Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Jeremy Hodara, Cofondateur de Africa Internet Group, a pris part au Forum économique Forbes Afrique 2015. à Brazzaville. Le Co-PDG du leader du secteur de l’Internet en Afrique à l’origine de JUMIA, était l’un des intervenants du panel sur le thème : E-commerce en Afrique: Comment dépasser les contraintes.

Le Forum Forbes Afrique 2015 se proposait d’éclairer les conditions nécessaires à un développement raisonné d’Internet en Afrique. C’est à juste titre que le troisième panel du Forum a été dédié au commerce électronique et les contraintes liées au développement de ce secteur. Invité de ce panel, Jeremy Hodara, le patron de Africa Internet Group a exposé la méthode et la vision de ce groupe qui est à l’origine d’une dizaine d’entreprises dans plus de 30 pays d’Afrique, dont notamment JUMIA, présente dans 12 pays.

Lancée en Côte d’Ivoire en 2012, Jumia-CI a réussi à s’imposer comme le leader du e-commerce du pays. Ce succès profite aux entreprises et entrepreneurs locaux qui voient leur zone de chalandise s’agrandir et leur chiffre d’affaires s’accroître.

 Les défis à relever

Ce forum souligne de nombreux défis à relever. Il s’agit de l’universalisation de l’accès à internet et des TIC pour tous dont souffre la plupart des pays africains. En outre, le coût du haut débit, la faible bancarisation couplée aux réticences face au paiement en ligne, l’analphabétisme et les contraintes logistiques, la mise en place d’un cadre juridique clair pour le secteur demeurent autant de sujets de réflexion encore dans des pays africains.

Cependant, ces sujets ne freinent pas des perspectives optimistes. Selon les estimations, le commerce en ligne pourrait représenter 10% des ventes dans les économies africaines les plus dynamiques et atteindre 75 milliards de dollars de transactions annuelles en 2025.

 
Le magazine francophone Forbes Afrique a tenu la 4ème édition de son forum économique annuel à Brazzaville(République du Congo). Le Forum économique Forbes Afrique 2015 a vu la participation de plusieurs chefs d’Etat africains, dont Monsieur Alassane Ouattara, Président de la République de Côte d’Ivoire ainsi que de nombreuses personnalités africaines et internationales issues du monde économique et politique.

Daniel Coulibaly, avec Jumia-CI

 

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L’observatoire ivoirien des droits de l’homme(OIDH) avec la collaboration de la Fondation Friedrich Naumann pour la Liberté, et soutenu par  l’Union africaine(UA), a organisé un atelier de « Renforcement des capacités sur le Mécanisme africain d’évaluation par les pairs(MAEP) pour la Côte d’Ivoire » au siège de la Fondation Friedrich Naumann à Cocody.

Selon le président de l’observatoire ivoirien des droits de l’homme, Eric-Aimé Semien, l’objectif principal de cet atelier est de faire connaître le MAEP aux pouvoirs publics, au patronat ivoirien, aux opérateurs économiques, aux organisations de la société civile etc, afin qu’ils se l’approprient. Surtout que l’Etat ivoirien vient de créer la Commission nationale pour le MAEP. Son mécanisme consiste, souligne le président de l’OIDH, pour chaque Etat membre, à se soumettre à une évaluation volontaire par les pairs sur l’état de la gouvernance globale. Celle-ci concerne 4 grands domaines: la démocratie et la gouvernance politique, la gouvernance économique et gestion, la gouvernance des entreprises, le développement socio-économique. «L’engagement de l’Etat ivoirien à aller dans le sens d’une évaluation est un signal fort pour travailler à l’amélioration de la gouvernance. En tant qu’acteur de la société civile, notre rôle est d’accompagner cette initiative à travers des actions de sensibilisation et d’information. Nous estimons que, pour le cap de développement que le pays veut atteindre, le MAEP se présente comme étant le sésame pour les droits de l’homme et les libertés publiques», a-t-il indiqué, ajoutant que cet atelier vise également à l’élaboration d’une stratégie d’action pour la Coalition d’organisations de la société civile pour la promotion de ce mécanisme africain, dans le but d’encourager l’Etat ivoirien à se faire évaluer.

