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En 2024, la Chine a enregistré un excédent commercial exceptionnel, atteignant près de 1 000 milliards de dollars, soit une augmentation de plus de 7% par rapport à 2023, selon les douanes chinoises.
Cette performance s'explique en partie par l'anticipation d'une hausse des droits de douane aux États-Unis, incitant les entreprises à constituer des stocks. En conséquence, les exportations chinoises ont bondi, notamment en décembre avec une hausse de 10,7% par rapport à l'année précédente.
Cet excédent commercial place la Chine au sommet des puissances exportatrices mondiales, dépassant des géants comme l'Allemagne, le Japon et les États-Unis.
Cependant, cette dynamique n'est pas sans tensions : plusieurs pays, dont les États-Unis et l'Union européenne ont imposé des droits de douane supplémentaires sur certains produits chinois, comme les voitures électriques, exacerbant les frictions commerciales.
Parallèlement, les échanges entre la Chine et la Russie ont atteint un niveau record en 2024, totalisant environ 240 milliards d'euros, un signe du rapprochement croissant entre les deux pays malgré les sanctions économiques imposées à Moscou.
HN
La visite en Afrique du ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, a été un succès total, consolidant l'amitié intemporelle entre la Chine et l'Afrique. Elle a également mis en évidence la détermination des deux parties à répondre collectivement aux évolutions rapides du monde actuel, a déclaré lundi 13 janvier Guo Jiakun, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
Le voyage récent de M. Wang l’a conduit dans quatre pays africains : la Namibie, la République du Congo, le Tchad et le Nigeria. Ce déplacement s’inscrit dans une tradition vieille de 35 ans, selon laquelle le ministre chinois des Affaires étrangères effectue sa première visite à l’étranger chaque année en Afrique.
Lors d'une conférence de presse, M. Guo a précisé que cette visite avait permis d’établir une série de nouveaux accords et résultats concernant les six propositions et dix actions de partenariat que le président chinois avait présentées lors du sommet de Beijing 2024 du Forum sur la coopération sino-africaine.
Selon M. Guo, bien que la situation mondiale soit en constante évolution, les engagements de la Chine et de l’Afrique à se traiter sur un pied d'égalité et à se soutenir mutuellement restent solides comme un roc.
Les dirigeants africains ayant rencontré M. Wang ont réaffirmé leur attachement au principe d'une seule Chine et exprimé leur solidarité après le tremblement de terre qui a frappé le Xizang, région de Chine.
La visite a également permis d'obtenir des résultats concrets, favorisant la coopération entre la Chine et l'Afrique dans divers secteurs tels que les échanges culturels, le développement durable et la coopération agricole.
De plus, ce déplacement a contribué à renforcer la coordination stratégique entre la Chine et l'Afrique, en mettant l’accent sur la réparation des injustices historiques subies par le continent africain et la promotion de la solidarité et de la prospérité au sein du Sud global. Les deux partenaires se sont également engagés à défendre un système de gouvernance mondiale plus juste et équitable.
En conclusion, M. Guo a souligné que la Chine et l'Afrique se trouvent à l’avant-garde de la construction d’une communauté d'avenir partagé pour l’humanité, et que leur partenariat deviendra un modèle lumineux de cette ambition.
ng
Le Premier ministre, François Bayrou, a prononcé sa déclaration de politique générale devant l'Assemblée nationale, le mardi 14 janvier 2025. Pour ce grand oral d'1 heure 30 mn, le chef du gouvernement a insisté sur l'importance de la dette de la France, du vote du budget 2025, ainsi que sur le caractère essentiel de la réforme des retraites. M. Bayrou a toutefois annoncé remettre ce dernier projet « en chantier, avec les partenaires sociaux ». L'enjeu est d'éviter la censure.
« La situation de ce gouvernement présente un avantage considérable », a déclaré le centriste en introduction de son discours de politique générale. « Quand tout va mal, on est contraint au courage. (...) Il y a un deuxième atout décisif. C'est le besoin, l'exigence, l'injonction que le pays nous assigne : retrouver la stabilité ! », a declaré François Bayrou.
