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Le lycée Gouverneur Abdoulaye Fadiga (LGAF) de Touba, dont le cadre physique était en total décrépitude, connaît une véritable cure de jouvence. Et ce, grâce aux grands travaux entrepris et qui se poursuivent par l’actuel bureau du Coges, dirigé par le missionnaire Vakéssé Diomandé.
Ce sont plus de 14 millions de Fcfa, qui sont injectés dans l’acquisition de : 160 nouvelles tables-bancs, 40 bancs pour l’équipement des salles spécialisées (laboratoires), 200 contreplaqués pour plafond, 44 feuilles de tôles, 280 ampoules Led et 4 projecteurs de 100 watts chacun pour l’éclairage de la cour de l’établissement. En sus, les toilettes, la salle des professeurs (équipée en split et en armoires), les aires de jeux, les salles de classes, ont été tous rénovés pour la plupart.
Dans le cadre d’une visite de terrain effectuée le mercredi 13 novembre 2019, Benoît Yao Kouakou, préfet de la région du Bafing, préfet du département de Touba, accompagné du Directeur régional de l’Education Nationale, s’est rendu sur place dans l’optique de s’imprégner de plus près, des travaux réalisés avec les fonds collectés auprès des parents d’élèves.
Au terme de la visite guidée, le premier responsable administratif de la région du fleuve noir, a exprimé des mots d’encouragements et de félicitations à Vakéssé Diomandé et à son équipe pour les œuvres réalisées.
Il les exhortés à maintenir le cap en matière de transparence dans la gestion des ressources mises à leur disposition. « L’Etat ne peut pas tout faire car l’Etat providentiel, n’existe plus. Félicitations à vous pour cet excellent travail », a-t-il encouragé.
Profitant de l’occasion, le président Diomandé, a annoncé la tenue au sein du lycée GAF, le mercredi 20 novembre 2019 de l’Assemblée générale bilan du premier trimestre au titre de l’année scolaire 2019-2020.
Ce jour, selon lui, le point détaillé avec pièces comptables à l’appui, des dépenses effectuées, sera fait aux bailleurs c’est-à-dire les parents contributeurs.
Toutefois, il a souhaité l’implication de tous pour que leurs mandants, répondent massivement à l’appel du bureau. Au demeurant, il a précisé que 3000 convocations, ont été émises à cet effet.
Hamza De Bamba (Correspondant Local)
Karim Bambadjikrou, président régional de la chambre d’agriculture (Cnaci) du Bafing, a séjourné du 30 septembre au 10 octobre sur les bords de la Seine. Il y était au sein de la délégation ivoirienne, prenant part au sommet de l’agriculture de l’élevage de la France.
Revenu de cette mission qualifiée par lui, de « très instructive », il a présidé le samedi 26 octobre au siège de l’institution à Touba, une rencontre bilan au cours de laquelle, a été dévoilé le contenu ce rendez-vous international, « le plus grand d’Europe », dédié à l’agriculture et à l’activité pastorale.
« L’objectif de cette mission initiée par l’Etat de Côte d’Ivoire, visait à aller apprendre de nos homologues français afin de perfectionner les pratiques agricoles et de moderniser nos systèmes d’élevage », a indiqué d’entrée, Karim Bambadjikrou.
Visiblement très émerveillé par son expérience française, il en a donné les grandes articulations. Notamment les visites de la boutique paysanne (tenue par les producteurs eux-mêmes contrairement à celle de la Côte-d’Ivoire), de laiteries produisant les produits dérivés du lait de vache, la boucherie moderne spécialisée dans l’abattage et la fabrication des produits carnés.
Les visites, à l’en croire, se sont poursuivies sur des exploitations agricoles et fermes pastorales. Contrairement aux clichés et autres préjugés, le président régional de la Cnaci-Bafing, a fait noter qu’ici comme en occident, l’activité agricole est assujettie aux mêmes contraintes surtout, les caprices de la météo et les difficultés d’obtention de financements auprès des maisons de crédit. Toutefois, il s’est dit totalement marqué par l’organisation, le sérieux, le professionnalisme des paysans français. Qui, de son avis, ont atteint un l’autonomie totale grâce à leur modèle économique au point qu’ils n’attendent à priori, rien de leur gouvernement.
