Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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En fin de mission en Côte d’Ivoire, l’ambassadeur indien Dinesh Bhatia a été reçu en audience mardi par le ministre de l’Economie numérique et de la Poste, porte-parole du Gouvernement, Bruno Nabagné Koné, à qui il a fait ses adieux.

 

Pendant une demi-heure, les deux personnalités ont échangé sur des questions d’ordre général et de coopération.

 

Le diplomate indien a fait part officiellement au ministre de son départ de la Côte d’Ivoire, et l’a informé de la nomination d’un nouvel ambassadeur. Il s’est réjoui de son soutien et de la franche collaboration dont il a bénéficié auprès de son département, notamment dans la réalisation de projets tels que la Zone franche de Grand-Bassam.

 

Quant au ministre Bruno Koné, il s’est réjoui des bons résultats enregistrés par l’ambassadeur Bhatia en Côte d’Ivoire, et espère poursuivre la collaboration avec son successeur. Il a souhaité voir les relations entre l’Inde et la Côte d’Ivoire s’intensifier.

 

AIP

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Le coordonnateur de l’équipe d’appui Interpays de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’Afrique de l’ouest, Dr Cabral Djamila Khady, va assurer l’intérim de la représentation de l’organisation en Côte d’Ivoire, a appris, mercredi, l’AIP de source proche de l’organisation.

 

De nationalité capverdienne,  Dr Cabral Djamila vient en remplacement de Dr Allarangar Yokouide, nommé représentant du bureau de l’OMS pour la République démocratique du Congo.

 

Anciennement représentante de l’OMS au Burkina Faso (2008-2014), Dr Cabral a été conseillère régionale-gestionnaire de programme au bureau régional de l’OMS pour l’Afrique sur les questions de la santé de la femme et de la lutte contre les mutilations génitales, mais également sur la recherche et développement en matière de santé de la reproduction et de la mère.

 

Elle a, en outre, fait part de son expertise dans le cadre du programme « Pour une grosse à moindre risque » sur la santé de la mère et du nouveau-né.

 

Titulaire d’un doctorat obtenu à l’université de Sao Paulo au Brésil et d’un diplôme d’étude approfondie (DEA) en démographie, Dr Cabral Djamila,  dispose d’expertise en gestion et planification de la santé publique, en leadership et partenariat, en santé de la mère et de l’enfant, en planification familiale et statistiques de la santé.

AIP

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L’Ile Maurice, le Botswana et le Cap Vert sont les économies les plus libres en Afrique, selon l’indice de liberté économique 2016 publié le 1er février par le think-tank américain Heritage Foundation et le Wall Street Journal.  

 

Cet indice mesure depuis 1995 la liberté économique selon des critères tels que la protection des droits de propriété, la taille de l’Etat, la politique budgétaire et monétaire et la lutte contre la corruption.

 

Il classe les 178 pays étudiés cette année en cinq grandes catégories sur une échelle allant de 40 points (les moins libres) à 100 points (les plus libres): «libres» (80-100 points), «plutôt libres» (70-79,9  points), «modérément libres»  (score 60-69,9  points),  «plutôt pas libres» (50-59,9 points) et «réprimant la liberté» ( 40-49,9 points).

 

Aucun pays africain ne se trouve dans la catégorie «libres». Deux pays du continent se positionnent cependant dans la catégorie «plutôt libres». Il s’agit de l’Ile Maurice qui occupe la première position à l’échelle africaine et le15è rang à l’échelle mondiale. Avec un score de 74,7 points, ce pays de l’Océan indien devance même des pays industrialisés comme l’Allemagne et le Japon.

Le Botswana (30è rang au plan mondial avec un score 71,1 points) arrive en deuxième position à l’échelle africaine. Viennent ensuite le Cap Vert (57è au plan mondial), le Rwanda (71è), le Ghana (72è), les Seychelles (76è), l’Afrique du Sud (80è), la Namibie (81è), le Maroc (85è) et la Côte d’Ivoire (92è).  Ces huit pays africains se trouvent  dans la catégorie  «modérément libres» (Voir le classement complet des pays africains ci-dessous).