Le chef du gouvernement a insisté, dans les premières minutes de son intervention, sur l'importance de lutter contre l'endettement de la France. « Tous les partis de gouvernement, sans exception, ont une responsabilité dans la situation (d'endettement) créée ces dernières décennies. » Cette dette « est une épée de Damoclès au-dessus de notre pays et de notre modèle social », estime-t-il, accusant « tous les partis d'opposition » de demander « sans cesse des dépenses supplémentaires », ce qui produit un « tango fatal qui nous a conduits au bord du précipice ». A 3 228 milliards d'euros, l'endettement de la France n'a jamais été aussi élevé. Il représente 112 % du PIB, au lieu des 60 % maximum(Lemonde.fr).
Une remise « en chantier » de la réforme des retraites
Parmi les questions centrales de ce discours : la réforme des retraites, voulue par Emmanuel Macron et adoptée en 2023 au forceps, grâce à l'article controversé 49.3 de la Constitution, qui portait de 62 à 64 ans l'âge légal de départ. Le Parti socialiste en demandait la suspension le temps de la renégocier.
Le Premier ministre a assuré que son gouvernement va remettre « en chantier » l'impopulaire réforme, « avec les partenaires sociaux, pour un temps bref, et dans des conditions transparentes ». Il n'y aura « aucun tabou, pas même l'âge » de départ en retraite, fixé à 64 ans lors de la réforme, projet phare du président Emmanuel Macron. Un âge qui avait provoqué un fort mécontentement populaire.
« Adopter sans tarder les deux budgets de l'État et de la Sécurité sociale »
François Bayrou a aussi appelé à une adoption « sans tarder » des deux budgets de l'État et de la Sécurité sociale, tombés avec la censure le 4 décembre du gouvernement Barnier. « Cette précarité budgétaire, nous la payons tous au prix fort, entreprises, investisseurs, familles, contribuables, emprunteurs », a deploré le Premier ministre, sans manquer d’inviter les forces politiques à mettre en place les conditions de la stabilité qui impose de se réconcilier, ce dont le pays a tant besoin et que ses citoyens ne cessent de réclamer.
Au-delà de la réforme des retraites, le chef du gouvernement a indiqué qu'il entend réviser à la hausse l'objectif de déficit public du pays à 5,4% du PIB en 2025, contre environ 5% pour le gouvernement de son prédécesseur. « Le gouvernement a donc décidé de revoir sa prévision de croissance pour 2025, elle était de 1,1% avant la censure (du précédent gouvernement, NDLR), nous la fixons à 0,9%, conformément aux prévisions de la Banque de France. Il sera proposé de fixer l'objectif de déficit public pour 2025 à 5,4% du PIB », a-t-il dit.
Et de relancer l'idée d'une « banque de la démocratie » pour que « le financement des partis politiques et des campagnes ne dépende plus de choix de banques privées, mais puisse éventuellement, et en recours, être le fait d'organismes publics placés sous le contrôle du Parlement ». « L'argent ne doit pas diriger les consciences et l'argent ne doit pas prendre le pas sur la libre volonté des citoyens », a-t-il fait valoir dans sa déclaration.
Le chef du gouvernement a proposé d'avancer « sur la réforme du mode de scrutin législatif », avec « un principe de proportionnelle », soulignant qu'il devra « être enraciné dans les territoires. Cette réforme, « probablement », « nous obligera à reposer en même temps la question de l'exercice simultané d'une responsabilité locale et nationale », a-t-il rajouté, suscitant la protestation de nombreux députés à gauche, plus de dix ans après la suppression du cumul des mandats lors de la présidence de François Hollande.
La réforme de l'audiovisuel public « devra être conduite à son terme »
Concernant la réforme de l'audiovisuel public, elle « devra être conduite à son terme », a jugé François Bayrou. Une proposition de loi portée par la ministre de la Culture, Rachida Dati, prévoyant la création d'un holding, France Médias, composée de quatre filiales, France Télévisions, Radio France, France Médias Monde ainsi que l'Institut national de l'audiovisuel, aurait dû être examinée en décembre, avant la chute du gouvernement de Michel Barnier.
François Bayrou a évoqué une « promesse française », concernant les problématiques sociales et en particulier les rapports hommes-femmes.
Le Premier ministre souhaite « reprendre l'étude des cahiers de doléances » rédigés à l'issue des débats qui avaient suivi les manifestations des « gilets jaunes », un mouvement « négligé » selon lui. Les « gilets jaunes » ont « dénoncé l'état qu'ils ressentaient de notre société », « la division du pays entre ceux qui comptent et ceux qui ne comptent pas », mais « la promesse française suppose que nous puissions abattre le mur qui existe entre les uns et les autres », a-t-il dit.
