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La session 2017 du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) a enregistré un taux national de réussite de 60,08 % contre 59,11 % en 2016, a annoncé, mardi à Korhogo, la ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kandia Camara.
Le meilleur taux de réussite revient à Boundiali avec 81,20 %. Séguéla enregistre le plus faible taux avec 38,51 % tandis que la ville de Korhogo recueille 59,31 %.
Un total de 355 273 candidats dont 22 711 pour le test d’orientation en seconde ont composé cette année dans 609 centres sur toute l’étendue du territoire national.
AIP
Un inventeur égyptien a testé avec succès un système électrique sécurisé pour les maisons qui élimine le risque de chocs électriques et réduit considérablement la consommation d'énergie. L'inventeur, Tarek Shaaban, qui est basé en France, a testé le système dans sa maison de quatre étages et essaie maintenant de développer son invention, après avoir persuadé une société affiliée au ministère de la Production Militaire en Egypte, la Benha Company for Electronic Industries, de l'évaluer.
La compagnie aérienne nationale ivoirienne Air Côte d’Ivoire vient d’acquérir de nouveau Airbus 320 pour renforcer sa flotte.
La Diplomatique d’Abidjan apprend de source proche de l’entreprise que le premier de ces appareils sera réceptionné avant la fin du mois de juillet 2017 à l’aéroport Félix Houphouët Boigny d’Abidjan, où Air Côte d’Ivoire fait désormais office de leader avec plus de 40 % du trafic.
Air Côte d'Ivoire est la principale compagnie aérienne ivoirienne. Fondée en 2012, ses activités principales sont le transport de passagers, de fret ainsi que la maintenance et l'entretien des avions. Elle a pour objectif de desservir les principaux aéroports ivoiriens, ainsi qu'un grand nombre de destinations africaines.
Armand Tanoh
Le jeune entrepreneur ivoirien Samuel Sévi N’Guessan Gbekpon, diplômé en réseau informatique et Télécom, fondateur de la startup Young Power sera à Berlin (Allemagne) du 8 au 9 novembre 2017 pour représenter la Côte d’Ivoire au concours international Falling Walls Lab 2017. Il a remporté la 1ère édition de ce concours organisée par la Fondation Friedrich Naumann pour la Liberté, le jeudi 29 juin 2017 à Abidjan. Le jeune inventeur a séduit le jury avec son projet « protège tasse à latex d’hévéa » face à 15 autres concurrents.
Pour le « Falling Walls Lab-Abidjan » plus d’une trentaine de projets d’idées ont été réceptionnés. Et 16 ont été finalement retenus pour la finale du jeudi 29 juin 2017 à la Maison de l’entreprise d’Abidjan.
Le jury de 6 membres a évalué les candidats soumis à un speech de 3mn pour la présentation de leurs idées. A cet effet, trois critères fondamentaux ont conduit l’objectivité du jury, à savoir l’originalité du projet d’idées, sa pertinence et son impact , et la structuration lors de sa présentation.
Samuel Sévi s’offre la tête du trio gagnant avec son projet innovateur de « protège tasse à latex d'hevéa » face aux autres concurrents pour un peu plus de 1600 points obtenus.
Le fondateur de Young Power est suivi d’Epher Golly avec son projet d’idées de lutte contre les fautes d’orthographe à travers un jeu en ligne( 2ème, 1420 points) et de Nahoa Pierre qui a présenté des idées sur la promotion et l’enseignement des langues maternelles à travers une application mobile(3ème , 1410 points).
Le lauréat ivoirien sera à Berlin du 8 au 9 novembre 2017, une période marquant la chute du mur de Berlin en 1989 qui a favorisé l’éclosion de plusieurs idées innovatrices, inventions, liberté d’expression…, pour défendre ses idées face à 99 autres candidats.
« Je suis très heureux, et je pense que je ferai tout pour représenter dignement mon pays à Berlin avec cette innovation face à 99 autres idées », a-t-il indiqué.
Les deux autres bénéficieront d’un appui du ministère ivoirien de la Promotion de la jeunesse, de l'Emploi des jeunes et du Service civique, selon les organisateurs.
