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L’ancien footballeur international Didier Otokoré, reconverti en exploitant agricole, a évoqué vendredi à Agboville, lors d’un entretien avec l’AIP, son projet d’hôtel écologique en cours de réalisation à Agboville, qui va créer des emplois pour les jeunes Agbovillois.
‘’Je cultive à la lisière du périmètre rizicole d’Agboville, du gombo et de l’aubergine’’, a expliqué d’emblée à l’AIP, M. Otokoré.
L’international ivoirien a poursuivit pour dire qu’à terme va voir le jour un grand projet d’hôtel écologique qu’il compte réaliser après l’obtention de l’ACD de son terrain.
‘’Si tout se passe bien, il y aura d’ici quelques temps des étangs piscicoles, dans le cadre de l’hôtel écologique, ce qui veut dire que des clients vont venir et devant eux on va pêcher du poisson, on va cuire ça devant eux, pour eux, pour leur permettre de se restaurer en se régalant dans la gaîté’’, a affirmé Otokoré, ajoutant à titre indicatif que le terrain sur lequel il va réaliser ce projet a une superficie de six hectares.
Didier Otokoré a fait les beaux jours de l’AJ Auxerre en France et des Eléphants de Côte d’Ivoire, l’équipe nationale ivoirienne de football, dans les années 1980-1990, faisant partie des vainqueurs de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) Sénégal 92. Malgré sa reconversion réussie dans un secteur éloigné du football, l’agriculture, l’ex milieu offensif qui a coaché le Séwé de San Pedro, garde un pied sur le terrain et entraîne plusieurs fois par semaine des jeunes d’Abidjan.
(AIP)
L’Ivoirien Cheikh Karamoko Farouk, originaire de Mankono dans le Nord-ouest de la Côte d’Ivoire), a remporté à Médine, deux prix au Concours de connaissance islamique et de lecture coranique initié par le prince Bandar (fils du roi d’Arabie Saoudite), rapporte l’AIP. Il s’agit de la plus prestigieuse compétition de récitation du Coran dans le monde. Elle a lieuà la faveur du Hadj 2016 en Arabie saoudite. Au total, 300 impétrants (dont six ivoiriens) originaires de 82 pays, ont testé leur connaissance islamique et coranique par écrit.
Il recevra l’hommage des populations de Mankono les 24 et 25 février prochains, à l’occasion de l’inauguration d'une mosquée Abdoul Kader Mamadé de la ville, qu'il a lui même construite. Cette cérémonie vera la participation de la mutuelle de développement de Mankono (MUDEM).
Né en 1946, Cheikh Karamoko Farouk est marié et titulaire d’une licence de théologie acquise à l’Université islamique de Médine. Il est auteur de huit ouvrages sur l’islam et une œuvre sur l’histoire de Mankono, sa terre natale.
Depuis trois ans, Alex Pelling et Lisa Gant parcourent le monde et à chaque destination, le couple se marie.
Chaque union est spécifique et colle à la tradition locale. En tout, ils se sont dit «oui» 66 fois, mais pas une seule n’est légale.
En couple depuis 2008, ils ont décidé en 2011, de quitter Manchester (Royaume-Uni) où ils vivaient pour l’Australie, abandonnant tous leurs biens et vendant leur maison. Depuis, ils voyagent dans un camping-car à travers le monde.
Au Mexique, ils ont eu une cérémonie maya et une séance photo sous l’eau. Au Panama, ils ont vécu une cérémonie tribale, et un dauphin a assisté à leur union à Hawaï…
« Lisa et moi sommes de véritables romantiques. Nous avions regardé des mariages au Royaume-Uni mais tout était trop conventionnel alors que nous ne le sommes pas. Donc nous avons commencé à chercher des endroits insolites dans chaque pays que nous avons visité. Nos amis et notre famille ont pensé que nous étions fous, mais ils ont adoré l’idée une fois qu’on leur a expliquée… tant qu’on ne se mariait pas légalement pas hasard », raconte Alex.
