Lorem Ipsum is simply dummy text of the printing and typesetting industry. Lorem Ipsum has been....
Le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie Maurice Bandama, a indiqué le jeudi 16 février lors de la cérémonie officielle de la rentrée culturelle de son département, que l’Etat de Côte d’Ivoire ne doit rien à un artiste, avant d’appeler ceux-ci à la rigueur et à plus de discipline dans leur métier.
Visiblement attristé par la mort de certains d’entre eux parce que n’ayant pas de moyens pour se soigner ou vivant dans des conditions précaires au soir de leur carrière, le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie Maurice Bandama a fait savoir que l’Etat n’est pas obligé de venir en aide à un artiste. « Quand un artiste est malade, on demande à l’Etat d’intervenir. L’artiste n’est pas à la charge de l’Etat. L’Etat ne doit rien à un artiste », a-t-il affirmé.
Cette sortie de Maurice Bandama vise à amener les artistes du pays à une prise de conscience, parce quand le malheur frappe à la porte ils sont sans moyens et attendent que l’Etat leur vienne en aide.
«Pendant que vous connaissez le succès, c’est maintenant qu’il faut chercher à construire des immeubles comme les footballeurs », a-t-il dit, faisant allusion au train de vie de certains artistes, surtout ceux du coupé-décalé.
C’est pourquoi, il pense qu’il faut qu’on arrête d’accuser les autorités ivoiriennes. D’ailleurs en 2017, « un artiste qui va m’insulter je vais porter plainte contre lui », a-t-il prévenu.
Pour lui, le métier d’artiste est noble. « Il faut être discipliné et beaucoup de rigueur pour gérer sa carrière. Des artistes sont morts parce qu’il étaient indisciplinés. Ce sont eux qui aiment rouler les grosses voitures à ciel ouvert et à vive allure », a-t-il déploré, insistant qu’un artiste doit pouvoir s’organiser et éviter de prendre plusieurs engagements qu’il sait qu’il ne pourra pas honorer.
En outre, le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie a relevé, en ce concerne l’assurance des artistes, que ce sont 116 d’entre eux qui ont souscrit. Il exhorte donc tout le monde à souscrire à cette assurance qui couvre jusqu’à 80% des soins.
La Haute autorité pour la bonne gouvernance a dévoilé la liste des personnalités qui doivent déclarer leur patrimoine
Aux termes de l’article 5 de l’ordonnance n° 2013-660 du 20 septembre 2013 relative à la prévention et à la lutte contre la corruption et les infractions assimilées, telle que modifiée par les ordonnances n° 2013-805 du 22 novembre 2013 et n° 2015-176 du 24 mars 2015, et de l’article 7 du décret 2014-219 du 16 avril 2014 portant modalités de déclaration de patrimoine, les Chefs et Présidents d’Institutions de la République, les Membres du Gouvernement et les Personnalités ayant rang de Ministre ou de Secrétaire d’Etat, les Gouverneurs de District et leurs Vice-Gouverneurs, les personnalités élues et toutes les autres personnes agissant pour le compte de l’Etat et utilisant dans le cadre de leurs fonctions les moyens financiers de l’Etat ont obligation de déclarer leur patrimoine dans les trente (30) jours qui suivent leur prise de fonction.
