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Le président de la fédération ivoirienne de Krav- Maga(FIKM), Alassane Kouakou, a dressé le bilan moral d’une année d’exercice ‘’riche en évènements’’, lors de la quatrième assemblée générale ordinaire annuelle de la fédération, le samedi 16 mars à son siège à la Riviera Abatta.
‘’Bilan satisfaisant dans l’ensemble’’, s’est félicité Alassane Kouakou qui s’est voulu rassurant et résolument tourné vers le futur.
Tout en défendant sa gestion, il a exhorté les membres de son bureau à une union sacro-sainte, réitéré sa volonté de faire de la Cote d’Ivoire la plate-tournante du Krav Maga en Afrique..., mais surtout veiller à l’organisation des stages de formation de niveau international au profit des pratiquants du Krav Maga Ivoiriens et Africains.
Par ailleurs, au cours de l’exercice 2017-2018, la FIKM a organisé plusieurs évènements, notamment un stage international d’instructeur civil, qui a nécessité le déplacement d’Alain Cohen, expert israélien diplômé 5 ème Dan Wingate Institut niveau 2 du 27 au 30 janvier dernier. Ce stage a vu la formation d’une trentaine de participants ivoiriens et d’autres pays du continent. Il a porté sur trois modules, à savoir la sécurité d’enseignement, les techniques du Krav Maga et le travail sous stress.
Un fait d’arme pour la fédération ivoirienne de Krav Maga, résolument tournée vers la promotion et le développement de cette technique de combat en Côte d’Ivoire.
Pour les perspectives, Alassane Kouakou avec l’aide de son équipe dit poursuivre les efforts en vue du positionnement du Krav Maga avec l’ouverture d’autres clubs à travers le district d’Abidjan et à l’intérieur du pays.
Notons que M. Kouakou Alassane est le représentant exclusif en Côte d’Ivoire et en Afrique de la Krav –Maga Fédération- Association Consultate (KMF-AC ).
Louis Tanin
Depuis Rabat (Maroc) où il était en visite, le Pape François a appelé, le dimanche 31 avril 2019, à la solidarité entre croyants, en en faisant l’arme idéale pour contrer la poussée de l’extrémisme religieux dans le monde.
« Il est en effet indispensable d’opposer au fanatisme et au fondamentalisme la solidarité de tous les croyants, ayant comme références inestimables de notre agir les valeurs qui nous sont communes », a déclaré le Saint-Père de l’Eglise catholique, depuis l’esplanade de l’emblématique mosquée Hassan où il a été officiellement accueilli après sa descente d’avion.
Le Pape François a ainsi réitéré son vœu de voir s’approfondir les liens entre chrétiens et musulmans, notamment.
« Ici sur cette terre, pont naturel entre l’Afrique et l’Europe, je souhaite redire la nécessité d’unir nos efforts pour donner une nouvelle impulsion à la construction d’un monde plus solidaire, plus engagé dans l’effort honnête, courageux et indispensable d’un dialogue respectueux des richesses et des spécificités de chaque peuple et de chaque personne », a-t-il exprimé.
« C’est là un défi que nous sommes tous appelés à relever, surtout en ce temps où on risque de faire des différences et de la méconnaissance réciproque des motifs de rivalité et de désagrégation », a insisté le guide suprême de l’Eglise catholique romaine.
Le souverain pontife a rappelé à tous les croyants du monde leur devoir de participer à l’édification d’une société ouverte, plurielle et solidaire, à travers « le dialogue comme chemin à parcourir, la collaboration comme conduite et la connaissance réciproque comme méthode et critère ».
« C’est ce chemin que nous sommes appelés à parcourir sans jamais nous fatiguer, pour nous aider à dépasser ensemble les tensions et les incompréhensions, les masques et les stéréotypes qui conduisent toujours à la peur et à l’opposition », a-t-il fait comprendre.
Répondant à une invitation du Roi Mohammed VI, le Saint-Père est arrivé samedi après-midi pour une visite de 48 heures au Maroc. Il a été accueilli dans une grande ferveur populaire tout le long du parcours depuis l’aéroport jusqu’à la mosquée Hassan où un nombreux public a effectué le déplacement pour l’écouter malgré la pluie qui s’est abattue sur Rabat dès la mi-journée et qui ne s’est arrêtée qu’à la fin de la cérémonie officielle d’accueil.
