Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Le ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, a procédé, le mardi 22 novembre 2022 dans les locaux de Dream Factory, au lancement de l’opération de remise d’équipements à 1 000 entreprenants.

Constitués de solutions de gestion digitale modulaire, de fonctions essentielles des micro-entreprises, de tablettes Android, de machines à coudre, de kits de coiffure, et de mallettes d’électricité, ces équipements permettront aux bénéficiaires d’accroître leur productivité, de se formaliser progressivement et de créer plus de richesses et d’emplois.
Pour le ministre, cette opération qui s’inscrit dans le cadre du Projet d’appui à la structuration des entreprenants, intègre la volonté du Président Alassane Ouattara de faire du développement des PME l’un des leviers de la croissance de l’économie ivoirienne.

L’objectif étant, a-t-il insisté, de parvenir à la transformation structurelle de l’économie à travers la transition d’une économie essentiellement basée sur le secteur primaire et les services vers l’industrialisation.

Il s’est dit convaincu qu’avec l’opérationnalisation du Guichet Unique de Développement des PME (GUDE-PME), le gouvernement adressera de façon durable la problématique de la transition du secteur informel vers un secteur formel plus organisé, attractif et productif pour l’économie nationale.

Soulignons que le Projet d’appui à la structuration des entreprenants, d’un investissement d’environ 953 millions FCFA vise à accélérer l’opérationnalisation du statut de l’entreprenant et favoriser la migration des acteurs du secteur informel vers l’économie formelle. Les bénéficiaires ont chaleureusement remercié le gouvernement pour cette initiative à impact direct sur le développement de leurs micro-entreprises.  

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Au cours de l’exercice 2022, entre janvier et octobre 2022, le Guichet unique de Formalités des Entreprises (GUFE) a enregistré la création de 20 183 entreprises, contre 9 825 sur la même période en 2021, avec 5 342 emplois prévisionnels contre 3 954 en 2021, a affirmé la Directrice générale du Centre de Promotion des Investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), Solange Amichia.

C’était lors d’une conférence de presse-bilan de ses activités de l’année, le jeudi 24 novembre 2022 à Abidjan-Plateau.

Solange Amichia a indiqué que, dans le cadre de l’agrément au code des investissements, de janvier à octobre 2022, ce sont 714 milliards de FCFA d’investissements agréés contre 575 en 2021. Le délai moyen de création d’entreprise est passé de quinze jours en 2021 à moins de trois jours à fin octobre 2022.

47% d’investisseurs sont des nationaux et 53% des étrangers. L’agro-industrie, avec 63% des investissements, demeure le secteur prépondérant, suivi de ceux du plastique (10%) et du bois (6%). Le nombre d’emplois prévisionnel est de 7 103.

Les secteur de création d’entreprise les plus visés en 2022 sont les prestations de services (44%, entre autres, architecture, ingénierie, contrôle technique, location de voiture, etc.), le commerce (23%) et les BTP (13%).

Tout en se félicitant que 1 570 visiteurs et requêtes d’informations aient été enregistrés entre janvier et octobre 2022, la DG du CEPICI a ajouté que le portefeuille d’intentions de projets captés s’élève à 823 projets pour 2 146 milliards de FCFA dont 125 projets matures pour 2 107 milliards de FCFA et 689 autres projets pour 39 milliards de FCFA. Ils concernent l’agro-industrie, les matériaux de construction, la chimie, la métallurgie, l’énergie et le tourisme.

Au titre des perspectives alignées sur le Plan national de Développement 2021-2025 et la vision 2030 pour ’’Une Côte d’Ivoire solidaire’’, Solange Amichia a assuré que le CEPICI mettra en œuvre des stratégies efficaces en vue de mobiliser davantage d’investissements nationaux et internationaux.

À cet effet, elle a annoncé que sa structure souhaite accroître le taux d’investissements privés de 16% en 2020 à 25% en 2025 et mobiliser 32 116 milliards de FCFA au titre des investisseurs privés des entreprises.

Le CEPICI prévoit également en 2023 le déploiement de ses services à Bouaké et San-Pédro en 2023. Une démarche qualité et certification ISO 9001 version 2015 est en cours.

L’amélioration de la performance du GUFE, des scores de la Côte d’Ivoire aux indices internationaux, du climat des affaires pour accroître la compétitivité du secteur privé et pour un accroissement spécifique de la compétitivité des PME/PMI font partie de ces perspectives. Pour Solange Amichia, ces résultats du CEPICI sont les meilleurs depuis dix ans.  

CICG

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A l’occasion de son Grand Oral ce lundi 21 novembre 2022, le deuxième après celui du 8 novembre 2021, le Premier Ministre ivoirien, Patrick Achi, a réaffirmé l’engagement du Gouvernement à préserver un climat de paix, de sécurité, de cohésion sociale afin de garantir la poursuite de la transformation socio-économique en cours dans le pays.