C’est pour quoi, il a fait savoir que les connaissances acquises à la faveur de ce voyage, seront implémentées sous peu dans le Bafing de sorte à se rapprocher des standards requis pour le bonheur des paysans et pasteurs de la région.
Il n’a pas manqué de leur avouer que leur réussite, dépend de leur détermination à vouloir sortir de l’informel ou de s’affranchir. Car dira-t-il, « l’heure de l’autonomie vraie du monde rural a sonné ». Pour clore, il annoncé que dans les mois à venir, une mission française viendra en Côte d’Ivoire dans le cadre d’une coopération à l’effet d’accompagner les producteurs ivoiriens.
Hamza De Bamba (Correspondant Local)
La coordination nationale de « Nouvelle Génération » conduit par son président, Traoré Kalimou, par ailleurs 3e Adjoint au Maire de la commune de Mankono a été reçu en audience mardi 12 Novembre par le Ministère auprès du président de la république chargé des affaires politiques.
Reçu par Karamoko Mamadou, Directeur de la Communication de cette institution, le président a donné l’objet de cette rencontre. Pour lui, il s’agit de présenter le mouvement qu’il dirige. Et de souligner que : « NG est un mouvement politique appartenant à un parti politique qui est le Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP), existe pour le président Alassane Ouattara, et existe pour un gouvernement, celui du premier Ministre Amadou Gon Coulibaly ».
NG vient solliciter des conseils sages et orientation du ministre pour mener à bien ses activités et l’objectif qu’elle s’est assigné.
Dans sa communication, Mr Traoré a tenu préciser que certes son mouvement appartient à un parti politique, mais existe pour tous les ivoiriens, car il milite pour le bienêtre de tous les ivoiriens sans distinction aucune. Et d’ajouter qu’il vient en appui aux actions du gouvernement, à travers des actions sociales et la formation des militants.
Suite à son intervention, Karamoko Mamadou, Directeur de la Communication de cette institution a rassuré ses hôtes du jour de transmettre fidèlement leur message au Ministre Cissé Bacongo.
Profitant de l’occasion, Il a annoncé une action sociale prévue le 15 Novembre à Grand-Bassam pour soutenir les sinistrés de la grande inondation survenue dans cette localité.
M.J
La Banque Européenne d’Investissement (BEI) soutient l’élargissement de l’Agence pour l’assurance du commerce en Afrique. La disponibilité d’une assurance-investissement contribuera à renforcer l’investissement et réduire les coûts de financement des projets, Signature d’accords de financement prévus à l’occasion de l’Africa Investment Forum.
La Banque européenne d’investissement a officiellement accepté de soutenir l’élargissement de l’Agence pour l’Assurance du Commerce en Afrique (ACA) par le biais d’un mécanisme de financement concessionnel destiné à couvrir les prises de participation de trois membres potentiels, le Cameroun, le Niger et le Togo. C’est la première fois que la Banque européenne d’investissement soutient l’élargissement de l’ACA.
La mobilisation d’une assurance-investissement supplémentaire devrait contribuer à la mutation des investissements publics et privés dans ces pays. L’assurance-investissement couvre l’ensemble des risques politiques et de crédit, tant pour les opérations souveraines que pour les investissements d’entreprises.
L’accord avec l’ACA visant à permettre à la Banque européenne d’investissement de financer l’adhésion de pays a été signé mercredi 13 Novembre à l’occasion de l’Africa Investment Forum à Johannesburg par Ambroise Fayolle, vice-président de la BEI, et John Lentaigne, président-directeur général par intérim de l’Agence pour l’assurance du commerce en Afrique.