Mise en garde contre le prosélytisme
Rencontrant le clergé du pays au deuxième jour de sa visite au Maroc, le Pape François a mis en garde la communauté catholique et à travers elle l’ensemble confessions chrétiennes contre le prosélytisme religieux, les ramenant à la vraie vocation de l’Eglise qui se situe bien au-delà du souci de faire du nombre.
Quelque 30 000 chrétiens dont 20 000 catholiques officiellement vivent au Maroc, une petite minorité dans une population globale de plus de 36 millions confessant à 99,9% la foi musulmane.
Une réalité qui, selon le Pape, ne doit pas être perçu comme un problème au point, pour les chrétiens, d’être tentés d’user de zèle pour gagner en nombre. L’enjeu résidant davantage dans la capacité des disciples du Christ à impacter positivement leur milieu de vie que dans le nombre, à l’éclairage de l’Evangile notamment de la parabole du levain enfoui dans une grande quantité de farine et qui doit faire monter la pâte.
« Jésus ne nous a pas choisis et envoyés pour que nous devenions les plus nombreux. Il nous a mis dans la société comme cette petite quantité de levain : le levain de la béatitude et de l’amour fraternel dans lequel, comme chrétiens, nous puissions tous nous retrouver pour rendre présent son règne. Autrement dit, les chemins de la mission ne passent pas par le prosélytisme qui conduit toujours à une impasse, mais par notre manière d’être avec jésus et avec les autres », a-t-il enseigné.
Le souverain pontife a ainsi exhorté la communauté catholique du Maroc à persévérer dans sa pastorale sociale à travers laquelle elle se fait proche des plus faibles. « Que votre charité se fasse toujours active et soit ainsi un chemin de communion entre les chrétiens de toutes les confessions présentes au Maroc : l’œcuménisme de la charité. Qu’elle puisse être ainsi un chemin de dialogue et de coopération avec nos frères et sœurs musulmans et avec toutes les personnes de bonne volonté », a appelé le Saint-Père.
Le Pape François a séjourné de samedi à dimanche à Maroc, à l’invitation du Roi Mohammed VI. Il a rencontré le clergé local dans la matinée de dimanche à la cathédrale St Pierre, avant de clôturer sa visite dans l’après-midi par une messe au complexe sportif Prince Moulay Abdellah, transformé pour l’occasion en une église géante.
Avec AIP
Le Centre d'Education pour une Société Durable (Centre ESD) indique dans un communiqué organiser #ParoleAuxCitoyens, une tournée de formation et d'échanges avec les populations de quatre (4) localités de la Côte d'Ivoire du 27 mars au 7 avril 2019.
Dénommée "Parole aux Citoyens", cette tournée est une rencontre de dialogue communautaire avec les jeunes des localités de Bondoukou, Gagnoa, Agboville et Bonoua. « Il s’agit pour nous à travers cette tournée de donner la parole aux populations pour leur permettre de s’exprimer sur les questions qui concernent leur quotidien. Cela vise à stimuler l’engagement et le dialogue social dans la société ivoirienne pour la cohésion sociale » Arsène Konan, directeur exécutif du Centre ESD.
Parole aux Citoyens est un concept d'échange à travers une émission radio publique sur les thématiques liées aux préoccupations des populations locales. Aussi, en marge de l’émission radio, les associations locales bénéficieront d’une série de formations sur les outils d'expression et les moyens d'actions de la société civile.