AIP
La ville de Tiémé, à l’occasion du bitumage de la voie Odienné-Boundiali via Tiémé, bénéficiera de trois kilomètres de bitume, ont révélé les autorités municipales, au cours d’une réunion, vendredi, à la sous-préfecture.
En accord avec la mairie et la chefferie, huit rues ont été sélectionnées. Le document relatif au plan de la ville et comportant les rues à bitumer a été présenté au sous-préfet de Tiémé, Koffi Mathieu par le deuxième adjoint au maire Sylla Inza en présence de la chefferie.
La chefferie a remercié le chef de l’Etat pour cet acte de grande envergure pour le développement de la commune de Tiémé.
AIP
La ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Anne Désirée Ouloto a éprouvé vendredi, sa fierté après avoir constaté l’assainissement et la propreté de l’avenue 11, un quartier de la commune de Treichville, lors d’une visite, en compagnie du maire François Albert Amichia.
« Je suis fière des populations. Avec l’avenue 11, l’ivoirien nouveau est en marche », s’est réjouie la ministre Ouloto, expliquant que cette voie, avec son cadre de vie « propre et beau » se positionne désormais comme un souffle d’espoir pour la propriété de la Côte d’Ivoire parce qu’elle prouve que « la saleté n’est pas une fatalité ».
Pour sa part, le maire François Amichia a espéré que cette exemplarité des habitants de l’avenue 11 de sa commune fera « tâche d’huile » dans le district d’Abidjan pour que « Abidjan soit la perle des lagunes et non la perle des ordures », tout en exhortant à des gestes éco-citoyens tels que le ramassage des ordures, le jet des ordures dans une poubelle, le non bourrage dans les caniveaux.
Du matériel d’assainissement a été offert par la ministre Anne Ouloto, à l’ONG Own Business pour étendre ses activités de bénévolat dans les autres avenues de Treichville, en vue d’une meilleure gestion des déchets.
AIP
Trois élèves soupçonnés de mener des troubles dans les établissements secondaires de Yamoussoukro ont été arrêtés vendredi avec à leur possession une importante quantité de drogue.
Il s’agit de Koffi Aka N’Guessan, 26 ans, étudiant informatique technique à l’Université tertiaire du groupe Loko à Marcory, Yoro Bi François, 19 ans, élève en classe de 2nde A2 au collège Calé de Yamoussoukro et Tra Bi Louis, 21 ans, en classe de première D au lycée Djédri de la même ville tous de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI).
Une fouille corporelle et de leurs sacs a permis de retrouver 50 boulettes de cocaïne, un sabre long de 50 cm et un ceinturon militaire, selon le préfet de police de Yamoussoukro, le commissaire divisionnaire Dosso Siaka.
Ces élèves qui avaient réussi à déloger leurs camarades du collège Aureli s’apprêtaient à faire de même au lycée Konan 2 quand ils ont été arrêtés par des éléments de la police. Deux d’entre eux avaient été exclus de leur établissement suite à un mouvement de trouble dont ils étaient les initiateurs, mercredi, dans les écoles de Yamoussoukro.
AIP
Les audiences publiques visant à délimiter la frontière maritime – potentiellement riche en ressources pétrolières- entre le Ghana et la Côte d'Ivoire, qui s’étaient ouverte le 6 février 2017 à Hambourg (nord de l'Allemagne) devant le Tribunal international du droit de la mer (TIDM), ont pris fin le vendredi 17 février 2017. Le verdict est attendu en septembre de cette année, pour départager ces deux pays frères et amis qui se sont déjà engagés à s’en remettre à la décision de cette cour.
Après les dix jours de plaidoirie, les espoirs des deux camps restent tournés vers le président de ce tribunal, le juge Boualem Bouguetaia. Les membres des collèges d’avocats des deux pays ont profité de cette occasion pour faire valoir leurs arguments, chaque camp tentant de justifier les raisons pour lesquelles le président de la Chambre spéciale du TIDM devrait statuer en sa faveur.
