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Au regard de la réussite de ses deux projets au Maroc, le groupe français Renault-Nissan a décidé d'investir dans un projet stratégique en territoire marocain.
Ce méga-projet, qui nécessitera un investissement de 900 millions d'euros et générera 50 000 emplois, doublera le chiffre d'affaires du constructeur Renault au Maroc pour atteindre les deux milliards d'euros et , à l'horizon 2020, et les nouveaux emplois pour les porter à plus de 160 000, ainsi que les exportations d'automobiles.
Ce projet appelé " Ecosystème industriel" permettra de booster l'industrie automobile au Maroc, mais aussi d'inciter les fournisseurs internationaux à investir dans ce pays qui offre toute les garanties, tant sur les plans politique, économique, social que sécuritaire, mais aussi sur la haute qualification technique de la main d'oeuvre marocaine.
Un nouveau projet, signé le 08 avril 2016 entre la partie marocaine et le représentant de Renault-Nissan, 4ème constructeur automobile mondial, sous la présidence effective du Roi Mohammed VI, confirme le soutien constant du Souverain marocain aux projets du groupe français dans le Royaume du Maroc.
"Ecosystème industriel", un projet structurant, devrait positionner l'industrie automobile du Maroc sur l'échiquier mondial en devenant un exportateur de composantes automobiles de premier rang.
Farid Mnebhi.
Le ministre des Affaires étrangères du Canada, Stéphane Dion, et la ministre du Développement international et de la Francophonie, Marie-Claude Bibeau, ont fait aujourd’hui une déclaration le dimanche 17 avril 2016, jour de l’investiture du président Congolais Denis Sassou Nguesso, réélu 20 mars lors d’un scrutin présidentiel fortement émaillé de violance.
Cette déclaration, dont copie a été transmise à La Diplomatique d’Abidjan, indique que « le Canada déplore le processus électoral irrégulier qui a mené à l’investiture aujourd’hui de M. Denis Sassou Nguesso à titre de président de la République du Congo, y compris différentes arrestations arbitraires, les restrictions imposées sur les télécommunications et la libre circulation, et les tentatives d’intimidation des médias"
« Le Canada est préoccupé par les incidents de violence qui ont été signalés après l’élection, et nous lançons un appel à toutes les parties afin qu’elles fassent preuve de retenue et s’efforcent de régler pacifiquement les tensions politiques », ajoute le document.
Toutefois, le Canada appelle les autorités congolaises au "renforcement des institutions démocratiques" qui "est essentiel pour garantir la gouvernance inclusive, le pluralisme pacifique et la croissance macroéconomique, qui profiteront à la population congolaise. »
Armand Tanoh
Une délégation de l’Union européenne conduite par le président du conseil des ministres des affaires étrangères de l’Union, Bert Koënders a été reçu samedi à Abidjan par le président ivoirien Alassane Ouattara avant d’entamer une séance de travail avec leur homologue ivoirien, convenant de s’employer à lutter contre le flux migratoire.
Selon Bert Koënders, l’Union européenne est prête à travailler avec la Côte d’Ivoire eu égard à son expérience avérée en matière de flux migratoire. «On a un dialogue de haut niveau entre la Côte d’Ivoire et l’Union européenne et il y a trois aspects importants, premièrement il est important qu’il y ait un partenariat entre l’Europe et la Côte d’Ivoire pour la création d’emploi pour la jeunesse, deuxièmement c’est le grand risque qu’il y a beaucoup de jeunes qui sont victimes de trafic humain et nous devons ensemble combattre ces trafiquants. Troisièmement il faut créer des possibilités légales de migrations et aussi combattre la migration illégale», a-t-il signifié.
Pour le ministre ivoirien des affaires étrangères, Mabri Toikeusse, entouré de ses collègues de la défense, Alain Donwahi et celui de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service Civique, Sidi Touré, il était important d’œuvrer pour la mise en œuvre des engagements pris lors du sommet de la valette en novembre 2015, soulignant que «la Côte d’Ivoire a besoin de faire partie des bénéficiaires du fonds fiduciaire de la migration».
Dans un communiqué conjoint, les deux parties se sont engagées entre autres, à lutter contre les causes profondes des migrations, à coopérer sur la migration légale et la mobilité, à travailler à réduire les tensions dans l’Ouest, à la mise en œuvre d’une politique efficace de retour systématique des personnes en situation irrégulière (…).
Les parties ont estimé que de nouveaux efforts doivent être déployés pour renforcer les possibilités de mobilité légale, notamment pour favoriser la mobilité et l’avenir professionnel des étudiants et chercheurs.
AIP
Les populations de Faraba et de Sarhala (Mankono) ont reçu la visite des autorités administratives de la région du Béré, qui les ont sommés de déguerpir de la forêt classée du Bandaman rouge de Kani situé à 3 Km du village de Faraba.
L’ordre du jour de cette rencontre tenue jeudi était axé sur l’occupation de ladite forêt classée. A cette occasion, le corps préfectoral dirigé par le préfet de Dianra, Ba Blaise, a sensibilisé les cadres, les dignitaires religieux et coutumiers, les agriculteurs et éleveurs qui y ont pris part.