Les activités se tiendront selon le chronogramme suivant: Bondoukou : du 26 au 29 mars, thème:« Quelle approche pour relever le faible de scolarisation de la jeune fille? ». Gagnoa: du 27 au 30 mars, thème: « Encadrement et insertion des jeunes de Gagnoa. Quelle solution? ». Bonoua: du 04 au 07 avril, thème: « Insécurité sociale : consommation généralisée de la drogue : Cause Conséquence et Solution. ». Agboville: du 04 au 07 avril, thème: « Insécurité sociale : consommation généralisée de la drogue : Cause Conséquence et Solution. »
Daniel Coulibaly / Serv Com
La Conférence ministérielle africaine sur l'appui de l'Union africaine au processus politique des Nations-Unies sur le différend régional au sujet du Sahara s’est tenue à Marrackech(Maroc). La conférence qui a réuni plusieurs Etats africains, membres de l’union africaine, a adopté le lundi 25 mars une déclaration finale, signée par 37 pays, dont le Maroc, afin de mettre fin au conflit eu sujet du Sahara. Voici la déclaration.
Nous, les Etats africains, membres de l’union africaine : République d'Angola, République du Benin, Burkina Faso, République du Burundi, République du Cameroun, République du Cap-vert, République centrafricaine, union des Comores, République démocratique du Congo, République du Congo, République de Côte d’Ivoire, République de Djibouti, royaume d’Eswatini, République démocratique fédérale d’Ethiopie, République gabonaise, République de Gambie, République du Ghana, République de Guinée, République de Guinée-Bissau, République du Liberia, Etat de Libye, république de Madagascar, République du Malawi, Royaume du Maroc, République du Niger, République fédérale du Nigeria, République du Rwanda, République démocratique de Sao Tome-et-principe, République du Sénégal, République de Sierra-Leone, République fédérale de somalie, République du soudan, république du soudan du sud ; République-unie de Tanzanie, République du Tchad, République tunisienne et République de Zambie réunis à Marrakech, le 25 mars 2019, a la conférence ministérielle africaine sur l’appui de l’union africaine au processus politique des nations unies sur le différend régional sur le Sahara; reconnaissant l’impératif de la consolidation de l’unité, du rassemblement et de la convergence de nos efforts en vue d’aboutir a l’Afrique que nous voulons ; attaches au choix stratégique de nos chefs d’Etat et de gouvernement en vue de dépasser les causes de division, de clivage et de fragmentation, qui mettent en péril l’unité de notre continent ; conscients de l’urgence pour notre continent de faire face aux questions prioritaires, notamment, le développement humain durable, l’intégration africaine et la prospérité de nos citoyens, dans le cadre de l’agenda 2063 ; sommes convenus de : 1. réaffirmer notre attachement indéfectible a une Afrique unie, stable, proactive et prospère, parlant d’une seule voix et a même de répondre aux défis multidimensionnels du monde complexe d’aujourd’hui et de demain ; 2. mettre en œuvre la vision sage et concertée de nos chefs d’Etat et de gouvernement, consacrée lors de la 31eme session ordinaire de la conférence de l’union, tenue les 1 et 2 juillet 2018 à Nouakchott (Mauritanie), au sujet du différend régional sur le Sahara ; 3. saluer, a cet égard, l’adoption, à l’unanimité, de la décision assembly/au/dec.693 (xxxi), sur le rapport du président de la commission de l’UA sur la question du Sahara, qui réaffirme l’exclusivité des nations unies en tant que cadre de recherche d’une solution politique, mutuellement acceptable, réaliste, pragmatique et durable à la question du Sahara ;
2 4. Préserver l’esprit et la lettre de la décision 693, fruit de consultations approfondies du président de la commission et objet d’un consensus salutaire de nos chefs d’Etat et de gouvernement, tenant compte de son rôle fondateur dans le retour à la sérénité dans les travaux de l’union africaine ; 5. se féliciter de la mise en place, par la décision 693, du mécanisme de la troïka de l’Ua, compose des présidents sortant, en exercice et entrant de notre union, ainsi que le président de la commission de l’Ua, pour apporter un soutien efficace aux efforts conduits par les nations unies ; 6. réaffirmer notre rassemblement autour d’une mise en œuvre constructive et efficace du mandat de la troïka de l’Ua, qui consiste à protéger, à appuyer et à préserver l’intégrité du processus politique en cours dans le cadre exclusif des nations unies, sous la supervision du conseil de sécurité et sous les auspices du secrétaire général, en vue de parvenir à « une solution politique, réaliste, pragmatique et durable à la question du Sahara qui repose sur le compromis » (op.2 de la résolution 2440 