« La signature de ce jour marque une étape importante dans le soutien qu’apporte la Banque européenne d’investissement au secteur privé et au développement d’infrastructures durables en Afrique. Les accords conclus aujourd’hui à Johannesburg permettront à des pays d’Afrique de l’Ouest de bénéficier pleinement de l’adhésion à l’ACA et d’un accroissement des investissements dans des secteurs tels que l’agriculture, l’énergie, la production manufacturière et la santé. La BEI, en tant que banque de l’UE, s’est engagée à contribuer à l’accélération du développement durable sur l’ensemble du continent africain. Cette nouvelle coopération renforcera l’impact de l’assurance-investissement, essentielle au développement durable en Afrique de l’Ouest », a déclaré Ambroise Fayolle, vice-président de la Banque européenne d’investissement.
« En tant qu’institution africaine, l’ACA a pour objectif stratégique de réduire les risques dans ses pays membres afin d’attirer les investissements et de promouvoir la croissance. L’engagement de la Banque européenne d’investissement en faveur de l’élargissement de l’ACA en Afrique de l’Ouest contribuera à faire en sorte que les économies des pays candidats réalisent leur plein potentiel et bénéficient aussi du succès lié à l’adhésion à l’Agence que l’on observe dans tant d’autres pays africains », a déclaré John Lentaigne, président-directeur général par intérim de l’Agence pour l’assurance du commerce en Afrique.
La Banque européenne d’investissement, l’institution de financement à long terme de l’Union européenne, financera une prise de participation au capital qui permettra à trois pays d’accéder aux mécanismes de garantie et d’assurance fournis par l’ACA. L’adhésion à part entière à l’ACA devrait suivre au cours des prochains mois.
L’assurance-investissement, la clé du développement durable
L’adhésion à l’ACA permettra à des projets sous-jacents d’être bancables et d’attirer de nouveaux investisseurs pour des projets d’infrastructures stratégiques et du secteur privé.
L’accord signé aujourd’hui est un pas déterminant vers l’intensification des investissements privés et le développement économique durable en Afrique de l’Ouest. Il contribuera à stimuler la croissance dans des secteurs économiques clés, à renforcer la diversification économique et à favoriser une croissance plus stable et durable.
L’adhésion à l’ACA permettra de réduire les coûts d’emprunt et de stimuler la confiance des investisseurs
Une fois que ces pays seront membres à part entière de l’ACA, les investisseurs disposeront de toute une gamme de produits d’assurance-investissement susceptibles de les protéger en cas de non-paiement dans le cadre d’opérations souveraines ou avec des entreprises.
L’adhésion à l’ACA a déjà aidé d’autres pays d’Afrique à réduire les coûts des emprunts souverains. L’Agence pour l’assurance du commerce en Afrique assure actuellement un portefeuille d’opérations en cours d’un montant de 6 milliards d’USD dans toute l’Afrique.
Assurer le respect des normes environnementales et sociales internationales
L’accord fera également en sorte que les projets respectent les normes techniques, environnementales et sociales internationales, ce qui rassurera encore davantage les investisseurs internationaux.
A noter que L’Agence pour l’assurance du commerce en Afrique (ACA) est une agence multilatérale de garantie fondée en 2001 pour couvrir les risques liés aux investissements et aux échanges commerciaux en Afrique.
MJ
Le vendredi 25 octobre 2019, l’Ambassadeur de Côte d’Ivoire aux Etats-Unis d’Amérique, Son Excellence Monsieur Mamadou Haïdara a procédé à l’installation officielle de Monsieur James Paul Wohl en qualité de Consul honoraire de Côte d’Ivoire à Las Vegas, dans l’Etat du Nevada aux USA.
Le nouveau Consul a ainsi reçu les attributs de sa charge, à savoir l’Arrêté de nomination et la Commission consulaire ainsi que les Symboles de la République de Côte d’Ivoire en présence des membres de son staff et de la Communauté ivoirienne.
A l’issue de la cérémonie d’installation, l’Ambassadeur Haidara a indiqué l’importance que les Autorités ivoiriennes accordent au rôle que le Consul Honoraire est appelé à jouer dans sa circonscription et a rappelé, à cet effet, que les activités du Consulat honoraire doivent servir à l’exécution des tâches administratives et à la défense des intérêts des Ivoiriens mais également à la promotion des relations commerciales, économiques, culturelles et scientifiques entre la Côte d’Ivoire et les Etats-Unis.