« La transformation socio-économique en cours ne peut exister sans un climat de paix, de sécurité, de cohésion sociale et de bonne gouvernance », a affirmé le Chef du Gouvernement, précisant que ce sont les 4ème et 5ème priorités au niveau de l’action gouvernementale.

Patrick Achi s’est félicité de la consolidation du climat politique, avec la 5ème vague du Dialogue Politique, approuvée par l’ensemble des partis politiques. Pour rappel, à l’issue de la 5ème phase du dialogue politique tenue en décembre 2021 et janvier 2022, les parties prenantes ont formulé plusieurs recommandations, dont l’engagement des acteurs politiques à se départir de la violence comme mode d’accession au pouvoir ; la mise en place d’un processus de réparation et d’indemnisation des victimes de la crise électorale de 2020. Il a également été question de la poursuite du renforcement de la culture démocratique et du civisme au sein de la société ivoirienne ; de la vulgarisation des modes alternatifs de règlement des conflits, en impliquant notamment les chefs coutumiers, les guides religieux et les organisations de la société civile ; du renforcement de la sécurisation du processus électoral.

Pour la préservation de ce climat de paix retrouvé, le Chef du Gouvernement a évoqué les actions en vue de poursuivre le renforcement des forces de sécurité et de défense, sans oublier l’accélération des projets de développement communautaire au Nord. Dans le cadre du programme spécial de lutte contre la fragilité dans les zones frontalières du nord, en réponse à la menace terroriste, ce sont, pour rappel, 5 664 personnes qui ont été sélectionnées pour intégrer des dispositifs d’insertion adaptés pour la première phase sur un objectif de 19 812 personnes à sélectionner d’ici à fin 2022.

Le Premier Ministre a indiqué que le gouvernement entend, pour 2023, poursuivre ses efforts aussi bien pour le renforcement de la sécurité des Ivoiriens que pour la préservation d’un climat de paix et de cohésion sociale.  

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Une mission espagnole conduite par l’ambassadeur de l’Espagne en Côte d’Ivoire, Rafael Soriano, a été reçue, le mardi 22 novembre 2022 par la ministre de l’Éducation nationale et de l’Alphabétisation, Mariatou Koné.

Les échanges ont concerné la promotion de la langue espagnole et la redynamisation de la collaboration entre la Côte d’Ivoire et l’Espagne en matière d’éducation.

Cette collaboration porte sur la formation et la mobilité des enseignants, la reprise de l’immersion linguistique à travers des voyages de formation et des missions de partage d’expériences en Espagne.

La ministre Mariatou Koné s’est réjouie de la reprise de la mobilité interrompue depuis plusieurs années. Elle a souhaité sa généralisation afin de permettre à l’ensemble des 3 000 enseignants de la langue espagnole que compte la Côte d’Ivoire d’en bénéficier.

La Côte d’Ivoire qui occupe le premier rang des pays africains dans l’enseignement de la langue espagnole, compte 600 000 apprenants.

Il convient de rappeler que la langue espagnole est enseignée en Côte d’Ivoire depuis 1948.  

km

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Une cérémonie de remise de diplômes à 73 étudiants en Masters et 31 Ingénieurs de l'Université polytechnique de Man (UPM) comptant pour l'année 2021, a été organisée, le jeudi 17 novembre 2022 à l'auditorium de la Primature à Abidjan-Plateau. C'était en présence du ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche scientifique, Adama Diawara.
 
Le ministre s'est félicité des performances de l'université de Man. "Je tire mon chapeau à l'université de Man et félicite vivement le président de cette université, le Pr Lacina Coulibaly, pour la qualité de son management, ainsi que tous ses collaborateurs. Ainsi, pour la cohorte des 73 Masters et celle des 31 Ingénieurs célébrées ce jour, les taux de réussite frôlent les 100% (...) et 91% des Ingénieurs et 64% des Masters sortis de l'université de Man en 2021 ont déjà trouvé un emploi", a fait remarquer Adama Diawara.
 
Pour le ministre, "le respect scrupuleux des critères d'accès, l'organisation des cours de mise à niveau pour les nouveaux étudiants, le suivi des étudiants grâce au tutorat et l'application de critères stricts de passage d'un cycle à l'autre, ont contribué à relever substantiellement les taux de réussite à l'université de Man".
 
Le président de l'université polytechnique de Man, a, pour sa part, souligné le grand intérêt du ministre de tutelle pour l'institution qu'il dirige.
 
