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a Confédération des fédérations nationales des filières bétail et viande de l’Afrique de l’Ouest (COFENABVI-AO), a procédé mardi, à la remise des clés d’un parc à bétail à la mairie de Niakara (Centre-Nord, région du Hambol), dans le cadre d’un partenariat de type BOT (Build operate and transfert) avec la mairie de Niakara, a constaté l’AIP sur place.
« Ce parc, véritable marché de bétails, qui servira au chargement et au déchargement d’animaux, est né d’un constat et d’un besoin exprimé par les bouchers, les éleveurs, les acteurs nationaux et internationaux de la filière », a indiqué Marc Koné Kidjafolo, maire de Niakara, recevant les clés de cette infrastructure moderne des mains d’Issiaka Sawadogo, président de la COFENABVI-AO, en présence des autorités administratives, traditionnelles et religieuses.
Par ailleurs, il a exhorté les acteurs de la filière bétail à faire de cet ouvrage, qui deviendra une propriété de la commune en 2021, un véritable lieu d’échanges commerciaux à l’image de celui de Port-Bouet (Sud, Abidjan).
D’une valeur de 12 millions de francs CFA, ce parc à bétail couvre une superficie de 3600 m2 et comprend un grand compartiment, quatre enclos, un couloir d’accès et un quai de chargement.
AIP
Impossible n'est pas Barça! C'est une première dans l'histoire du football ! Au terme d'un match complètement fou, le Paris Saint-Germain a été éliminé de la Ligue des champions par le FC Barcelone, vainqueur 6-1 dont un but à la dernière seconde. Le PSG entre dans l'histoire, mais par la petite porte, devenant le premier club de l'histoire à avoir été éliminé après avoir remporté le match aller 4-0.
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Le gouvernement a adopté mercredi, en conseil des ministres, un projet de loi portant création d’un organisme de régulation du secteur pharmaceutique, annonce l'AIP.
Dénommée Autorité ivoirienne de la régulation pharmaceutique (AIRP), l’instance aura pour mission de garantir la qualité, la sécurité et l’efficacité des médicaments de la fabrication à l’utilisation. L’AIRP est une autorité indépendante dotée de la personnalité juridique et de l’autonomie financière.
Selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, la mise en place de cet organisme vise à mieux protéger le consommateur contre les produits pharmaceutiques contrefaits, faux ou falsifiés tout en mettant en cohérence la gestion et la régulation du secteur en Côte d’Ivoire avec les standards internationaux tels que prescrits par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
L’AIRP, conformément à ses attributions, aura notamment à contrôler les matières premières destinées à la fabrication des médicaments mais également, les médicaments à base de plante ainsi que tous les autres produits pharmaceutiques.
L’autorité pourra également prendre des sanctions à l’encontre des opérateurs économiques du secteur qui se livreraient à la commercialisation de produits contrefaits ou qui exerceraient en dehors des établissements et circuits officiels.
Le projet de loi instituant l’AIRP prévoit de « lourdes sanctions » contre ce type d’opérateurs, a fait savoir le porte-parole du gouvernement.
Les élèves du collège moderne d’Adzopé ont manifesté lundi contre le manque de tables-bancs dans les salles de classe, rapporte l’AIP.
« Nous avons longtemps supporté cela maintenant, nous n’en pouvons plus. Il n’y a même pas de bancs dans les classes. Nous sommes obligés de nous asseoir à trois voire quatre par banc. Dans ces conditions, comment voulez-vous qu’on puisse copier les leçons », ont dénoncé les manifestants.
« Regardez par exemple ce matin on avait cours au Labo 2 et il n’y avait que sept tables-bancs pour 86 élèves. Où on va avec tout ça ?», a ajouté un élève en classe de 3e sous le couvert de l’anonymat.
Le principal du collège moderne d’Adzopé, Hilly Suzanne a tenu à rassurer les élèves, promettant de tout mettre en œuvre pour que la situation puisse être réglée très rapidement. Elle leur a demandé de reprendre les cours pour ne pas accuser de retard.