« Au vu des réformes entreprises par le gouvernement ivoirien pour restructurer et assainir l'environnement des affaires, j’ai invité le Consul honoraire, de même que les membres de la diaspora à prendre la part qui leur revient dans le processus de construction de la Côte d’Ivoire par la recherche et la mobilisation d’investissements privés », a indiqué en substance l’Ambassadeur Haïdara.
L’économie de l’Etat du Nevada, basée essentiellement sur le secteur du tourisme et des loisirs, l’industrie extractive, l’élevage, la mécanique industrielle, la métallurgie et l’agro-alimentaire, présente de nombreuses opportunités à saisir et à capitaliser, selon le chef de Mission diplomatique. « Cet Etat pourrait aider à impulser le développement du tourisme et de plusieurs autres zones économiques en Côte d’Ivoire », a ajouté l’Ambassadeur.
Pour sa part, le nouveau Consul honoraire, James Paul Wohl, sensible à la démarche de l’Ambassadeur Haidara, a exprimé à l’endroit du Président de la République de Côte d’Ivoire, Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara, sa gratitude ainsi que ses remerciements pour la confiance et le privilège que les autorités ivoiriennes lui témoignent. Il a rassuré quant à sa disponibilité et son engagement à œuvrer pour la réussite de sa mission. Pour ce faire, James Paul Wohl a initié le jour de son installation, une soirée de promotion de la Côte d’Ivoire.
Il convient de préciser que Monsieur James Paul Wohl qui représentera la Côte d’Ivoire au sein du Groupe des Consuls Honoraires dans l’Etat du Nevada, est un avocat américain, membre associé du Barreau de plusieurs Etats aux USA et bien introduit dans le monde des Affaires américains
Mohamed Compaoré avec Sercom
Le Ministère de la justice du Maroc, avec l’appui technique de l’UNICEF et de la Conférence de La Haye de Droit International Privé (HCCH) et l’appui financier de l’Union européenne, organise un séminaire international les 14 et 15 novembre 2019 à l’Institut supérieur de la magistrature à Rabat.
Dans une conjoncture régionale et internationale marquée par un croissement du nombre d’enfants vivant hors de leur pays de nationalité ou dans un pays différent de l’Etat de résidence de leurs parents, le Ministère de la justice du Maroc, avec l’appui technique de l’UNICEF et de la Conférence de La Haye de Droit International Privé (HCCH) et l’appui financier de l’Union européenne, organise un séminaire international d’experts sur la protection des enfants à travers les frontières les 14 et 15 novembre 2019 à l’Institut supérieur de la magistrature à Rabat.
Cette rencontre qui réunira des représentants de pays d’Afrique de l’Ouest, d’Afrique du Nord et d’Europe en plus d’experts d’organisations internationales sera axée sur la promotion de l’application de la Convention de La Haye du 19 octobre 1996 que le Maroc a été le premier pays d’Afrique et de la région MENA à avoir ratifié.
Cette Convention porte sur un large éventail de mesures civiles de protection des enfants, qui vont des décisions relatives à la responsabilité parentale et au droit d’entretenir un contact, aux mesures relatives à la protection et aux soins, ainsi que des questions de représentation légale et de tutelle des enfants dans des situations impliquants plusieurs Etats.
Dans une conjoncture régionale et internationale marquée par un croissement du nombre d’enfants vivant hors de leur pays de nationalité ou dans un pays différent de l’Etat de résidence de leurs parents, le Ministère de la justice du Maroc, avec l’appui technique de l’UNICEF et de la Conférence de La Haye de Droit International Privé (HCCH) et l’appui financier de l’Union européenne, organise un séminaire international d’experts sur la protection des enfants à travers les frontières les 14 et 15 novembre 2019 à l’Institut supérieur de la magistrature à Rabat.
