TAC) avec le Mali et le Sénégal, afin de mutualiser les renseignements et les moyens de lutte contre le terrorisme.

« Elargir au Mali et au Sénégal puisque nous avons tenu deux réunions de concertation, nous sommes maintenant convaincus de la nécessité de mutualiser nos renseignements et nos moyens de combat contre le terrorisme », a-t-il dit.  Selon lui, c’est un bon travail déjà engagé dans ce sens entre les ministres de l’Intérieur de la Côte d’Ivoire et du Burkina Faso ainsi que ceux de la sous-région qui doivent être continuellement appuyés et encouragés.

Au total 28 accords de coopération signés lors de la 4ième conférence au Sommet du Traité d’Amitié et de Coopération (TAC) entre la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso seront évalués lors de la 5ième conférence qui se tient du  25 au 29 juillet à Yamoussoukro.

Armand Tanoh, source AIP

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Décidemment, la Côte d’Ivoire s’illustrera encore longtemps comme un terreau fertile de la cybercriminalité ou de l’arnaque commis par l’usage de moyens numériques. Tant les auteurs de ce genre d’actes répréhensibles ne manquent pas d’imagination pour commettre leurs sales besognes. Ainsi,  depuis quelques jours, des personnes se permettre de partager sur les réseaux, sociaux notamment Facebook un message invitant les internautes à cliquer sur un lien (www.carrefour.com-cartecadeus) pour obtenir gratuitement un bon d’achat d’une valeur de 250 euros (soit 163 000 FCFA) du supermarché Carrefour sis au centre commercial PlaYce d'Abidjan. Pour réussir le coup, les auteurs de ces messages reviennent sous le même message –cette fois avec de faux profils-,   pour poster des commentaires témoignant des gains effectifs de ces bons d’achats après avoir cliqué sur le lien. Bien entendu, l’appât n’a pas raté bon nombre d’internautes ivoiriens qui s’y sont mis à fonds.

Mais ils se rendent vite compte que le lien ne les conduit nulle part. Alors, quels préjudices pour les victimes ? A quoi s’exposent donc les personnes qui cliquent sur ce lien malveillant ?

Préjudices

Sur le forum « POLICE SECOURS », plateforme citoyenne d’échanges d’informations et de renseignements sur les questions de sécurité, des internautes essaient de donner des clés de compréhension de ce phénomène. « Une fois le lien visité, l'internaute donne son accord pour partager l'information sur son mur Facebook. Dès lors que vous partagez sur votre mur vous ouvrez ainsi la porte à une arrivée massive de spams sur ce dernier, permettant à l'escroquerie et autres arnaques du même type de se propager », explique un membre de « POLICE SECOURS » le mardi 26 juillet 2016. Il appelle donc les internautes à ne pas cliquer sur ce lien. Une victime ayant vécu cette mésaventure a expliqué à La Diplomatique d’Abidjan qu’il s’en voulait d’être tombé aussi facile dans le jeu des promoteurs de ce lien pirate. « Moi qui suis si prudent… je ne comprends pas vraiment », a-t-il dit.

Doit-on s’inquiéter après avoir cliqué sur le lien ?

Alors, doit-on s’inquiéter après avoir cliqué sur le lien ? Que non ! Rétorque ce facebooker. « Pour ceux qui ont déjà partagé, changez immédiatement de mot de passe Facebook », conseille-t-il.

Armand Tanoh

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Trois tubercules pesant à peine cinq kg de la variété « kponan » coûtent 5000 francs CFA sur le marché à Agnibilekrou (Est, région Indenie-Djuablin), a constaté l’AIP sur place.

Selon les revendeuses, le prix bord champ a augmenté diminuant ainsi leur marge bénéficiaire et entranant une augmentation substantielle pour ne pas être totalement perdantes.

 

« Autrefois, les paysans nous faisaient l’igname à un prix raisonnable. Trois, quatre, cinq voire six tubercules, c’est selon, à 1000 ou 2000 francs cfa. Mais depuis quelques temps, nous avons difficilement accès à la marchandise », ont fait savoir les vendeuses.