 

Parmi les pays étudiés, 31 pays africains se trouvent dans la catégorie  plutôt «pas libres», dont le Kenya, la Tunisie et la Tanzanie.

 

Enfin, huit pays du continent se situent dans la catégorie des pays réprimant la liberté économique, dont l’Angola, le Tchad et le Zimbabwe.

 

Au plan mondial, l’étude constate que la liberté économique s’est accrue «en dépit d’un contexte de difficultés non seulement économiques, mais aussi politiques et de défis tels que celui de la sécurité».  Des progrès sont enregistrés dans 97 pays alors que 74 subissent un déclin.

 

Hongkong occupe la première place du podium au plan mondial, devant Singapour et la Nouvelle-Zélande. Viennent ensuite la Suisse, l’Australie, le Canada, le Chili, l’Irlande, l’Estonie et le Royaume-Uni.

 

Classement des pays africains étudiés:

1-Maurice (15è à l’échelle mondiale)

2-Botswana (30è)

3-Cap Vert (57è)

4-Rwanda (71è)

5-Ghana (72è)  

6-Seychelles (76è)

7-Afrique du Sud (80è)

8-Namibie (81è)

9-Maroc (85è)

10-Côte d’Ivoire (92è)

11-Swaziland (94è)

12-Bénin (101è)

13-Ouganda (102è)

14-Burkina Faso (104è)

15-Gabon (105è)

16-Zambie (106è)

17-Tanzanie (110è)

18-Sénégal (111è)

19-Tunisie (114è)

20-Kenya (115è)

21-Nigeria (116è)

22-Gambie (119è)

23-Sao Tomé & Principe (120è)

24-Mali (121è)

25-Djibouti (124è)

26-Egypte (125è)

27-Mauritanie (128è)

28-Niger (129è)

29-Cameroun (130è)

30-Burundi (133è)

31-Togo (135è)

32-Guinée (136è)

33-Mozambique (139è)

34-Comores (141è)

35-Sierra Leone (142è)

36-Liberia (143è)

37-Guinée-Bissau (145è)

38-Malawi (146è)

39-Ethiopie (148è)

40-Lesotho (152è)

41-Algérie (154è)

42-Angola (156è)

43-RD Congo (163è)

44-Tchad (164è)

45-Centrafrique (168è)

46-Guinée Equatoriale (170è)

47-République du Congo (172è)

48-Erythrée (173è)

49-Zimbabwe (175è)

 

Source : http://www.agenceecofin.com/

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Le Congrès américain a voté, mardi, le projet de loi  » Électrifier l’Afrique », « un acte historique » dans les relations économiques entre les Etats-Unis et l’Afrique qui autorise le Président des Etats-Unis à élaborer une stratégie pluriannuelle visant à aider les pays d’Afrique sub-saharienne dans la mise en œuvre de stratégies nationales d’électricité avec un mix de solutions énergétiques y compris des sources d’énergie renouvelables.

 

Le Président Obama a lancé, en 2013, l’initiative Power Africa qui vise l’accès à l’électricité pour 50 millions de personnes en Afrique d’ici à 2020.

 

Les leaders africains, regroupés au sein de l’Africa Energy Leaders Group, co-fondé par Aliko Dangote et Tony O. Elumelu, ont été les fervents défenseurs de ce projet de loi durant près de deux ans. M. Elumelu, a fait un puissant plaidoyer à Washington, le jeudi 28 janvier, pour encourager l’adoption de ce texte de loi.