En ce qui concerne l'Éducation nationale, l'orientation précoce « est une erreur » et Parcoursup « est une question », a déclaré François Bayrou, en estimant nécessaire d'« ouvrir les portes » et de favoriser « les réorientations, les changements de formation ».
Reprise du processus politique en Nouvelle-Calédonie et immigration à Mayotte
En outre, François Bayrou a annoncé qu'il inviterait en janvier « les forces politiques » de Nouvelle-Calédonie à ouvrir des négociations à Paris « qui devront aboutir à la fin de ce trimestre ». L'adoption par l'Assemblée nationale d'une réforme très controversée du corps électoral calédonien avait déclenché des émeutes massives en mai, qui « ont plongé ce territoire dans un profond marasme », a rappelé le Premier ministre, souhaitant la reprise du « processus politique » sous la houlette du ministre des Outre-mer Manuel Valls.
Charge contre les normes environnementales
Le Premier ministre a mené une charge contre les contrôles et les normes environnementales auxquels les agriculteurs sont soumis, allant jusqu'à qualifier de « faute » les inspections « avec une arme » de l'Office français de la biodiversité. « Je m'engage (...) à ce que nous remettions en question les pyramides de normes en donnant l'initiative aux usagers. Ceux que l'on contrôle doivent avoir leur mot à dire sur les contrôles », a-t-il promis.
Source RFI
Le ministre de l’Enseignement technique, N’Guessan Koffi a présidé le vendredi 10 janvier 2025 la cérémonie de retour de 91 pédagogues ivoiriens formés en Chine.
Ces experts originaires de divers établissements techniques ont bénéficié d’une formation intensive de quatre mois, du 14 août au 15 décembre 2024 dans des institutions chinoises réputées.
Répartis dans six établissements chinois, les formateurs ont acquis des compétences avancées en maintenance industrielle, en machinisme agricole, en mécanique, en chaudronnerie soudure, ainsi qu’en pédagogie numérique et en conception assistée par ordinateur.
Parmi les institutions partenaires figuraient l’Institut Polytechnique Agricole et Forestier de Jiangsu, le Collège Professionnel d’Aviation de Guizhou et d’autres établissements de renom en Chine.
Selon le ministre, cette formation s’inscrit dans la vision du président Alassane Ouattara qui met l’accent sur l’importance de la formation professionnelle pour le développement du pays. Ces compétences permettront d’élever le niveau de l’enseignement technique en Côte d’Ivoire et de répondre aux défis de l’économie moderne.
Dans le cadre du projet AVIC, visant à moderniser sept établissements de formation professionnelle, un groupe de 16 gestionnaires partira prochainement en Chine pour une formation spécialisée en gouvernance scolaire.
En tout, 182 pédagogues ivoiriens bénéficieront de cette initiative d’excellence, garantissant ainsi l’avenir du secteur technique et industriel du pays.
hn
Le Salon International de l’Agriculture et des Ressources Animales d’Abidjan (SARA) tiendra sa 7ᵉ édition du 23 mai au 1ᵉʳ juin 2025 au Parc des Expositions d’Abidjan, situé dans la commune de Port-Bouët.
Placé sous le thème « Quels systèmes de transformation agroalimentaire pour la souveraineté alimentaire en Afrique ? », cet événement mettra à l’honneur la Chine, un acteur clé du secteur agricole mondial.
Cette édition se tiendra dans un contexte où la sécurité alimentaire en Afrique devient un enjeu majeur, et l’objectif est de promouvoir des solutions innovantes et durables en matière de transformation agroalimentaire.
L’annonce officielle a eu lieu le 9 janvier 2025, lors d’une conférence de presse au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire. Selon M. Nouhoun Coulibaly, Directeur de Cabinet du Ministre d’État, cette édition vise à offrir un espace pour des rencontres et des échanges d’expériences entre les acteurs du secteur agricole, en mettant l’accent sur les partenariats internationaux et régionaux. La Chine, invitée d’honneur, a été choisie en raison de son rôle central dans la production agricole mondiale et des relations solides avec la Côte d’Ivoire.
Cette participation permettra de renforcer les liens entre les deux nations, tout en ouvrant des perspectives en matière de transfert de technologies, d’investissements et d’échanges commerciaux. L’événement mettra aussi en valeur les terroirs et les régions de la Côte d’Ivoire à travers un concours de stands, visant à récompenser la beauté et l’animation des stands régionaux.