 

« Nos fournisseurs nous disent que leur production est déjà commandée. Ce qui fait que de Bondoukou et Bouna, zones de production par excellence de l’igname toutes variétés confondues, le produit est embarqué dans des camions et traverse notre localité, soit pour Abidjan soit pour le Ghana voisin. Nous sommes donc obligées de nous contenter des restes et payer le prix qu’on nous fixe parce qu’il faut choisir entre arrêter et être sans activité ou continuer avec d’infimes bénéfices. C’est ce qui fait que le panier de la ménagère est en souffrance chez nous », s’accordent-elles à expliquer.

 

Ces femmes décrient cette situation face à laquelle elles restent impuissantes. Elles ont ajouté qu’il en va de même pour beaucoup de produits en l’occurrence la banane, la tomate, le chou, le piment et même les fruits.

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Déguerpis par les forces de l’ordre en 2014, du site aurifère d’Abouakakro 2, à 7 km de Djékanou, chef-lieu de département (Centre), les orpailleurs clandestins appelés « clandos », en grands conquérants, sont de retour sur ce site pourtant attribués par le biais de permis d’exploitation à des sociétés minières, creusant et fouillant le sol, à la recherche de l’or, en dépit de l’opération ORPI 3 menée du 17 au 06 juillet pour faire déguerpir les orpailleurs non autorisés sur le territoire national.

Il est environ 14 heures 45 minutes, ce dimanche 24 juillet, lorsque nous atteignons le village d’Abouakakro II après une cinquantaine de km en voiture. Peuplé d’environ 700 âmes, le petit village est rythmé par un ballet incessant de véhicules et de motos transportant au quotidien « de jour comme de nuit » des individus non identifiés qui occupent encore illégalement le site aurifère.

Un arrêté ministériel a octroyé le 11 janvier 2016 des agréments à deux sociétés minières pour exploiter 250 hectares de terrain sur une période de quatre ans dans la localité d’Abouakakro II, fait-on savoir.

Renseignement pris auprès de notre premier interlocuteur le jeune Firmin Kouakou nous, sommes informés que le chef Augustin Kouadio est en voyage. Il nous conduit aussitôt à travers une ruelle du village chez le notable du chef Jean Yao Kouamé.

Interrogé, le notable du village explique que « ces hommes qui avaient causé l’enfer dans le village ne sont jamais partis, mais ils ont fait véritablement leur retour sur le site depuis le 07 janvier 2016 ». Le site est à quelque deux km du village. Après une cinquantaine de minutes de marche sur une piste impraticable, nous atteignons par des voies détournées grâce à un guide le site à 16H 12 minutes.

Des Orpailleurs après le travail cherchent à se restaurer dans une cuisine de fortune

Des Orpailleurs après le travail cherchent à se restaurer dans une cuisine de fortune

Au cœur de la forêt, sous de grands arbres, une population nombreuse de plus d’une centaine de personnes au corps couvert d’argile se distingue. Des abris, des monticules d’argile et de gros morceaux de bois s’imposent au décor creux du site jonché de trous et de canaux. Assis par groupe de travail, des chercheurs d’or au repos après plusieurs remontées de roches échangent sur le plan de l’action à mener. D’autres sont très actifs dans une cuisine de fortune à proximité pour se servir à manger. Quand d’autres encore surpris et gênés par notre « intrusion » sur le site évitent  notre présence.

Des jeunes et des moins jeunes et parfois des hommes plus âgés y sont et travaillent dans des conditions effroyables. « Il y a des puits de 20 à 30 m de profondeur et après, ce sont des tunnels en dessous qui se communiquent » explique le guide pascal Kouamé. Il signale la mort récente d’un orpailleur causée par la chaleur au fond d’un puits.