du conseil de sécurité des nations unies) ; 7. soutenir le mandat spécifique confère par la décision 693 a la troïka de l’UA, à l’exclusion de tout organe de l’union a quelque niveau que ce soit, afin de connaitre des développements du processus politique mené dans le cadre des nations unies sur la question du Sahara ; 8. souligner que le soutien de la troïka au processus politique des nations unies doit être préserve de toutes ingérences, interférences ou actions non consensuelles, de nature à concurrencer les efforts du secrétaire général des nations unies et de son envoyé personnel, à compromettre la cohésion de l’union ou à développer un processus parallèle de nature à cultiver la division entre ses Etats membres ; 9. souligner l’impact positif de la décision 693 sur le fonctionnement de l’UA, la cohésion de ses membres et la mise en œuvre de son agenda et de ses priorités, y compris en ce qui concerne une conduite sereine et apaisée des processus de partenariat liant l’union africaine ; 10. souligner, à cet effet, que la formule consensuelle et consolidée de la décision assembly/au/dec.635 (xxviii), adoptée lors de la 28eme session de la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’union, tenue les 30 et 31 janvier 2017 à Addis-Abeba, relative à la représentation de l’Afrique par la troïka, à savoir le président en exercice, le président entrant et le président sortant de l’union africaine, le président de la commission, les présidents des communautés économiques régionales ainsi que le président du Nepad, élargie aux membres du bureau de la présidence de l’union, constitue une solution réaliste pour la résolution de la question du format de participation aux processus de partenariat liant l’union africaine et ses réunions ; 11. Estimer que toute initiative visant à porter atteinte à la teneur de la décision 635 risque de nuire à la crédibilité des processus du partenariat, et à leur contribution à la réalisation des objectifs de développement de notre continent ; 12. Saluer vivement l’initiative constructive du royaume du Maroc de convoquer cette conférence, qui démontre son adhésion a la mise en œuvre de la décision 693 ; 13. remercier les délégations des Etats africains membres de l’union africaine ayant participé à la conférence ministérielle africaine sur l’appui de l’union africaine au processus politique des nations unies sur le différend régional sur le Sahara.
Adoptée à Marrakech, le 25 mars 2019
Plus de 15.000 Ivoiriens visés. Vingt-deux villes à parcourrir à travers le pays. Suite au lancement réussi de son programme d’éducation financière à Abidjan la semaine dernière, Visa, le leader mondial des
paiements numériques, continue ce vendredi 29 mars, sa tournée d’éducation financière dans la ville de Tiébissou. Cette campagne organisée en partenariat avec le Programme d’Education Financière (PEF) du Ministère de l'Education Nationale, de l'Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle entre dans le cadre des actions liées au protocole d’accord signé entre Visa et l’Etat de Côte d’Ivoire en 2018.
L'objectif de cette initiative est de fournir aux populations des astuces financières pratiques et des aptitudes qui leur permettront de mieux gérer leurs finances personnelles, de comprendre des concepts de planification financière et d'épargne, ainsi que des informations sur les nouvelles technologies de paiement numériques. Chaque date de la tournée consistera en des sessions interactives organisées en cours
de journée afin de permettre aux consommateurs de participer pleinement à l'acquisition de compétences en gestion financière. Le programme inclura à chaque étape des activités incitatives sous forme de jeux.
"L'accès à l'éducation financière est un facteur déterminant pour réduire la pauvreté et stimuler la croissance économique sur le continent africain. Nous imaginons un monde futur dans lequel un commerçant local dans la zone la plus reculée du pays pourrait avoir accès aux mêmes informations et services de qualité que ceux offerts dans les grandes métropoles du monde.
Avec ce programme, nous aidons progressivement nos populations financièrement marginalisées à découvrir les avantages des paiements numériques et la gestion responsable de leur argent, afin de tirer parti de ce que peut leur offrir un écosystème numérique ", a déclaré Ismahill DIABY, Directeur Général - Afrique de l’Ouest et Centrale Francophone et Lusophone de Visa "Cette initiative de Visa consolide nos efforts en Côte d'Ivoire dans le but de surmonter certains des défis identifiés dans les rapports de 2018 du Groupe consultatif d'assistance aux pauvres (CGAP) et de la base de données mondiale Findex 2017" a-til ajouté.
