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Le Représentant Spécial du Secrétaire général et Chef du Bureau des Nations Unies pour l'Afrique de l'Ouest et le Sahel (UNOWAS), Mohamed Ibn Chambas, a présidé, le 21 octobre 2019 à Dakar, la 9ème réunion du Comité de Pilotage de la Stratégie Intégrée des Nations Unies pour le Sahel (SINUS).
L'objectif de la 9ème réunion était de passer en revue les initiatives et les réalisations en cours de l'ONU dans la région, et de voir comment la mise en œuvre du SINUS pourrait être renforcée pour faire face à la complexité croissante de la situation au Sahel.
Réaffirmant l'importance de l'engagement des Nations Unies à soutenir le Sahel, Mohamed Ibn Chambas a déclaré dans son discours d'ouverture que « le Sahel reste une priorité pour notre Institution. Le succès de notre intervention au Sahel repose sur les partenariats que nous construisons et la manière dont nous coordonnons nos efforts, tant à l'interne qu'à l'externe ».
UNOWAS, les Chefs et les Représentants des agences régionales des Nations Unies et les Coordonnateurs Résidents des Nations Unies de la région ont passé en revue les tendances actuelles dans la région et les progrès réalisés à travers les interventions de l'ONU. Un certain nombre d'initiatives inter-agences transfrontalières dans le bassin du Liptako-Gourma et du lac Tchad ont été présentées.
Les agences ont relevé les défis permanents auxquels est confrontée l’action humanitaire, en particulier les contraintes liées à l'accès humanitaire et à la protection. Les participants ont souligné la nécessité de veiller à ce que les ressources soient mobilisées en temps opportun pour aider les gouvernements des pays du Sahel à relever, de manière efficace, les défis de gouvernance, de résilience, de développement et de sécurité dans la région du Sahel.
M.J
Le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a assuré que la Turquie, avec son opération Source de Paix, a déjoué de nombreux plans à la fois, notamment celui qui prévoyait la création d'un Etat terroriste avec le PKK dans le Nord de la Syrie.
Cavusoglu a commenté l'actualité, dimanche, dans l'émission "les coulisses de la capitale" diffusée sur la chaîne turque Kanal 7.
Il est revenu sur l'opération Source de Paix lancée par les Forces armées turques contre les terroristes à l'Est de l'Euphrate en Syrie et avec pour objectif de créer une zone de sécurité afin de permettre le retour des réfugiés syriens dans leur pays, ainsi que l'accord signé avec les Etats-Unis, le 17 octobre, qui laisse 120 heures, soit 5 jours, aux terroristes du PKK/YPG pour se retirer d'un territoire de 32 kilomètres de profondeur et long jusqu'à la frontière irakienne.
"Nous avons déjoué un plan important (avec l'opération Source de Paix). Tout ce tintamarre, c'est pour cette raison. Ils voulaient, ici, créer un Etat du PKK" a affirmé le chef de la diplomatie turque.
Le ministre turc a rappelé que les forces turques sont toujours sur le terrain en Syrie et qu'elles observent de près le retrait des terroristes du PKK/YPG, et qu'il ne sera nullement question de faire trainer les choses ou de tenter de tromper la Turquie.
"Ce que nous voulons, c'est qu'il ne reste plus un seul terroriste dans cette bande de 32 kilomètres mais également que tous les abris et fortifications soient détruits, dans le cas contraire, nous nous en chargerons en relançant l'opération", a-t-il martelé.
Cavusoglu a insisté sur le fait qu'il attend des pays européens en particulier, qui disent comprendre les préoccupations sécuritaires de la Turquie, une acceptation de la légitimité de cette opération.
"Avec cette opération, nous n'avons pas fait d'une pierre deux mais dix coups. Pas seulement pour nous. Pour la Syrie, pour la sécurité et la stabilité de la région, ce fut une opération très stratégique avec un très bon teaming", a-t-il dit.
Le chef de la diplomatie turque a notamment rappelé le rapprochement entre les forces du régime d'al-Assad et l'organisation terroriste PKK/YPG et insisté sur le fait que la coopération entre la Russie et la Turquie est très bonne en Syrie, et qu'une solution sera probablement trouvée avec la Russie pour le retrait des terroristes dans les régions et villes situées à l'intérieur de la zone de sécurité en projet.