En dépit de toute la diplomatie utilisée pour en savoir davantage sur leur présence en ce lieu, les orpailleurs sont restés silencieux et sans réponse. Certains se détournent de notre regard, prennent la direction de la forêt pour éviter la camera de notre appareil photos. « Ils ne parleront pas, ils ne répondent à personne ici depuis leur arrivée et personne ne peux les obliger », fait savoir le guide.

« Seule l’arrivée des autorités ou de la gendarmerie poussent ces hommes (les orpailleurs) à foncer tous comme des rats dans les puits et disparaissent pour ressortir ailleurs dans la forêt ». Ces jeunes « clandos » ont choisi de dormir en forêt « Ils viennent au village pour juste chercher de quoi se nourrir », informe Pascal Kouamé.

Les tentatives de rencontre avec le chef de brigade de Djékanou pour plus de d’informations particulièrement sur la sécurisation du site n’ont pas abouti.

« Tous les jours, ce sont de nouveaux venus on ne sait d’où ils sortent, ils traversent le village passent à travers nos domiciles sans même saluer », a déclaré Rose Kouadio qui avoue être traumatisée par ces hommes et leur attitude. « Ces hommes nous menacent quand nous nous rendons sur le site, je pense que le gouvernement doit apporter une solution définitive à Abouakakro II », plaide Konan Kouassi natif du village.

« Notre souhaite aujourd’hui, c’est l’arrivée des sociétés agréées sur la parcelle réservée par l’État peut résoudre le problème d’orpaillage dans notre village », préconise Jean Yao Kouamé le notable du chef dAbouakakro II.

AIP

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La Société ivoirienne de ciment et de matériaux (SOCIMAT), filiale du groupe LafargeHolcim, va porter sa capacité de production de ciment à 1,5 million de tonnes dès janvier 2017.

L’information a été livrée lors d’un déjeuner de presse, mardi, par le directeur commercial et marketing de SOCIMAT, Serge Gbotta. Cette activité était destinée à la présentation de la nouvelle offre de l’entreprise, le service « Paiement facile » du ciment.

 

SOCIMAT produit à ce jour plus d’un million de tonnes de ciment par an dans un marché partagé par cinq grands groupes en plus de SOCIMAT à savoir Ciment de l’Afrique SA (CIMAF), la Société des ciments d’Abidjan (SCA) et CIMINTER pour une capacité de production nationale estimée à 4,19 millions de tonnes et pour une consommation nationale de 3,42 millions de tonnes. Une production qui passera en 2017 à 6,3 millions de tonnes, indique-t-on.

 

AIP

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Le directeur général de la mutuelle générale des fonctionnaires et agents de l’Etat de Côte d’Ivoire (MUGEF-CI) a reçu le vendredi 22 juillet, un prix des mains du Sénateur de l’Etat du Texas (District 13), Rodney Ellis,  pour sa contribution au développement de cet Etat, selon un communiqué de la mutuelle transmis à l’AIP.

« (…), M. Touré Laciné, directeur général de la MUGEF-CI, est fait citoyen d’honneur de l’Etat du Texas (District 13) », a adressé  le Sénateur Rodney sur le parchemin.

M.Touré a participé aux cotés de plusieurs experts africains, européens et américains,  à des réflexions sur le développement de l’Etat du Texas. Le fruit de ces réflexions menées en 2013 avait été versé au gouvernorat du Texas.

Cette distinction fait suite à la nomination du Dg de la Mugef-ci au poste de Vice-présidence de la commission technique de  l‘Association Internationale de la Sécurité Sociale (AISS) en charge de  la Mutualité, rappelle-t-on.

AIP

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Le ministre chargé de la Défense, Alain Richard Donwahi, a déclaré lundi à Abidjan que la Côte d’Ivoire entend s’inspirer du modèle de la Chine en matière de défense et de sécurité par rapport au rôle joué par l’armée chinoise dans sa lutte pour la liberté.