Cette campagne est l'une des 3 initiatives lancées avec succès par Visa dans le cadre de la première phase d’exécution de ses engagements envers l'Etat de Côte d'Ivoire inclus dans le protocole d’accord signé en 2018.
AT
Depuis deux saisons et demie maintenant, Kylian Mbappé est l’étoile montante du football français. L’attaquant d’à peine 20 ans, qui a éclos à Monaco lors de la saison 2016-2017, brille grâce à sa vitesse, sa technique et sa justesse devant le but. Résultat, le jeune français, champion du Monde l’été dernier, enfile les buts comme les perles ces derniers mois et culmine, cette saison, largement en tête du classement des buteurs. Avec 26 réalisations inscrites en 18 matchs joués, le « French Prince » du Parc des Princes est terriblement efficace face aux cages adverses, lui qui n’a eu le droit qu’à deux pénaltys depuis le début de la saison (dont un manqué face à Marseille). Des statistiques encore plus étonnantes comparées aux autres cadors du championnat, tels qu’Edinson Cavani ou Nicolas Pépé, qui ont le droit - quant à eux - aux pénaltys, comme Neymar.
Buteur lors des matchs importants cette saison, comme Marseille ou Lyon (il avait inscrit un quadruplé), le Tricolore est inarrêtable même s’il est encore perfectible. Mbappé, qui a récupéré le numéro 7 depuis le début de la saison (il avait avant le 29 au PSG), a parfaitement su élever son niveau de jeu pour le PSG, qui devait composer avec les absences de Neymar Junior depuis janvier et Edinson Cavani en février. En Ligue 1, il s’est parfaitement entendu avec Angel Di Maria, l’autre homme fort parisien, pour porter les futurs champions de France. Avec déjà 9 buts d’avance sur Edinson Cavani, Mbappé est bien évidemment le favori des pronostics pour finir meilleur buteur de la Ligue 1. Toutes les statistiques sont réunies pour qu’il le devienne puisqu’il est le joueur qui tire le plus souvent au but parmi tous ses collègues buteurs. C’est le seul joueur de Ligue 1 qui tire quatre fois au but en moyenne par rencontre.
Ses deux principaux concurrents se nomment : Edinson Cavani, double tenant du titre, et Nicolas Pépé, du LOSC. L’Uruguayen a pris du retard dans la course au classement pusiqu’il est blessé depuis plus d’un mois. Touché à la hanche, El Matador a raté une dizaine de rencontres, et n’a disputé, au total, que 11 rencontres de Ligue 1. Cela ne l’a pas empêché de faire trembler à 17 reprises les filets ! Sa cote, pour finir meilleur buteur, est estimée à 26,00.
De son côté, Nicolas Pépé est l’une des attractions du championnat. L’attaquant ivoirien de 23 ans, qui s’est révélé à Angers il y a deux saisons maintenant, confirme sa très belle deuxième partie de saison l’an dernier avec un exercice 2018-2019 monstrueux. Homme fort du LOSC, deuxième du championnat, l’ailier droit fait parler sa patte gauche délicieuse à chacune de ses sorties. Le natif de Mantes-la-Jolie, qui est aussi très régulier, a inscrit 17 buts et délivré 10 passes décisives en 29 rencontres de championnat ! Malgré ces très bonnes performances, les bookmakers ne croient pas forcément en la possibilité du gaucher de terminer meilleur buteur de L1, comme en témoigne sa cote (41,00). Kylian Mbappé est bien parti pour remporter un nouveau trophée à mettre dans son armoire…
Le Premier ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly, a indiqué que la réforme de la Commission Electorale Indépendante (CEI), se fera dans l’esprit des recommandations de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, afin de parvenir à une CEI encore plus consensuelle. Il s’exprimait à l’occasion d’une rencontre avec la presse, le 21 mars 2019 à Abidjan.
« Les discussions s’inscrivent dans un cadre très précis. Il s’agit de voir comment prendre en compte les recommandations qui ont été faites par la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples. C’est ce que nous allons faire. Nous ne ferons pas plus, nous ne ferons pas moins… Nous travaillerons à arriver à des propositions qui seront jugées raisonnables pour la majeure partie des acteurs », a dit le Premier ministre Amadou Gon.
