Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Le groupe international belge, SEA Invest, l’un des principaux opérateurs de construction et d’exploitation de terminaux, s’installe au Port autonome de San Pedro où il s’apprête à construire une plateforme logistique équipée de magasins pour recevoir des marchandises.

L’information a été communiquée à l’occasion de la signature de renouvellement de convention jeudi entre le Port Belge d’Anvers et celui de San Pedro.

 

Le site actuellement viabilisé au sein du domaine portuaire de San Pedro, s’étend sur une superficie de 2,4 ha, sur lequel va être construit un terminal de marchandises solides en vrac, d’un coût de 6 millions d’Euros, soit 3,9 milliards de francs CFa, avec la construction de magasins de 10 000 m² pour le traitement de 200 000 tonnes de marchandises.

 

Selon le responsable technique de SEA Invest, Olivier Ruth, ce terminal en forme de port sec va « faire travailler directement ou indirectement plus de 80 personnes et recevra des marchandises qui seront traitées, déchargées, faire l’objet d’ensachage, de ré-ensachage, et de rechargement ».

 

Le démarrage des travaux de construction est annoncé pour avant Janvier 2017 et prendre fin un an plus tard, à savoir début janvier 2018.

 

Le ministre ivoirien des Transports, Gaoussou Touré, et celui de la Belgique, Ben Weyts, ont apporté leur soutien aux deux Directeurs généraux des ports de San Pedro et d’Anvers, ainsi qu’au responsable de la société SEA Invest dont les investissements en cours à San Pedro ont été salués.

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L’épargne informelle est toujours bien présente sur les marchés de Tiassalé et N’douci en dépit des risques que renferme ce type d’épargne, a constaté le correspondant de l’AIP.

A N’douci et à Tiassalé, ce sont des femmes qui s’adonnent à cette forme de thésaurisation en recueillant les fonds de certains commerçants  les après-midis dans les marchés.

Le montant fixé par le client, est régulièrement collecté et gardé sur 30 jours. À la fin de cette période,  l’épargnant récupère son avoir  et peut en jouir comme bon lui semble, selon Konan Aya, une initiatrice de cette collecte d’argent. Le montant versé le 31e  jour est le revenu de la collectrice.

À propos du gain mensuel des colleteuses, elles sont peu bavardes.  Toutefois,  une réponse revient souvent, « cela dépend du nombre de clients et de la valeur de l’épargne ». Alors « on peut avoir de nombreux clients qui épargnent peu,  moins de 1000 f CFA par jour,  comme on peut avoir peu de clients qui épargnent plus de 1000 f CFA, voire 10.000 f CFA », affirment elles.

Les motifs  de cette forme d’épargne, « c’est  la facilité d’accès à notre  épargne en tout temps et en tout lieu, sans paperasse et tracasseries. »,  justifient Koné Aboulaye, commerçant et César Yao, coiffeur de profession.

Face aux risques liés à cette collecte à ciel ouvert,  tout en ignorant la moralité de ces « amasseuses » d’argent,  les mêmes s’en remettent à Dieu, tout en déclarant qu’ils ont assisté à la disparition de  certaines maisons de micro-finance qui ont fait faillite,  sans laisser de traces. « Cette expérience marche et chaque partie y gagne au regard du nombre croissant de nouveaux clients,  en moyenne 10 par mois », affirment-ils.

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Le président du gabon Ali Bongo Odimba a été réélu à sa propre succession sur un score très serré de moins d’un pourcent d’écart entre lui et son challenger Jean Ping. 49,85 % contre 48,16 %. La fumée blanche étant sortie du côté de la Commission électorale gabonaise depuis mercredi, le pays est depuis lors plongé dans une spirale de violence, l’opposant Ping et ses partisans rejetant fermement ces résultats considérés comme frauduleux.

L’on déplore déjà au moins trois morts, et les affrontements se poursuivent entre manifestants et forces de l’ordre dans les principales villes gabonaises, notamment Libreville et Port-Gentille. Plus d’un millier d’arrestations.

Si Ali Bongo et ses proches sont à la fête pour savourer leur victoire arrachée de justesse, et très contestee, la communauté internationale reste très réservée. L’UE, la France et les USA demandent le recomptage des voix bureau de vote par bureau de vote, l’Union africaine reste muette comme une carpe, la Communauté des Etats d’Afrique centrale a disparu des radars… et les amis, de loin, observent…

48 heures après son élection, aucun chef d’Etat ni gouvernement n’a encore osé saluer la victoire d’Ali. Ses avocats et porte-paroles sont lancés dans une offensive médiatique sur presque tous les plateaux télé et radio qui traitent le sujet. Mais il attend toujours son premier homologue qui osera surprendre le monde comme les résultats de son sacre électoral. Mais Ali attends et attend encore. Combien de temps ça va durer ? Bien malin qui pourra trouver réponse à cette question. A quand un télégramme, ne serait-ce qu’une missive très courte ? Un appel ? Un porteur de message ? Ce silence persistant et très bien audible des quatre coins du globe n’est-il pas une autre façon de passer un message au nouvel élu ? Ce qui est sûr, Ali attend. En attendant, le Gabon sombre dans la violence.

