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La principale voie de la ville de San Pedro vient d’être dotée de lampadaires sur son terre-plein central, l’illuminant d’une clarté nouvelle depuis deux jours.
L’éclairage a été réalisé avec près de 200 lampadaires installés au-dessus du caniveau central séparant cette principale route bitumée, sur un tronçon de près de trois kilomètres traversant les quartiers Séwéké, Zone industrielle, jusqu’au rondpoint des quartiers Lac et Cité.
Les accidents de la circulation étaient fréquents sur ce tronçon. Il fait partie des 7,1 km de voirie réhabilitée et bitumée dans le cadre du projet PRICI. Depuis l’inauguration, le 7 avril, de cette voie par le Premier Ministre, Kablan Duncan, plusieurs véhicules et motos ont fait des chutes dans le caniveau central, en raison du faible éclairage, surtout sur la partie centrale de la route où se trouve ce grand caniveau de drainage des eaux.
Les usagers de la route ne cachent pas leur émerveillement et leur satisfaction, depuis deux jours que ces lampadaires ont été mis sous tension. « Vraiment c’est joli, on remercie le gouvernement pour ce travail, car il nous sauve. On était content pour recevoir notre boulevard, mais après, la nuit à cause de l’éclairage certains tombaient dans le caniveau, donc on avait peur de rouler ici la nuit», a déclaré Koné Abdoulaye, chauffeur de taxi urbain.
Ces travaux d’éclairage, a-t-on appris, sont le prolongement des travaux de réhabilitation des routes bituminées dans le cadre du Projet d’urgence de renaissance des infrastructures en Côte d’Ivoire (PRICI), une initiative du gouvernement ivoirien avec le soutien de bailleurs de fonds.
AIP
L’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) va réaliser, sur le temps qui reste avant son retrait total prévu pour juin 2017, 63 derniers projets à impact rapide d’une valeur globale de quelque 2 millions de Dollars US, a annoncé, jeudi, à Abidjan, la chef de la mission et représentante spéciale de l’ONU dans le pays, Aïchatou Mindaoudou.
Les projets à impact rapide (en anglais QIPs pour Quick Impact Projets) intègrent les initiatives de l’ONUCI pour favoriser le retour à la cohésion entre communautés après la décennie de crise vécue en Côte d’Ivoire. Le programme consiste notamment en la réhabilitation et équipement d’infrastructures communautaires. En douze années la mission a réalisé 700 projets de ce type pour un montant cumulé de quelque 15 millions de Dollars US, apprend-on.
Mme Mindaoudou a procédé, dans la matinée, au lancement officiel de la dernière vague, prévue pour être livrée avant le 30 juin 2017 (date de fermeture définitive de l’ONUCI), lors d’une cérémonie, au quartier général de la mission.
La cérémonie de lancement intégrait le cadre d’un atelier initié par les responsables de l’ONUCI pour affiner des nouvelles pistes de réalisation de ces projets, dans un contexte de rétrécissement (tant en moyens humains que logistiques) de la mission, en prélude à son retrait définitif. Le séminaire marque une étape du transfert progressif des responsabilités administratives et opérationnelles de la mission au système des Nations unis et au gouvernement ivoirien, a noté la première responsable.
Quelque 80 personnes issues des composantes de l’ONUCI (y compris l’administration et les finances), des agences gouvernementales, des partenaires des « QIPs » ainsi que les différentes entreprises contractantes, prennent part à cet atelier.
Selon la représentante de l’ONU, il s’agit notamment de mettre ensemble toutes ces acteurs afin de « permettre à chacun de bien comprendre les procédures et de simplifier les formalités administratives pour que tout puisse être achevé et livré au plus vite et que les dernières factures puissent être réglées avant la fermeture de la mission ».
L’ONUCI, en prélude à la fermeture définitive de la mission, marquera par une conférence lundi le transfert de ses activités à l’Etat ivoirien, signale-t-on par ailleurs.
AIP
Le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan souhaite la consolidation des acquis du premier programme national d’invertissent agricole (PNIA1) lors de l’exécution de la deuxième génération de ce plan (PNIA2).
« Nous sommes fiers aujourd’hui des grandes avancées qu’affiche le secteur (…). Nous devons à présent garder le cap et accélérer la dynamique », a déclaré jeudi M. Duncan à l’ouverture de l’atelier pour le lancement du processus de formulation des PNIA 2 à Abidjan-Cocody.