Le préfet a instruit les populations du village de Faraba des différents changements relatifs à la gestion de la forêt classée de Kani du Bandaman rouge sur le plan administratif. Ainsi, cette forêt est désormais gérée par l’unité de gestion de Korhogo et le centre de gestion de Dianra.
Ainsi, les occupants de cette forêt classée qui résistent sont priés de libérer ce patrimoine de l’Etat le plus tôt possible.
Le directeur du centre de gestion de Korhogo, Koffi N’Guessan Apollinaire, a abondé dans le même sens en montrant le bien-fondé de ce déguerpissement qui vise à la préservation de la forêt. Ce programme de sécurisation se traduit par l’information et les patrouilles de sécurisation, a-t-il dit.
Soulignant qu’il ne devrait plus avoir d’habitations ni de cultures dans les forets classées, il a déclaré que « tout sera détruit pour le reboisement ».Cependant, la forêt sera ouverte au pâturage et des bas-fonds seront mis en location pour le vivrier mais sur présentation d’une autorisation délivrée par le centre de gestion de Dianra. Ce message était identique pour les populations de Sarhala.
La forêt classée de Kani Bandaman rouge est occupée par 90% de non nationaux et 10% de nationaux qui cultivent 3.500 ha de cacao. Ces derniers qui estiment que leur déguerpissement constitue une véritable tragédie de voir tout leurs efforts détruits, implorent la clémence de l’Etat.
AIP
Les campements de la région du Worodougou souffrent de la pénurie d’eau potable depuis le mois de décembre, rapporte l’AIP. Les plus chanceux ont pu bénéficier de pompes d’eau grâce au Programme présidentiel d’urgence (PPU). Les autres, les plus nombreux, attendent encore leur tour.
Dans cette longue attente, ils se ravitaillent en eau dans des puits à ciel ouvert qu’ils creusent dans les lits de ruisseaux taris. Les eaux de ces retenues sont boueuses, infectes à cause de toutes sortes d’insectes ou vers qui y pataugent.
Même des serpents y viennent comme à Yaokro 3, gros campement de plus de 200 âmes, situé à 13 km de Wongué et à 42 km de Séguéla dans la sous-préfecture de Kani. Yaokro a deux principaux problèmes à savoir le manque d’eau et d’école.
Là-bas, population creuse des trous à la recherche d’une éventuelle eau. Si l’eau boueuse est trouvée, les hommes la partagent avec divers animaux de sorte que cette denrée, source de vie, leur devient au contraire une source de maladies. Quant à l’école, les enfants sont obligés de parcourir plus de 5 km pour aller soit à Paulkro ou à Lazarekro. Du coup, certains qui ont l’âge d’aller à l’école restent dans le campement.
Yao Kouamé, chef du campement, venu de son Béoumi natal en 2001 à la recherche du « bonheur », a souhaité que le gouvernement fasse tout possible pour doter son campement de pompe hydraulique et d’une école pour que la politique de l’école obligatoire y soit effective. « Nous voulons une pompe d’eau et une école pour être dans le train de l’émergence », a-t-il dit à l’AIP.
D’autres campements sont dans les mêmes situations à cause de la très longue saison sèche dans la région.
AIP
L’un des cerveaux de l’attaque terroriste de Grand-Bassam en Côte d’Ivoire, le 13 mars, Alou Doumbia, 32 ans, le numéro de ce groupe terroriste, a été arrêté, samedi, par les forces spéciales des services de renseignements maliens, rapporte la presse internationale, dimanche, de sources sécuritaires.
Cette attaque a fait 19 morts, rappelle-t-on. « Les forces spéciales des services de renseignements maliens ont procédé lors d’une opération spéciale samedi dans la nuit à l’arrestation du numéro 2 de l’organisation des attaques terroristes contre la Côte d’Ivoire », a déclaré une source sécuritaire malienne.
Cette arrestation, qui s’est déroulée à Bamako, a nécessité « d’importants moyens », selon la même source, qui se félicite de « la bonne coopération » entre les services de sécurité du Mali et de la Côte d’Ivoire pour « faire avancer l’enquête ».
« Alou Doumbia a été arrêté par les forces spéciales des services de renseignements maliens. C’est une des têtes pensantes de l’attaque terroriste contre Abidjan », a déclaré de son côté une autre source sécuritaire malienne.
Il a notamment convoyé en voiture du Mali en Côte d’Ivoire les membres du commando ayant mené l’attaque, selon cette source. Il avait aménagé un des deux réservoirs d’un véhicule 4X4 pour y cacher des armes et les munitions qui ont servi à l’attaque contre Grand-Bassam, a expliqué ce responsable. Il avait été désigné comme le « numéro 2 » du groupe par Kounta Dallah, considéré lui-même comme le cerveau de l’opération et toujours recherché au Mali.
Le 27 mars, deux Maliens ayant « activement participé » à l’attentat avaient été arrêtés à Gossi et Gounda, deux localités situées dans le du nord du Mali. Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué l’attaque perpétrée en réponse à l’opération antijihadiste au Sahel menée par la France et ses alliés.