« La Côte d'Ivoire n'a aucune preuve », attaque le Ghana
Dans son argumentaire, le Ghana devant la Cour, les avocats du Ghana ont reproché à la Côte d'Ivoire de fermer délibérément les yeux sur les arguments « juridiques bien fondés » de leur client. Selon le Ghana, la Côte d'Ivoire est figée sur ses « arguments sans fondement», car n’ayant « aucune preuve pour étayer ses allégations» selon lesquelles le Ghana a violé ses limites pour se retrouver dans l'espace maritime ivoirien, rapporte le site ghanéen asempanews.com.
"Nos amis vous offrent un nuage de fumée et quelques lignes: Les problèmes régionaux, l'accès inégal aux ressources, etc. Nous avons remarqué - comme vous, certainement - les nombreux points sur lesquels ils sont restés, pour la plupart, silencieux", a notamment avancé Pr Philippe Sands, avocat international et tête de file de la défense ghanéenne devant les juges. « En particulier, ils n'ont rien trouvé à vous dire sur le respect par la Côte d'Ivoire d’une frontière habituelle représentée par une ligne à équidistance (droite allant de la jonction de la frontière terrestre commune sur la côte jusqu’en haute mer) des deux pays, de son accession à l'indépendance jusqu'en 2009", a-t-il poursuivi.
Se prononçant sur une carte du bassin litigieux élaborée par la Côte d'Ivoire en 2005 et intitulée «Opportunités en eau profonde en Côte d'Ivoire», le Pr Sands a soutenu que ce pays « qu’ils (les Ivoiriens) disposent de la plus grande part d’hydrocarbures, mais cela ne les suffit pas, ils veulent encore plus". Tout en accusant la Côte d'Ivoire d'être sélective en matière de géologie, il a dénoncé une présumé activité pétrolière de la Côte d'Ivoire dans cette zone depuis 2005. "(…) Plus de 178 forage d'exploration et de développement d’activités pétrolières ont été creusés dans le bassin sédimentaire de la Côte d'Ivoire, conduisant à une production cumulée de 90 millions de barils de pétrole et 400 milliards mètre cubes de gaz. Quatre-vingt-dix millions de barils, c’est beaucoup plus que ce que le Ghana pouvait produire à cette époque", a relevé Philippe Sands.
Toujours sur l'ampleur de la présumée production pétrolière par la Côte d'Ivoire durant des années précédant le litige, le Prof. Sands a déclaré que "la production pétrolière en Côte d'Ivoire était d'environ 20 000 barils par jour en 1996, atteignant environ 60.000 barils par jour ; et pouvait atteindre jusqu’à 70.000 barils par jour en 2009 ». « Pour atteindre ce niveau de production, la Côte d'Ivoire a attiré des investisseurs étrangers, notamment parce que la Côte d'Ivoire a pu offrir et s'appuyer sur une frontière fixe convenue de manière bilatérale, et qui a été pleinement respectée par le Ghana", a-t-t-il insisté, niant dans la foulée l’accusation de la Côte d’Ivoire selon laquelle le Ghana violerait ses droits souverains. "La Côte d'Ivoire a omis de signaler toute conduite du Ghana susceptible de compromettre ou entraver la détermination de la frontière".
Pour sa part, Fui Tsikata, l'un des avocats du Ghana, a déclaré que la Côte d'Ivoire avait délibérément ignoré ou dénaturé les faits devant le tribunal. D’après lui, sur 15 cartes qui ont été montrées la semaine dernière durant les débats, sept ont été produites par cinq ministères en Côte d'Ivoire.
« Pas de ligne équidistante, plutôt une bissectrice », rétorque la Côte d’Ivoire
De leur côté, les avocats de la Côte d’Ivoire, qui avaient à leur côté une délégation d’officiels conduite par le conseiller du chef de l’Etat chargé de l’Energie, des Mines et du Pétrole, Adama Toungara, et du ministre de l’Energie et du Pétrole, Thierry Tanoh, ont rejeté l'imposition de la ligne équidistante telle que définie par la partie ghanéenne.
