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« La NASA autorisera jusqu’à deux missions courtes d’astronautes privés par an », a précisé Robyn Gatens, la gérante de l’ISS. Les séjours pourront durer 30 jours maximum. Potentiellement, jusqu’à une douzaine d’astronautes privés pourraient ainsi séjourner à bord de l’ISS par an.
Selon Jeff DeWitt, le directeur financier de l’agence, à New York, «La NASA ouvre la Station spatiale internationale aux opportunités commerciales », a-t-il annoncé
Ces “astronautes privés” seront transportés exclusivement par les deux sociétés qui développent en ce moment des véhicules pour la NASA. A savoir SpaceX, avec la capsule Crew Dragon et Boeing, qui construit la capsule Starliner. Ces sociétés choisiront les clients et leur factureront le voyage.
La partie la plus coûteuse de l’aventure de l’ordre de 58 millions de dollars par aller-retour, qui est le tarif moyen qui sera facturé à la NASA pour transporter ses astronautes.
Toutefois, les touristes paieront la NASA pour le séjour en orbite, la nourriture, l’eau et tout le système de support de la vie à bord. « Cela coûtera environ 35 000 dollars par nuit, par astronaute », a indiqué Jeff DeWit.
Par ailleurs, il faut savoir que L’ISS n’appartient pas à la NASA. La station a été construite avec la Russie en 1998. D’autres nations y participent et envoient des astronautes. Mais, les Etats-Unis détiennent et contrôlent la majorité des modules.
Mamadou Johann
Presque tous les demandeurs de visa américains doivent soumettre des informations sur leurs medias sociaux savoir, courriel, téléphone etc.
Les nouvelles règles exigent que les personnes demandant le visa pour immigrants ou non-immigrants fassent la liste de tous les noms d’utilisateurs, adresse, téléphone, les medias sociaux utilisés au cours des cinq dernières années. Et Cette nouvelle mesure du département d’État américain est effective depuis vendredi 5 juin.
les autorités américaines affirment que cette exigence touchera près de 15 millions d’étrangers.
Seuls les demandeurs de visa diplomatique et officiel pourraient être exemptés des nouvelles mesures.
Les demandeurs de visa devront également révéler si des membres de leur famille ont été impliqués dans des activités terroristes.
Les nouvelles règles avaient été proposées pour la première fois en mars 2018.
Mamadou Johann
Une cérémonie de signature d’un prêt et une convention de subvention a eu lieu le jeudi 6 juin 2019 à Addis-Abeba au Ministère des Finances et de la Coopération Economique en présence de Admasu Nebebe, Ministre éthiopien des Finances et de la Coopération économique, de Ignace Monkam-Daverat, Directeur Régional de l’Agence Française de Développement (AFD) et de Bontems, Ambassadeur de France en République Fédérale Démocratique d’Ethiopie et auprès de l’Union Africaine.
À travers ces deux accords, un financement de 100 millions d’euros a été octroyé par l’AFD à la République Fédérale Démocratique d’Éthiopie à mettre en œuvre ses ambitieuses réformes économiques. Pour ce financement, 85 millions d’euros sont accordés comme un prêt concessionnel de politique publique. Et 15 millions d’euros comme un don pour le programme d’assistance technique global.
Pour les politiques publiques, cet emprunt visera à aider le gouvernement éthiopien à mettre en œuvre les réformes économiques du GTP II. Et sera complémentaire au financement de la politique de développement de la Banque Mondiale pour la croissance et la compétitivité dans ce pays.
Ce soutien est le résultat de la déclaration d’intention commune signée entre l’AFD et la République Fédérale Démocratique d’Ethiopie lors de la visite du président français Emmanuel Macron en Ethiopie le 12 mars dernier.
A noter que l’Agence française de développement (AFD) est la banque de développement bilatérale française qui travaille depuis plus de 70 ans dans la mise en œuvre de la politique française d’aide au développement.
En 2018, l’AFD s’est engagée pour un financement mondial de 11,4 milliards d’euros.
Mohamed compaoré
Transport aérien : Bientôt des vols directs entre Addis-Abeba et Marseille
L’ambassadeur de France en Éthiopie, Frédéric Bontems et le PDG de la compagnie Ethiopian Airlines, Tewolde GebreMariam, ont confirmé le lancement de vols entre l’aéroport Bole d’Addis-Abeba et l’aéroport Marseille-Provence. C’était le 6 juin dernier à Addis-Abeba.