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Le gouvernement va honorer et récompenser, lundi, le champion olympique de taekwon-do 2016, Cheick Cissé, la médaillée de bronze de la même discipline, Ruth Gbagbi ainsi que tous les autres athlètes dont les prestations ont permis à la Côte d’Ivoire de réaliser une « performance historique » aux Jeux olympiques de Rio, a annoncé le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné.

La cérémonie de reconnaissance de la Nation et de récompenses se déroulera au palais de la présidence sous l’égide du chef de l’Etat, Alassane Ouattara. Les encadreurs sont associés à ces récompenses. En même temps que les sportifs certains seront  distingués dans l’ordre national ivoirien, a informé au terme d’un conseil des ministres, mercredi, le ministre Nabagné Koné. Une enveloppe globale de 380 millions sera répartie entre les médaillés et les finalistes avec leurs encadreurs.

La côte d’Ivoire a participé dans six disciplines sportives à savoir l’athlétisme, le judo, le taekwondo, le tir à l’arc, la natation, l’escrime aux récents jeux Olympiques qu’a abrités le Brésil. 12 athlètes ont défendu les couleurs du pays dont les tireurs Cheick Sallah Junior Cissé et Ruth Marie Christelle Gbagbi qui ont décroché respectivement une médaille d’or et de bronze. Le pays  a été classée 4ème au niveau africain et 51ème  au plan mondial

Un athlète ivoirien remportait pour la première fois un titre Olympique. La Côte d’Ivoire restait depuis 32 ans sur la performance d’une seule médaille d’argent glanée par le sprinteur Gabriel Thiaco aux jeux olympiques de Los Angeles.

« Le conseil a donc décidé de manifester la reconnaissance de la Nation à l’égard de ces athlètes valeureux, de leurs encadreurs également pour les performances historiques qui ont été obtenues », a traduit le porte-parole du gouvernement.

AIP

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Un projet d’introduction  de l’enseignement professionnel au cycle primaire entrera dans sa phase expérimentale dès  la rentrée scolaire 2016-2017, avec ses premières classes écoles qui ouvriront dans 10 établissements sur toute l’étendue du territoire nationale, a annoncé, mercredi, le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné.

Des classes de CM2 sont concernées pour cette phase expérimentale qui prendra en compte des enfants âgés de  13 à 15 ans. Une communication adoptée par le gouvernement, lors de son conseil des ministres de rentrée, après près d’un mois de congé, autorise la mise en œuvre de ce projet dont l’objectif est notamment  « d’améliorer la qualité de la formation et favoriser l’accès de d’un plus grand nombre de jeunes à la formation technique ».

 

L’initiative, qui intègre un ensemble de mesures, consacre l’ouverture de classes préparatoires au certificat d’aptitude professionnelle (CAP) à partir du CM2. « Cette opportunité d’immersion dans la formation professionnelle permettra à ces apprenants d’acquérir les pré requis nécessaire pour accéder deux ans après à la formation pour l’obtention du CAP », a signifié le porte-parole du gouvernement.

 

Figurent également aux nombres de ces mesures édictées par le ministère le ministère de l’Enseignement technique et validées par le gouvernement l’introduction de la formation par alternance et l’instauration du principe de la formation-production au sein des établissements relevant du département.

 

La formation par alternance vise, selon le ministre Nabagné Koné, à améliorer la qualité de la formation et l’employabilité des apprenants.

 

AIP

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Entre guerre des chiffres, accusations et déclarations virulentes, les acteurs politiques du Gabon, préparent leur pays à entrer dans une crise postélectorale au lendemain de la présidentielle du 27 août 2016, dont les résultats sont encore attendus.

D’un côté, le candidat sortant Ali Bongo Odimba et ses partisans se disent sûrs de leur victoire. De l’autre, Jean Ping, candidat de l’opposition, s’est déjà déclaré, dès le lendemain du scrutin, vainqueur de cette consultation. Dans le bas peuple, on prend pour l’heure son mal en patience. Et l’inquiétude, confusion, montent et se généralisent de plus en plus.

Alors que la commission électorale n’a pas encore donné les résultats, des fuites dans la presse donne le chef de l’Etat sortant vainqueur avec 49,85 % des voix, contre 48,16 % pour Jean Ping. Déjà, des voix s’élèvent du côté de l’opposition pour rejeter en bloc ces résultats non encore officiels, réclamer un nouveau décompte dans une province.