Pour la Côte d'Ivoire, la revendication de l'équidistance du Ghana risque de nuire à ses intérêts, mais aussi à ceux d'autres pays comme le Togo et le Bénin dans le golfe de Guinée. La partie ivoirienne a proposé, en lieu et place d’une ligne équidistance, le tracé d’une bissectrice (allant de l’angle formé par la frontière terrestre commune, de la côte jusqu’en haute mer en deux parts égales). Ce qui, selon elle, respecte les droits et intérêts des pays voisins.
Les défenseurs de la Côte d’Ivoire ont fait valoir que les États situés sur la section du golfe de Guinée. Ils ont en outre estimé que la Côte d'Ivoire et le Ghana étaient les premiers pays à avoir mené des négociations en bonne et due forme pour délimiter leur frontière maritime commune, avant de soumettre l’affaire à l’arbitrage du tribunal international suite à l'échec de ces négociations.
A tour de rôle, ces avocats, dont Alain Pellet, Michel Pitron et Alina Miron, se sont relayés pour défendre la cause de leur client. Pour Me Pellet, la proposition du Ghana d'établir ligne équidistante de séparation est subjective, tandis que la revendication de la bissectrice par la Côte d'Ivoire est plus objective et appropriée. Pour sa part, M. Pitron a accusé le Ghana de priver la Côte d'Ivoire de profiter d’une zone d'intérêt de la sous-région. C’est pourquoi, a-t-il argumenté, la solution de la bissectrice devrait être adoptée pour préserver les intérêts d'autres États dans la sous-région.
"Ainsi, la jurisprudence de la Cour internationale de Justice, comme celle des tribunaux arbitraux, adopte une vision macro-géographique des différends et tient compte des droits reconnus, ainsi que des droits potentiels des États voisins dans la même région", a soutenu la Côte d’Ivoire dans son exposé. "Dans ce cas particulier, la délimitation de la frontière maritime entre la Côte d'Ivoire et le Ghana n'empiètera pas sur les droits d'États tiers puisque le golfe de Guinée est ouvert à l'océan. Par conséquent, la frontière maritime entre la Côte d'Ivoire et le Ghana ne risque pas de causer directement des préjudices au Libéria, au Togo ou au Bénin ou les autres États du Golfe de Guinée. Néanmoins, délimiter cette frontière de la manière préconisée par le Ghana serait susceptible de créer un précédent sous-régional », a insisté la Côte d'Ivoire.
Le juge félicite les deux parties
Entre-temps, le Président de la Chambre spéciale a félicité les deux équipes d’avocats pour leur professionnalisme pendant toute la durée de l'audience. "Je tiens à remercier les deux parties, et à exprimer combien nous avons apprécié le comportement des représentants du Ghana et la Côte d'Ivoire. Je voudrais également remercier les participants des deux pays", a-t-il dit, avant d’annoncer la décision du jugement pour fin de septembre.
Un litige frontalier maritime oppose depuis plus d’une décennie la Côte d’Ivoire et le Ghana, deux pays frontaliers, qui ont décidé de saisir les juridictions internationales afin de les départager sur le tracé de leur limite commune en mer. Les deux pays s’attendent « un verdict qui confirme la fraternité et l’amitié » qui les lient depuis des siècles, selon la délégation ivoirienne.
Armand Tanoh
La Diplomatique d’Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net), annonçait récemment que des mandats d’arrêt internationaux étaient en préparation contre des dirigeants d’entreprises d’agrobusiness. Depuis le 30 janvier, un mandat d’arrêt international, co-signé par le procureur de la République, Adou Richard, et le doyen des juges d’instruction, Coulibaly Ousmane Victor, a été lancé contre trois de ces personnes. Il s’agit de Yapi Christophe, patron de la société Agromix, maison mère de MonHévéa.com, la plus importante entreprise d’Agrobusiness, et son frère et associé Yapi Marcel, ainsi que « tous autres » personnages impliqués dans cette affaire.