 

Interrogé sur les bénéfices de cette initiative du Président Obama et plus directement sur les effets du vote de ce projet de loi, Tony O. Elumelu explique qu’ »il fournira un cadre pour un partenariat public-privé majeur entre les Etats-Unis et les pays d’Afrique subsaharienne ; il encouragera les pays à faire tomber les barrières de l’investissement privé et permettra le développement d’une énergie fiable et abordable en Afrique. La vie de millions de personnes changera : écoliers, entrepreneurs (…). »

 

A T

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Abidjan, 3 fév (AIP)- Le gouvernement américain a octroyé au Programme alimentaire mondiale (PAM) une subvention de 30,1 millions de dollars US pour la mise en œuvre en Côte d’Ivoire du programme McGovern-Dole, un projet d’appui au secteur  de l’Education nationale visant spécifiquement à fournir des vivres aux cantines scolaires.

 

Le Programme Mc Govern-Dole(MGD) ou « Vivres pour l’Education » sera mis en œuvre sur une période de cinq ans (2016-2020). Il ciblera 125.000 enfants dans quelque 630 écoles primaires rurales publiques, reparties dans sept régions du Nord et de l’Ouest de la Côte d’Ivoire. Les régions du Cavally, du Bafing, de la Bagoué, du Poro, du Tchologo, du Bounkani et du Gontougo sont concernées par ce programme.

 

Le programme MGD, outre la fourniture en vivres des cantines des écoles ciblées, recouvre également un volet santé des élèves tout en aidant à l’amélioration de leurs conditions d’apprentissage de l’écriture et de la lecture.

 

La ministre de l’Education nationale, Kandia camara, animera, à son cabinet, lundi, une conférence de presse autour de ce programme.

 

Armand Tanoh

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Une société japonaise Spreed a annoncé la construction de la première ferme automatisée au monde, à partir de la mi-2017, en vue de produire 30.000 laitues par jour en un mouvement et de réduire la consommation d’énergie des cultures en serre, grâce à un éclairage LED.

 

Cette ferme  sera gérée uniquement par des robots spécialisés dans la culture aéroponique, une forme de culture hors-sol, depuis l’arrosage à la récolte et quelle pourra être installée dans n’importe quelle région du monde et  fournir des récoltes de laitues chaque jour sans se soucier de la météo.

 

La société japonaise a également indiqué qu’elle fonctionnera de façon verticale du sol au plafond où seront installées des étagères sur lesquelles pousseront des salades sans pesticides et que  seules les graines continueront d’être semées à la main.

Armand Tanoh

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La colopathie fonctionnelle ou syndrome du côlon (gros intestin) est une affection fréquente en Côte d’Ivoire où elle touche près de 80% des ivoiriens.
 

Selon un praticien interrogé par APA, «près de 80% des ivoiriens souffrent de la colopathie fonctionnelle », dont les causes fréquentes sont essentiellement dues au stress et à la mauvaise alimentation, notamment la consommation de repas trop gras, trop lourd, trop chaud, ou souvent mâchés à la hâte. 

La colopathie fonctionnelle, ou syndrome du côlon irritable, est une anomalie de fonctionnement de la partie terminale du tube digestif. Elle se manifeste par la survenue chronique de symptômes digestifs, comme des douleurs abdominales, des ballonnements, une diarrhée ou une constipation, sans que l'intestin ne présente aucune lésion visible.
 
APA

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La Côte d’Ivoire, pays organisateur de la Coupe d’Afrique des nations de football 2021 (CAN 2021), se prépare déjà à réussir ce grand pari. Le mardi 2 février 2016 à Abidjan, le Premier ministre Daniel Kablan Duncan a procédé au lancement des travaux du comité de pilotage et de supervision de la réalisation des infrastructures et dispositifs de l’organisation cette CAN.

 

"Il s’agira pour la Côte d’Ivoire de se doter des meilleures infrastructures sportives pour confirmer si besoin en était encore, notre position de puissance sportive africaine, en témoigne le classement FIFA de décembre 2015, qui fait de notre pays le 1er africain et le 19ème mondial Selon M. Duncan, ce rendez-vous phare du football africain va rassembler", a situé M. Duncan.