Source : Anadolu Agency
Dimanche dernier, les Tunisiens ont choisi Kaïs Saïed pour présider le pays. Sans parti politique, sa victoire a pu surprendre. Dans cette chronique, je porte un regard sur cette élection et ses perspectives en Afrique.
Dans une Tunisie en quête de printemps économique après le printemps politique, on aurait pensé que les tunisiens choisiraient l’homme d’affaires, celui qui sait mobiliser les ressources, celui qui a eu une belle carrière dans les plus grandes multinationales.
On aurait cru que la Tunisie voterait le magnat des médias, l’homme de réseaux, celui qui est capable de faire de nombreux dons aux nécessiteux.
Dans une Tunisie où la moyenne d’âge est d’environ 32 ans, on s’imaginait qu’elle élirait le candidat le plus « fun » paré de beaux costumes dressés avec sa belle paire de lunettes fines en percé.
Que non! Les tunisiens ont préféré un homme à l’apparence vieille, cheveux grisonnants, allure austère et voix d’automate.
Un universitaire qui depuis plus de 20 ans n’a pas encore « eu le temps » d’achever sa thèse de droit constitutionnel.
Kaïs Saïed est élu à 72,71%.
L’homme est particulier.
Après la révolution en 2011, il refuse tous les postes qu’on lui propose. Il ne s’engage avec aucun parti politique.
Il préfère parcourir plutôt les clubs, les associations dans les quartiers et sillonner le pays pour prononcer des conférences pour former et partager sa vision d’une nation fondée sur le droit avec des institutions fortes pour construire la paix et le progrès social.
Les autres ne l’ont pas vu venir parce qu’il faisait tout sauf ce que les autres faisaient ; c’est à dire, distribuer des billets de banque et des vivres, dresser des foules dans des meetings chauffés et souvent creux de contenus.
Kaïs Saïed parcourait les coins et allait à la rencontre des « vrais patrons » du pouvoir, le peuple. Il ne fit aucunes promesses. Aucun programme de gouvernement pour flatter avec des chiffres et données souvent loin des réalités mais il a un projet politique. Il a des idées claires de la société dont rêve ses interlocuteurs depuis plus de 8 ans notamment les jeunes, moteur de la révolution de 2011.
Les résultats des élections sont sans appel.
Selon l’institut « Sigma conseils », 90% des électeurs de 18 à 25 ans ont voté pour Kaïs Saïed. Plus de 80% des 26-44 ans et environ 70% des 45-59 ans l’ont choisi.
C’est seulement les plus de 60 ans qui ont voté pour son adversaire.
Encore que plus de 80% de ses électeurs ont un niveau scolaire d’au moins le secondaire sinon qu’ils sont en grande partie des universitaires.
Le message est clair pour les Tunisiens. Sans prédictions ni prophéties, je pense que d’autres pays du Maghreb n’échapperont pas à cette seconde « révolution tunisienne ».
L’Afrique subsaharienne non plus.
Pour ce qui est de la Côte d’Ivoire, je peux parier que de 2020 à 2024, nous continuerons avec la « vieille garde » et les mêmes pratiques mais à partir de 2025/2030, des signaux d’appel au changement apparaîtront.
Pourquoi ?
1- Dans cette période, nous serions en plein dans la phase de remboursement de la dette contractée maintenant. Saurions-nous trouver des approches innovantes pour y faire face sans grincements de dents des populations?
2- Les 3 grands leaders actuels (Ouattara, Gbagbo et Bédié) détiennent tous une « légitimité historique » qui les incrustent dans les marbres de nos consciences. À partir de 2025/2030, ils seront tous épuisés tant physiquement qu’intellectuellement. Leurs héritiers n’auront pas leur aura et le poids qu’ils ont sur le peuple actuellement notamment sur leurs militants.
3- Le taux d’alphabétisés/instruits augmentera et les citadins seront encore plus nombreux avec un accès à internet encore plus dense.
4- Plusieurs jeunes ivoiriens de la génération des années 80 et 2000 partis à l’étranger pour les
études commenceront à revenir au bercail. Ceux restés sur place auront eu le temps de se
construire une carrière professionnelle et acquis de la maturité politique.