En application des dispositions susvisées, le Président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance invite les assujettis ci-après qui n’ont pas encore effectué leur déclaration de patrimoine à prendre toutes les dispositions utiles en vue de déclarer leur patrimoine dans les trente (30) jours qui suivent leur prise de fonction ou de début d’exercice de mandat. Ce sont :
– Les Chefs et Présidents d’Institutions de la République ;
– Les Membres du Gouvernement et les Personnalités ayant rang de Ministre ou de Secrétaire d’Etat ;
– Les Gouverneurs de District et leurs Vice-Gouverneurs ;
– Les Députés ;
– Les Maires et leurs Adjoints ;
– Les Ambassadeurs, les Payeurs d’Ambassade, les Attachés de Défense et les Agents publics en poste dans les représentations diplomatiques ayant rang de Directeur ;
– Les Secrétaires Généraux et les Directeurs Financiers des Institutions de la République ;
– Les Présidents, Secrétaires Généraux, Directeurs Généraux et Directeurs Financiers des Autorités Indépendantes de Régulation et de Contrôle rattachées aux différents Ministères ;
– Les Directeurs de Cabinets des Ministères et leurs Adjoints ;
– Les Chefs de Cabinets des Ministères ;
– Les Directeurs Généraux et leurs Adjoints du Ministère en charge de l’Economie et des Finances ;
– Les Directeurs Généraux et leurs Adjoints du Ministère en Charge du Budget ;
– Les Inspecteurs Généraux et Directeurs Généraux des Ministères ;
– Les Préfets et Sous-Préfets;
– Les Directeurs Centraux des Ministères ;
– Les Directeurs des Affaires Financières des Ministères ;
– Les Présidents de Conseils d’Administration, les Directeurs Généraux et les Directeurs Financiers des Sociétés d’Etat et Sociétés à participation financière publique majoritaire de l’Etat ;
– Les Directeurs Généraux, les Directeurs Administratifs et Financiers, les Agents Comptables et les Contrôleurs Budgétaires des Etablissements Publiques Nationaux ;
– Les Coordonnateurs, les Directeurs ou Chefs, les Directeurs Financiers, les Agents Comptables et les Régisseurs des Projets et des Programmes ;
– Les Contrôleurs Financiers ;
– Les Trésoriers Principaux d’Abidjan ;
– Les Inspecteurs Régionaux ;
– Les Directeurs Régionaux ;
– Les Payeurs de Régions et de Districts, les Trésoriers Généraux, les Receveurs Principaux des Impôts et des Douanes ;
– Les Directeurs Généraux et Directeurs des Collectivités Décentralisées ;
– Les Secrétaires Généraux, Directeurs Financiers ou Chefs de Services Financiers des Collectivités Décentralisées.
Les formulaires de déclaration de patrimoine sont disponibles au siège de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance sis à la Riviera golf 4 et auprès des Points Focaux des Préfectures de Région pour les services déconcentrés et les collectivités décentralisées.
Pour toute information complémentaire, les assujettis concernés sont priés de s’adresser à la Direction en charge de la Déclaration de Patrimoine au 22 47 95 00 / 22 47 95 05 ou se rendre au siège de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance sis à la Riviera golf 4, où une équipe se tient à leur disposition.
Pour le Président de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance et par délégation
Le Secrétaire Général
Yves YAO KOUAME
Le réseau social Facebook a décidé de mettre en compétition les développeurs du Moyen-Orient et d’Afrique pour la création de robots innovants dans le cadre du concours « Bots for Messenger Developer Challenge ».
Les développeurs, réunis en équipes de trois personnes maximum, sont invités à créer des robots répartis dans trois catégories: les jeux et divertissements; la productivité et les utilitaires; et le bien social.
Ce concours s’aligne avec l’engagement du réseau social envers l’innovation au Moyen-Orient et en Afrique et fournit les outils dont les développeurs et les jeunes entreprises ont besoin pour développer, monétiser et évaluer les produits et services.
Née d’une culture de hacker et prospère grâce à la promotion de l’innovation sur les nouvelles plateformes, Facebook lance ce concours Bots for Messenger Challenge pour reconnaître et récompenser les développeurs capables de créer des robots plus innovants pour Messenger.
Récompenses
Équipes finalistes
Les 60 équipes finalistes (10 par catégorie dans chaque région) remporteront un équipement Gear VR et un téléphone mobile, une heure de mentorat dispensé par Facebook, et les outils et services de FbStart (https://Developers.facebook.com/fbstart), un programme de Facebook destiné à aider les jeunes entreprises naissantes dans leurs premières phases de développement
Toutes les équipes d’étudiants qui accèderont à la finale gagneront un prix supplémentaire de 2 000 USD (le statut d’étudiant sera vérifié par le biais des comptes de messagerie enregistrés auprès des établissements accrédités par le gouvernement).
Équipes remportant la deuxième place
Pour chaque région, les trois équipes finalistes (une pour chaque catégorie) remporteront 10 000 USD et trois mois de mentorat auprès de Facebook.
Équipes gagnantes
Pour chaque région, les trois équipes gagnantes (une pour chaque catégorie) remporteront 20 000 USD et trois mois de mentorat auprès de Facebook.