 

Pour ce faire, le projet prévoit la construction de trois stades neufs à Abidjan (Stade olympique d’EBIMPE), Korhogo et San Pedro, ainsi que la réhabilitation de (3) Stades à Bouaké, Abidjan (Stade FHB) et Yamoussoukro. 

 

"Ces stades doivent répondre à des exigences spécifiques dans plusieurs domaines, dont notamment la sécurité qui est un maillon essentiel au regard de l’actualité internationale. Dans ce sens, la CAF impose des stades avec des caractéristiques bien précises qui partent de la prévention incendie jusqu’à la vidéosurveillance", a expliqué le Premier ministre. 

 

Le comité de pilotage comprend le Comité de Pilotage et de Supervision (CPS), le Comité Technique Interministériel (CTI), le Secrétariat Technique (ST).

 

Aboul R Dembélé

 

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La Côte d’Ivoire est à l’honneur de la 10ème Biennale du Sommet d’Affaires USA – Afrique organisé par ‘Corporate Council of Africa’ qui se tient de mardi à vendredi, à Addis Abeba en Ethiopie, selon une note d’information de l’APEX-CI transmise à l’AIP.

 

A l’occasion d’un panel portant sur le thème « Infrastructures stratégiques  pour la pérennisation  de la croissance économique en Afrique » organisé à la plénière d’ouverture, M. Mabri Toikeusse,  Ministre ivoirien des Affaires étrangères représentant  le Président Alassane Ouattara, a fait une communication sur le thème principal.

 

Il a également présenté le Plan National de Développement (PND 2026-2020), en présence de M. Hailemariam Desalegn, Premier ministre de le République démocratique fédérale de l’Ethiopie, et de Dr. NKosazana Dlamini-Zuma, Présidente de la Commission de l’Union Africaine.

 

Ont participé à cette cérémonie, au titre de la Côte d’Ivoire,  M. Guy M’Bengue, Directeur général de l’APEX-CI et Négociateur en Chef du CN-MCC,  Mme Solange Amichia, DGA du CEPICI, et M. Gérard Amangoua, DGA de l’APEX-CI.

AIP

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Abul Bajandar, 26 ans, originaire du district de Khulna (sud du Bangladesh), subit des examens au Medical College Hospital (DMCH) de Dacca en vue d’une intervention chirurgicale visant à couper les excroissances pesant au moins cinq kilogrammes qui lui couvrent les mains et les pieds et qui lui valent l’appellation « d’homme-arbre ».

 

« Au début, je pensais qu’elles étaient bénignes. Mais petit à petit, j’ai perdu ma capacité de travail. J’ai maintenant des douzaines de racines de 5 à 7 cm sur les deux mains. Et j’en ai des petites sur les jambes », a détaillé à l’AFP, M. Bajandar, un père de famille qui a dû mettre fin à son activité de cyclo pousse.

 

Une équipe médicale a été constituée pour réaliser l’opération au DMCH, le plus grand hôpital public du Bangladesh, qui a décidé de prendre en charge les coûts de cette intervention. « Nous avons connaissance de trois cas dans le monde, dont celui d’Abul Bajandar. C’est la première fois que nous découvrons un cas aussi rare au Bangladesh », a relevé  Samanta Lal Sen, directeur de l’hôpital.

 

Les grosses verrues qu’Abul Bajandar a vu apparaître à l’adolescence ont été diagnostiquées comme un cas d’épidermodysplasie verruciforme. C’est une maladie de peau génétique rarissime qui se développe suite à une impossibilité du système immunitaire de traiter une infection à papillomavirus.

 

L’opération est extrêmement complexe car il y a des risques d’infection, de complications motrices, voire d’amputation. Les chirurgiens opèrent au bistouri ou au laser CO2 fractionné, indique-t-on.

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