Le SARA, créé en 1997, demeure un événement phare pour valoriser les secteurs agricoles et animaliers africains. Lors de l’édition 2023, 862 entreprises et organisations avaient participé, attirant plus de 400 000 visiteurs et générant environ 403 milliards de FCFA d’investissements. L’édition 2025 promet également de grandes opportunités pour le secteur agricole.
HN
Dans le secteur des ressources extractives et énergétiques, les réformes engagées ont donné des résultats significatifs qui tendent à en faire un des piliers de la transformation structurelle de l’économie.
La découverte des gisements pétroliers et gaziers Baleine et Calao, les deux plus gros gisements qu’a connus le pays, de la mine d’or de Tanda, le projet aurifère Koné… ouvrent des perspectives prometteuses pour le pays. Ces découvertes majeures renforcent le statut de hub énergétique sous-régional.
« Notre politique énergétique et minière commence à donner des résultats tangibles », s’est réjoui le Président de la République, Alassane Ouattara, dans son Message à la nation, le 31 décembre 2024.
Dans le domaine minier, en l’espace d’une décennie, la production d’or a été multipliée par 4, celle du manganèse par 30. La Côte d’Ivoire produit aussi de nickel. Sans oublier que les efforts d’exploitation s’orientent vers de nouveaux minerais stratégiques tels que le cobalt, le lithium, etc., essentiels à la fabrication de composantes pour les technologies modernes.
En effet, « des indices probants indiquent que la moitié Ouest et le Nord-est de notre pays regorgent de minerais stratégiques et critiques », avait indiqué le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie, Mamadou Sangafowa-Coulibaly lors de son passage aux Rendez-vous du Gouvernement initiés par le CICG.
Et concernant les hydrocarbures, les récentes découvertes devraient multiplier par 10 la production pétrolière d’ici à 2030. Et selon les prévisions la production nationale de pétrole devrait atteindre environ 200 000 barils par jour en 2027, contre 60 000 barils par jour, aujourd’hui.
Ce dynamisme découle des réformes importantes engagées par la Côte d’Ivoire au cours de la dernière décennie pour accroître, de façon significative, les investissements publics et privés dans le secteur des ressources extractives et énergétiques.
« Ces réformes portent, notamment sur la gouvernance dans les industries extractives illustrée par l’adhésion et le maintien de notre pays à l’initiative pour la transparence dans les industries extractives. Elles incluent également l’adoption d’une loi sur le contenu local qui met un accent particulier sur la prise en compte des communautés locales dans la répartition des richesses générées par l’exploitation des ressources », a rappelé le Vice-président Tiémoko Meyliet Koné le mercredi 27 novembre 2024 au Parc des Expositions d’Abidjan, à l’ouverture officielle du 1er Salon international des ressources extractives et énergétiques (SIREXE). Ce salon a vocation à devenir la plateforme d’échange et de collaboration incontournable pour tous les acteurs des mines, des hydrocarbures et de l’énergie en Afrique et dans le monde. Il a aussi permis de montrer un formidable potentiel dans les secteurs des Mines, du Pétrole et de l’Énergie.
La réforme du code pétrolier en 2012 a permis d’attirer plus d’investissements privés. De 2011 à 2023, plus de 1200 milliards de Fcfa ont été investis dans la recherche pétrolière et 4513 milliards de FCFA dans l’exploitation pétrolière. La réforme du code minier qui a eu lieu en 2014 a permis de faire passer le nombre de permis de recherche de 120 en 2012 à 189 en 2023. Les permis d’exploitation et projets d’exploitation en cours sont passés de 9 à 28 sur la même période. A en croire le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie, une autre révision de ce code met l’accent sur la transformation locale des minerais et organisera l’exploitation transparente des ressources ainsi que la répartition équitable entre les parties prenantes. Et pour plus d’efficacité, le gouvernement travaille sur une politique intégrée du secteur des ressources minérales et de l’énergie à l’horizon 2040.
Le boom observé devrait faire du secteur minier un pilier important de l’économie avec d’énormes opportunités d’emplois pour les jeunes. Mais cette ambition reste attachée à la protection de l’environnement. « L’exploitation de nos ressources naturelles soulève toutefois le défi de la préservation de l’environnement. Dans ce cadre, la Côte d’Ivoire s’est fixé l’objectif ambitieux de porter la part des énergies renouvelables à 45% de notre mix énergétique d’ici à 2030 », a souligné le Chef de l’Etat dans son message.