M. Abdoulaye Alliagui, représentant le ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’Extérieur, et par ailleurs directeur des infrastructures et des TIC de ce ministère, a salué cette initiative du l’OIDH. « Cet atelier est le bienvenu, parce que c’est ensemble que nous parviendrons à faire de la Côte d’Ivoire un pays où la bonne gouvernance est de mise », a-t-il dit. Pour lui, si le Chef de l’Etat, Alassane Ouattara, a accepté l’adhésion de la Côte d’Ivoire au MAEP, c’est une volonté manifeste de promouvoir la bonne gouvernance.

Mme Sophie Konaté, chargée de programmes à la Fondation Friedrich Naumann, a, à son tour, approuvé cette action de l’OIDH qui vise à promouvoir la bonne gouvernance, et la défense des droits de l’homme, encourageant l’Etat ivoirien à se faire évaluer.

Il faut souligner que depuis le 29 juin 2015, la Côte d’Ivoire est le 35ème Etat membre du MAEP après avoir ratifié l’acte d’adhésion à l’occasion de la 22ème réunion à Addis Abeba en Ethiopie. Si la Côte d’Ivoire venait à se soumettre à une évaluation, c’est une voie ouverte pour son éligibilité au Millénnium Challenge Corporate, un programme financé par le Congrès Américain depuis 2004 en faveur des pays en voie de développement évalués sur certains indicateurs.

 

Daniel Coulibaly

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La liste des candidats déclarés définitivement admis au concours d'entrée au CAFOP, session 2015, est disponible depuis jeudi 30 juillet 2015.Pour la consulter, cliquez ici.

Bonne chance à tous les candidats.

 

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Dans la sous-région comme sur le plan international, la politique active de coopération d'Alassane Ouattara redonne au pays toute son influence après des années d'isolement.

 

La Côte d’Ivoire sort enfin de son isolement diplomatique. Après dix années de crise, Alassane Ouattara a instauré une politique étrangère dynamique, renforcée par son mandat de président de la Cedeao entre février 2012 et mars 2014. À ce titre, il a aidé à résoudre plusieurs crises dans la sous-région – aux dépens parfois de certains dossiers internes, comme la réconciliation, maillon faible de son pouvoir -, notamment après les coups d’État au Mali et en Guinée-Bissau au printemps 2012.

 

 

En quelques années, Abidjan est redevenu un point de passage obligé des personnalités politiques du monde entier : Hillary Clinton, alors secrétaire d’État des États-Unis, s’y est rendue en janvier 2012, le Premier ministre japonais Shinzo Abe en janvier 2014, le président français François Hollande en juillet de la même année…

 

 

Alassane Ouattara fait même office de sage auprès de ses homologues d’Afrique de l’Ouest. Le Togolais Faure Gnassingbé, le Guinéen Alpha Condé, le Ghanéen John Dramani Mahama ou la Libérienne Ellen Johnson Sirleaf sont tour à tour venus le consulter. Le 28 avril, au lendemain d’une élection présidentielle contestée au Togo, il n’a pas hésité à se rendre à Lomé en compagnie de John Dramani Mahama, alors président de la Cedeao, pour tenter de faire reconnaître le verdict des urnes.

 

 

Ses interventions sont également sollicitées à l’échelle du continent. « Le fait que l’Union africaine [UA] ait demandé au président Ouattara d’ouvrir des discussions avec Mohammed VI au sujet d’un possible retour du Maroc [le royaume avait quitté l’UA en 1984 pour protester contre l’admission de la République arabe sahraouie démocratique] démontre son influence », confie un ambassadeur africain en poste à Abidjan.

 

 

Sur des dossiers aussi brûlants que le terrorisme ou le réchauffement climatique, le pays est aussi mis à contribution. Yamoussoukro a accueilli les 24 et 25 juin un Sommet des régions et villes d’Afrique pour le climat, en prévision de la Convention-Cadre des Nations unies sur les changements climatiques (COP 21), qui se tiendra à Paris en décembre.