Cette rencontre qui réunira des représentants de pays d’Afrique de l’Ouest, d’Afrique du Nord et d’Europe en plus d’experts d’organisations internationales sera axée sur la promotion de l’application de la Convention de La Haye du 19 octobre 1996 que le Maroc a été le premier pays d’Afrique et de la région MENA à avoir ratifié.
Cette Convention porte sur un large éventail de mesures civiles de protection des enfants, qui vont des décisions relatives à la responsabilité parentale et au droit d’entretenir un contact, aux mesures relatives à la protection et aux soins, ainsi que des questions de représentation légale et de tutelle des enfants dans des situations impliquants plusieurs Etats.
En particulier, les procédures de coopération prévues par cette Convention peuvent s’avérer précieuses dans les situations croissantes dans lesquelles des mineurs étrangers se retrouvent non accompagnés, en situation de vulnérabilité, soumis aux risques d’exploitation.
Que le mineur soit réfugié, demandeur d’asile, personne déplacée ou adolescent en mouvement, la Convention apporte son aide en assurant une coopération pour localiser l’enfant en déterminant le pays dont les autorités sont compétentes pour prendre les mesures de protection appropriées, ainsi qu’en assurant une coopération entre les autorités des pays d’accueil et d’origine, l’échange de renseignements nécessaires et la mise en place de toute mesure de protection nécessaire.
La Convention offre aussi un cadre juridique pour résoudre les questions de garde et de kafala internationale. La Convention permet d’éviter les questions qui surviennent lorsque les tribunaux de plus d’un pays sont compétents pour traiter ces questions
MJ
Issouf Doumbouya, Directeur régional de l’Education Nationale, de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle (Drenet-Fp) de Touba, a animé le mercredi 16 octobre une session de formation à l’intention de ses collaborateurs, gestionnaires de l’école dans la région du Bafing.
A cette occasion, le représentant local du Ministre Kandia Camara, a instruit les Inspecteurs du préscolaire et du primaire (Iepp), chefs d’établissements et adjoints, directeurs des études et les, économes, sur le nouveau concept du COP, c’est-à-dire le Contrat d’Objectif et de Performance, initié par la tutelle. Et qui, dans sa phase pilote, entre en vigueur cette année scolaire 2019-2020.
Le COP, à en croire Issouf Doumbouya, est une réforme tout comme les précédentes, visant à « améliorer la gouvernance scolaire pour la réussite » des élèves axée sur « la responsabilisation des acteurs du système éducatif ». Il doit s’inscrire dans la droite ligne du rapport d’état sur le système éducatif national (Resen) à savoir : former des populations qualifiées et compétentes pour le développement du pays, ouvrir l’école à tous les enfants en âge de scolarisation et offrir un enseignement de qualité.
Selon lui, les termes du contrat, devraient être consignées dans un projet éducatif couvrant une période de trois ans. Il contient des objectifs spécifiques à atteindre à terme s’appuyant sur des indicateurs mesurables et vérifiables au moment de l’évaluation finale.
Pour un travail efficient, il est demandé aux participants sous tutelle, de poser des diagnostiques pointus de leurs structures respectives avec la participation de tous les partenaires (parties prenantes) locaux de l’école.
Dans la région du Bafing, cinq établissements secondaires et l’école primaire de Gouekro dans l’inspection de Ouaninou, constituent la première vague concernée par la signature du Cop avec la Drenet-Fp.
Toutefois, Issouf Doumbouya, a exhorté, toutes les autres structures d’éducation et de formation à s’y mettre de sorte à se préparer à la généralisation de la réforme.
Hamza De Bamba (Correspondant Local)
La réunion de consultation annuelle du projet de partenariat de l’Initiative Pêche Côtière (IPC), s’est tenu à Abidjan, du 04 au 08 Novembre 2019.
L’organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le Projet Initiative Pêche Côtière (IPC), et le secrétariat de la Convention d’Abidjan ONU Environnement ont organisé la consultation annuelle du projet de partenariat mondial de l’Initiative Pêche Côtière, du 04 au 08 novembre 2019 à Abidjan Palm-Club, Côte d’Ivoire.