«Je voudrais vous adresser, au nom de Son Excellence Alassane Ouattara, mes sincères félicitations pour le rôle joué par l’armée populaire de libération chinoise. La Côte d’Ivoire qui suit avec attention l’évolution  de votre  pays dans tous les domaines et particulièrement dans celui  de la défense et de la sécurité entend s’inspirer de ce modèle »,  a indiqué M. Donwahi à l’occasion du 89ème anniversaire de la fondation de l’armée populaire de libération chinoise.

Le ministre a également salué les réformes engagées par les autorités chinoises et qui ont permis la modernisation réussie de l’armée populaire de libération chinoise. Grâce à ces réformes, a-t-il poursuivi, la Chine peut se targuer de disposer aujourd’hui de l’une des armées les plus puissantes au monde,  au service de la paix et du développement.

AIP

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Une étude hydrométéorologique, publiée lundi à l’Université Péléforo Gon Coulibaly de Korhogo, révèle que la température va connaître une hausse au cours des prochaines années alors que la quantité moyenne de pluie restera quasiment stable dans le nord du pays.

La quantité moyenne annuelle de 250 mm de pluie ne va pas beaucoup changer, a indiqué le Pr Vangah Adja qui a dirigé l’étude, expliquant que « le problème, c’est qu’on aura des moments de pluies fortes et des moments de pauses sèches à l’intérieur de la saison des pluies ».

Démarrée en février 2014, dans le cadre d’un projet baptisé VIGIMET visant à assurer la vigilance météorologique de la ville de Korhogo, l’étude a notamment permis de faire l’inventaire et la documentation des aléas et d’évaluer de la capacité de la ville à faire face aux catastrophes naturelles éventuelles.

Les changements climatiques entraînent des phénomènes extrêmes plus fréquents et plus destructeurs qu’il est nécessaire d’apprendre à mesurer pour apporter des réponses à la population, fait-on savoir.

AIP

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L’Association ivoirienne pour la sécurité sanitaire et la qualité des aliments (AISSA) a renforcé les capacités de quelque 200 enseignantes des Instituts de formation et d’éducation féminine (IFEF) de Côte d’Ivoire aux bonnes pratiques d’hygiène des aliments, en vue de leur permettre d’acquérir les aptitudes de base et les compétences requises en matière de conservation des aliments depuis leur production jusqu’à leur consommation.

«Les bonnes pratiques d’hygiène des aliments, c’est d’abord l’hygiène personnelle, de l’alimentation, de l’environnement. Il faut connaitre les dangers qui peuvent contaminer l’aliment depuis la plantation jusqu’à l’assiette. C’est une chaine dont il faut respecter les pratiques jusqu’à donner une alimentation sure au consommateur final », a conseillé la secrétaire générale de l’AISSA, N’dri Adelaïde, vendredi, aux participantes venues des 116 IFEF du pays, pour prendre part à cette formation à l’IFEF de Port-Bouët (Abidjan).

 

Selon Mme N’dri, la plus part des intoxications alimentaires dans les restaurants en Côte d’Ivoire est due au manque d’hygiène. « Cela part du vêtement que portent les restaurateurs jusqu’à l’environnement ; il faut que ces personnes soient propres, leurs ustensiles aussi », a-t-elle expliqué, en présence de la présidente de l’AISSA, Hamza Bamba Fatoumata.

 

Cette dernière a, pour sa part, exhorté les participantes à « divulguer à grande échelle les bonnes pratiques à appliquer en matière de sécurité sanitaire des aliments, afin de réduire au maximum les risques sanitaires liés à la consommation des aliments ».

 

Selon l’Organisation mondiale de la santé, deux millions de personnes meurent par ans à travers le monde pour avoir consommé des aliments de mauvaise qualité.

 

Créée en 2015, l’AISSA est une organisation comprenant des qualiticiens, ingénieurs, communicateurs et autres cadres du secteur de la sécurité sanitaire des aliments, destinée à « sensibiliser et former les populations, notamment les producteurs, manufacturiers, distributeurs, consommateurs sur les dangers encourus tout au long de la chaine alimentaire, de la ferme à la table, et sur les bonnes pratiques à appliquer et à exiger » en la matière.

 

(AIP)

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