Par ailleurs, il s’est félicité que des partis politiques qui remettaient en cause la méthodologie en vigueur pour la réforme de la CEI se soient ravisés pour soumettre finalement leurs propositions.
En outre, Amadou Gon Coulibaly a abordé d’autres questions chaudes qui font l'actulaité du pays, à savoir la grève des enseignants, le programme de logements sociaux, l’adduction en eau potable des populations, etc. Il a donné l'assurance du gouvernement à oeuvrer dans ce sens, afin de trouver les solutions idoines.
Daniel Coulibaly
Le président de la République, Alassane Ouattara, a reçu vendredi au Palais de la Présidence, les lettres de créance de cinq nouveaux Ambassadeurs accrédités en Côte d’Ivoire.
Il s’agit de Havva Yonga Gündüz özceri (Turquie), Pule Batimanki Mphothwe (Botswana), Vatma Vall Soueina (Mauritanie), Idris Ismail Faragallah Hassan (Soudan) et Aroon Jivasakapimas (Thaïlande).
La première à être reçue est l’ambassadrice de Turquie en Côte d’Ivoire, Havva Yonca Gunduz özçeri. Pour elle, c’est un honneur de représenter son pays en Côte d’Ivoire, un partenaire privilégié. Elle compte, durant sa mission, renforcer l’excellente coopération qui existe entre la Côte d’Ivoire et son pays. Et cela, dans de nombreux domaines, la culture, l’éducation, le commerce, le sport…
Après l’ambassadeur turc, le Président Ouattara a reçu Pule Batimanki Mphothwe, chef de mission diplomatique du Botswana en Côte d’Ivoire. Le diplomate botswanais souhaite voir s’accroître le volume de la coopération entre la Côte d’Ivoire et son pays, notamment dans le domaine minier, dans les secteurs de l’agriculture et du tourisme, afin de renforcer la coopération économique.
A sa suite, c’est l’ambassadrice de la Mauritanie, Vatma Sall Soueina, qui a présenté ses lettres de créance au chef de l’Etat s’est engagée, durant sa mission, à œuvrer pour les intérêts, aspirations et objectifs communs de la Côte d’Ivoire et de la Mauritanie. Ces deux pays, a-t-elle rappelé, sont liés par des relations d’histoire et d’amitié. Elle s’attellera, a-t-elle souligné, à l’application des accords qui les lient.
L’ambassadeur du Soudan, Idris Ismail Faragallah Hassan, a présenté ses lettres de créances à la suite de la diplomate mauritanienne. Il a émis le vœu de travailler étroitement avec le ministère des Affaires étrangères et l’ensemble du gouvernement, chacun dans son domaine respectif.
Enfin, le diplomate du Royaume de Thaïlande, Aroon Jivasakapimas qui a été la dernière personnalité à présenter ses Lettres de créance, a précisé que durant sa mission, l’accent sera particulièrement mis sur la transformation de certains produits ivoiriens tels que le cacao, le café, la noix de cajou et d’autres produits bruts ainsi que sur le tourisme.
Le ministre des Affaires Etrangères, Marcel Amon-Tanoh et celui de l’Intégration Africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, M. Ally Coulibaly, ainsi que des membres du Cabinet présidentiel ont pris part à cette cérémonie.
AIP
Le monde a besoin des forêts. Elles sont essentielles au maintien de la biodiversité et à la lutte contre le changement climatique. En même temps, les forêts souffrent depuis l'invention de la charrue, car les êtres humains abattent les arbres pour les besoins de leurs cultures vivrières et commerciales. Le bulldozer n’a fait qu’aggraver la situation. Plus de 70 % de la production mondiale du cacao provient de la Côte d'Ivoire et du Ghana, et la déforestation a fait des ravages. Il ne reste que 17 % de forêt primaire en Côte d'Ivoire, alors qu’il ne reste que des fragments de la magnifique forêt guinéenne. Comment cela est-il arrivé, le cacao en est-il responsable? Si oui, que font Nestlé et l'industrie du cacao et du chocolat pour y remédier ?