La Côte d’Ivoire a aussi été visée pour avoir livré quatre membres d’Aqmi aux autorités maliennes, avait affirmé Aqmi dans un communiqué.
Le président sortant de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), Traoré Moussa dit MT a été réélu à la tête du conseil exécutif pour un mandat de trois ans, dimanche lors du 9ème congrès de l’UNJCI portant sur le thème « UNJCI, 25 ans après : bilan et perspectives ».
Sur 491 journalistes professionnels inscrits, il y a eu 267 suffrages exprimés soit 54,37%. MT a obtenu 265 voix (96,22%) contre huit voix pour son challenger Vamara Coulibaly (3,01%) et deux bulletins blancs.
Pour la présidence du conseil d’administration, Jérémie Ahouré a été élu à 249 voix, soit 91,80% des votants.
Avant le vote, la liste Vamara Coulibaly a échoué à obtenir le retrait de la candidature de MT, face à la détermination du congrès, souverain en la matière. Il a donc annoncé la suspension de sa candidature, ce qui n’a pas empêché la majorité des journalistes de poursuivre les échéances.
AIP
La liste des candidats inscrits au concours de CAFOP 2016 est disponible. Pour la consulter, cliquez ici
Réunies en marge des travaux du 13ème sommet de l’Organisation de la coopération islamique qui se tiennent à Istanbul, en Turquie, les épouses des dirigeants des États membres s’engagent dans la lutte contre les cancers du sein et du col de l’utérus.
Au terme de la session, les premières dames du monde musulman ont appelé à investir davantage de ressources dans le traitement des facteurs risques qui sont associés au cancer, en lançant des campagnes de sensibilisation publique sur les régimes alimentaires sains adaptés aux adultes, et en s’associant avec les représentants de l’industrie alimentaire pour assurer la conformité aux lignes directrices sur l’alimentation saine et l’intensification des activités physiques, pour en faire une partie intégrante de la vie quotidienne.
Elles ont également appelé au renforcement de la participation de la société civile et de la communauté locale au raffermissement des partenariats pour la diffusion d’informations sur le cancer et la fourniture des services dans les domaines de prévention, de contrôle, de traitement et de prise en charge des personnes qui en sont atteintes, y compris la prestation de soins palliatifs, en plus de l’intégration de la prévention du cancer dans les systèmes de soins de santé primaires et de l’approfondissement de la sensibilisation quant à l’importance des mesures de prévention du cancer.
Les recommandations formulées comprennent également le renforcement de la mise en œuvre des programmes de dépistage du cancer chez la femme, tout en mettant l’accent sur les cancers du sein et du col utérin, qui sont les plus répandus et qui peuvent être dépistés, ainsi que l’adoption de l’initiative sur la suppression du tabagisme dans les États membres de l’OCI, par la participation aux programmes de formation et de renforcement des capacités organisés par le Centre d’Ankara, dans l’objectif de faciliter la conception et la mise en œuvre de stratégies nationales durables pour la lutte antitabac au sein des États membres de l’OCI, conformément aux lignes directrices établies par la Convention-cadre sur le contrôle du tabac.
Les épouses des rois et chefs d’État des pays membres de l’Organisation de la coopération islamique ont souligné l’importance de l’échange des meilleures pratiques régionales et de la multiplication des mécanismes de coordination régionale, en matière d’enregistrement des patients atteints de cancer, et de planification et de mise en œuvre des stratégies de lutte contre le cancer afin de promouvoir les systèmes de santé et de renforcer les capacités nationales dans le domaine de la recherche et du développement, y compris les infrastructures de recherche, les équipements des institutions de recherche et les compétences capables de mener des recherches de haute qualité.
« Renforcer la mise en œuvre des programmes de dépistage chez la femme et se concentrer sur les cancers de sein et du col utérin », c’est le thème de la session spéciale des épouses des rois et chefs d’État des pays membres de l’OCI.
AIP
L’Association des enfants et jeunes travailleurs de Côte d’Ivoire ( AEJTCI) a formulé des recommandations relatives au respect des droits et du bien être de l’enfant dont la création de structures spécialisées pour enfants handicapés mentaux pour une meilleure prise en charge de ces enfants.
L’AEJTCI a fait ce plaidoyer mercredi au terme d’un atelier de validation du rapport national pour le suivi et la protection des droits de l’enfant, au Centre régional de formation à la lutte contre la Drogue ( CRFLD) à Grand-Bassam.
Outre la création de structures spécialisées, l’association souhaite, entre autres, la prolifération des centres culturels pour l’expression des jeunes dans toutes les villes, la gratuité « dans les faits » de la santé et de l’éducation des enfants.
Le rapport procède des quatre consultations qui ont eu lieu avec les enfants des régions de l’ouest à Man, du centre à Bouaké, du nord à Bondoukou et du sud à Grand-Bassam, a souligné le président de l’AEJTCI, Houeto Yves Roland. Ce rapport validé sera inclus dans le rapport national de la société civile des adultes dans les prochains jours.
AIP