Le PNIA entend que cadre de référence permettant la planification cohérente de l’action gouvernementale dans le secteur agricole, a permis de redonner une « image reluisante » de l’agriculture ivoirienne depuis 2011, notamment avec « une hausse » des prix de vente des produits de rente, une réduction de la pauvreté en milieu rural, s’est- il réjoui.
Pour le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly, le PNIA 1 ayant atteint quasiment ses objectifs en trois ans avec entre autres une réorganisation du secteur, une augmentation des productions et de revenus, « il faut à présent amorcer la phase de la transformation structurelle de l’agriculture ivoirienne ».
Ainsi le « PNIA2 qui s’étend sur la période 2016-2025, devra adresser de façon intégrée les questions de production avec une maîtrise totale de l’eau, de mécanisation agricole, de formation professionnelle, de commercialisation et de valorisation des produits agricoles sur place ».
Le PNIA1 ( 2012-1015) a été fiancé à hauteur de 1309 milliards F CFA avec un taux de participation de 61% des partenaires techniques et financiers, 21% du secteur privé et 17% de l’Etat, fait-on savoir.
AIP
Le Gouvernement ivoirien souhaite un renforcement des échanges commerciaux entre le Royaume d’Espagne et la Côte d’Ivoire dans le cadre de leur coopération, a exprimé, mercredi, à Abidjan, le ministre des Affaires étrangères, Albert Mabri Toikeusse, à l’occasion de la fête nationale de ce royaume.
M. Mabri a relevé « la qualité » de la coopération entre la Côte d’Ivoire et le Royaume d’Espagne, vieille de 52 ans (depuis le 27 avril 1964), et souhaité que les deux pays mettent en place un cadre d’échange et de travail, expliquant que leur niveau d’échanges commerciaux « ne reflètent pas leurs immenses potentialités économiques ».
« Nos deux gouvernements doivent œuvrer dans le cadre de la redynamisation et du renforcement de cette coopération à la mise en place d’un cadre permanent de travail et des échanges qui pourrait inspirer de grandes commissions mixtes et d’un instrument de suivi et d’évaluation entre la Côte d’Ivoire et le royaume d’Espagne », a déclaré Mabri Toikeusse.
La fête nationale du Royaume d’Espagne commémore la naissance de l’Espagne comme Etat-Nation moderne.
AIP
Le ministre de l’Industrie et des mines, Jean Claude Brou, a réceptionné, mercredi, Abidjan, à son cabinet sis au Plateau, des mains de l’Ambassadeur du Canada en Côte d’Ivoire, Patricia Mc Cullagh, des données géophysiques et aéroportées destinées à la direction générale des mines et de la géologie.
Il s’agit de données d’appui aux cartes disponibles en ce sens qu’elles constituent une « valeur ajoutée et un confort certain aux capacités de recherches », car ces outils offriront aux opérateurs du secteur minier, une vue synoptique d’une région donnée ainsi que sa parfaite connaissance.
Tout en saluant la bonne coopération entre la Côte d’Ivoire et le Canada depuis 1970 sur l’exploitation minière, le Ministre Jean Claude Brou a nourri l’espoir que les données géophysiques et aéroportées contribueront à impulser le développement minier au sein de son département.
« L’objectif final recherché à travers l’utilisation de ces données étant d’identifier des gisements de minerais utiles et rentables pour une meilleure mise en valeur de notre sous-sol, je suis persuadé que les données amélioreront notre recherche et par conséquent l’exploitation minière dans notre pays », s’est-il réjoui.
De 1970 à 1988, le Canada a offert des centaines de bourses d’études à des étudiants ivoiriens pour leur formation dans diverses spécialités des secteurs de la Géologie et des Mines. Déjà entre 1974 et 1976, la Côte d’Ivoire avait doté le ministère d’une cartographie couvrant les ¾ du territoire national, a rappelé le ministre Brou.
AIP
L’éclairage public sur l’autoroute Abidjan-Grand-Bassam, longue de 30 kilomètres, a été mis en service mercredi, en présence des ministres du Pétrole et de l’Energie, Adama Toungara, des Infrastructures économiques, Patrick Achi, et de la Salubrité urbaine et l’Assainissement, Anne Ouloto, et du directeur général de la CIE, Dominique Kakou.