Dans cette dynamique, de nombreuses infrastructures ont été programmées. On peut citer, entre autres, la première phase de la centrale solaire de Boundiali inaugurée le 03 avril 2024. Une convention pour la réalisation en boot d’une centrale solaire de 50 MWc à Katiola, dans la région du Hambol, a été signée, le lundi 02 décembre 2024. Sur la liste de centrales solaires à réaliser figurent celles de Mankono, Touba, Korhogo, Bondoukou.
CICG
Après ses visites en Namibie, au Congo et au Tchad, Wang Yi, ministre chinois des Affaires étrangères a conclu sa traditionnelle tournée africaine de début d’année au Nigeria, où il a rencontré son homologue nigérian ainsi que le président du pays.
Depuis le 6 janvier, Wang Yi parcourt l'Afrique dans le cadre de sa tournée diplomatique annuelle, une mission que la Chine réserve habituellement en priorité au continent africain.
Lors de son séjour à Abuja, capitale du Nigeria, le diplomate chinois a exprimé le soutien de la Chine aux efforts du Nigeria pour renforcer l'unité régionale, promouvoir la réconciliation, améliorer la coopération en matière de sécurité et contribuer à la paix et à la stabilité en Afrique.
Au Nigeria, le ministre chinois a échangé avec le président Bola Ahmed Tinubu et son homologue, Yusuf Tuggar, ministre des Affaires étrangères.
Le Nigeria est l’un des principaux partenaires commerciaux de la Chine en Afrique subsaharienne, échangeant principalement du gaz et du pétrole contre des produits manufacturés.
En 2023, les échanges bilatéraux entre les deux pays ont atteint 22,6 milliards de dollars, selon les autorités nigérianes.
Pékin reste également le premier partenaire commercial de l’Afrique avec des échanges bilatéraux de 167,8 milliards de dollars au premier semestre 2024, d’après les médias chinois.
La Chine a envoyé des centaines de milliers de travailleurs et d’ingénieurs en Afrique et y a accédé à de nombreuses ressources naturelles, telles que le cuivre, l’or et le lithium. Les prêts des banques publiques chinoises ont financé d’importantes infrastructures, bien qu'ils aient aussi contribué à l’endettement de certains pays.
Lors de sa rencontre avec le président nigérian, Wang Yi a réaffirmé le soutien de la Chine à la gestion des affaires africaines par les Africains eux-mêmes, soulignant que « les Africains sont les véritables maîtres de ce continent. »
La compétition géopolitique en Afrique s’intensifie, notamment entre les anciennes puissances coloniales et des pays comme la Chine, la Russie et la Turquie.
HN
La nouvelle était attendue et elle a été confirmée. Le lieutenant-colonel Ninsemon Kida-Rose épouse Alabi a été nommée par le président de la République, Alassane Ouattara, en qualité de Directrice générale adjointe des Affaires maritimes chargée des Affaires administratives.
Abidjan, jeudi 9 janvier 2025-C'est la première femme, au sein de cette administration, à occuper un tel poste de responsabilité. A travers cette décision, le président Alassane Ouattara réitère son engagement de "He for She", et sa volonté de faire la promotion de la femme dans les instances de prise de décisions.
Signé du chef de l’Etat, le décret de nomination est enregistré sous le numéro 2024-1179 du 19 décembre 2024, il contient trois articles.
Selon le document, le chef de l’Exécutif a pris sa décision « sur rapport conjoint du ministre délégué auprès du ministre des Transports chargé des Affaires maritimes, du ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique et de la modernisation de l’administration et du ministre des Finances et du budget ».
Ainsi, la décision a été entérinée au Conseil des ministres du 19 décembre de l'année dernière.
Ninsemon Kida-Rose épouse Alabi, cette Administratrice des affaires maritimes, vient encore de voir son engagement et son dévouement pour la nation récompensés. Elle avait été distinguée Prix national d’excellence de la meilleure administration des Affaires maritimes (AFFA), en août 2024, aux côtés de 77 autres personnalités, devenant ainsi la première femme des AFFA à recevoir une telle distinction.
En la nommant à ce poste, le président Alassane Ouattara qui place la promotion de la compétence et du genre au cœur de sa stratégie, entend encourager les femmes à s’engager à produire pour développer la Côte d’Ivoire.
