Lorem Ipsum is simply dummy text of the printing and typesetting industry. Lorem Ipsum has been....
Cent vingt–huit ivoiriens réfugiés en Guinée, environs 29 familles, retournent au pays mardi, suite à l’appel du président Alassane Ouattara demandant à tous ses compatriotes réfugiés dans d’autres pays du fait des crises sociopolitiques successives en Côte d’Ivoire de rejoindre leur patrie.
Selon une note d’information du ministère de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de l’Indemnisation des victimes, ces personnes sont attendues à 14 heures, à Sipilou, ville située à la frontière ivoiro-guinéenne, et seront accueillis conjointement par une équipe de ce ministère, du Haut-commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) et des partenaires techniques.
La ministre de la Solidarité, Mariatou Koné, a récemment effectué des missions au Libéria et au Ghana et exhorté les réfugiés ivoiriens vivant dans ces pays à renter en Côte d’Ivoire, les rassurant du retour définitif de la paix dans leur pays.
La Côte d’Ivoire compte désormais 40.000 réfugiés repartis dans plusieurs pays, dont la plupart dans la sous-région ouest-africaine notamment au Liberia, au Ghana, au Togo, en Guinée, contre 300.000 il y a 16 ans.
En cinq ans, la vente les quotidiens nationaux ivoiriens a enregistré une chute de 59 % passant de 26.810.252 exemplaires en 2011 à 10.979.073 en 2015, indique un rapport du Réseau des professionnels de la presse en ligne (REPPRELCI).
« La majorité des entreprises de presse est confrontée à une baisse constante et inquiétante de leurs chiffres d’affaires qui a chuté de 39 % », précise le document rendu public vendredi, à l’occasion d’un séminaire du REPPRELCI à Yamoussoukro.
Selon le texte durant cette même période, les autres publications locales ont accusé une perte en volume de 35 % des ventes. « Quant aux entreprises de presse numérique bien que leur apparition soit évoquée comme l’une des raisons de la mévente des journaux, nombre d’entre elles évoluent dans l’informel et très peu parviennent à survivre face aux réalités de l’entrepreneuriat », souligne le document.
Une délégation du groupe français Famy, spécialisé en Bâtiments et Travaux publics (BTP), conduite par son président, a annoncé jeudi aux autorités de San Pedro, Sud-ouest de la Côte d’Ivoire, son intention de venir s’y installer dans la localité avec un investissement de départ de près de quatre milliards de francs CFA pour réaliser des travaux dans ses domaines de spécialités.
Le président du groupe Famy, Jacques Famy, le responsable des activités d’export, Guichard Thomas, et leur partenaire ivoirien, Ouloto T. Emmanuel, responsable d’entreprise, ont échangé avec le 1er vice-président du Conseil régional local et des propriétaires terriens du village de Poro , le Directeur général du port autonome, et le préfet de région de San Pedro, afin de trouver un site dans la zone proche du domaine portuaire.
Selon Jacques Famy, son groupe va investir environ six millions d’Euros, soit près de quatre milliards de francs Cfa, sur un terrain de quatre hectares repéré à proximité du domaine portuaire, pour y bâtir son entreprise qui à terme devrait employer 60 personnes au niveau local. Mais des formalités administratives restent à achever pour permettre une installation pérenne du groupe, a-t-on indiqué.
« Nous avons décidé de nous implanter en Côte d’Ivoire, plus particulièrement à San Pedro, une région qui, avec l’extension du port et les infrastructures qui vont aller avec, semble porteuse », a expliqué le président de Famy. A San Pedro, le groupe veut réaliser différentes activités, dont la production de granulats, des travaux de terrassements, de démolition et de réalisation de routes et de canalisation.
Groupe familial indépendant, Famy, « fort de 400 collaborateurs » est basé dans le Sud-Est de la France, dans la région du Rhône-Alpes. Sa première expérience en Afrique s’est faite au Sénégal, où il est installé depuis trois ans.