5- Les populations qui ont aujourd’hui 12-44 ans auront entre 18 et 50 ans et ils représentent 13.834.612 (environ 14 millions) donc plus de 50% de la population ivoirienne. (RGPH 2014)
Les adolescents de 12 et 17 ans d’aujourd’hui sont nés après les années 2000. Et récemment, faisais un petit sondage avec quelques-uns; j’ai noté que ces jeunes ne connaissent pratiquement pas le Président Ouattara, ni Bédié ni Gbagbo. Un peu moins le premier ministre Gon, Affi et Banny. Ils entendent parler d’eux mais n’ont aucune expérience ni contact avec eux.
Ils ne savent pas assez de la rébellion de 2002 et ses acteurs.
À partir de 2025/2030, les cartes seront donc rebattues. C’est donc maintenant qu’il faut préparer la Côte d’Ivoire dont nous rêvons.
Il faut des actions spécifiques d’éducation civique et politique pour les jeunes de: 12-20 ans (ceux qui j’appelle «génération Arafat ») 21-30 ans (généralement dans les associations scolaires, universitaires et sociales) 31-44 ans ( dans les clubs services, les ONGs, associations politiques, les cercles de réflexion...).
L’inaction n’est plus une option.
Tous engagés pour une #CôteDIvoireForte2025
Les Chroniques de Magloire
A l’invitation du Premier Ministre du Japon, S.E.M. Shinzo ABE, le Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA, séjourne à Tokyo où il prendra part, le mardi 22 octobre 2019, à la cérémonie d’intronisation du Prince héritier Naruhito, nouvel Empereur du Japon.
Le Chef de l’Etat s’est réjoui de cette invitation qui traduit l’excellence des relations et la grande amitié qui lient la Côte d’Ivoire et le Japon. A cet égard, il a rappelé ses relations anciennes avec l’Empereur sortant Akihito et a réitéré sa détermination à œuvrer au renforcement de la coopération entre les deux pays.
Enfin, le Président de la République a indiqué que sa visite au Japon constitue une belle opportunité pour former des vœux de succès et de longévité au nouvel Empereur Naruhito.
Notons que le Chef de l’Etat aura un entretien, le lundi 21 octobre 2019, avec le Premier Ministre du Japon, S.E.M. Shinzo ABE, à la maison des Hôtes d’Etat. Il échangera également avec l’Association Parlementaire d’Amitié Japon-Union Africaine.
Source: Présidence
A l’occasion de la journée de reconnaissance de la région de la Marahoué au Président Alassane Ouattara, le 19 octobre 2019 à Sinfra, le ministre en charge de l’Enseignement supérieur, Albert Toikeusse Mabri, représentant le Chef de l’Etat ivoirien, a indiqué que le projet de construction d’une infrastructure de production d’eau potable à partir du fleuve Bandama à Zambakro, va améliorer les conditions de vie des populations dans les départements de Sinfra et de Gagnoa.
« L’eau partira du fleuve Bandama à Zambakro, pour Gagnoa, en passant par Sinfra. Tous les villages sur cet axe auront de l’eau potable à profusion », a dit Albert Toikeusse Mabri, représentant le Président de la République.
La mise en œuvre du projet d’alimentation en eau potable des villes de Sinfra et de Gagnoa depuis le fleuve Bandama à Zambakro permettra à 367 000 personnes vivant le long de l’axe routier Zambakro-Sinfra-Gagnoa de bénéficier de l’eau potable, d’ici à 2022.
Albert Toikeusse Mabri a également annoncé la construction très prochaine d’un château d’eau d’une grande capacité à Sinfra pour renforcer davantage le système d’alimentation en eau potable de la zone de façon pérenne.
Ce sont au total 9 systèmes de distribution qui seront aménagés pour renforcer les infrastructures existantes, afin de desservir les quartiers et localités non couvertes par les réseaux de distribution.
En plus de la disponibilité et de l’amélioration du taux d’accès à l’eau potable en milieu urbain et rural, les deux projets permettront de couvrir les besoins des populations jusqu’en 2030.
Source : Primature
Le ministère turc de la Défense a indiqué que depuis la signature, avec les Etats-Unis, le 17 octobre, d'un accord concernant la zone sécurisée dans le Nord-est de la Syrie, les terroristes du PKK/YPG ont commis une vingtaine d'actions de harcèlements ou de transgressions.
