Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Le maire de Soubré, Traoré Lassina, a procédé, mercredi, à la mise en marche des premiers feux tricolores de la commune, en vue d’y réduire le fort taux d’accidents de la circulation.

 

Ces feux tricolores sont installés aux deux grands carrefours de Soubré, où se produisent, dit-on, la plupart des accidents impliquant surtout les engins à deux roues. La cérémonie a eu lieu au carrefour Doboua en présence du préfet de région et des directeurs et chefs de service de Soubré, ainsi que des conseillers municipaux en marge de la deuxième session du conseil municipal.

 

"Notre commune a une très mauvaise réputation en matière d’accidents de circulation, surtout les engins à deux roues. Nous sommes à plus d’une vingtaine de mort avec les motos. Nous avons réfléchi à plusieurs solutions pour réduire les accidents avec notamment les panneaux de signalisation, mais nous nous sommes dit que les feux tricolores pour réguler la circulation à ces deux grands carrefours étaient une bonne solution. Le conseil a donc décidé d’aller au plus vite. Nous sommes heureux d’offrir à la Nawa ses premiers feux tricolores", a expliqué le maire.

 

Il a invité les usagers à la prudence et au strict respect des feux, exhortant les propriétaires des engins à deux roues au port des casques de protection ainsi qu’à la limitation de la vitesse.

 

Le préfet de région, Alliali Kouadio, a dit sa satisfaction de voir ses deux grands  carrefours bénéficier de feux de signalisation, affirmant, "avec les feux tricolores, nous pensons que les accidents seront moindres".

 

AIP

 

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Le président du comité exécutif de la Fédération ivoirienne de football (FIF), Augustin Sidi Diallo, a annoncé mercredi, au siège de l’institution à Abidjan-Treichville, son intention de briguer un second mandat à la tête de la Fédération.

 

Le locataire de la "Maison de verre" a fait cette révélation aux dirigeants des clubs qu’il avait convoqués à une rencontre d’échanges sur les championnats nationaux de la nouvelle saison, comme l’indiquait le communiqué publié sur le site officiel de la Fédération.

La prochaine élection à la présidence de la FIF aura lieu le 20 février 2016, a-t-on appris des Assemblées générales extraordinaires de l’institution tenue à Yamoussoukro, le 21 novembre. Une Commission électorale présidée par l’ancien ministre des Sports et loisirs, Philippe Légré reçoit en ce moment les dossiers de candidature, rappelle-t-on.

Armand Tanoh

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Le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro, a exhorte les politiciens, les autorités où toute personne détenant un pouvoir quelconque à « rester humble », estimant que « le pouvoir est éphémère ». 

« Quand on devient grand type, il faut rester humble, il ne faut pas prendre la grosse tête; parce que si tu prends la grosse tête, le jour ou le pouvoir fini, ta tête reste grosse et ton corps reste petit» a déclaré M. Soro, lors d’une cérémonie de distribution de jouets à des enfants du Haut Sassandra à Daloa, dans le cadre de la Noël. 

« Le pouvoir, c’est rien du tout, les anciens premiers ministres, il y en a des millions dans le monde, les anciens ministres, il y a eu des millions dans le monde, les anciens présidents, ils commencent à devenir beaucoup; donc quand tu as un poste, ne prends pas la grosse tête, reste petit, garde tes amitiés parce qu’on ne sait jamais, un jour tu auras besoins de tes amis, si petit soit-il », a-t-il poursuivi. 

Cependant, il a souhaité que la politique qui est minée par « la méchanceté, la calomnie, le dénigrement, les trahisons », devienne un jeu et emprunte la voie des tous petits qui sont habités par « la sincérité, la générosité et l’innocence ».