Lacina Coulibaly a expliqué que "cette cérémonie de collation de grade est une excellente occasion pour célébrer les étudiants qui ont beaucoup travaillé pour obtenir leurs grades". 
"C’est aussi une occasion de redevabilité de l’équipe dirigeante. Et enfin, c’est une opportunité de présentation de nos produits, ressources humaines de grande compétence, aux entreprises (...) L'Université Polytechnique de Man constitue un excellent pôle de développement du District des Montagnes", a-t-il ajouté. 
 
Aujourd'hui, a-t-il poursuivi, grâce à la construction de l’UPM, ce sont plus de 200 emplois permanents de tous ordres (enseignants, personnels administratifs et techniques de l’UPM et du Centre régional des oeuvres universitaires de Man) qui ont été créés. Et ce sont environ 70 ingénieurs et 143 masters qui ont été formés et outillés pour apporter leur contribution au développement de la Côte d’Ivoire.
 
Les représentants des entreprises partenaires de l'université ont eux aussi relevé la qualité des ressources humaines formées à l'UPM et réaffirmé leur disponibilité à continuer le partenariat et même à le renforcer.
 
La cérémonie, la première du genre, a enregistré la présence des premiers responsables des universités publiques et privées de Côte d'Ivoire, du Secrétaire général du Conseil africain et malgache pour l'Enseignement supérieur (CAMES), des chefs d'entreprises et de nombreux parents venus soutenir leurs enfants.
km

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Le gouvernement allemand a annoncé, mardi 22 novembre 2022, son intention de retirer ses casques bleus déployés au Mali d’ici mai 2024, mettant fin à leur engagement au sein de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation de ce pays, la Minusma.

“Le gouvernement allemand a décidé aujourd’hui de proposer au Bundestag de prolonger pour la dernière fois d’un an, en mai 2023, le mandat de l’intervention de la Bundeswehr au Mali, afin que cette intervention prenne fin de manière structurée, après dix ans”, a déclaré le porte-parole de l’Exécutif, Steffen Hebestreit, cité dans la presse locale.

Cette ultime prolongation “tient notamment compte des élections au Mali, prévues pour février 2024”, a-t-il ajouté.

La décision a été communiquée à l’issue d’une réunion entre la Chancellerie et les ministères de la Défense et des Affaires étrangères, à laquelle participait le chancelier Olaf Scholz.

Le mandat actuel du Bundestag pour le déploiement au Mali est valable jusqu’à fin mai 2023. Le Bundestag a voté pour la prolongation fin mai de cette année, mais pour la première fois a inclus une clause de retrait dans le mandat au cas où la sécurité des soldats de la Bundeswehr au Mali ne peut plus être garantie.

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L’Ouganda a annoncé, mardi 22 novembre 2022, le déploiement d’un millier de soldats dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) d’ici fin novembre.

Dans une déclaration à la presse, le porte-parole de l’armée ougandaise, Felix Kulayigye, a fait savoir que la préparation des troupes est en phase de finalisation avant leur introduction dans l’est de la RDC, dans le cadre d’une force régionale est-africaine.

Les sept pays de la Communauté des États d’Afrique de l’est (EAC) – Burundi, Kenya, Ouganda, RDC, Rwanda, Soudan du Sud, Tanzanie – ont décidé en juin de l’envoi d’une force régionale pour stabiliser l’est de la RDC, en proie aux violences.

Le Kenya assure le commandement de la mission de la Communauté des États d’Afrique de l’est, qui comprend également des soldats du Burundi et du Soudan du Sud.

Les soldats kényans et ougandais doivent se déployer aux côtés des militaires congolais dans le Nord-Kivu et en Ituri, l’armée sud-soudanaise dans le Haut-Uélé et les Burundais dans le Sud-Kivu.

Un contingent rwandais sera déployé le long de la frontière, après que Kinshasa s’est opposé à la participation de Kigali à toute opération sur son sol.

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Un atelier régional de restitution d’une étude sur l’état des lieux des normes applicables, des pratiques en cours et des risques sur la thématique « médias et prévention des conflits » s’est ouvert le mardi 22 novembre 2022 à Grand-Bassam, cité balnéaire au sud d’Abidjan, la capitale économique ivoirienne.

Cet atelier organisé dans le cadre du projet « Implication des Médias Numériques pour une Prévention Active des Conflits et des Tensions » (IMPACT) mis en œuvre en Guinée et en Côte d’Ivoire réunit en présentiel 26 participants venus de la Guinée, du Sénégal, de la France et de la Côte d’Ivoire.

Le projet IMPACT est porté par un consortium de cinq organisations : Il s’agit de deux structures françaises, Avocats Sans Frontières France (ASF France) et Danaïdes ; la plateforme panafricaine AfricTivistes; et deux associations nationales à savoir l’Association des Blogueurs de Guinée (ABLOGUI) et le Réseau des Professionnels de la Presse en Ligne de Côte d’Ivoire (REPPRELCI).