L’avancée imminente des dégradations et des disparitions des écosystèmes marins et côtiers interpellent plus d’un. Six agences du Fond de l’Environnement Mondial (FEM), à savoir : la FAO, le PNUD, ONU-Environnement ex PNUE, la Banque Mondiale, Conservation Internationale et l’agence principale WWF ont décidé d’unir leurs forces pour contrarier et solutionner ces menaces à travers cette réunion.
Les objectifs à atteindre pour cette consultation mondiale se résument, essentiellement en deux grands points qui sont : réunir les partenaires du programme IPC pour présenter l’état d’avancement, à ce jour, des projets, partager les connaissances et les expériences entre les projets du programme IPC et discuter de la communication d’ensemble du programme.
A cet effet, les exposés des différents participants et experts ont meublé cette réunion de consultation annuelle du projet de partenariat de l’Initiative Pêche Côtière (IPC), et qui, se soldera par une visite sur l’un des sites du projet de mangrove de la convention d’Abidjan à Adiaké, à environs 96 km d’Abidjan.
Le Secrétaire Exécutif de la convention d’Abidjan ONU-Environnement dépeint le tableau noir très dégradant de la situation des écosystèmes marins et côtiers, « nous sommes exposés à la surexploitation des ressources, la dégradation des habitats, les changements climatiques et la pollution ». Indique-t-il. M. Bamba situe la contribution de la convention d’Abidjan dans ce programme, qui porte essentiellement sur la gestion et à la réhabilitation des écosystèmes mangroves en Côte d’Ivoire et au Sénégal, en rapport avec les fonctions de nurseries, les inondations et la protection des habitants, etc. qu’assurent les mangroves dans la chaine de valeur de la pêcherie.
Selon M. Abou Bamba : « quand la mangrove est détruite, l’ensemble des services et rôle dans la chaîne de valeur de pêche se trouve négativement affecté », a-t-il affirmé. Quant à la représentante du Fonds de l’environnement Mondial, CHERE Léah, elle, « je suis très heureuse pour le dévouement qui anime chacun d’entre nous, concernant la révision des objectifs, le partage des expériences et de connaissances dans ce projet de partenariat mondial et qui nous permettront d’évaluer, dans nos régions respectives, l’état de la pêche en termes d’aspects écologiques, sociaux et économiques », a-t-elle affirmé
La FAO, pièce maîtresse de cette réunion se dit, félicitée de cette rencontre qui survient après ses 74 ans d’existence et 32 ans de présence au côté de la Côte d’Ivoire pour l’accompagner et l’appuyer dans la lutte contre la faim et l’alimentation saine, et mettre un accent particulier sur la production animale et halieutique. « Je suis heureux que la Côte d’Ivoire fasse partir des pays qui abritent le projet Initiative Pêche Côtière. Ce projet permettra aux Ivoiriens de tirer parti des avantages d’une gestion rationnelle et durable de leurs pêcheries, de la restauration des mangroves et des écosystèmes marins pour l’autonomisation des femmes dans la chaîne de valeur des fruits de mer », indique M. Samy Gaiji, représentant pays de la FAO.
Le ministère de l’Environnement et du Développement Durable, par son représentant a affirmé son adhésion totale à cette initiative qui est l’un de ses défis pour le bien-être de la population ivoirienne. Le ministère des Ressources Animales et Halieutique n’a pas manqué de réitérer son remerciement à FAO et à ONU Environnement pour leur collaboration franche pour l’organisation de cet atelier.
Selon le ministre des Ressources Animales et Halieutiques Dosso Moussa, « en tant qu’Etat, nous avons pris aussi toutes les dispositions pour participer à l’amélioration de la chaîne de valeur ; d’où la ratification, le 17 Septembre 2019, du traité sur la lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non règlementée. Au nom du gouvernement Ivoirien, nous vous souhaitons un bon travail et que les résultats soient fructueux pour vos pays respectifs et le monde entier », a expliqué le ministre.