« Escroquerie et blanchiment de capitaux »
Le mandat « prie les autorités de la France où il a été aperçu pour la dernière fois, de rechercher, d’arrêter, et de conduire à la maison d’arrêt la plus proche, en se conformant à la loi, le nommé : Yapi Christophe Honoré, né le 03 septembre 1969 à Abengourou… », qui est « inculpé d’escroquerie sur des sommes non encore évaluées et de blanchiment de capitaux ».
Retour sur les faits
Un groupe de travail mis en place, en novembre, par le gouvernement ivoirien, avait pour mission d’enquêter sur les activités de ces sociétés d’agrobusiness. Des sociétés qui proposent à leurs souscripteurs des plans d’investissement agricoles dans le domaine de l’agroalimentaire, contre des retours sur investissement (RSI) dans des délais de trois à six mois s’élevant entre 300 et 1000% d’intérêt.
Le groupe a listé un total de 28 sociétés dites d’agrobusiness avec un nombre de souscripteurs estimé à 36 699 (résidents comme non-résidents) pour un montant investi de 66 milliards de FCFA. Par contre, selon le groupe de travail, seulement un montant de 22,7 milliards F CFA est disponible sur les comptes de l’ensemble des entreprises là où les promesses de RSI sont évaluées à 660 milliards FCFA. Contrairement à ce qu’allèguent ces entreprises quelques-unes seulement (sur 28 listées) disposent à peine de terres, et même pas mises en valeur. Les autres n’ont que des plantations virtuelle, conclut le groupe de travail.
Remboursement du capital investi
En attendant que ces personnes suspectées d’escroquerie soient tous mis aux arrêts et jugées, le gouvernement vient d’annoncer le remboursement des capitaux investis par les souscripteurs. Et la première liste des souscripteurs devant être remboursés devrait être disponible dès le lundi 20 février 2017. Pourtant, ces derniers n’entendent pas les choses de cette oreille et réclament le paiement intégral de leurs RSI. Ce qui passe selon eux par la libération des dirigeants d’entreprises et le dégel des comptes.
Armand Tanoh
Dans une note d’information publiée vendredi, la ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité, Mariatou Koné, met en garde les associations de victimes et des personnes malveillantes « qui soutirent de l’argent aux victimes » dans le cadre de l’opération de réparation et de l’indemnisation des victimes de la crise ivoirienne initiée par le gouvernement.
« Il est vrai que ces associations servent de relais par moment, de facilitateurs mais les victimes ne doivent pas se laisser gruger. Certaines associations se sont transformées en bandes d’escrocs, c’est-à-dire qu’elles en rajoutent à la souffrance des victimes », a relevé la ministre au terme d’une audience qu’elle a accordée lundi au nouveau président du Conseil d’administration de la Confédération des organisations (COVICI), Anon Christian Simplice.
Pr Mariatou Koné a déploré le fait qu’un membre ou un responsable d’association, sous prétexte qu’il a inscrit une victime, s’accapare de plus de la moitié ou du tiers de la somme perçue lors de l’indemnisation. Elle a assuré que des mesures seront prises pour résoudre ces problèmes.
Lancé le 04 août 2015 au palais présidentiel en présence du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, la première phase des indemnisations concerne 4500 victimes dont 3500 ayants-droits de victimes décédées et 1 000 blessés. Le processus d’indemnisation se déroule sur tout l’ensemble du territoire national et touche toutes les régions du pays, rappelle-t-on.
AIP
Le Premier ministre ivoirien, Amadou Gon Koulibaly, a lancé, vendredi 17 février 2017, à Divo les travaux d’un projet routier concernant le bitumage de l’axe Divo- la côtière en passant par Guitry et la réhabilitation de la nationale A2 qui relie l’autoroute du nord à la ville de Gagnoa, rapporte l'AIP.
Trois régions, le Goh, le Lôh-Djiboua et l’Agneby-tiassa seront directement impactés par ce projet d’un montant global de 116 milliards F CFA.