Le cacao qui provient des forêts protégées n'a pas sa place dans notre chaîne d'approvisionnement. Nous travaillons à mettre un terme à la déforestation et à la destruction d'autres ressources naturelles ayant des liens avec le cacao, tout le long de notre chaîne d'approvisionnement. Nous nous sommes engagés à atteindre l’objectif de 100 % de production à base de matières premières sans déforestation, d’ici 2020. La culture de cacao, et d'autres matières premières agricoles, ainsi que l'exploitation forestière, ont provoqué la déforestation. Cependant, avec les liens qui peuvent être établis avec un produit emblématique comme le chocolat, la déforestation liée au cacao attire beaucoup d'attentions. Restaurer les zones forestières J’apprécie le fait que les médias mettent l’accent sur le cacao, parce qu’ils mettent en évidence un problème alarmant pour ce secteur, mais aussi pour l'Afrique de l'Ouest dans son ensemble. Nous devons travailler à freiner l’expansion des plantations de cacao dans les forêts, et nous devons protéger celles-ci de tous les empiètements agricoles. La lutte contre la déforestation est complexe, et étant donné que le cacao est principalement une culture de dimension familiale en Afrique de l'Ouest, nous devons tenir compte des moyens de subsistance des agriculteurs. C'est la responsabilité partagée de toutes les parties prenantes, de l’industrie du cacao et du chocolat, des gouvernements des pays producteurs, des coopératives, des agriculteurs et des collectivités rurales. Trente-trois grandes sociétés productrices de cacao et de chocolat (membres de la Fondation Mondiale du Cacao), se sont réunies avec les gouvernements de la Côte d'Ivoire et du Ghana pour signer l'Initiative Cacao et Forêts (ICF), un cadre de collaboration pour mettre fin à la déforestation et restaurer les zones forestières. Toutes nos félicitations à tous ceux qui ont uni leurs efforts pour atteindre cet objectif. Un remerciement spécial au Prince de Galles pour cette initiative et à l’ONG Mighty Earth qui a œuvré à faire de cela une réalité. Passer à l'action, n'est facile. En Côte d'Ivoire et au Ghana, les gens ont vécu et travaillé dans les forêts pendant des décennies, et ne peuvent pas être déplacés aussi facilement. Nous devons protéger les forêtstout en accompagnant les producteurs à avoir des moyens de subsistance durables, en cultivant « plus de cacao sur moins de terres ». Que fait Nestlé ? Que fera Nestlé, au travers de ce cadre de collaboration qu’est l’ICF? Nous concentrerons nos actions sur notre chaîne d'approvisionnement dans le cadre du Plan Cacao Nestlé , à travers laquelle nous avons forgé des relations avec les petits exploitants pour garantir un approvisionnement responsable en cacao, suivant trois piliers : de meilleures cultures, une meilleure vie, un meilleur cacao. Premièrement, nous sommes en train de cartographier les contours des champs pour tous les agriculteurs - environ 85 000 à travers la Côte d'Ivoire et le Ghana. Nous estimons que cela signifie parcourir 102,000 km – Cela fait beaucoup de marches ! Deuxièmement, nous distribuerons plus de 2,6 millions de plants d'arbres forestiers aux agriculteurs, au cours des quatre prochaines années, et nous les encouragerons à cultiver ces arbres forestiers à proximité du cacao. Troisièmement, nous allons collaborer avec une ONG pour tenter des expériences agro-forestières autour de la culture du cacao, dans des zones où le gouvernement veut reboiser des zones dégradées. Enfin, nous travaillons avec l'un de nos fournisseurs pour mettre à la disposition des agriculteurs 5 000 fourneaux à bois améliorés. Ils sont plus efficaces, utilisent moins de bois et produisent moins de fumée. Cela réduit la pression sur la forêt, améliore la santé et réduit le travail des enfants - étant donné que les familles de producteurs envoient souvent les enfants pour chercher le bois pour le feu. Cela a l’air d’un jeu d’enfant, n’est-ce pas ? Le succès de l’initiative dépendra de l'acceptation et de l'adoption de cette nouvelle technologie. Le monde a besoin de forêts, et le cacao fait partie de la riche biodiversité. Des centaines de milliers de personnes vivent de la culture du cacao. L’Initiative Cacao et Forêts a permis à toutes les parties prenantes de définir une vision partagée, dans laquelle la production durable du cacao concilie la nécessité de protéger l'environnement et le développement socio-économique des cacaoculteurs du Ghana et de la Côte d'Ivoire. Je crois sincèrement que nous pouvons trouver le juste équilibre entre la protection des forêts, la culture durable du cacao et l’aide aux agriculteurs. Nous avons publié notre plan et nous nous efforcerons de le réaliser. Nous continuerons à travailler ensemble avec nos collaborateurs, les ONG, les gouvernements et la société civile pour atteindre cet objectif et notre engagement de zéro déforestation. Nous serons ravis d’en reparler très prochainement !