Dans cette perspective du renforcement des relations entre la France et l’Éthiopie, Ethiopian Airlines proposera donc trois vols hebdomadaires Addis-Abeba/Marseille à partir du 2 juillet 2019. Marseille représentera la deuxième destination française d’Ethiopian Airlines après Paris.
Il faut savoir que cette liaison aérienne avait été décidée lors des rencontres du président Emmanuel Macron et du premier ministre Abiy Ahmed en octobre 2018 à Paris et mars 2019 à Addis-Abeba.
MC
Dans une Déclaration publiée samedi, le porte-parole du Gouvernement, Sidi Touré, condamne des propos « d’une extrême gravité, appelant à la haine de l’étranger, (qui) sont de nature à mettre en péril, au-delà de la paix et de la cohésion sociale, l’unité nationale et la stabilité du pays » proférés par le président du PDCI-RDA, Henri Konan Bédié.
Selon Sidi Touré, recevant une délégation de son parti politique, en sa résidence de Daoukro, le mercredi 5 juin 2019, Aimé Henri Konan Bédié, ancien Chef de l’Etat et président du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), a tenu les propos suivants : « … on fait venir des étrangers armés qui sont stationnés maintenant dans beaucoup de villages… »; « … il faut simplement que nous soyons conscients, car le moment venu, nous agirons, pour empêcher ce hold-up sur la Côte d’Ivoire, sous le couvert de l’orpaillage … », « d’autres ont fait venir clandestinement … surtout dans la commune d’Abobo; les gens rentrent, on leur fait faire des papiers … », « … nous avons fait venir des étrangers dans nos plantations de café, de cacao; et ensuite, les gens se sont installés à leur propre compte, et aujourd’hui, ils agressent les planteurs ivoiriens et se disputent même la propriété des terres », « … il faut que nous réagissions pour que les Ivoiriens ne soient pas étrangers chez eux, car actuellement on fait en sorte que l’Ivoirien soit étranger chez lui. Mais les Ivoiriens n’accepteront jamais cela… ».
« Ces propos, d’une extrême gravité, appelant à la haine de l’étranger, sont de nature à mettre en péril, au-delà de la paix et de la cohésion sociale, l’unité nationale et la stabilité du pays », souligne le porte-parole du Gouvernement.
Il rappelle que cette déclaration intervient à un moment où plusieurs localités du pays sont secouées par des violences intercommunautaires qui se sont soldées par des morts, des blessés, des dégâts matériels importants, ainsi que par des déplacements de populations en détresse humanitaire.
« Le Gouvernement tient à rappeler que l’instrumentalisation de la haine de l’étranger par le Président Henri Konan Bédié et les dérives qui en ont résulté ont été à la base des différentes crises que notre pays a connues depuis le décès du Président Félix Houphouët-Boigny, en décembre 1993 », poursuit-il.
C’est pourquoi, le Gouvernement condamne cette sortie qui n’honore pas son auteur qui ne doit pas méconnaître les obligations liées à son statut.
« Le Gouvernement tient à rappeler à tous que le racisme, la xénophobie, le tribalisme et la discrimination raciale ou religieuse sont constitutifs d’infractions prévues et punies par la loi pénale », prévient la Déclaration.
AIP
RFI : Macky Sall a réagi au sujet de ce documentaire de la BBC. Il a rappelé que l’organisation, la gestion des ressources en pétrole et en gaz était transparente au Sénégal. Vous vous êtes dit atterré par cette déclaration.
Ousmane Sonko : La réaction du président Macky Sall a été catastrophique, puisqu’on a plus vu un frère qui défendait son petit frère, qu’un président de la République qui défendait les intérêts de 15 millions de Sénégalais. En 2017, moi-même j’avais publié un livre : « Pétrole et gaz du Sénégal : Chronique d’une spoliation ». Tout ce que la BBC a dit se trouve dans ce livre. Les seuls éléments nouveaux sont les précisions contenues dans les contrats par rapport aux montants qui ont été avancés. Mais j’avais bien établi le trafic d’influence, le délit d’initié, de concussion, de fraude fiscale. Et en ce qui concerne le président Macky Sall, je n’hésite pas à qualifier cela de haute trahison.