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« La réflexion précède l’action. C’est pourquoi, avant les actions de terrain prévues dans ce projet, les parties prenantes ont initié une étude sur l’état des lieux des normes applicables, des pratiques en cours et des risques sur la thématique +Médias et prévention des conflits+ dans les deux pays ciblés par le projet », a expliqué dans une allocution d’ouverture le président du REPPRELCI, Lassina Sermé, par ailleurs porte-parole du consortium.

« C’est pour présenter les résultats de cette évaluation à l’effet de recueillir vos observations pertinentes au regard de vos expériences, que se tient le présent atelier », a-t-il ajouté, s’adressant aux participants à qui il a souhaité d’excellents travaux, féconds et fructueux pour la réussite du projet IMPACT.

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Dans un chapitre de remerciements, M. Sermé a salué les autorités des deux pays de mise en œuvre de ce projet, la Côte d’Ivoire et la Guinée pour avoir accepté de s’approprier cette initiative.

Il a également remercié le bailleur de ce projet qu’est l’Union européenne représentée en visioconférence à l’ouverture par M. Sébastien Cocard.

Le projet IMPACT d’une durée de 24 mois est financé par l’UE à hauteur d’un million d’’Euros (environ 700 millions de FCFA) à travers son instrument contribuant à la stabilité et à la paix (IcSP).

Démarré en mars 2022, ce projet a pour objectif de contribuer à consolider une paix durable en Afrique de l’Ouest et de renforcer le rôle positif de la société civile, dont les médias numériques, en matière de prévention des conflits, a rappelé Ahmed Sékou Touré, le coordonnateur du projet. 

Cet atelier régional de Grand-Bassam s’achève jeudi.

Sercom

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Les autorités de transition maliennes ont annoncé lundi 21 novembre 2022 soir l’interdiction des activités de toutes les organisations non gouvernementales financées ou soutenues par la France, y compris celles opérant dans le domaine humanitaire.

Le Premier ministre par intérim, le colonel Abdoulaye Maïga, a justifié cette décision, dans un communiqué diffusé sur les réseaux sociaux, par l’annonce récente par la France qu’elle avait suspendu son aide publique au développement à destination du Mali.

Le ministère français des Affaires étrangères avait invoqué comme raison le recours au groupe paramilitaire russe Wagner de la part des autorités maliennes.

Le colonel Maïga dénonce dans son communiqué des “allégations fantaisistes” et un “subterfuge destiné à tromper et manipuler l’opinion publique nationale et internationale aux fins de déstabilisation et d’isolement du Mali”.

“En conséquence, le gouvernement de la transition décide d’interdire, avec effet immédiat, toutes les activités menées par les ONG opérant au Mali sur financement ou avec l’appui matériel ou technique de la France, y compris dans le domaine humanitaire”, souligne le communiqué.

ng

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La Cour suprême d’appel en Afrique du Sud a déclaré, lundi 21 novembre 2022, invalide la libération conditionnelle pour raisons médicales de l’ancien Président Jacob Zuma, suite à sa condamnation en 2021 pour outrage à la Justice.

M. Zuma avait écopé de 15 mois de prison par la Cour constitutionnelle après avoir refusé de comparaître devant la Commission judiciaire d’enquête sur la capture de l’État pendant ses deux mandats (2009-2018).

Mais deux mois après son incarcération, le directeur du Département des Services correctionnels, Arthur Fraser, a annoncé que l’ancien chef d’État a obtenu une libération conditionnelle pour raisons médicales.

Selon le nouveau jugement prononcé par le juge Tati Makgoka, l’ex-président n’a pas fini de purger sa peine et doit retourner en prison.

En décembre dernier, la Haute Cour de Pretoria a conclu que M. Fraser avait agi illégalement en accordant à Zuma une libération conditionnelle malgré l’avis contraire du Conseil consultatif.

L’emprisonnement de l’ancien président avait déclenché de violentes émeutes qui ont entraîné la mort de plus de 350 personnes et causé des pertes économiques évaluées à plusieurs milliards de dollars, notamment dans les provinces du KwaZulu-Natal et de Gauteng.

M. Zuma est également poursuivi pour seize chefs d’accusation de fraude, corruption et racket liés à l’achat, en 1999, de matériel militaire auprès de la société française Thales, alors qu’il était vice-président.

Il est accusé d’avoir empoché plus de quatre millions de rands (soit 235.000 euros au taux actuel), notamment de la société Thales qui était l’une des attributaires du juteux contrat d’une valeur globale d’environ 2,8 milliards d’euros.

Le géant français de la défense est également poursuivi pour corruption et blanchiment. M. Zuma, comme Thales, ont toujours nié ces accusations.

ng

 
 

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