 

 

Cette activité diplomatique a largement contribué au retour de la BAD dans la capitale économique ivoirienne. Elle a aussi favorisé l’ouverture de l’économie du pays aux investisseurs sud-coréens, turcs, chinois ou américains. C’est par exemple le sud-coréen Hyundai qui a construit l’extension de la centrale thermique de Yopougon (est -d’Abidjan). Une « éco-diplomatie » mise en œuvre par Charles Koffi Diby, le ministre des Affaires étrangères. « De nombreux pays nous rendent des visites d’amitié et de travail, au cours desquelles sont signés de nouveaux accords de coopération », explique le chef de la diplomatie ivoirienne, qui a conclu en avril plusieurs conventions fiscales et juridiques avec la Turquie et qui prépare d’autres accords bilatéraux avec l’Égypte.

 

 

Le 23 avril, le palais présidentiel a remis leur nouvelle feuille de route aux ambassadeurs. Onze adjoints ont été nommés, à New York, Abuja, La Haye, Addis-Abeba, Bruxelles, Genève, Londres, Madrid, Rome, Vienne, ainsi qu’à l’Unesco (à Paris). La diplomatie ivoirienne couvre actuellement 60 % des pays membres de l’ONU. L’objectif est d’atteindre les 90 % à l’horizon 2018, soit 175 pays sur 193.

 

 

Source : jeuneafrique.com

 

 

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Le président de la République a déjà dégagé 100 milliards de FCFA pour que le programme de l’école obligatoire de 6 à 16 ans commence en septembre 2015, a affirmé la ministre de l’Education nationale et de l’enseignement technique (MENET), Kandia Camara.

Pour Kandia Camara, qui s'exprimait, vendredi à la télévision nationale, en marge de la visite d'Etat du présiden t Ouattara dans le district du Woroba, ce fons doit permettre la réalisation effective de ce projet "historique" d’école obligatoire.

"Le projet école obligatoire est une ambition du Président. C'est une vision, une ambition qu'il nourrit depuis longtemps. Et il se donne les moyens de réaliser cette ambition.", a-t-elle insisté.

Elle a expliqué que la mise en oeuvre du projet a commencé depuis 2011 et a permis la construction de 12 000 salles de classe et le recrutement de 35.000 enseignants. "Actuellement, 5000 salles de classes supplémentaires sont en construction", a dit la ministre Kandia.

Elle a appelé les parents à s’approprier ce projet dès la rentrée prochaine en scolarisant leurs enfants. "(...) ce projet vise à donner les mêmes chances à tous les enfants ivoiriens quelq ue soit leur milieu d'origine. Il résout également la question du chômage en permettant aux jeunes d’être bien formés", a conclu Kandia Camara.

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Trois présumés djihadistes ont été arrêtés dans la nuit de samedi à dimanche dans un campement de Kotoula, dans la sous-préfecture de Tienko (Nord-ouest) puis transférés lundi à Abidjan.

Il s'agit de Abdoul Karim, né en 1965 à Sokourani au Mali et maitre coranique, Yacouba Koné, né au Mali et domicilié à Kotoula et leur tuteur Konaté Seydou né en 1974 à Tienko. Il a été trouvé sur eux deux fusils calibre 12, des munitions et des corans.

Dans son audition, Abdoul Karim a reconnu avoir été imam dans une mosquée pendant une décennie au Mali et déclaré avoir été destitué de ses fonctions à cause de son extrémisme dans les prêches.

Il serait le premier arrivé à Kotoula après les attaques de Fakola. Son complice l'a rejoint quelques semaines plus tard. Mais les villageois ayant remarqué la présence suspecte de ces deux personnes ont alerté les forces de défense et de sécurité en poste à proximité de leur village.

Depuis quelques semaines, le gouvernement ivoirien, suite aux menaces Djihadistes, a renforcé son dispositif sécuritaire le long de la frontière avec le Mali voisin avec un poste de commandement basé à Goulia, afin de prévenir toute velléité d’attaque terroriste, rappelle-t-on.