Dates
• Ouverture des inscriptions : 15 février à 9 h 00 GMT
• Date limite des inscriptions : 28 avril à 11 h 59 GMT
• Annonce des finalistes (30 équipes pour chaque région : Afrique subsaharienne et Moyen-Orient/Afrique du Nord) : 19 mai à 9 h 00 GMT
• Date limite des inscriptions des finalistes : 2 juin à 11 h 59 GMT
• Annonce des gagnants : 19 juin à 9 h 00 GMT (trois équipes gagnantes et trois équipes finalistes pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, trois équipes gagnantes et trois équipes finalistes pour l’Afrique subsaharienne)
Consultez les règles du concours ici : https://MessengerChallenge.splashthat.com.
La ville de Dakar, Sénégal, a été choisie pour abriter, ce jeudi, le lancement de la plateforme d’accélération familiale en Afrique de l’Ouest francophone dénommée "The challenge initiative".
La plateforme « The challenge initiative » vise à appuyer les efforts des pays dans la mise en œuvre des interventions à haut impact de planification familiale, afin de contribuer au développement économique et socioculturel et à la lutte contre la mortalité maternelle et infanto-juvénile.
Il faut inscrire cette initiative dans le cadre du partenariat de Ouagadougou dans lequel sont engagés neuf pays de l’Afrique de l’Ouest: le Bénin, le Burkina-Faso, la Côte d’Ivoire, le Niger, le Sénégal, la Guinée, le Mali, la Mauritanie et le Togo.
Les représentants de ces différents pays qui sont principalement des ministres et des maires auront à leurs côtés deux pays invités : la République centrafricaine et la République démocratique du Congo.
Ils pourront s’inspirer du modèle de réussite du Sénégal en matière de contraception moderne ces trois dernières années. Aussi pourront-ils participer à un atelier de réflexion sur la planification familiale et les nouvelles opportunités de financement.
Rappelons que le partenariat de Ouagadougou a tenu sa 5ème réunion à Abidjan(Côte d’Ivoire) du 12 au 14 décembre 2016 sur le thème : « Promouvoir la conception, c’est garantir un meilleur avenir pour les jeunes ».
Dominique Ouattara, première dame ivoirienne, veut prendre en charge les personnes souffrant d’infertilité en Afrique. C’est l’information capitale qui sort d’une conclave organisée par le groupe interafricain d’études, de recherche d’application sur la fertilité(Gieraf) du 7 au 10 février à Grand-Bassam(Côte d'Ivoire).
Selon son porte-parole, Son Jérôme, Dominique Ouattara a signé « un partenariat important avec une structure privée européenne, par le truchement de sa fondation Children of Africa », a-t-il confié.
Présente à cette cérémonie, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique ivoirien, Ly Ramata Bakayoko a souligné que la stérilité demeure un problème de santé publique et la femme en paie le plus lourd tribut. Avant d’appeler les participants et les décideurs à conjuguer leurs efforts pour une prise en charge réussie des patients.
Il faut indiquer que le sixième congrès du Gieraf tenu autour du thème : « Ethique et fertilité » a réuni 300 spécialistes de la santé venus de 17 pays africains et européens. Ils ont porté des réflexions sur la mise en place d’une plateforme pour intervenir dans la prise en charge des personnes stériles.
En outre, lors de ce sixième congrès le Béninois Latoudji Mohamed a été élu président de la Gieraf pour un mandat de 2 ans. Le prochain congrès se tiendra à Kinshasa en République démocratique du Congo.
Classé deuxième dans le top 7 des pays africains les plus développés, le Maroc n’est pas que beau. Il est aussi doux sur le palais. Caractérisée par la saveur, la diversité et l’originalité des mets, la cuisine marocaine est l’une des meilleures au monde. De plus, chaque recette présente des variantes.
Les appellations et même leurs préparations changent d’une région à une autre. C’est à juste titre que le pays s’est hissé au top des destinations gastronomiques du continent africain. Un tour d’horizon de la gastronomie marocaine avec Jumia Travel, acteur du tourisme en Afrique.
La gastronomie marocaine offre plusieurs recettes qui résultent de la variété culturelle et traditionnelle du pays. Les recettes sont aussi nombreuses que diversifiées. Plusieurs voyageurs et touristes vantent et apprécient bien cette cuisine, en général. Cependant, certains mets ont acquis une notoriété importante dans le pays. C’est le cas du Tajine, du Couscous, de la pastilla et du méchoui.