AIP

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C’est le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan qui l’a lui-même révélé. C’était ce mercredi 30 décembre 2015, lors d’une visite qu’il effectuait sur le chantier d’extension de l’aéroport Félix Houphouët Boigny d’Abidjan. En effet, les travaux de cet important projet sont bloqués depuis plusieurs mois, et pour causes…

Tout a été bloqué à cause du manque de financement par l’Etat ivoirien de sa part de contribution qui s’élève à 7 milliards sur les 24 milliards de FCFA prévus pour la réalisation du projet. Jusqu’à ce jour, l’Etat n’a déjà décaissé 2 milliards, a confessé le chef du gouvernement.

 

Et d’annoncer : " avec le ministre en charge du budget, nous ferons en sorte qu’à partir de mi-janvier 2016, au plus tard, que le Gouvernement puisse apporter sa part. L’entreprise Arabe Contractor qui s’occupe des travaux, sur cette base, a décidé de poursuivre les travaux à partir de début Janvier pour régler définitivement ce dossier". Question : ces 5 milliards manquants n’étaient-ils pas inscrits dans le budget de 5000 milliards de l’Etat en 2015 ? Alors, qui n’a pas fait son job ?

 

Ces travaux, il le rappeler,  consistent en la construction d’un nouvel Aérogare de fret, la rénovation du salon d’honneur, en passant par le hall d’accueil et salon VIP rénové de l’aéroport, tout a été passé au peigne fin par le chef du Gouvernement ivoirien.

 

Un projet aussi stratégique pour le pays mérite, il faut le dire, d’un minimum de rigueur dans sa gestion, vue le très fort élan de croissance de la fréquentation de l’aéroport d’Abidjan qui, dans son Etat actuel, ne reflète pas du tout cette Côte d’Ivoire engagée pour l’émergence.

 

Armand Tanoh

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Le gouvernement ivoirien a engagé, sous l’impulsion du Président Alassane Ouattara, diverses réformes économiques depuis 2011 qui ont abouti à l’admission, à la mi-décembre 2015, du pays au programme compact du Millenium Challenge corporation (MCC).

 

La restauration de la stabilité macro-économique et l’assainissement de la gestion des finances publiques

 

Le programme MCC est le fruit d’ »une amélioration significative » du gouvernement ivoirien dans la lutte contre la corruption, de la bonne gouvernance, ainsi que le retour des investissements dans les ressources humaines et la liberté économique.

 

L’admission de la Côte d’Ivoire au MCC lui permet de disposer, sur cinq ans, de près de 300 milliards de FCFA qui seront investis dans divers domaines socioéconomiques.

 

Les réformes et les actions engagées par le gouvernement ont également redonné confiance aux investisseurs étrangers. Et ce, à travers le premier appel au fonds islamique lancé par l’Etat de Côte d’Ivoire, pour un montant attendu de 150 milliards de francs CFA.

 

Auparavant, la Côte d’Ivoire a réalisé son second Eurobond, pour un montant de 500 milliards de francs CFA. A cela, il faut ajouter la poursuite et le prolongement du programme économique et financier du Fonds monétaire international (FMI), avec un premier appui budgétaire, d’un montant de 40,1 milliards de francs CFA, reçu le 05 juin 2015. D’autres réformes, principalement dans le secteur agricole, ont également permis à la Côte d’Ivoire de se repositionner dans plusieurs domaines agricoles.

 

Une loi d’orientation agricole pour assurer une croissance agricole durable en Côte d’Ivoire

 

Par ailleurs, une loi pour garantir la cohérence des actions dans le secteur agricole a été adoptée par les députés ivoiriens, tout comme l’harmonisation entre les lois existantes et les réformes et stratégies agricoles sont à prendre en compte au titre des avancées enregistrées au titre de l’année 2015. Il faut aussi signaler le statut juridique de l’agriculteur qui est désormais reconnu ainsi que les exploitations familiales et les entreprises agricoles.

 

Les réformes des filières coton-anacarde et café-cacao ont d’ailleurs valu à la Côte d’Ivoire la position de premier pays exportateur mondial de noix de cajou avec une production de 625 000 T de noix de cajou en 2015, pour une recette d’exportation de quelque 337 milliards de francs CFA.