C'est ce qui ressort d'un communiqué partagé, dimanche, par le ministère turc.
Ainsi, il a été précisé qu'une patrouille de surveillance de l'armée turque aux abords de la ville de Tell-Abyad, dans l'est de l'Euphrate, a été la cible d'une attaque armée des terroristes du PKK/YPG. Un soldat turc est tombé en martyr et un second a été blessé dans cette attaque.
Une riposte appropriée, dans le cadre de la légitime défense, a été apporté par l'armée turque en réaction à cette attaque.
"Malgré l'accord du 17 octobre signé avec les Etats-Unis, concernant la zone sécurisée, les terroristes du PKK/YPG ont commis une vingtaine d'actions de harcèlements ou de transgressions. Malgré ces actions contraires à l'accord, un convoi de 39 ambulances est parvenu à Ra’s al-‘Ayn afin d'en évacuer, en toute sécurité, des blessés et certaines personnes" a précisé le ministère turc de la Défense.
Source : Anadolu Agency
Dr Aka Aouélé Eugène, ministre de la Santé et de l’Hygiène publique et son cabinet étaient face à la presse pour véhiculer un message d’une importance capitale. La fermeture prochaine du CHU de Yopougon pour rénovation complète et comment la relocalisation des services se fera.
D’entrée, le ministre a tenu à présenter ses excuses aux populations bénéficiaires du système de santé pour les éventuels dysfonctionnements que cette fermeture va occasionner. Avant de préciser que c’est au nom de l’équité dans l’offre de soins en tous les points du pays et surtout en raison des exigences que recouvrent le système de Couverture Maladie Universelle (CMU) que l’Etat a initié depuis 2018 le programme hospitalier. Programme qui se décline en une vaste opération de restauration du dispositif hospitalier et de rééquilibrage de la carte sanitaire nationale des services à offrir aux populations que de la qualité des prestations.
Une vingtaine d’hôpitaux modernes ont déjà été construits sur l’ensemble du territoire national à ce titre-là. Ce programme de construction d’hôpitaux est couplé à un programme de réhabilitation d’hôpitaux existants. Une vingtaine d’hôpitaux ont ainsi été rénovés. Le cas du Chu de Yopougon dont la réhabilitation était en discussion depuis 2013, sera effectif dans quelques semaines.
Pendant 3 ans, nous apprend le conférencier, le Chu sera intégralement rénové. Pour un coût dont la première phase s’élève à 50 milliards de francs. En terme, de chiffres, le Chu de Yopougon, c’est 450 lits, 22 services et 1500 employés. Concernant l’application du plan de continuité de services, un comité de pilotage et de suivi a été mis sur pied, il sera dirigé par Dr. Soro du Chu de Yopougon.
En attendant que ce comité se mette au travail, la tutelle procède aux derniers réglages. Achèvement d’ici fin octobre des travaux restants sur certains sites à Abidjan. Règlement des soucis pour rendre le CHU de Cocody , Chu d’Angré, de l’hôpital Général D’Abobo Nord opérationnels. L’apport d’équipements biomédicaux d’appoint au niveau des hôpitaux généraux proches d’Abidjan pour gérer les urgences obstétricales.
L’accroissement de la capacité d’accueil dans les sites potentiels d’accueil par le transfert des mobiliers médicaux des structures à fermer vers ces hôpitaux et par le renforcement en personnels.
La fermeture progressive des services du Chu de Yopougon dès le 21 octobre 2019, en commençant par les services les moins sensibles. Le redéploiement des personnels du Chu de Yopougon sur l’ensemble des autres établissements sanitaires d’Abidjan et environs.
On retiendra que la fermeture du Chu de Yopougon se fera au plus tard le 1er novembre prochain.
Et que les CHU de Cocody et de Treichville sont les principaux sites d’accueil des services. Le laboratoire sera délocalisé à l’institut Pasteur de Côte d’Ivoire à Adiopodoumé. HMA et d’autres centres de santé de ville seront sollicités pour certains services.
La néphrologie pédiatrique se fera désormais à l’INSP d’Adjamé et la néonatalogie au centre de santé de Béago de Yopougon.