M. Toungara a indiqué que ce projet, a été réalisé à l’initiative du président de la République, Alassane Ouattara, ajoutant que cela participe de la modernisation du pays voulue par ce dernier.
Réalisé par la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) après un marché attribué à cette structure par le ministère des Infrastructures économiques, l’ouvrage a coûté un peu plus de 3 milliards de FCFA, et connu deux phases dont la première, allant de la place Akwaba de Port-Bouët au rond-point d’Anani, a été mise en service en novembre 2015. La seconde, dont la mise en service s’est faite ce jour, relie le rond-point d’Anani à Grand-Bassam, a expliqué Jean-Christian Turkson, directeur des études et maître d’œuvre de la CIE.
Pour sa part, le ministre Patrick Achi a souhaité que des habitations anarchiques ne se développent pas sur cette autoroute et indiqué que des dispositions réglementaires « approuvées par le gouvernement » interdisent toute construction avant 100 mètres de part et d’autre de cette infrastructure routière. Il a promis de procéder à « une mise en conformité » pour ceux qui ont déjà enfreint cette règle.
Au total, 1594 foyers lumineux dont 1534 lampes de 250 W et 60 lampes de 150 w ont été installés dans le cadre de ce projet, détaille-t-on.
AIP
Le gouvernement ivoirien a adopté, mercredi en Conseil des ministres, un décret portant règlementation des émissions des bruits de voisinage qui institue désormais un organe en charge d’enregistrer les plaintes des victimes de nuisances sonores.
Selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, ce texte vise globalement à « prévenir, limiter voire supprimer l’émission ou la propagation des bruit ou vibration qui sont de nature à présenter des dangers, à causer un trouble excessif aux personnes, à nuire à la santé ou à porter atteinte à l’environnement ».
Le texte fixe à cet effet des seuils de tolérance qui vont varier en fonction de zones que l’Etat aura déterminé soit sensibles ou non.
« La moyenne de valeur d’émission variera de trois décibels pour les zones les plus sensibles à six décibels pour les zones moins vulnérables », a précisé le porte-parole du gouvernement, avertissant que le non respect de cette réglementation exposera les contrevenants à des mesures de sureté qui pourront aller de la confiscation de l’objet ayant servi à commettre le bruit à l’interdiction de l’activité à l’origine du bruit incriminé.
Le décret fait par ailleurs désormais obligation aux professionnels qui émettent du bruit de réaliser une étude de maîtrise des nuisances sonores et de déterminer des mesures pour en atténuer les effets. Ces professionnels devront réaliser une cartographie sonore de leur environnement immédiat et établir un programme annuel de mesure sonore.
Pour ce qui est de l’organe mis en place, le ministre Nabagné Koné a appelé les populations à s’y référer quand elles s’estimeront victimes de nuisances. « Cet organe se chargera d’enquêter et d’appliquer des sanctions », a-t-il indiqué, notant que le décret vise « toutes sortes » » d’émissions sonores susceptibles d’ « importuner ».
Il a relevé le cas courant d’« un maquis qui reste ouvert à des heures très tardives » ou « d’endroits de prêche qui toute la nuit fonctionnent » ou encore « des voisins trop brouillons ».
AIP
L’entreprise CFAO est dans une dynamique de « bonnes perspectives de croissance » soutenue en cela par « un chiffre d’affaire stable avec ses parts de marchés maintenues autour de 40% » dans un marché automobile toutefois qui « baisse de 11% », se félicite son président directeur général (PDG), Fabrice de Creisquer.
Ces bonnes perspectives, en dépit d’un « environnement concurrentiel plus fort », selon M. Creisquer se justifient en ce que « Toyota reste leader en Côte d’Ivoire, nos ateliers et notre activité de pièces de rechange progressent également. L’emploi est préservé …, il s’agit donc d’une bonne performance et CFAO tire toutefois son épingle du jeu ». En outre l’engagement des travailleurs et la fidélité des clients « nous permettent de résister » a-t-il commenté, mardi, dans une interview au quotidien gouvernemental ivoirien.