Au demeurant, la lenteur de cette commission à proclamer les résultats donne libre court à toutes sortes de supputations et de risques. Pour seulement 600 000 électeurs…

Ainsi, le tableau d’une crise postélectorale se dessine peu à peu au Gabon, quelque six ans après des troubles similaires en Côte d’Ivoire qui ont profondément endeuillé ce pays d’Afrique de l’Ouest.

En effet, la crise postélectorale ivoirienne, qui opposa le candidat sortant Laurent Gbagbo et son challenger Alassane Ouattara entre décembre 2010 et avril 2011 a fait plus de 3000 morts. Et jusqu’à ce jour, la réconciliation reste encore un défi difficile à relever malgré un redécollage appréciable de l’économie nationale.

L’exemple ivoirien va-t-il servir aux acteurs gabonais ? Bien malin qui pourra répondre à cette question. Mais, une chose est sure, nous sommes loin de la fin, car tout porte à croire que nous allons vers des résultats qui seront contestés. Dans une situation pareille, seule le plus fort finira par s’imposer sur le faible, soit par la force des armes, soit sous la pression de la foule ou du peuple. Et c’est justement ce qu'on craint.

Armand Tabnoh

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Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a mis fin, mardi, aux fonctions de son conseiller spécial Mamadi Diané, suite à des « informations relatives à l’ingérence » de ce dernier dans le processus électoral au Gabon.

« Suite aux informations relatives à l’ingérence de monsieur Mamadi Diané dans le processus électoral de la République soeur du Gabon, il est mis fin à ses fonctions de Conseiller Spécial à la Présidence de la République de Côte d’Ivoire, à compter de ce jour », annonce un communiqué de la présidence ivoirienne dont l’AIP a reçu copie.

« La présidence de la République condamne cet acte d’ingérence et rassure les autorités et le peuple gabonais qu’elle tient au strict respect de la souveraineté de la République Gabonaise.

La présidence de la République de Côte d’Ivoire réaffirme sa ferme volonté de tout mettre en œuvre pour continuer à préserver les liens d’amitié et de fraternité qui ont toujours existé entre les deux pays », ajoute le document.

Mamadi Diané, est soupçonné par les autorités gabonaises d’avoir prêté main forte à Jean Ping, candidat de l’opposition à l’élection présidentielle tenue dans le pays dimanche et dont les résultats étaient attendus mardi.

Lors d’une conférence de presse tenue ce mardi après-midi, Alain-Claude Billie By Nzé, le ministre gabonais de la Communication et porte-parole du candidat sortant Ali Bongo Odimba a dénoncé une « ingérence de puissances étrangères et de certains pays africains dans le processus électoral gabonais ».

AIP

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Le ‘Festival international de l’Alloukou’, rencontre culturelle qui se tient depuis 2014 à Paris-Nanterre, débarque en 2017 à Ouragahio, terre originelle de cette danse folklorique, dans le Centre-ouest de la Côte d’Ivoire, où les populations locales s’impatientent déjà avant l’événement.

La cité de Ouragahio (17 km de Gagnoa) et la ville de Paris-Nanterre (France) vont co-abriter en 2017, le festival international de musique et danse traditionnelle ‘ Alloukou’. Il s’agira de la quatrième édition pour Paris et la première pour Ouragahio. L’annonce a été faite officiellement le samedi 27 août, à Ouragahio, par le pharmacien Pierre Dakoury-Tabley, maire de la localité.

 

La première édition de cet évènement musical majeur se tiendra les vendredi 18, samedi 19 et dimanche 20 août 2017, dans la cour de la mairie de Ouragahio.  Mais trois mois plutôt, soit le vendredi 20 mai 2017, la ville de Paris-Nanterre en France, aura abrité sa quatrième édition du Festival.

 

« Historique !»

 

« C’est historique que le festival ‘Alloukou’ qui rayonne en Europe ait décidé de s’installer aussi à Ouragahio. Vous ne pouvez imaginer mon bonheur », se lâchait, samedi, M. Dakoury-Tabley, procédant ainsi au lancement du Festival Allokou de Ouragahio.

 

Le promoteur de cet évènement, Charles Bolly, qui réside en France, est venu spécialement de l’hexagone pour prendre part à ce lancement. « C’est l’élément culturel qui nous distingue des autres communautés », a fait savoir le promoteur, fils de la localité de Zikisso, dans le Centre-Ouest de la Côte d’Ivoire, où se pratique aussi ce rythme.

 

La cité de Ouragahio a été choisie pour plusieurs raisons. Elle s’intéresse au projet, est le lieu de naissance de ‘l’Alloukou’, dans le village de Biakou, mais aussi et surtout,  parce qu’elle regorge d’immenses talents à faire découvrir chaque année en France et à travers l’Europe, a fait savoir Charles Bolly.