En plus du manque de tables-bancs, les élèves ont par ailleurs réclamé les tenues de sports. « L’année dernière c’était la même chose, on a payé les tenues de sport et jusqu’à la fin de l’année on a rien reçu. Et c’est le même cas encore cette année », a fait savoir Somé Alban, élève en classe de Tle A.
Le président de la Fédération ivoirienne de football (FIF), Augustin Sidy Diallo a annoncé lundi, sa candidature au conseil de la Fédération internationale de football association (FIFA) aux clubs responsables des clubs affiliés, au cours d’une réunion au siège de l’institution, à Treichville, indique une note d’information parvenue à l’AIP.
Selon le document, il a été adoubé par les clubs, les groupements d’intérêts et les membres du Comité Exécutif qui lui ont manifesté leur appui et leurs vœux de voir son initiative couronnée par le succès, à l’occasion de l’assemblée Générale de la CAF qui se tiendra le 16 mars en Ethiopie.
D’autres sujets ont aussi meublé cette rencontre dont le bilan moral et financier de la participation des Eléphants à la 31ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) et l’appel à candidature pour le poste de sélectionneur de l’équipe nationale après la démission du Français Michel Dussuyer.
AIP
Le vice-président de la République Daniel Kablan Duncan, accompagné du diplomate américain Andrew Jackson Young, a procédé mardi à la pose de la première pierre du nouveau campus de l’université internationale de Grand-Bassam (IUGB) dans la ville historique ivoirienne, d’un coût de 38 milliards de FCFA.
Créée en 2005 avec huit étudiants, l’UIGB a un effectif, en 2017, de 664 étudiants dont 44% de jeunes filles. Ces étudiants sont originaires de 24 pays dont 11 de la CEDEAO, précise-t-on.
L’université internationale de Grand-Bassam est aujourd’hui confrontée à un problème d’espace, vu la croissance de l’effectif des étudiants qui sont, pour la majorité, inscrits dans les autres filières autres que les sciences, signale-t-on.
Pour répondre à ces besoins, le président de l’institution académique, le Pr Saliou Touré, a décidé de l’extension de l’UIGB sur un nouveau site de 51 ha devant abriter quatre zones, à savoir une zone Education, une zone Vie des étudiants, une zone Administration et une zone Multisports.
Le plan stratégique de développement de ce campus prévoit deux phases : la première, de 2017 à 2020, et la seconde, de 2020 à 2025, avec une capacité de 3000 étudiants à terme, signale-t-on.
La seule vocation de cette université, estime son recteur, c’est de produire une formation de qualité dans le secteur éducation-formation pour faire de la Côte d’Ivoire un pôle d’attraction et d’acquisition du savoir.
C’est pourquoi, le vice-président Daniel Kablan Duncan a recommandé que l’IUGB soit dans l’avenir un centre de transformation de l’Afrique à travers la formation d’un capital humain selon les standards anglo-saxons et américains, sollicitant un appui de l’Etat pour rechercher les financements de la construction de ce nouveau campus.
Depuis 2005, ce sont 3000 étudiants qui ont été formés à l’UIGB, a-t-on noté.
AIP
Le premier centre multiethnique du canton Balo a été inauguré par la ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité, le Pr Mariétou Koné, à Boguédia, dans le département d’Issia, rapporte l'AIP.
Ce centre, constitué d’une salle de médiation et d’arbitrage, d’un logement de juges coutumiers, d’un réfectoire et d’une administration, est un cadre devant servir à régler les conflits entre les différentes communautés vivant dans le canton Balo et à favoriser la réconciliation.
Lors de son inauguration, lundi, la ministre Mariatou Koné a souligné que ce centre va permettre aux ivoiriens d’apprendre à revivre ensemble après la période de post-crise électorale.
Le porte- parole des populations, pour sa part, s’est réjoui de ce cadre qui va permettre à tous les chefs du canton Balo de se retrouver pour régler les litiges et réconcilier les populations.
La représentante spéciale de l’ONU, Aïchatou Mindaoudou, a souligné que malgré le départ définitif de l’ONUCI, les Nations Unies vont continuer à accompagner les autorités ivoiriennes, à travers la Fao, l’Unicef, le PNUD et bien d’autres organismes onusiens. Elle a souhaité que ce centre ait un impact significatif dans la cohabitation des différentes communautés.