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Après la levée de l’embargo sur son diamant en avril 2014, la Côte d’Ivoire a repris les activités d’exploitation et d’extraction de ce minerai, a appris l’AIP de source proche du ministère de l’Industrie et des Mines, qui annonce des échanges, samedi à Séguéla (Nord-ouest), entre le ministre Jean-Claude Brou et les bureaux d’achats, collecteurs et société coopératives d’exploitation de diamant exerçant dans ce département.       

Cette "visite de travail" de M. Brou, qui entre dans le cadre de la visite d’Etat qu’effectue le Président Alassane Ouattara dans le district du Woroba, le conduira notamment au bureau du projet  Droits de propriété et développement du diamant artisanal (DPDDA II), qui a permis la délimitation d’une quinzaine de villages pour l’exploitation et l’extraction de diamant.

Ce projet cofinancé par les USA et l’Union européenne, en vue améliorer les activités économiques dans ces localités, a également permis le réaménagement d’un ancien site minier en bassin piscicole dans le village de Bêkôrô, situé derrière l’aéroport de Séguéla, que Jean-Claude Brou va visiter.

Il se rendra aussi sur des parcelles en activités dont celle de "Djawara" exploitée par la société coopérative de Bobi, ainsi que le camp minier de la SODEMI, avant d’avoir une séance d’échanges avec les bureaux d’achats, collecteurs et société coopératives d’exploitation de diamant.

Un embargo onusien qui frappait le diamant ivoirien depuis 2005, du fait de la crise militaro-politique (2002-2011), a été levé en avril 2014.

La production annuelle de diamant en Côte d’Ivoire se situe autour de 300.000 carats (1 carat = 0,2 gramme), plaçant le pays bien loin derrière les premiers producteurs mondiaux (Botswana, Russie, Angola, Canada). Entre 200.000 et 300.000 Ivoiriens en vivent, faisant essentiellement de l’extraction artisanale

AIP

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S.E.M Mostapha Jebari, ambassadeur du Maroc en Côte d’Ivoire, a participé à la 2èmeédition de EduMaroc, forum de l’étudiant africain, organisée par Maroc Export et le Groupe l’Etudiant marocain à Abidjan. Ce forum vise à présenter l’offre de formation des universités et Grandes écoles marocaines dans différentes filières telles que la médecine, ingénierie, la gestion etc.
« Le Maroc et la Côte d’Ivoire ont le devoir de former les générations futures, parce qu’elles constituent le socle du développement socio-économique d’un pays », a affirmé S.E.M Mostapha Jebarià l’ouverture de la 2éme édition de EduMaroc à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire. Pour le diplomate marocain, cet événement dénote de l’excellente coopération bilatérale entre les deux pays dans le cadre de la coopération Sud-Sud. « Le Maroc fidèle à ses engagements veut accompagner la Côte d’Ivoire vers l’émergence, vers le développement. Je voudrais souligner que le Maroc a une très grande avancée dans la formation et les Ivoiriens peuvent bénéficier de cette compétence », a-t-il indiqué, ajoutant qu’après 60 ans d’indépendance, le paysage universitaire marocain a enregistré une vingtaine d’universités qualifiées pour former dans différents domaines.
« (..) tout le monde s’accorde à dire que les ressources humaines constituent la principale richesse de notre continent. C’est pourquoi, elles doivent être de qualité afin de faire face aux défis nouveaux liés au développement.  La Côte d’Ivoire ambitionne d’être un pays émergent à l’horizon 2020, elle doit se donner les moyens d’y parvenir en contribuant à former une ressource humaine qualifiée pour les différents enjeux ». a fait savoir, pour sa part, M.  Gbané Abou, représentant du ministre de l’entrepreneuriat national, de la Promotion des PME et de l’Artisanat.
Pour Mme Zahra  Maafiri, directrice générale de Maroc Export, le forum de l’étudiant africain et du Maroc est une expérience pilote et novatrice. Sa structure a pour objectif ultime de développer l’intra-africain, le renforcement du « made in africa » par des établissements de recherches de développement qui se mettent ensemble pour valoriser les produits et services africains. « Les ressources humaines ivoiriennes sont à nos yeux précieuses. Il faut les former et les mettre à la disposition du continent. La qualité des institutions existantes au Maroc permettent aujourd’hui de contribuer à la formation d’une élite africaine à des coûts compétitifs », a souligné la directrice générale de Maroc Export, croyant en une Afrique intégrée.
Mohcine Berrada, président du groupe l’Etudiant Marocain, estime que ce forum est une opportunité unique pour tous ceux qui veulent étudier au Maroc.
Une première école d’architecture ouverte en Côte d’Ivoire
L’ordre des Architectes de Côte d’Ivoire et le groupe Etudiant marocain, Maroc Export comme témoin, ont signé une convention d’aide dans le cadre de la mise en route de la première école architecture en Côte d’Ivoire. « C’est pour l’instant un protocole d’entraide entre les deux pays pour la mise en route de cette école. C’est après qu’on discutera sur l’aide que le Maroc peut apporter.  Nous voulons créer une école d’excellence. C’est pourquoi, l’entrée se fera sur concours. Le programme est le même à travers le monde, mais adapté à nos réalités d’ici», a fait savoir Mme Doukouré Sehinabou Yolande, présidente de l’ordre des Architectes de Côte d’Ivoire, annonçant l’ouverture de cette école pour le 5 octobre 2015.
L’étape d’Abidjan de la tournée africaine du forum de l’Etudiant africain prend fin le 24 juillet 2015. 
Daniel Coulibaly