Au cours de son installation en tant que Directrice générale adjointe, le jeudi 9 janvier 2025, Ninsemon Kida-Rose épouse Alabi a exprimé sa gratitude au président de la République. "Je voudrais remercier solennellement le Président de la République, S.E.M Alassane Ouattara pour son leadership éclairé et la confiance qu'il place en moi, en me nommant à ce poste. Dans sa dynamique de faire de la promotion du genre, une réalité, le chef de l'Etat reste convaincu que chaque fois que des femmes accèdent à des postes à responsabilité, dans les entreprises, dans la Fonction Publique, dans la politique, les analyses sont mieux élaborées, de manière plus ouverte, les décisions sont prises avec une plus grande conscience, elles sont mieux acceptées, leur mise en œuvre devient plus facile, les conflits s'apaisent, l'équilibre revient", a-t-elle dit.
Elle a tenu à remercier également le Docteur Célestin Serey Doh, ministre délégué auprès du ministre des Transports chargé des Affaires maritimes, qui se fait l'écho de la vision du président Ouattara en faveur de la promotion du genre. "Le Département que vous dirigez connait, depuis votre nomination, des améliorations en matière de gouvernance, de renforcement de sécurité et de sûreté maritime, mais aussi l’amélioration des conditions de vie professionnelle et sociale des agents. Avec vous, les Affaires maritimes bougent. Nous sommes fiers de venir travailler chaque jour sous votre supervision, afin d’apporter notre part à la construction de l’édifice. Monsieur le Ministre, c’est sous votre conduite que j’ai été nommée en 2021, Directrice de l’Intendance et de la Facturation. Tout au long de ma mission à la tête de cette direction, votre soutien et votre confiance ne m’ont jamais fait défaut. C’est donc avec reconnaissance que je me tiens entièrement à votre disposition pour mener à bien les nouvelles tâches et responsabilités qui me sont confiées. Quand le capitaine du bateau conduit le navire avec sourire, espoir, confiance et abnégation, même les flots se mettent au garde à vous pour lui faciliter la traversée. Je réaffirme mon engagement à servir, avec honneur et patriotisme, la Côte d’Ivoire, et l'administration des Affaires maritimes. ", a soutenu la nouvelle directrice générale adjointe des Affaires maritimes chargée des Affaires administratives.
Source: HK(Correspondance particulière)
Le comité exécutif du marathon international du Woroba annonce dans un communiqué daté du jeudi 9 janvier 2025, la tenue de la 4ème édition du 13 au 15 février 2025 à Séguéla( Nord de la Côte d'Ivoire).
Abidjan, jeudi 9 janvier 2025- Le comité exécutif souligne que la 4e édition s'articulera autour de la thématique "Activé le développement’’.
Le comité d'organisation exprime ainsi sa reconnaissance et, remercie tous ses partenaires et mécènes l'accompagnant sur cet événement. Le comité exécutif les exhorte à poursuivre sur cette dynamique de confiance pour la réussite de cette édition.
Notons que le District Autonome du Woroba est composé de la région du Worodougou, du Béré et du Bafing dont les chefs lieux de régions sont respectivement Séguéla, Mankono et Touba.
Source Sercom
La 4e édition de l'Exposition économique et commerciale sino-africaine se tiendra du 26 au 29 juin à Changsha, capitale de la province chinoise du Hunan (centre), a-t-on appris lors d'une conférence de presse organisée mercredi après-midi par le département du commerce de la province.
Pour promouvoir le développement innovant de l'Exposition, nous travaillerons dans la planification et l'organisation des activités majeures, des événements spéciaux et des expositions, a déclaré un responsable du département du commerce.
Le Hunan est l'une des provinces les plus actives en matière de coopération économique et commerciale entre la Chine et l'Afrique, et l'Exposition économique et commerciale sino-africaine se tient régulièrement dans la province.
Au cours des 11 premiers mois de 2024, le commerce du Hunan avec l'Afrique s'est élevé à 47,3 milliards de yuans, se classant au 1er rang dans le centre et l'ouest de la Chine, selon les données des douanes de Changsha.
En 2024, des événements de l'Exposition économique et commerciale sino-africaine se sont tenus avec succès au Kenya et au Nigeria, avec la signature de projets pour un montant de plus de 1,4 milliard de dollars.
Agence