µAliou Sall est soupçonné de corruption. Dans ce documentaire de la BBC, on évoque une somme de 245 000 dollars. Est-ce qu’il aurait fallu qu’Aliou Sall démissionne de son poste de directeur de la Caisse des Dépôts ?
Si on devait qualifier tous les délits qui ont été commis par Aliou Sall, nous serions face à une liste extrêmement longue. Le président Macky Sall aurait dû relever Aliou Sall de toutes ses fonctions, y compris de sa fonction de maire. Il l’a fait avec Khalifa Sall pour des accusations mille fois moins importantes. Mais il aurait également, immédiatement dû prendre un décret pour le relever de ses fonctions à la tête de la Caisse des Dépôts et consignations.
Dans son documentaire, la BBC indique que, Frank Timis pourrait toucher 10 milliards de dollars de royalties sur les quarante prochaines années. BP a fait un communiqué pour évoquer des chiffres absurdes.
Vous savez, il y a d’abord le principe et il y a les chiffres. BP n’a pas nié l’existence des royalties. Et c’est ça, le problème. Après, on peut épiloguer sur les chiffres. C’est un milliard, c’est 600 milliards, c’est trois milliards, ce n’est pas le plus important. Et donc aujourd’hui, la première chose, c’est que BP n’a fait que confirmer, BBC - peut-être -, conteste les montants, mais n’a pas contesté la réalité de ce qui est reproché à BP. Frank Timis a eu – je ne dirais pas l’intelligence –, mais la roublardise d’introduire le frère du président dans l’affaire. C’est ce qu’il a fait au Liberia avec le fils d’Ellen Johnson Sirleaf. C’est ce qu’il a fait au Burkina Faso sur les mines de Tambao, avec le frère de Blaise Compaoré. Il vient, il choisit des gens qui ont la capacité d’infléchir les décisions, il les chouchoute, il les fait même voyager par son jet privé, et il obtient les signatures, alors qu’il ne remplit ni les conditions techniques ni les conditions financières. Et donc, aujourd’hui, c’est ça qui aggrave la responsabilité de Macky Sall par rapport à tout cela.
Vous êtes député. Est-ce qu’une commission doit être créée au niveau de l’Assemblée nationale pour chercher la transparence dans ce dossier ?
Souvent, comme on dit, si vous voulez enterrer problème, créer une commission d’enquête parlementaire. Ça ne sert absolument à rien. C’est un dossier judiciaire. Et aujourd’hui, la seule chose que le procureur doit faire - s’il est encore procureur -, il a été très, très actif quand il s’est agi de Khalifa Sall, il l’a été quand il s’est agi de Karim Wade. Ici, nous sommes dans des enjeux financiers beaucoup plus importants. Mais, indépendamment de cela, les recours que nous avions déposés au niveau international, nous continuons à les suivre, puisque ces recours sont en instruction. Nous avons reçu les accusés réception, aussi bien du département de la justice américain que de Londres. Moi-même j’ai été convoqué, ici, à l’ambassade des États-Unis, avec un procureur représentant du FBI. Nous avons posé énormément de questions. Vous savez, ces dossiers, tôt ou tard, vont trouver leur épilogue.
Vous estimez aujourd’hui que, seule la rue peut faire pression sur le pouvoir politique, en lançant ces appels à manifester ?
À chaque fois que le débat a été posé, ils ont utilisé des arguments fallacieux pour allumer des contre-feux. Ils disent que ce sont quelques opposants qui essaient de manipuler les gens. Ils disent que ce sont des intérêts internationaux occultes qui essaient de déstabiliser le Sénégal… Mais c’est de la poudre aux yeux ! La réalité les a rattrapés, aujourd’hui. Et moi, je dis que c’est au peuple, et particulièrement cette jeunesse… Souvent, je dis à la jeunesse que la solution n’est pas de prendre des pirogues. La solution, c’est de rester ici et de se battre avec ces affairistes d’État. Donc, faisons nos révolutions. Arrêtons de fuir face à ces réalités.
Vous n’avez pas peur de provoquer une forme d’insurrection ?