Des centres similaires seront créés dans d’autres localités du pays, a annoncé la ministre de la Solidarité.
Dans le cadre du transfert de ses activités aux structures étatiques, de l’ONUCI a apporté un appui financier de 94 millions de FCFA au ministère de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité pour la mise en œuvre des projets à impact rapide dont le centre multiethnique de Boguédia, rappelle-t-on.
L’ong Search For Commen Ground a formé vendredi au cours d’un atelier de mise à niveau organisé au foyer polyvalent d’Oumé, plusieurs organisations de la société civile de la ville sur la réforme du secteur de la sécurité, la filière café/cacao, le code minier et la législation dans le but de promouvoir la bonne gouvernance et la cohésion sociale.
Selon Bakré Yvonne, responsable de la société civile, cette rencontre avait également pour but d’encourager le dialogue, recueillir les avis et préoccupation des populations en matière de gouvernance. Elle a en outre souligné que les participants au séminaire seront dans les mois à venir déployés sur le terrain afin d’informer et sensibiliser les populations. La délégation de la société civile va sillonner, à cet effet, Divo, Gagnoa, Oumé et Lakota.
Mme Bakré précise que la mission rencontrera les leaders communautaires à savoir la chefferie traditionnelle, les guides religieux, les associations de jeunes et de femmes.
Deux comités de veille et d’observation des reformes prioritaires en matière de bonne gouvernance ont été installés, apprend on.
AIP
Le Détachement d’aide au secours d’urgence département 62 (DASUD 62) de France dispense de mardi à mercredi des séances de formation de secourisme au centre de secours d’urgence des sapeurs-pompiers civils de Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué), à l’intention des jeunes volontaires recrutés au sein de la société civile.
Cette formation initiée par plusieurs partenaires dont la Fondation « Lady Jeanne » concerne une cinquantaine de jeunes qui recevront des rudiments en matière de secourisme pour faire face aux nombreux sinistres sévissant dans la région.
Selon l’un des formateurs, le docteur colonel Duriez René, la formation porte sur la conscience ou le coma, la respiration, la circulation sanguine, l’hémorragie interne et externe ainsi que la traumatologie.
« Nous avons pris en charge tous les participants ainsi que leur recrutement au sein de la société et croyons qu’à l’issue de cette formation, les apprenants réussiront à mettre en pratique toutes les notions de base », a fait savoir la coordinatrice de la Fondation, Diégba Elizabeth.
Créée dans le dernier trimestre de l’année 2012, la Fondation « Lady Jeanne » dirigée par Mme Diby Béatrice s’est fixée plusieurs objectifs dont la contribution à l’autonomie de la jeune fille au plan de l’éducation, la santé, l’insertion et la réinsertion socioprofessionnelle, par l’entrepreneuriat et son implication dans la préservation de son environnement.
AIP
La ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie relève que seulement 25,3% des 83 districts sanitaires disposent d’un service offrant des soins de santé mentale notant une insuffisance de services et de spécialistes en santé mentale en Côte d’Ivoire.
S’exprimant lundi, à l’ouverture du congrès international de la société africaine de la santé mentale, la ministre Goudou Coffie a révélé que 57 établissements socio-sanitaires offrent des soins en santé mentale en Côte d’Ivoire dont 15% en zone urbaine et 63% dans la région d’Abidjan. S’agissant des spécialistes, la Côte d’Ivoire compte 32 médecins-psychiatres dont six psycho-psychiatres et 73 infirmiers et sages-femmes spécialisés, a-t-elle souligné.
Au regard de ces chiffres, a expliqué Raymonde Coffie, le ratio donne un psycho-psychiatre pour 1446 enfants et adolescents, un psychiatre pour 338 305 et un infirmier ou sage-femme spécialiste pour 276 433 personnes.
Pour la ministre Raymonde Goudou, la Côte d’Ivoire en s’appuyant sur les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), insiste sur la nécessité d’intégrer les soins de santé mentale dans les soins primaires afin de permettre le rapprochement des soins de la population.
Quelque 200 congressistes venus de 18 pays vont réfléchir durant trois jours sur le thème « Femmes, Développement et psychopathologie en Afrique ».
AIP