 

Au niveau du cacao, un prix record de 1000 FCFA/kg bord champ, au titre de la campagne 2015-2016, a été franchi avec une prévision de production de 1,8 millions de tonnes. En revanche, pour le café, le pays a remonté son classement en devenant le 3ème exportateur mondial et premier au niveau africain.

 

Pour la valorisation du secteur agricole, le gouvernement a renoué avec le salon de l’agriculture et des ressources animales (SARA). Après celles de 1997 et 1999, la troisième édition, en 2015, a mobilisé 12 pays, 607 entreprises et organisations exposantes et 371 stands. Le salon a été également une occasion d’échanges et de partages d’expériences sur les grands défis de développement du secteur de l’agriculture ainsi que la promotion du savoir-faire (techniques et technologiques) et la richesse des produits locaux et internationaux, sans oublier la stimulation des partenariats sous-régionaux et internationaux à investir dans l’agriculture ivoirienne.

 

L’année 2015 a été aussi marquée par l’inauguration de nombreux ouvrages

 

En début d’année, le chef de l’Etat a procédé à l’inauguration de la station d’eau potable, à Bonoua, d’un coût de réalisation de 59 milliards francs CFA, pour alimenter les villes de Bonoua, Grand-Bassam et d’Abidjan, réduisant ainsi le déficit d’approvisionnement en eau. Cet ouvrage, doté d’un réseau de 124 km de canalisation qui part de Bonoua aux châteaux d’eau de Koumassi et de Vridi, a une capacité de propulsion de 80.000 m3 d’eau.

 

Le Président Alassane Ouattara a procédé également, en juillet, à l’inauguration de la première turbine à vapeur pour la production d’électricité installée sur le site de la centrale thermique d’Azito, dans la commune de Yopougon, pour un coût d’investissement de 615 millions de dollars américains, soit environ 307,5 milliards de francs CFA. Avec la mise en marche de cette turbine, la capacité de production énergétique de la Côte d’Ivoire passe à 1772 Mw à 1900 Mw fin 2015. Avec la mise en route d’une autre phase de CIPREL, la puissance de production d’électricité du pays passera à 2100 Mw en 2016 et à 4000 Mw en 2020.

 

Au mois de septembre, le chef de l’Etat ivoirien a ouvert l’autoroute reliant Abidjan à Grand-Bassam, longue de plus de 42 km, et qui a coûté environ 64 milliards de francs CFA pour sa construction.

 

Octobre, après 43 ans d’attente, le Pont de Béoumi (Nord d’Abidjan) a été inauguré par le Président Alassane Ouattara. D’un coût de 8, 6 milliards francs CFA, ce pont a été réalisé grâce au financement de la France à travers le Contrat de désendettement et de développement (C2D). Un autre ouvrage, sur le Kan, a été également inauguré par le président ivoirien, le même jour. Long de 94 m, ce pont a coûté 3,8 milliards francs CFA.

 

D’autres ouvrages réalisés depuis l’accession du Président Alassane Ouattara à la magistrature suprême ont été soit lancés, soit en cours de réalisation. C’est le cas, en juillet, du lancement officiel, par le Premier ministre Daniel Kablan Duncan, des travaux de modernisation du port de pêche. Ce projet qui comprend deux phases, porte sur la construction d’un môle de 450 m de long sur 160 m de large, et de la création de terrains industriels, à partir de la darse actuelle. Ces travaux, d’un coût global de 28,625 milliards francs CFA, seront livrés en mai 2016.

 

Il a été également procédé au lancement des travaux d’élargissement/approfondissement du canal de Vridi, pour un coût de 151 milliards de francs CFA et devant durer 36 mois. Cet ouvrage vient renforcer la compétitivité du port autonome d’Abidjan (PAA)et offrira la possibilité au PAA et permettra au port d’accueillir les plus grands navires fréquentant les côtes africaines (jusqu’à 350 m de longueur avec 16 m de tirant d’eau). Il réduira aussi le temps d’attente de 10 H/jour en moyenne pour les navires.