Nous appelons à une mobilisation exceptionnelle et pacifique. Je n’ai appelé personne à aller casser quoi que ce soit. Je dis qu’aujourd’hui, si nous avions un million de Sénégalais qui sortent et qui occupent la place de l’Obélisque, je crois que ce serait un message fort pour que, ces gens-là, qui ont l’habitude de ces abus, de 1960 à maintenant, comprennent que ce peuple a décidé de prendre son destin en main.
Source RFI
Le premier Ministre Ethiopien Abiy Ahmed est arrivé ce vendredi 07 juin à Khartoum. Il y représente l’organisation sous régionale Est Africaine, l’IGAD (Autorité Intergouvernementale pour le Développement) qui appui l’Union Africaine dans sa résolution à la crise soudanaise.
L’UA décidé de sanctionner et de suspendre le Soudan le 06 juin dernier suite à la répression sanglante du Sit- in devant le quartier général de l’armée. Une fois de plus, l’UA demande à l’armée de remettre officiellement le pouvoir à une autorité de transition dirigée par des civiles. Elle lance aussi le début d’un mécanisme d’enquête pour tenter d’établir les responsabilités exactes dans la répression des manifestations.
Le Comité des médecins proche des manifestants, évoque au moins 108 morts comme bilan. Et qui dit n’avoir pas donné 60 jours. Mais jusqu’à 60 jours aux militaires pour rendre le pouvoir.
Il faut rappeler que l’ambassadeur Sierra léonais à l’UA disait que le Conseil de Sécurité pouvait intervenir si besoin. Et c’est le cas. Notamment avec la violente répression de l’évacuation du Sit- in de Khartoum lundi 03 juin et la répression qui a suivie.
Violence condamnée fermement par l’organisation continentale. Elle mandate sa Commission des Droits Humains et des Peuples et le président de la Commission, Moussa Fakhir pour faire des propositions concrètes dans l’optique d’enquêter sur les responsabilités.
Le Conseil de Paix et de Sécurité réitère pour la 4e fois depuis le 15 avril, la nécessité de remettre le pouvoir à une autorité sous conduite civile. Les militaires doivent le faire sans plus de délai. Faute de quoi, ils s’exposent à des sanctions selon les textes de l’UA. Cela pourrait être des interdictions de visa ou des mesures commerciales.
En attendant, le Soudan est suspendu de toutes les activités de l’UA. L’organisation qui va travailler concomitamment avec l’IGAD pour ramener tout le monde à la table de négociation.
En pompier diplomatique dans la région après avoir signé la paix avec l’Erythrée, son action a été saluée dans le monde entier. Il a ensuite tenté d’apaiser les tensions au Soudan du Sud entre l’Erythrée et Djibouti ou encore entre le Kenya et la Somalie
On verra si l’influence du Premier ministre sera suffisante. Alors que les soutiens les plus puissants du régime soudanais sont l'Arabie Saoudite, l'Egypte et les Emirats Arabes Unis.
Ces derniers n’ont pas lâché Khartoum. Ryad et Abu Dhabi ont pour l’instant, produit un communiqué très timide le jeudi 6 juin dans lequel les saoudiens disent suivre avec une grande inquiétude les développements qui ont entrainé les morts et les blessés. Les émirats ont souhaité que la sagesse, la voie de la raison et un dialogue constructif l’emporte. Les pays ont appelé à la reprise du dialogue. Proposition que rejette catégoriquement la coalition civile.
Mohamed compaoré
Le président de la Confédération africaine de football (CAF) interpellé jeudi par l'Office anti-corruption de la police judiciaire est ressorti libre de sa garde à vue, a annoncé vendredi le procureur de Marseille.
La Confédération africaine de football (CAF) peut souffler. La garde à vue de son président Ahmad Ahmad a été levée, vendredi 7 juin, sans qu'aucune charge ne soit retenue contre lui. De quoi apaiser les tensions alors que se profile la CAN 2019 en Egypte du 21 Juin au 19 Juillet .
Ahmad Ahmad avait été interpellé jeudi 6 juin à Paris dans le cadre d'une information judiciaire ouverte par la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Marseille le 28 mai, notamment pour association de malfaiteurs, corruption, abus de confiance ainsi que faux et usage de faux, a précisé le procureur Xavier Tarabeux.
Ahmad Ahmad se trouvait dans la capitale où il était venu pour le Congrès électif de la Fifa mercredi, juste avant le coup d'envoi du Mondial féminin vendredi au Parc des Princes à Paris.