Darrell High, responsable du Plan Cacao Nestlé
A l’occasion d’une journée portes-ouvertes de son partenaire CFCD CI qui s’est déroulée à Abidjan le 20 mars 2019, Eaton, leader mondial de la gestion d’énergie, a annoncé avoir noué de nouveaux partenariats locaux dans le cadre de sa stratégie de développement.
« Afin de répondre aux enjeux énergétiques de la Côte d’Ivoire et de la région, notamment en termes de sécurité électrique, Eaton a entrepris de s’appuyer sur des partenaires professionnels du pays », a expliqué Seydou Kane, Directeur Afrique d’Eaton. Ainsi, après avoir noué un premier partenariat l’an dernier avec son client historique LIEDS, afin de couvrir le segment résidentiel, l’entreprise vient de se renforcer avec un deuxième partenariat avec CFCD CI (Compagnie foncière et commerciale de distribution de Côte d’Ivoire) pour le segment industriel.
CFCD CI, dirigée par Ismaël Nassirou, dispose d’une forte expertise locale en distribution électrique, protection et commande ainsi qu’en ingénierie industrielle. « Grâce à ce partenariat, nous proposerons à nos clients un portefeuille de solutions compétitives et adaptées au marché ivoirien », a souligné le directeur général de l’entreprise.
Déjà très connue pour ses onduleurs, qui apportent un soutien en cas de problème d’approvisionnement en électricité, Eaton souhaite s’impliquer davantage dans les solutions de gestion de l’énergie électrique permettant d’apporter une grande sécurité dans les secteurs résidentiels, tertiaires et industriels. La sécurité électrique est un enjeu majeur et un besoin vital à la fois pour les populations, les entreprises et organisations au sens large. L’actualité le montre malheureusement parfois.
Pour les secteurs résidentiel et tertiaire, Eaton propose ainsi une gamme de solutions pour la protection et la distribution de circuits électriques, comprenant toute une offre de disjoncteurs, coffrets de distribution, éclairage de sécurité et détection incendie. Pour le secteur industriel, elle propose des régulateurs de tensions, des disjoncteurs et contacteurs industriels, des produits de commande et contrôle industriels, ainsi que des produits dédiés à l’utilisation dans des environnements industriels hostiles, dont CFCD CI sera le distributeur spécialisé.
Présente en Côte d’Ivoire depuis 2008, Eaton a ouvert de nouveaux bureaux à Abidjan en 2018 comprenant un showroom et une salle de formation dédiée à ses partenaires. Avec ses nouveaux partenariats, l’entreprise souhaite se positionner comme un fournisseur global de solutions de distribution et de protection électrique. Son bureau ivoirien a vocation à couvrir la sous-région.
« Depuis l’ouverture de notre bureau il y a 10 ans à Abidjan, visant à couvrir toute la sous-région, nous avons réussi à nous faire connaitre et à nous positionner parmi les leaders en solutions d’onduleurs. Cette performance est due essentiellement à notre équipe commerciale et à la stratégie mise en place par le groupe pour la région, et aussi grâce à la confiance et au professionnalisme de nos partenaires locaux », a indiqué Kassem Benhaddou, Directeur des Ventes Afrique du Nord et francophone de la compagnie.
Daniel Coulibaly/Serv Com