« D’un point de vue comptable, nous avons procédé à un ajustement technique cette année, en transférant certaines activités B2B dont nous avions la responsabilité (poids lourds, pneumatiques, chariots élévateurs…) vers CFAO Equipment, une autre entité du groupe. Un transfert équivalent à environ 10 milliards de FCFA. C’est ce manque à gagner qui peut sembler altérer nos résultats au premier semestre », a poursuivi le PDG de CFAO.
Se prononçant sur les raisons de la baisse de 11% du marché automobile en Côte d’Ivoire dans une période de forte croissance économique, M. Creisquer a évoqué des « causes structurelles et conjoncturelles », relevant cependant que « l’année 2015 a été exceptionnelle en Côte d’Ivoire, où près de 10000 véhicules neufs ont été vendus, un record depuis plusieurs dizaines d’années, dû notamment à l’après crise et aux effets induits de l’élection présidentielle ».
« Je pense que la baisse en 2016 est donc un ajustement de marché, qui se situe autour de 9000 véhicules par an, soit le niveau de 2014 », a-t-il précisé, non sans ajouter la conjoncture mondiale marquée par « le Yen et le Dollar qui se renforcent en ce moment » ont des « conséquences sur nos prix de revient. Le mécanisme se ressent sur les prix de vente de nos véhicules. Les marchés ne peuvent pas toujours suivre et les consommateurs préfèrent parfois décaler leurs achats ou se tourner vers le véhicule d’occasion ».
Pour y faire face, Fabrice Creisquer suggère que l’industrie automobile tout entière en Côte d’Ivoire se mobilise, et ses parties prenantes doivent s’engager pour répondre aux nouveaux besoins des consommateurs, la stratégie pour booster les ventes devant consister à « Innover, s’adapter, ne jamais faire de compromis sur la qualité de nos véhicules ».
« CFAO est présent en Côte d’Ivoire depuis plus d’un siècle, nous avons une très bonne connaissance de nos marchés, ce qui nous permet d’anticiper et d’accompagner les mutations du pays ». a affirmé son président directeur général.
(AIP)
Le Conseil régional du bélier ambitionne de réaliser un pôle agro–industriel d’un montant de 85 milliards, dont les grandes articulations ont été présentées par son président, le ministre d’Etat Jeannot Kouadio Ahousssou.
« Ce projet ambitionne de mettre en place le socle d’un pôle agro-industriel pour transformer et moderniser l’agriculture dans la région du Bélier d’un montant de 85,35 milliards pendant cinq ans à compter de la date de signature de l’accord de prêt», a expliqué M. Ahousssou, lors d’une réunion bilan des activités du Conseil dans le département de Toumodi, le 1er octobre au foyer Allah Thérese de cette localité.
Il a signalé que le gouvernement ivoirien a soumis une requête auprès de la Banque africaine de développement (BAD), de financement de ce projet qui concerne également deux autres régions administratives du pays.
Il s’agira de réaliser des investissements dans les domaines de l’énergie, du transport, de l’hydraulique agricole, de la commercialisation des produits agricoles tels que le riz, le manioc, a-t-il signifié, précisant que de nombreux sites ont déjà été identifiés à cet effet, pour une superficie de plus de 2000 hectares avec la réhabilitation et la modernisation de 17 marchés et la construction de 4 centres de groupage des produits.
Ce projet couvrira tous les quatre départements de la région du Bélier, Tiébissou, Toumodi, Didiévi, Djekanou, mais également le district autonome de Yamoussoukro.
La ministre de la Santé et du l’Hygiène publique, Raymonde Goudou coffie, a également pris part à cette réunion.
La compagnie aérienne RwandAir a effectué, vendredi, son vol inaugural avec le boing A 737-800 à l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan-Port-Bouët, en provenance de Cotonou, indique une note d’information parvenue à l’AIP.
154 passagers ont été accueillis par les des officiels de AERIA notamment le directeur général de cette compagnie, Gilles Darriau. La présence en Côte d’Ivoire s’inscrit dans le renforcement des relations entre la Côte d’Ivoire et le Rwanda.
RwandAir compte huit avions dont deux Boeing 737-800 d’une capacité de 154 passagers chacun, deux Boeing 737-700 d’une capacité de 120 passagers chacun, deux avions régionaux d’une capacité de 75 passagers chacun et deux avions turbo-compulseurs d’une capacité de 65 passagers chacun. Trois vols par semaines sont prévus sur Abidjan, précise-t-on.
AIP