 

Quant à la construction du second Terminal à conteneurs (TC2), son délai d’exécution est de 48 mois pour un financement de 409 milliards de francs CFA. A terme, le TC2 fera du PAA, le port le plus profond de la côte ouest africaine, et augmentera sa possibilité d’accueillir les plus grands porte-conteneurs mesurant jusqu’à 350 m de longueur avec 16 m de tirant d’eau. Sans compter l’accroissement de la capacité de manutention des conteneurs, soit de 1,2 million TEU/an à 3,7 millions TEU/an, l’augmentation du trafic en transbordement de 700 000 TEU/an à 2 millions TEU/an et la réduction du coût de manutention.

 

En outre, des projets structurants, des projets touchants le secteur des nouvelles technologies de l’information et de la communication ont été aussi achevés.

 

A travers la fibre optique, connecter toutes les administrations du pays

 

C’est le cas du réseau numérique ivoirien, dénommé Backbone Est, à savoir la mise en service du réseau de haut débit de 622 km de fibre optique reliant Grand-Bassam à Bouna, qui a été lancé à fin novembre par le Premier ministre Daniel Kablan Duncan.

 

Le projet backbone de l’Est qui est en réalité sa deuxième phase, vise à doter la Côte d’Ivoire de plus de 5000 km de fibre optique. Une fois achevé, ce projet permettra d’améliorer le système de communication en Côte d’Ivoire et surtout de garantir une connexion internet à haut débit.

AIP

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L’année 2016 s’annonce bien pour le secteur hôtelier en Côte d’Ivoire. Notamment avec le début des travaux de construction de réceptifs high standing par plusieurs enseignes d’envergure mondiale dont Movinpick et Hilton. Mais aussi avec le passage en phase de régime de chantiers d’hôtels de nouvelles générations dont Noom Hotel d’Abidjan, dont les fondations sont déjà en cours de réalisation.

"Conçu pour les voyageurs d’affaires"

En effet,  Noom Hotel d’Abidjan, qui sera situé à quelques encablures de l’hôtel Pullman dans la commune  du Plateau et à proximité du célèbre night club "Life Star", a été "conçu pour les voyageurs d’affaires qui parcourent le monde d’une ville à l’autre, mais aussi pour ceux qui aiment les soirées entre collaborateurs, ou profiter d’un week-end de détente en famille à la piscine", expliquent le groupe sur sa page web.

Il s’agit d’un "Hôtel environnemental très accueillant avec des standards uniques très ambitieux pour la consommation d’énergie et la réduction des émissions de CO2, la levée des barrières architecturales, la gestion des déchets pour le recyclage et la réduction de la pollution sonore", explique-t-on.

Fiche technique

Noom Hotel d’Abidjan, c’est une façade iconique inspirée par les vaisseaux donnant une vue la lagune en face, un design élégant et chic, à la fois reposant et énergique. Avec 257 chambres, il comprend également, entre autres, un étage exécutif avec salon d’affaires VIP Business Longe, un restaurant buffet avec cuisine AfroFusion et un coin petit déjeuner lève-tôt 5.00h - 7.00h,  un Lounge Bar, un centre de conventions et des salles de réunions sur une surface de plus de 800 m².
Le joyau offrira également un « Business Center », un espace gym « Fitness Suite », une piscine « Infinity » et un bar piscine « Pool Bar », un accès WIFI haut débit.
29 milliards FCFA d’investissement

Le projet dont le coût est estimé à coût global prévisionnel de 29 milliards de F CFA, est une initiative du groupe Chain Hotel Abidjan SA. Cette Holding a même déjà bénéficié, dans le cadre de ce projet, d’un soutien sous forme de prêt de la Banque ouest-africaine de développement (BOAD) à hauteur de 6 milliards de FCFA en 2014, rappelle-t-on.
A moyen terme, Chain Hotel Abidjan SA enten aussi, de sources dignes de foi, ouvrir un autre grand hôtel au bord de la Lagune Ebrié, après Moon. Il s’agit de Seen Hotel d’Abidjan.