Mohamed Compaoré
Le sport automobile est en deuil. Le pilote de Rallye, Soumaoro Moriferé est décédé ce dimanche 20 octobre des suites d’un malaise.
Le plus titré des pilotes ivoiriens s’est effondré cet après-midi aux côtés de sa fille qui lui servait de co-pilote, pour son baptême de pilote lors de la course ‘’Top Chrono’’ à Cocody Djorobité.
Né le 30 août 1966 à Abidjan, Soumaoro Moriféré, Il est le premier pilote à avoir gagné quatre fois le Rallye de Bandama 2009, 2011, 2012 et 2017.
M.J
Jumia Côte d’Ivoire veut marquer sa présence en terre ivoirienne. Pour ce faire, la direction générale de la société a mis en place un réseau de déploiement des agences dans le District d’Abidjan et à l’intérieur du pays. A ce jour, ce sont plus de 60 agences jumia, 50 points relais Jforces et plus de 10.000 jeunes entrepreneurs coachés.
Lancé en Côte d’Ivoire depuis 2013, mais officiellement en 2012 sur le continent au Nigéria, le géant du e-commerce panafricain continue de consolider sa position en terre ivoirienne. En 6 ans, l'enseigne panafricain affiche une représentativité importante sur toute l’étendue du territoire ivoirien à travers ses agences et points relais JForces.
Abidjan, la capitale économique ivoirienne, se taille la part du lion avec au moins 28 agences : Abobo Akeikoi, Abobo N'Dotre Station, Adjame Attecoube, Adjame Habitat, Bingerville Station, Cocody Angré Château, Riviera Palmeraie, Riviera Faya, Cocody Riviera II, Cocody Riviera III, Riviera M'pouto, Cocody Latrille, Marcory Playce, Marcory Potopoto, Marocry Résidentiel, Treichville, Koumassi, Plateau Mosquée, Rue du Commerce, Marcory carrefour SOLIBRA, Yopougon Anador, Yopougon Bel Air, Yopougon Niangon, Yopougon Sicogi, Yopougon Port-Bouet 2, Abobo Adjamé, Port-bouët, Angre 8ieme Tranche Station.
A cela s’ajoutent les localités de proximité telle que Grand-Bassam, Ayama et Songon
A l’intérieur du pays grâce à un très grand réseau de déploiement le logo Jumia flotte dans plus d’une vingtaine de villes ivoiriennes, à savoir Abengourou, Aboisso, Adzopé, Agboville, Agnibilékrou, Akoupé, Biankouman, Bondoukou, Bongouanou, Bonoua, Bouaké, Bouaflé, Bouna, Boundiali, Dabou, Daloa, Daoukro, Dimbokro, Divo, Duékoué, Ferkéssédougou, Gagnoa, Guiberoua, Guiglo, Issia, Katiola, Korhogo, Lakota, M'bahiakro, Man, Meagui, Niakaramandougou, N'Douci, N'Djem, Odienné, San-Pedro, Séguéla, Sinfra, Soubré, Tafiré, Tanda, Tengrela, Tiassalé, Tiébissou, Touba, Ouangolodougou, Toumodi et Yamoussoukro.
Jumia, c’est aussi plus de 50 points relais «Jforceurs » sur toute l’étendue du territoire ivoirien. Ces «Jforceurs » aussi appelés ambassadeurs de Jumia sont en réalité de jeunes entrepreneurs qui font leurs premiers pas dans l’entrepreneuriat.
C’est est un programme destiné à toutes les personnes qui souhaitent être agent autonome en s’appuyant sur le réseau Jumia. Lequel vise à renforcer l’adoption de l’e-commerce sur tout le territoire et ainsi permettre l'émergence de futurs entrepreneurs avec le plein soutien de la société de vente en ligne.
Aujourd’hui, plus de 10.000 jeunes entrepreneurs apprennent à vendre, à gérer des équipes et à contrôler leurs revenus.
“La Jforce favorise aujourd’hui une réelle proximité avec nos clients des zones rurales et facilite l’adoption du e-commerce », soutient Francis Dufay, directeur général de Jumia CI.
Selon lui, l’objectif principal de toutes ces actions, c’est d’être plus proche des populations et surtout éviter aux clients de parcourir les longues distances avant de récupérer leurs colis.
Daniel Coulibaly