L'enquête porte sur la rupture par la CAF, peu après sa signature en décembre 2017, d'un contrat avec Puma pour la fourniture d'équipements destinés notamment à habiller les 580 volontaires du Championnat d'Afrique des nations 2018, épreuve réservée aux joueurs africains évoluant sur le continent.
La CAF aurait rompu ce contrat au profit d'une autre société basée en France fournissant elle du matériel Adidas, et ce pour un montant supérieur au contrat initial, selon des documents consultés par l'AFP. Cette petite entreprise a son siège à La Seyne-sur-Mer, dans le Var, ce qui explique la saisie de la juridiction marseillaise, a précisé une source proche du dossier.
Dans cette affaire révélée jeudi, Puma, après cette rupture présumée du contrat de façon unilatérale, "a demandé une compensation de 100 000 dollars, mais la CAF n'a pas payé la somme", a exposé à l'AFP Amr Fahmy, l'ex-secrétaire général de la CAF.
Jeudi, la Fifa s'était contentée d'indiquer que le numéro un du foot africain était "interrogé par les autorités françaises" et avait indiqué prendre "note des événements présumés". La Fédération demandait "aux autorités françaises toute information" qui pourrait intéresser sa "commission d'éthique", la justice interne du football mondial.
Selon des sources concordantes, Ahmad Ahmad est également l'objet d'une enquête de cette commission d'éthique, ouverte notamment suite à une plainte pour "mauvaise gestion" transmise en mars à la justice interne de la Fifa par Amr Fahmy. Ce dernier avait été licencié en avril par la CAF.
Source France24
Jumia CI a offert des cadeaux à des mères de la commune d’Adjamé, à l’occasion d’une cérémonie de célébration de la fête des mères dans les locaux de la mairie. De nombreux lots dont des blenders et une TV LED 32 pouces ont été remis à des heureuses mamans des mains du maire Soumahoro Farikou.
Cette action avait pour but de souhaiter une bonne fête des mères aux mamans de la commune d’Adjamé, selon les responsables de Jumia CI.
Pour Ange Pété, directeur commercial de Jumia CI, la structure ne voulait pas rester en marge de la célébration des mamans du monde, et particulièrement celles de la Côte d’Ivoire. « Nous ferons tout pour être toujours proches de nos clients », a-t-il ajouté.
De son côté, le maire Soumahoro Farikou a remercié la société pour cette action d’une portée sociale inoubliable. « Je tiens à dire un grand merci à Jumia pour cette action et d’avoir rendu ce jour inoubliable pour nos mamans de la commune d’Adjamé », s’est-il réjoui.
Rappelons que la célébration de la fête des mères a lieu tous les 26 mai de chaque année, et cette année les mères ont été encore honorées en Côte d'Ivoire, et à travers le monde.
Daniel Coulibaly
La finale retour de la Ligue des champions de la Confédération Africaine de Football (CAF) 2018/19, disputée entre l’Espérance de Tunis et le Wydad Athlétic Casablanca (WAC), qui avait été interrompue le vendredi 31 Mai dernier pour cause de défaillance du Vidéo-Arbitrage (VAR), va être rejoué. En a décidé la CAF ce mercredi. Et sur un terrain neutre, après la CAN, qui aura lieu en Egypte du 21 juin au 19 juillet.
Après s’être séparés sur un match nul au Maroc, à l’occasion de la finale aller (1-1), les deux formations se sont retrouvées à Radès pour le match retour.
Mené 1-0, le WAC s’était vu refuser un but pour une position de hors-jeu inexistante. Les marocains avaient quitté le terrain et refusé de reprendre la partie.
L’arbitre de la rencontre n’avait pas fait appel à l’arbitrage vidéo. Précisant qu’il ne fonctionnait pas.
Les joueurs du Wydad avaient refusé de reprendre la partie et la rencontre avait alors été interrompue, jusqu’à ce que les officiels ne décident de mettre un terme définitif au match. Et de titrer le club tunisien.
90% des membres du comité exécutif de la CAF ont opté pour que le match soit rejoué sur un terrain neutre.
L’Espérance de Tunis va saisir le Tribunal Arbitral du Sport (TAS) pour contester cette décision de la CAF.
MC