Le secteur de l'hôtellerie, fortement dominé par le groupe Accor, est en pleine croissance en Côte d'Ivoire depuis ces dernières années, avec l'arrivée sur le marché de nouvelles enseignes, dont Onomo Hotel et Radisson Blue à l'aéroport d'Abidjan. Son poids dans le PIB est en hausse constante : 0,6% en 2011 , 2 % en 2014 et il dépasse les 4% actuellement, selon les autorités ivoiriennes.

Abdoul Razak Dembélé

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Le PNUD vient de sortir son rapport sur le développement humain dans le monde. En Afrique, 3 pays sur 54 parviennent à se classer dans le groupe des pays développés (high development), il s’agit de Maurice, des Seychelles et de l’Alglérie.

 

14 pays se placent parmi les pays moyennement développés, parmi lesquels la Tunisie (5e), le Gabon (8e), le Maroc (11e) ou encore le Congo (13e). Parmi les pays peu développés, on notera tout de même le classement peu glorieux de la Côte d’Ivoire (37e) en dépit de son insolente réussite économique.

 

L’agence onusienne a également calculé pour, chaque pays, la différence entre le revenu brut par habitant et l’indice de développement humain (3e colonne ci-dessous). Ainsi, un nombre significatif de pays africains affichent des valeurs négatives qui démontrent l’ampleur des inégalités dont souffrent ces pays. Avec -84, la Guinée Equatoriale est le pays qui présente la plus grande différence entre son revenu et son niveau de développement humain. Le Gabon, le Botswana, l’Angola, le Nigeria ou encore la Côte d’Ivoire ont encore beaucoup d’efforts à fournir pour une meilleure répartition des fruits de la richesse.

 

Au niveau mondial, sur 188 pays, la Norvège, l'Australie et la Suisse occupent les 3 premières marches du podium. Les USA sont 8e, la France 22e, la Russie 50e, le Brésil 75e, la Chine 90e et l'Inde 130e.

 

 

Classement de l’IDH des pays africains

 

 

Rang Afrique

Pays

RNB/habitant moins IDH

Rang mondial

1

Maurice

0

63

2

Seychelles

-19

64

3

Algérie

-1

83

4

Libye

-19

94

5

Tunisie

1

96

6

Botswana

-41

106

7

Egypte

-12

108

8

Gabon

-42

110

9

Afrique du Sud

-29

116

10

Cap-Vert

-1

122

11

Maroc

-8

126

12

Namibie

-21

126

13

Congo

-14

136

14

Guinée équatoriale

-84

138

15

Zambie

2

139

16

Ghana

-1

140

17

Sao Tomé-et-Principe

8

143

18

Kenya

9

145

19

Angola

-30

149

20

Swaziland

-25

150

21

Tanzanie

8

151

22

Nigéria

-24

152

23

Cameroun

-1

153

24

Madagascar

24

154

25

Zimbabwe

13

155

26

Mauritanie

-14

156

27

Comores

16

159

28

Lesotho

-16

161

29

Togo

17

162

30

Rwanda

11

163

31

Ouganda

6

163

32

Bénin

0

166

33

Soudan

-27

167

34

Djibouti

-22

168

35

Soudan du Sud

-9

169

36

Sénégal

-8

170

37

Côte d’Ivoire

-24

172

38

Malawi

13

173

39

Éthiopie

2

174

40

Gambie

-2

175

41

Congo (RDC)

11

176

42

Libéria

7

177

43

Guinée-Bissau

-1

178

44

Mali

-8

179

45

Mozambique

1

180

46

Sierra Leone

-16

181

47

Guinée

0

182

48

Burkina Faso

-13

183

49

Burundi

1

184

50

Tchad

-22

185

51

́Erythrée

-6

186

52

Rép. centrafricaine

1

187

53

Niger

-5

188

 

Source : agenceecofin.com

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Le gouvernement ivoirien a annoncé, le 23 décembre, qu’il allait privatiser la Banque de l’Habitat de Côte d’Ivoire (BHCI), un établissement spécialisé dans le crédit immobilier qui connaît des difficultés.