Pour Inge Herbert, directrice pour l’Afrique de l’Ouest de la Fondation Friedrich Naumann, ce concours se présente comme un laboratoire d’idées et d’innovation, d’esprit d’entreprise et d’initiative privée. Toute chose, selon elle, qu’il faut encourager afin de promouvoir l’esprit entrepreneurial et de la recherche scientifique, notamment chez les jeunes.
Notons que le concours Falling Walls Lab est une compétition internationale destinée aux entrepreneurs, étudiants, doctorants, chercheurs du monde entier, etc. Il s’agit d’une plateforme offrant l’opportunité aux participants de présenter leurs travaux de recherche scientifique, ou d’innovations sociales, de solutions pour les entreprises…à un jury. Toutes les disciplines sont concernées: Agriculture, Médecine, Economie, Ingénierie, Sciences humaines, etc.
Falling Walls Lab se déroule tout au long de l’année dans plus de 50 pays. Le gagnant de chaque Lab national se qualifie directement pour la finale à Berlin qui a lieu le 8 novembre de chaque année. Le Sénégal fait partie des pays africains qui ont déjà remporté ce concours. La Côte d’Ivoire est à sa première participation.
Daniel Coulibaly
Le ministre ivoirien de l’Agriculture et du Développement rural, président de la conférence des ministres de l’Agriculture région Afrique pour la FAO,
Mamadou Sangafowa Coulibaly, participe à la 40ème session de la Conférence de la FAO qui se tient du 03 au 08 juillet à Rome, en Italie.
Selon une note d’information du ministère transmise à l’AIP, cette conférence constitue une réunion statutaire des instances de la FAO.
« A ce titre, le ministre Sangafowa Coulibaly, en sa qualité de président en exercice de la conférence de la FAO pour l’Afrique, présentera à ses pairs, un bilan à mi-parcours de la mise en œuvre des recommandations de la 29ème Conférence de la FAO depuis sa prise de fonction », précise le texte.
Par ailleurs, le ministre ivoirien va mettre à profit cette mission pour avoir des entretiens avec ses homologues africains notamment celui du Soudan ainsi que le directeur général de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), José Graziano da Silva.
Il va s’agir de les inviter à participer massivement au prochain Forum pour la Révolution verte (AGRF 2017) et au Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (SARA) prévus respectivement en septembre et novembre 2017 à Abidjan.
AIP
La Représentante Spéciale du Secrétaire général des Nations Unies en Côte d’Ivoire, Aichatou Mindaoudou a été élevée lundi au rang de commandeur dans l’ordre du mérite national ivoirien, par le Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, au nom du gouvernement ivoirien.
Un déjeuner offert par le gouvernement au Sofitel hôtel, a servi de cadre à cette décoration initiée pour saluer le dynamisme qu’elle a su insuffler au processus de stabilisation , de maintien et de consolidation de la paix en Côte d’Ivoire après la grave crise post électorale, selon chef du gouvernement, Amadou Gon Coulibaly.
Pour Aichatou Mindaoudou, cet insigne symbolise l’excellence des relations qui a prévalue entre l’Opération des nations unies en Côte d’Ivoire, le gouvernement et le peuple ivoirien. «Une collaboration réussie pour une mission considérée comme un succès dans l’histoire du maintien de la paix des Nations unies» a-t-elle témoigné.
Un geste qui traduit selon elle les efforts conjugués de cette organisation onusienne pour le retour de la paix et de la stabilité en Côte d’Ivoire. « Je pars surtout confiante et sereine en ce qui concerne l’avenir pour la Côte d’Ivoire et d’autant plus que l’ensemble des populations ivoiriennes a exprimé son engagement formel à œuvre dans le sens de la réconciliation nationale et de consolidation de la paix », a-t-elle rassuré.
La Grande chancelière Dagri Diabaté, ainsi que plusieurs membres du gouvernement ont honoré cette cérémonie par leur présence .
AIP
Le Chargé d’Affaires de l’Ambassade des Etats-Unis en Côte d’Ivoire, Andrew Haviland, a vanté la diversité culturelle et le partenariat entre les deux pays lors d’une réception offerte lundi dans le cadre de la célébration du 241ème anniversaire de l’indépendance des Etats-Unis, rapporte l'AIP.