1996-2016. Cela fait 20 que AfricSearch a été fondé. Ce cabinet de chasseur de talents africains a célébré son anniversaire le jeudi 15 septembre 2016 au Radisson Blu Hôtel-Abidjan. Le président-fondateur Didier Acouetey retrace les grands moments de cette aventure « d’amitié et de fraternité ».
AfricSearch a été fondé à Paris. Mais, il y a derrière cette naissance une histoire qu’a bien voulu raconter son président fondateur Didier Acouetey. Il est remonté dans le temps. Chaque petit détail. Comment tout a commencé. En présence des nombreux invités en majorité des amis de cette belle aventure, M. Acouetey a livré les secrets de la création de son cabinet aujourd’hui spécialisé dans le capital humain africain : recrutement de ressources humaines de qualité sur le continent pour plusieurs entreprises. Comme Martin Luther King, Didier Acouetey a fait un rêve. Celui de changer l’Afrique, en se donnant pour mission de trouver les talents africains pour l’Afrique. « C’était une idée qui est devenue par la suite un rêve », confie-t-il, soutenant que lorsque l’idée lui est venue de créer une structure pour changer l’Afrique, réinventer le futur du continent, ses amis l’ont pris pour un « fou ». « Ils n’ont pas cru… », dit-il, avec un mince sourire et presque les larmes aux yeux. Et pourtant, il est fier de dire que « c’est une histoire d’amitié et de fraternité ». Il cite ses amis est presque tous étaient venus de partout pour assister à cette 20ème anniversaire d’AfricSearch. En ce rêve, il a cru en commençant d’abord avec l’Association renaissance africaine à la recherche des compétences humaines capables de se mettre au service du continent. A l’époque, il rêvait d’une Afrique développée au capital humain révolutionnaire…. C’est par la suite qu’il fonde AfricSearch en 1996 à Paris. Il s’agit cette fois d’un cabinet chasseur de têtes pour l’Afrique. « Les débuts ont été difficiles », fait-il savoir. M. Acouetey raconte qu’il a été chassé même d’un immeuble, parce que le propriétaire ne voyait pas l’opportunité de son business. Malgré tout, lui et ses amis n’ont pas baissé les bras. Face à ce qu’il appelle la galère, il a continué à croire. Il a donné sa fougue à certains de ses amis qui avaient commencé à douter, et à se décourager. Le décollage commence à partir de 1997.
AfricSearch
AfricSearch recrute des cadres africains formés dans les meilleures institutions, disposant d'expériences de haut niveau, mais également des Cadres expatriés disposant d'une solide expérience africaine…Aujourd’hui, AfricSearch est le premier cabinet de Recrutement pour l'Afrique et de Conseil en Ressources Humaines. Il est articulé autour d'un réseau de bureaux implantés en Afrique (Côte d’Ivoire, Sénégal, Togo, Mali, Bénin, Cameroun etc), en Europe (France…) et aux Etats-Unis.
Un tel courage a été salué par les ministres Sidi Touré de la Promotion de la jeunesse, de l’Emploi des jeunes et du Service civique, et Jean-Louis Billon du Commerce.
Daniel Coulibaly
M. Touré Mori, le père de Yaya Touré, l’international ivoirien de Manchester City, juge opportune la retraite de son fils, estimant dans un entretien jeudi à l’AIP que le moment était venu pour son fils d’arrêter avec les Eléphants de Côte d’Ivoire.
« En football, il faut savoir partir. Et Yaya a fait le bon choix. Le football est un sport ingrat. Le jour que tu ne répondras pas aux attentes du public, tu seras mal remercié » a confié M. Touré, le géniteur du quadruple ballon d’or africain qui a également révélé les échanges qu’il a eus avec son fils avant l’annonce de cette décision.