Le célèbre Tajine
Le Tajine est un plat emblématique du Maroc. Ce mets tient une place de choix dans le cœur de la population marocaine. Tous les voyageurs en demandent. Il doit sa popularité à son originalité et à sa touche traditionnelle. Il existe environs 300 recettes de tajines. C’est le mets qui comporte le plus de variantes. Vous avez entre autres le Tajine d’agneau aux abricots, Tajine traditionnel, Tajine d’agneau au pois chiches, Tajine de keftas aux œufs, Tajine de poulet au citron, Tajine de poulets aux figues séchées et bien d’autres.
Il se prépare à base de poisson, de viande, de légumes, de fruits et divers ingrédients. On en trouve de toutes les tailles et couleurs à moindre coût sur tous les marchés marocains, principalement dans les villes du sud telles que Marrakech et Agadir. À l’origine, le Tajine désigne un plat de cuisson de terre.
Le couscous
Mets d’origine berbère, le couscous est un plat typiquement marocain. Il est traditionnellement consommé les vendredis. Il est aussi consommé en grande masse les jours de célébrations spéciales telles que les mariages ou dans différentes fêtes de réjouissance familiale.
Le couscous est composé d’un mélange de viande, de légumes, et de semoule de blé cuite à la vapeur. Délicieux, plein de couleurs et de saveurs, le couscous présente également des variantes aussi multiples que succulents dont les plus populaires sont le couscous traditionnel, le couscous aux sept légumes et le couscous au poulet, à la cannelle et aux raisins secs aussi appelé la t’faya. C’est aussi l’un des mets marocains les plus exportés. On en trouve en Europe, notamment en France et dans les pays africains tels que l’Algérie, la Côte d’Ivoire, la Tunisie…
La pastilla, le mets qui se distingue
La pastilla est très appréciée par les touristes qui visitent le Maroc. Faite à base d’oignon, de viande de pigeons, de poulet ou de pintade, de fruits de mer et bien d’autres légumes, la pastilla est une sorte de gâteau de pâte feuilletée fourré d’un mélange des aliments précités. Elle est dégustée comme entrée ou comme plat principal. La pastilla est originaire de Fès, l’une des villes préférées des touristes européens. Cette spécialité typiquement marocaine est consommée généralement à l’occasion des cérémonies de mariages ou des fêtes traditionnelles. Il existe également de multiples variantes de la pastilla.
Le Méchoui : place aux carnivores
Essentiellement composé de viande, le Méchoui désigne plutôt le mode de cuisson de l’aliment principal de ce mets. Il est très répandu en Afrique du Nord avec parfois des préparations différentes. Au Maroc, il se prépare en creusant un trou dans lequel on construit un four en terre d’environ 2 mètres de profondeur. On y empile du bois qu’on brûle durant environ six heures. La terre étant brulante et le bois transformé en braise et en cendres, on y introduit la viande de mouton bien couverte après avoir réduit la quantité de braise dans le trou. La cuisson est prévue pour quatre bonnes heures.
C’est un plat qui se mange lors de l’Aid-El-Kbir (Tabaski), à des occasions de mariages et bien d’autres célébrations heureuses.
Dominique Eliane Yao
«Mise en œuvre des plans d’émergence en Afrique », c’est le thème de l’édition 2017 de la conférence internationale sur l’émergence de l’Afrique(CIEA) du 28 au 30 mars 2017 au Sofitel hôtel Ivoire, à Abidjan.
L’objectif général de la CIEA 2017 , selon le document que nous avons reçu, est d’approfondir le débat sur la problématique de la mise en œuvre des plans d’émergence de l’Afrique à la lumière des expériences menées en Afrique et ailleurs dans le monde.
Ainsi la CIEA 2017 sera l’occasion de revisiter la pensée et les idées sur l’émergence de l’Afrique, qui a été déclinée en 2015 dans ses dimensions institutionnelles, économiques et sociales, en tenant compte des évolutions de l’environnement international, etc.
Toujours selon le document, les travaux de la 2ème édition de la CIEA seront principalement centrés sur la question cruciale de la mise en œuvre des plans d’émergence: Il s’agira concrètement de discuter des bonnes pratiques africaines et des pays émergents en matière de mise en œuvre des plans d’émergence sur le plan de la gouvernance des institutions publiques.
Ces échanges se feront en référance à ces deux principaux thèmes suivants: la gouvernance des institutions publiques et la transformation structurelle, inclusive et durable.