 

Selon lui, les populations africaines, mais aussi occidentales, sentent de plus en plus, le besoin d’écouter et de danser au rythme d’une musique authentique africaine, s’exprimant avec des instrumentistes locaux, et loin des sons concoctés par ordinateur.

 

« Je me suis dis qu’un promoteur de musique doit avoir un festival », explique M. Bolly qui, chaque année depuis 2014, fait partir depuis Abidjan, entre quinze et vingt artistes ivoiriens spécialistes de la danse Alloukou.

 

Le septuagénaire Albert Djédjé Koussi-Koussa, est l’initiateur en 1963, de ‘l’Alloukou’. Mélange de musique ‘Gbégbé’, ‘Digba’ et ‘Lougboutouéli’, cette musique se caractérisait à sa création par un rythme lent. C’est en 1995, après un temps mort à partir de 1983, que l’artiste-danseur Zirignon Dodo Laterre, bien connu sur la scène musicale ivoirienne, reprend le flambeau d’un ‘Alloukou’ plus rythmé et moderne.

 

« J’invite tous les artistes au Festival 2017 à Ouragahio », lançait Dodo Laterre depuis la tribune officielle de la mairie de Ouragahio, évoquant un « retour de l’enfant à ses origines ». Selon lui, « il est temps pour tous d’oser, en partant de Ouragahio, pour affronter le Baron-Bar de Yopougon, puis le palais de la culture d’Abidjan, avant les salles de spectacles de France et d’Europe ».

 

Moyen de sauvegarde

 

Interrogée sur la nécessité de ce festival à délocaliser de Paris à Ouragahio, alors que les acheteurs de spectacles et producteurs d’artistes se trouvent pratiquement tous en Europe,  madame Kpindi Kouakou Bertille, représentant le directeur régional de la Culture du Gôh, estime que « les éléments culturels qui nous identifient et nous distinguent des autres communautés, sont en train de se perdre progressivement ».

 

Elle salue l’initiative du promoteur Charles Bony et invite chacun à mettre en place des mesures de « sauvegarde », car ‘l’Alloukou’, élément du patrimoine culturel ivoirien, court lui aussi des risques de disparitions. « Le Festival Alloukou est donc un moyen de sauvegarde et de promotion de ce rythme », a-t-elle soutenu.

 

Le rythme ‘Alloukou’ est sorti de son champ d’animations funéraires, pour embrasser les cérémonies culturelles et d’animations festives. Il fait aujourd’hui office de rythme très côté surtout pratiqué dans la région du Centre-ouest de la Côte d’Ivoire, notamment dans les localités de Ouragahio, Gagnoa, Guibéroua, Oumé, Zikisso et Oumé.

 

Aux côté de Koussi-Koussa et Dodo Laterre, plusieurs jeunes artistes d’Aloukou, dont Eddy Boët, Bléhiri Bécko, Djéglou Gbalou, Koudou Gougron Pénass, Carlos Bahi et Douza Mouna, annonçaient déjà les couleurs d’une messe musicale qui promet.

AIP

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Près de 3 500 milliards F CFA sont consacrés au secteur routier ivoirien dans le programme national de développement 2016-2020  d’un coût global de 12 000 milliards F CFA, a révélé, lundi à Yamoussoukro, le ministre des infrastructures économiques (MIE) Patrick Achi à l’ouverture des 16è assises de l’association des gestionnaires et partenaires africains de la route (AGEPAR).

Près de 2000 milliards de FCFA ont été déjà investis sur les trois à quatre dernières années, selon M. Achi, faisant remarquer, « ce qui n’a pas été fait dans les 20 années ».

La Côte d’Ivoire a aujourd’hui a 220 km d’autoroute et environ 6 500 kilomètres de réseau de couverture. « Pour atteindre l’émergence, il faut doubler à 13 000 kilomètres, on a 6 500 kilomètres de route nouvelles à bitumer », a fait savoir le ministre des infrastructures économiques, avant de poursuivre « on a l’intention également de réaliser au cours des 15 prochaines années environ un millier de kilomètres d’autoroute ».

Dès sa prise de fonction en 2011, le président Alassane Ouattara a affiché sa volonté de faire du secteur des infrastructures routières un pilier clé du développement avec l’ouverture de nombreux chantiers dans le cadre de son ambition, de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020.
AIP

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La pose du bitume sur cinq kilomètres de voie à Mankono et Oussougoula a démarré, lundi, a constaté l’AIP.

Ce bitumage avait été promis par le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, lors de la visite d’Etat qu’il a effectuée, courant juillet 2015, dans la région du Béré. La fin des travaux est prévue en décembre.

Les populations se disent heureuses des travaux, souhaitant toutefois que le bitume couvre d’autres axes, afin de rendre la ville de Mankono plus accessible.

AIP

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