« Yaya m’avait déjà dit après la Can qu’il arrêterait avec les Eléphants. J’ai tenté de le dissuader en lui demandant de continuer pendant un petit temps. Il a essayé, mais après il est revenu sur sa décision d’arrêter. Maintenant que c’est officiel, je pense que c’est sa volonté et je ne peux que m’aligner », a déclaré M. Touré, indiquant que son fils n’est pas « indispensable » en équipe nationale et qu’il y a des jeunes talentueux au sein de l’équipe pour le remplacer valablement.
L’ex-capitaine des Eléphants de Côte d’Ivoire, vainqueur de la coupe d’Afrique des nations 2015, Yaya Touré, a annoncé mardi sur son compte tweeter sa retraite internationale avec la sélection ivoirienne de football, rappelle-t-on.
En marge de la 71 ème session de l'Assemblée générale des Nations à New-York, la Première Dame des Etats Unis, Madame Michelle Obama, a offert le lundi 19 septembre2016, un spectacle aux Premières Dames du Monde entier et épouses des chefs de délégation.
A la prestigieuse salle "Bernard B. Jacobs Theatre" en plein coeur de New York, le spectacle aura duré 1h30 autour du thème :"Donner l'opportunité à la jeune fille".
Madame Michelle Obama a expliqué à ses soeurs Premières Dames, la nécéssité de faire de l'éducation des adolescentes une priorité. Elle les exhorté à agir aux côtés de leur époux pour faire triompher cette cause.
Mieux, la Première Dame des Etats Unis, a partagé avec ses pairs sa propre histoire. Elle a expliqué comment les bourses d'Etat ont influencé positivement son parcours.
Madame Michelle Obama a revélé que 62 millions de jeunes filles n'ont pas accès à l'éducation à travers le Monde.
La Reine Rania Al Abdullah de Jordanie, la Première Dame de Malawi, Gertrude Mutharika ont pour leur part, temoigné des efforts réalisés dans leur pays respectif pour la scolarisation des jeunes filles.
Les différentes interventions ont été émaillées de spectacles de renommée dont "Beautiful" et "The Color Purple"
"J'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver la Première Dame Michelle Obama et à découvrir le spectacle organisé autour du thème: Donner l'opportunité à la jeune fille.
C'est une bonne initiative qui rejoint nos préoccupations. A savoir que nos jeunes filles aient les mêmes chances de scolarisation que nos garçons. C'est le cas aujourd'hui en Côte d'Ivoire, grâce à l'école obligatoire pour tous les enfants jusqu'à 16 ans", a réagi la Première Dame ivoirienne , Madame Dominique Ouattara.
Source : service com. Dominique Ouattara
Le milieu ivoirien aux 113 sélections, Yaya Touré, a annoncé sa retraite internationale sur son compte Twitter. Yaya Touré n'est plus un Eléphant. Celui qui avait débuté avec la sélection ivoirienne lors d'un match contre l'Egypte, en juin 2004, a décidé de s'arrêter à 113 sélections (19 buts). «Il y a des décisions qui sont difficiles à prendre, mais je dois passer le témoin aux plus jeunes», a écrit le joueur de Manchester City.
Membre de la «génération dorée» de la Côte d'Ivoire, Touré, 33 ans, a remporté la CAN en 2015, pour deux finales perdues en 2012 et 2016. Il a aussi participé aux Coupes du Monde 2006, 2010 et 2014.
Source : L'Équipe.fr /Titre LDA
Dans une interview accordée à APA, lundi, le Lieutenant Colonel Chérif Ousmane se prononce sur le processus de paix et de réconciliation en Côte d’Ivoire, quatorze ans après la rébellion ivoirienne des Forces nouvelles.
‘’L’une de mes fiertés c’est le combat depuis Bouaké en passant par l’ouest contre les Libériens avec à leur tête Sam Boukary, Konahiri, jusqu'à Abidjan, d’avoir réussi à ramener mes hommes à la maison et le regret comme toute guerre d’avoir perdu des hommes’’, explique l’actuel Commandant en second de la sécurité présidentielle ivoirienne dans l’interview téléphonique.