Devant un parterre d’invités composés de membres du gouvernement, de diplomates, de représentants des partis politiques, de membres de la société civile, de jeunes et de journalistes, M Haviland a déclaré que la célébration de cette année est placée sous le signe de « la force dans la diversité et du partenariat », énonce une note d’information transmise à l’AIP.
« La culture américaine est unique mais elle est la somme de plusieurs traditions culturelles d’origines diverses », a-t-il souligné.
« On est ensemble ! (…) Nous nous tenons à vos côtés dans tous les défis auxquels vous ferez face dans la quête du bonheur pour le peuple ivoirien, » a rassuré le diplomate américain, à propos du partenariat entre les Etats-Unis et la Côte d’Ivoire.
Il a également profité de l’occasion pour faire le bilan de ce partenariat qui s’est essentiellement illustré à travers un appui du gouvernement américain à la réconciliation et au dialogue politique, la reconstruction des institutions de bonne gouvernance telles que l’Assemblée nationale, la Commission électorale indépendante, le système judiciaire, la réforme du secteur de la sécurité, l’investissement dans les secteurs de la santé et de l’éducation.
« Nous sommes aussi avec vous à travers les échanges que nous favorisons entre nos peuples, à travers soit ‘le Mandela Washington Fellowship’, où les meilleurs jeunes leaders ivoiriens passent six semaines aux États-Unis, soit des programmes par lesquels nous faisons venir des universitaires, des danseurs et des musiciens dans ce pays, » a-t-il déclaré.
M Haviland a enfin réaffirmé l’engagement du gouvernement américain « à prendre part à l’émergence de la Côte d’Ivoire en investissant dans le développement de nouvelles opportunités offertes par une économie plus diversifiée, et la levée des obstacles à une croissance économique plus rapide qui bénéficie à tous les Ivoiriens. »
Cent cinquante agents du groupe franco-japonais CFAO, entreprise spécialisée dans la grande distribution , ont été décorés par le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Jean-Claude Kouassi.
« Votre apport a contribué à bâtir la notoriété du groupe CFAO à le hisser au rang des entreprises qui comptent non seulement en Côte d’Ivoire, mais aussi bien au-delà de nos frontières », a déclaré M. Kouassi, jeudi lors de cette cérémonie, à l’adresse des récipiendaires, qu’il a congratulé pour « le travail bien fait ».
« Vous pouvez être fiers de vous-mêmes, à juste titre », a ajouté le ministre, qui a lui-même reçu à cette occasion une médaille à l’honneur de son père, Kouassi Koffi Félix, un homme ayant effectué toute sa carrière professionnelle au sein du groupe CFAO de 1945 à 1984.
Six agents, justifiant d’au moins 35 ans de présence dans l’entreprise, au nombre de six, ont reçu chacun la « Médaille Grand or », quand huit autres ayant accompli entre 30 et 34 ans de service ont reçu la « Médaille or ». Douze travailleurs ayant passé entre 25 à 29 ans à la CFAO se sont vu attribuer la « Médaille Vermeille », et 127 de 15 à 24 ans, la « Médaille Argent ».
Présente en Côte d’Ivoire depuis 1954, ce groupe est spécialisé dans divers domaines, notamment la grande distribution, la vente d’automobiles, de produits pharmaceutiques, la technologie.
Le DG de CFAO Motors et délégué CFAO Afrique de l’Ouest, Fabrice de Creisquer, a pour sa part exhorté les agents décorés à être des exemples pour les jeunes qui entament leur carrière au sein de l’entreprise.
Pour la porte-parole des récipiendaires, Amy Kodjo, cette distinction, au-delà de la fierté qu’elle leur procure, constitue une source de motivation dans le travail.
La CFAO, à travers ses succursales, emploie plus de 2000 salariés dans en Côte d’Ivoire.
Des hommes de scientifiques et de la recherche africains, issus de 54 établissements repartis dans 21 pays, participent depuis ce lundi à une importante rencontre au Ghana, pour les résultats de leurs travaux, notamment dans les disciplines des sciences médicales.