«L’Etat ivoirien détient une participation de 51,6 % dans la BHCI qui a été créée pour accorder des crédits immobiliers aux personnes ayant des revenus modestes. Il envisage aujourd’hui de céder ses parts à des investisseurs privés», a déclaré le porte-parole du gouvernement Bruno Koné, à l’issue d’une réunion du conseil des ministres présidé par le Chef de l’Etat Alassane Ouattara.

M. Koné également précisé que l’établissement de crédit fondé en 1993 sera transformé en une banque universelle.

«Les ressources actuelles de la banque ne lui permettent pas de remplir correctement la mission qui lui a été confiée. Nous avons décidé d’être pragmatiques et d’opérer une conversion à un modèle de banque universelle», a-t-il fait savoir, indiquant que le capital de la BHCI s’élève actuellement à 6,7 milliards de francs CFA  (11 millions de dollars).

Le gouvernement ivoirien avait annoncé fin 2013 un plan de privatisation de 15 entreprises publiques, dont l’opérateur national de télécommunications, des banques, des entreprises opérant dans le secteur de l’industrie agroalimentaire et une mine d’or.

Source: agenceecofin.com, Titre: LDA

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L’aménagement de la baie de Cocody entre bientôt dans sa phase active. En effet, le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan a reçu, lundi, à Abidjan le président de la Société marocaine Marchica Med, Said Zarrou en charge de la mise en œuvre de ce projet, un «joyau architectural» permettra à Abidjan de redevenir la «perle des lagunes».


L’homme d’affaires du royaume chérifien est venu s’enquérir de l’état d’avancement des travaux de rénovation de la Baie de Cocody. « Abidjan retrouvera bientôt son appellation de perle des lagunes tant ce joyau architectural, une fois achevé, apportera un éclat à la capitale économique de la Côte d’Ivoire ».

Le projet d’aménagement et de valorisation de la Baie de Cocody a été lancé par le président Alassane Ouattara et le Roi Mohammed VI en visite à Abidjan en juin dernier. Il coûtera plus de 37 milliards de FCFA.

Armand Tanoh, Source : APA

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Le village de Tanokoffikro, dans la sous-préfecture de Koun Fao (Est), a connu cette année son tout premier arbre de Noël le 23 décembre, marqué par la remise de cadeaux à 120 enfants de 5 à 10 ans, dont les premiers de chaque classe du primaire.

Cette fête " historique et inoubliable" est une initiative du journaliste Yao Noël, ressortissant de la localité, par ailleurs conseiller spécial chargé de la communication du Premier ministre Daniel Kablan Duncan, et président de la Biennale  Biennale panafricaine des droits de l'Homme et de l'humanitaire (BPDHH).

Les bénéficiaires, essentiellement des orphelins et enfants de familles démunies de Tanokoffikro, ont pu avoir le sourire avec ces présents mobilisés par M. Yao grâce au soutien de bonnes volontés.

« Les enfants étaient d’autant plus heureux et ravis que c’est bien la toute première fois que le père Noel descend dans ce village les bras remplis de cadeaux », décrit la note d’information.

Devenus désormais une tradition en Côte d’Ivoire, les arbres de Noël, sont des cérémonies organisées en fin d’années autour de la date du 25 décembre, jour de célébration de la Noël, destinées à offrir des cadeaux sous forme de jouets aux enfants.

AIP

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