L’opérateur hôtelier international, AccorHotels, a conclu 3 accords de partenariats avec des investisseurs éthiopiens pour la construction et la gestion de 3 hôtels à Addis-Abeba(Ethiopie). Ces partenariats renforce sa présence en Afrique anglophone.
AccorHotels en Ethiopie
Des cérémonies officielles ont eu lieu pour chacune des 3 signatures, en présence de Steven Daines et Olivier Granet, tous deux récemment nommés respectivement PDG et, Directeur Général et Directeur de Opérations, de AccorHotels pour l’Afrique et le Moyen-Orient.
«Nous sommes ravis de la signature de ces 3 projets représentant plus de 500 chambres, ce qui permettra de renforcer le leadership de tous les segments de AccorHotels sur ce marché en forte croissance et prometteur à l’horizon 2020 ; et ce, après la signature d’un Pullman de 330 chambres en 2014 et d’un Novotel de 156 chambres en 2015 », a déclaré Steven Daines.
L’opérateur hôtelier international nourrit de grandes ambitions pour préserver son leadership sur le continent en confortant sa position en Afrique du nord et de l’ouest et en accélérant son développement en Afrique de l’est et Australe.
«Je tiens à chaleureusement remercier nos partenaires pour leur confiance et leur loyauté pour construire ensemble un partenariat fructueux » , s’est réjoui M. Daines.
Ces projets contribueront à introduire de nouvelles marques internationales sur ce marché et participeront ainsi à l’élargissement de l’offre hôtelière du segment économique à Addis-Abeba. Leader en Afrique, AccorHotels gère 111 hôtels (19 600 chambres) couvrant tous les segments du marché allant du luxe à l’économique à travers 21 pays et emploie plus de 10 000 collaborateurs.
Des difficultés qui avaient été notées, il y a quelque temps, relativement à la commercialisation du cacao, le gouvernement donne l’assurance qu’il y a une nette amélioration d’évacuation des stocks observés dans les ports du pays, au niveau des paysans et des magasins, au sortir du conseil de ministres du mercredi 15 février 2017.
« Il est noté à ce jour, les baisses des stocks au niveau des paysans et des magasins de 17%. Il est également noté au niveau des ports, une amélioration substantielle des exportations, une amélioration de 33% », a confié Bruno Koné, porte-parole du gouvernement, et ministre de la Communication, ministre de l’Economie numérique et de la Poste, se référant à la dernière réunion du comité interministériel tenue lundi 14 février sous la présidence du Premier ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly.
« Le comité interministériel après avoir noté ces évolutions favorables a instruit le Conseil du café cacao de mettre l’accent sur toutes les zones de production de cacao et en particulier sur les zones frontalières pour que les problèmes résiduels soient résolus de façon à ce qu’un retour à la normale puisse être observé le plus rapidement possible », a-t-il indiqué, ajoutant qu’il n’y a aucun problème de ressources pour l’achat du cacao dont le kilo reste à 1100 Fcfa.
Le gouvernement a décidé de procéder aux remboursements des souscripteurs des structures agrobusiness. Le démarrage du processus est prévu avant la fin du mois de février 2017, a rassuré le ministre Bruno Koné, porte-parole du gouvernement, et ministre de a Communication, après un conseil de ministres, le mercredi 15 février 2017.
«Le gouvernement dispose d’un grand nombre d’informations sur le dossier. Il est prêt a démarrer les remboursements et cela se fera sur la base du capital investi dans la mesure évidemment des soldes disponibles sur les comptes», a-t-il dit, avant de préciser que le processus se fera avec les listes des différentes structures agrobusiness, lesquelles listes sont en cours de croisement entre les fichiers des souscripteurs, de ceux des entreprises agrobusiness et des fichiers des banques.
Concernant les différentes mesures prises par le gouvernement dans le cadre de ce dossier, le ministre Bruno Koné a une fois encore exprimé la bonne foi des autorités ivoiriennes. «Les décisions ont été prises dans l’intérêt des souscripteurs et dans l’intérêt du système financier du pays », a-t-il insisté.
Il faut souligner que dans l’affaire agrobusiness ce sont 28 structures qui ont été identifiées, 36 699 souscripteurs pour un capital investi de 66 milliards de Cfa, et un retour sur investissement de 660 milliards de Fcfa. Le gouvrenement a dit avoir retrouvé les traces de 22,7 milliards de Fcfa sur les comptes des entreprises agrobusiness.