Cette rencontre entre dans le cadre du projet de Renforcement de l’excellence en matière de leadership, de formation et de Science (DELTA), un programme d’un montant de 100 millions de dollars (environ 50 milliards de FCFA), destiné à créer, en Afrique, des leaders de classe mondiale dans le secteur de la recherche.
Cette initiative a été lancée en 2015 avec des engagements de financement jusqu'en 2020 par l'Académie africaine des sciences et l'Alliance pour l'accélération de l'excellence en sciences en Afrique (AESA) de l’Agence du NEPAD, avec le soutien du Wellcome Trust et de l’Agence de coopération internationale du Royaume-Uni (UK Aid).
"Nous sommes heureux d'accueillir au Ghana des chercheurs considérés comme faisant partie des plus brillants esprits de l'Afrique ; ce dénote un engagement de nos scientifiques à galvaniser les ressources pour résoudre nos défis urgents en santé ", a déclaré le Professeur Kwabena Frimpong-Boateng, Ministre de l'Environnement, de la Science, de la Technologie et de l'Innovation du Ghana.
La Côte d’Ivoire est représentée à cette rencontre d’Accra par Dr Constant Ahoua, chercheur associé au Centre suisse de recherche scientifique d’Abidjan, et bénéficiaire d’une bourse de recherche postdoctorale du programme Afrique One-ASPIRE en ethnobotanique et phytothérapie, option phytochimie.
DELTAS Africa est dédié à la formation de la future génération de leaders scientifiques sur le continent au niveau de la maîtrise, du doctorat et des niveaux postdoctoraux. Il contribue également à la construction d'infrastructures modernes pour permettre des recherches aux normes internationales, en vue de répondre aux priorités en matière de santé et de recherche en Afrique.
AT
Un atelier régional réuni depuis lundi au centre régional pour l’éducation à la culture de la paix (CRECP) de Yamoussoukro, des femmes leaders de huit pays africains en vue de la promotion de la culture de la paix sur le continent.
Le stage régional de formation initié par l’organisation islamique pour l’éducation les sciences et la culture (ISESCO), en collaboration avec la fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix a pour thème « l’engagement des femmes leaders dans la promotion de la culture de la paix en Afrique ».
Il vise à renforcer la capacité des femmes leaders, de les outiller en matière de d’éducation, de cohésion sociale, de négociation citoyenne, de dialogue social, de plaidoyer et stratégies de mobilisation communautaire pour accroître la participation des femmes dans la promotion de la culture de paix. Il s’agira également de favoriser une réflexion sur la nécessité d’intégrer la dimension du genre dans l’ensemble des analyses politiques et programmes conçus pour régler les conflits, et les prises de décisions
Selon la directrice du centre régional du CRECP, et du département de la recherche de la paix à la fondation FHB, Dr Diénéba Doumbia les femmes sont marginalisées dans les initiatives de paix, et leur capacité à promouvoir une culture de paix est largement sous-estimée. Elles sont les plus exposées et les premières victimes des violences pendant les conflits déclenchées par les hommes.
« L’exclusion et la discrimination des femmes dans le processus de prise de décision, à l’accès aux ressources et aux revenus, sont considérées comme des facteurs expliquant la persistance des violences dans notre société », a fait remarquer Dr Diénéba Doumbia.
Elle a rappelé que l’histoire de la paix développée vers la fin du XIXè, siècle confirme que l’éducation à la paix, va de pair avec le genre qui est d’une importance capitale pour parvenir à la paix. « Il faut donc une prise en compte de la question du genre, et de l’éducation de la culture de la paix comme une thématique nouvelle et prometteuse, permettant à toutes et à tous de jouer véritablement le rôle de médiateurs, d’éducateurs, d’acteurs de paix et de réconciliateurs », a préconisé Dr Doumbia.
Pour la représente de l’ISESCO, Mariama N’Diaye Niang, face à la montée de la violence de l’extrémisme, du terrorisme, la radicalisation et la criminalité grandissante à travers le monde et la sous-région ouest africaine,« l’espoir de retrouver la paix, doit être mis sur femme « socle de la famille et de la société dans nos traditions », en lui redonnant la place qui est la sienne, et tous les moyens pour qu’elle puisse jouer son rôle d’actrice et d’éducatrice d’enfants, pour en faire des citoyens de paix.
AIP