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Le championnat d’Afrique des nations des Jeux de Dame prévu du 25 juillet au 14 août 2015 en Côte d’Ivoire risque de ne pas se tenir à moins d’un miracle. Les organisateurs qui attendent 14 nations pour cette édition sont dans le désarroi total.
 Ils ne savent plus à quel saint se vouer. Selon nos informations, le ministère des Sports et des Loisirs et l’Office national des sports (ONS) auraient des difficultés à s’accorder pour le financement de cette compétition. Joint au téléphone, Bosso Privât, secrétaire général de la fédération ivoirienne de Jeux de Dame (FIJD) a partagé ses inquiétudes. « Nous sommes toujours dans l’attente qu’on nous donne une suite favorable. Le nom de notre pays est enjeux et les autorités compétentes ne font que nous tourner en rond. Le Directeur de cabinet du ministère des Sports nous demande d’attendre. L’ONS est sans réponse à notre problème », a-t-il laissé entendre. Avant d’ajouter que cette compétition est qualificative pour les jeux mondiaux.
 De son côté, invité sur les antennes de radio Côte d’Ivoire, Jacques Kouamé, membre de l’organisation de ce championnat, a exprimé son mécontentement et a demandé, par ailleurs, le soutien du chef de l’État, Alassane Ouattara qui a pris un décret afin que les équipes ivoiriennes engagées en compétitions internationales n’aient pas de problèmes de financement.
L’arrivée des autres pays participants est pour ce vendredi 24 juillet 2015 à Abidjan pour retrouver celles qui sont déjà là, à savoir le Mali et le Cameroun. 
Vivement que ce problème soit résolu pour que la compétition se déroule dans de bonnes conditions.
 
Izoudine Youssef

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Le président de la transition du Burkina Faso, Michel Kafando, effectuera une visite d’amitié et de travail à Abidjan, la capitale économique ivoirienne, du 31 juillet au 1er août, a annoncé, jeudi à Séguéla, le porte-parole du gouvernement ivoirien, Bruno nabagné Koné, lors d’une Conférence de presse au terme d’un Conseil des ministres.

Cette première visite de M. Kafando en Côte d’Ivoire depuis son accession au pouvoir, intervient quelques semaines après celle de son Premier ministre Isaac Zida, début juillet, et entre dans le cadre du renforcement des relations entre les deux pays voisins.

AIP

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