Well2well
Apres la cérémonie d’ouverture de l’atelier de renforcement de capacités dédiée aux professionnels des medias, les séminaristes que sont les hommes de medias ont changé avec les experts des instituions qui pour l’occasion ont présenté leurs Institutions. A savoir que sont-elles ? Comment fonctionnent-elles ? Quel rôle jouent-elles dans l’appareil étatique ?
La réponse à ces questions a été donné sous forme de séances d’exposés, d’échanges et de partage de connaissance entre les experts des différentes institutions autour du module1 de cet atelier qui est : « L'architecture institutionnelle de la Cote d'Ivoire depuis l’avènement de la 3ème République ».
Dr koffi Annick, experte en droit de manière simple a communiqué le rôle et le fonctionnement des 12 institutions de la République. Selon elle, toutes ces institutions sont des organes de gestion de l’Etat. Car, « elles permettent de donner un visage et un corps à l’Etat », a-t-elle expliqué. Et de les définir comme un principe cardinal de la séparation de pouvoir en démocratie.
Si l’organisation et la gestion de la vie de l’Etat passe par ses institutions, il va s’en dire que c’est le peuple qui donne la ligne de conduite de ces institutions à travers les lois, qui donnent à l’Etat sa pérennité. Et devient un Etat de droit bien structuré. A poursuivi Madame Koffi. Et de lancer que les institutions agissent au nom de tous sans exception.
Prenant l’exemple de la dernière-née des institutions, à savoir, la chambre des Rois, en la mettant en place cette institution, le président Alassane Ouattara veut porter un message fort aux valeurs et traditions de la Côte d’Ivoire. Egalement, donner une place de choix aux chefs traditionnels au nom du travail fait dans l’ombre. A conclut la conférencière.
Tour à tour, tous les représentants des institutions ont eu le temps, face aux medias, de présenter leur institution respective. En définitive, l’on peut constater aisément que le point commun de toutes ces institutions de l’Etat, c’est contribuer au bonheur et au bien-être des populations.
MC
Un atelier le renforcement de capacités des professionnels des médias sur la connaissance des institutions s’est ouvert à Grand-Bassam ce mercredi 13 Novembre et prend fin le jeudi.
Ce sera l’occasion de d’améliorer les connaissances des acteurs des médias traditionnels que sont les journalistes (et presse écrite, audio et audio-visuelle) et ceux des nouveaux médias. A savoir : les bloggeurs, sur le dispositif institutionnel de la République.
Organisé par Ministère auprès du Président de la République, chargé des Relations avec les Institutions de la République autour du thème : « Une bonne connaissance des Institutions de la République par les professionnels des médias pour une meilleure communication », cet atelier sera le lieu d’échange entre ces professionnels de la communication, les experts des instituions et le ministère en charge des relations avec lesdites instituions. Il sera Axé sur l’interaction et la participation active, sous forme de séances d’exposés, d’échanges et de partage de connaissance.
Faire connaitre les institutions par les professionnels de medias s’inscrit dans un esprit républicain. Car, « un citoyen bien informé, est un citoyen bien formé », a dit Sidi Tiemoko Touré, Ministre de la communication et des medias à la cérémonie d’ouverture de cette activité en présence de tous les responsables et représentants des 12 institutions que compte la Côte d’Ivoire. Et de poursuivre que cet atelier initié par le ministère de Koné Kafana, « marque le début d’un partenariat privilégié entre les institutions et les medias » pour la mise en lumière de ces institutions auprès des populations.
Après les Journées Portes Ouvertes des Institutions de la République (JPOIR 2019) , tenues du 22 au 24 Juillet à Abidjan, le ministre Kafana Koné veut aller plus loin en impliquant les medias pour la vulgarisation des acquis des dites Journées. Egalement, vulgariser des actions des Institutions auprès des populations.
« Une bonne connaissance de nos institutions à travers les medias contribue à la stabilité politique de la Côte d’Ivoire », a soutenu le ministre.
Mohamed Compaoré