Avec ‘’émotion’’, il rend hommage à tous ces ‘’hommes et femmes tombés au front, blessés et handicapés par cette guerre’’ qu’a connue la Côte d’Ivoire. Chérif Ousmane rend grâce à Dieu que ‘’nous soyons vivants’’ après cette ‘’rude épreuve’’ où il fallait réussir à galvaniser les hommes même quand ils ‘’perdaient espoirs dans la faim, le froid, la soif (…)’’.
‘’Je pense à ceux qui ont des séquelles à vie mais grâce à ce sacrifice extrême nous sommes arrivés et tous sont devenus des apôtres de la paix’’, a ajouté Chérif Ousmane qui dit être ‘’reconnaissant envers tous ces jeunes et compagnons’’ avec qui ‘’nous avons fait fleurir la paix et la démocratie dans notre pays et j'en suis fier’’.
‘’Aujourd’hui nous construisons la paix et faisons fleurir la démocratie. Quand je regarde mes dents, ma main, je pense à tous ceux qui sont tombés et tous ceux qui ont perdu un être cher et à tous les blessés’’ a-t-il conclu.
La Côte d’Ivoire a connu une décennie de crise déclenchée le 19 septembre 2002 par un coup d’Etat manqué contre le régime de l’ex-Président Laurent Gbagbo qui s’est très vite mué en rébellion armée. Le point culminant de cette crise a été la crise postélectorale de décembre 2010 à avril 2011 au cours de laquelle plus de 3000 personnes ont trouvé la mort.
Les mouvements de soutien et de réflexion engagés à la promotion des actions du Président de l’Assemblée nationale, Guillaume Kigbafori Soro, se disent favorables à l’idée d’une nouvelle Constitution ivoirienne et s’engagent à travailler à obtenir « une adhésion populaire et massive des Ivoiriens » autour du projet.
Au nombre de 14, ces mouvements ont livré leur position lors d’un point de presse, lundi, au Plateau (Abidjan). Dans une déclaration commune, ceux-ci ont notamment marqué leur disponibilité « à prendre toute leur part dans la campagne pour la nouvelle constitution », le moment venu.
Pour les mouvements de soutien à Guillaume Soro, l’adoption d’une nouvelle constitution marquerait « le couronnement du combat politique » de leur mentor et de ses compagnons contre « une catégorisation des Ivoiriens » contenue, selon eux, dans la loi fondamentale ivoirienne en vigueur, ont-ils relevé, justifiant leur position.
Le président de la République, Alassane Ouattara, a enclenché en juin le mécanisme pour parvenir à un nouvel ordre constitutionnel en Côte d’Ivoire, avec la mise place d’un groupe d’experts commis pour proposer une mouture devant être validée par le gouvernement puis par le parlement avant sa soumission à référendum. Le sujet donne lieu, depuis, à un débat dans le pays, les uns saluant l’initiative quand d’autres notamment des partis d’opposition se sont ouvertement prononcés contre le projet.
AIP
Le président ivoirien, Alassane Ouattara, présentera la candidature de la Côte d’Ivoire au conseil de sécurité des Nations unies en tant que membre non permanent, lors de la 71ème assemblées générales de l’Organisation qui se tient à New York aux Etats-Unis.
«Nous sommes venus participer à l’assemblée générale de l’Onu. C’est un moment important pour la Côte d’Ivoire et le continent africain. Vous savez que la Côte d’Ivoire est candidate pour être membre non permanent du conseil de sécurité en 2018-2019.
L’objet principal de ma présence ici c’est de parler aux différents pays, aux chefs d’Etat et aux délégations des pays membres de notre candidature et dire que la Côte d’Ivoire est en pleine expansion. La paix est revenue, la croissance économique également. Notre présence au conseil de sécurité date de 1991, il y a 25 ans. Il est donc temps que nous y siégeons à nouveau », a indiqué samedi, Alassane Ouattara à sa descente d’avion.
La candidature de la Côte d’Ivoire à ce poste est portée par la communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest et l’union africaine, note-t-on.
AIP