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Le lancement régional Afrique de l'Ouest du Rapport mondial sur la Nutrition 2016 aura lieu à Ouagadougou, au Burkina Faso le 9 Novembre 2016. L'événement marquera la sortie du Rapport complet 2016 en français - et réunira les experts et décideurs francophones Ouest africains pour partager les leçons apprises dans la lutte contre la malnutrition et travailler à renouveler et matérialiser en actions les engagements contre la malnutrition.
Le rapport mondial sur la Nutrition est la seule revue annuelle complète et indépendante de l'état de la nutrition dans le monde. Le rapport 2016 met l'accent sur le thème : Prendre - et évaluer- les engagements mondiaux pour la nutrition, et les actions à entreprendre pour mettre fin à la malnutrition sous toutes ses formes d'ici 2030.
Les résultats révèlent un manque global de progrès dans la lutte contre la malnutrition, en particulier en Afrique, qui est aujourd'hui la seule région où le nombre d'enfants de moins de cinq ans atteints de retard de croissance est en hausse. Alors que la sous-nutrition chez les enfants de moins de cinq ans. La malnutrition reste un fardeau chronique et un problème de santé publique ayant de larges et importantes répercussions économiques dans tous les secteurs. Le rapport révèle les points saillants suivants :
* Tous les pays d'Afrique de l'Ouest, sont hors course pour atteindre les objectifs de réduction de l'anémie - causée en partie par un faible apport en fer - chez les femmes en âge de procréer. Chez les femmes enceintes, l'anémie peut entraîner la mort de la mère et peut causer la mort du nouveau-né, des prématurités et de faibles poids à la naissance.
* Presque chaque pays d'Afrique de l'Ouest connait une hausse des prévalences de retard de croissance (ou malnutrition chroniques, dite invisible). En moyenne, 30 % des enfants de moins de cinq ans dans la région sont malnutris chronique (retard de croissance), ce qui signifie qu'ils ne parviennent pas à se développer correctement ni physiquement, ni intellectuellement à cause d'un environnement non favorable (accès et qualité de l'alimentation, des soins, des services de santé, de l'eau etc.). La malnutrition chronique a donc des conséquences négatives et irréversibles sur la capacité des enfants à apprendre à l'école. Ils sont également 1,4 à 1,6 fois plus sensibles aux maladies, ce qui entraîne des effets sur leur santé à long terme, mais aussi sur leur capacité à travailler plus tard.
* 31% des adultes dans la région Afrique de l'Ouest sont en surpoids ou obèses. Au-delà des conséquences sur la santé, le rapport propose également des données sur le coût de la malnutrition pour les sociétés et les individus et comment mieux lutter contre ce fléau à travers plusieurs secteurs :
* En Afrique, 11 % du produit intérieur brut (PIB) est perdu chaque année en raison de la malnutrition. Malgré cela, les pays ouest-africains dépensent en moyenne moins de 1 % de leurs budgets sur les activités liées à la nutrition.
* Plus de 30 % des dépenses du gouvernement en Afrique sont données à l'agriculture, la santé, l'éducation, la protection sociale et l'assainissement. Selon certaines estimations, maximiser l'impact sur la nutrition de chacun de ces secteurs pourrait aider à réduire le retard de croissance chez les enfants jusqu'à 80 %.
Le lancement Afrique de l'Ouest mettra en avant des experts du Bénin, Burkina Faso, Côte-d'Ivoire, Mali et Sénégal qui pourront échanger avec les acteurs des autres pays de la sous-région.
En plus, ONG Humanitaire Plus organisera également un lancement du Rapport sur la nutrition mondiale le 10 novembre à Lomé, au Togo.
La directrice régionale de campagne chargée de la mobilisation des femmes du Folon, Fanny Moussokoura Chantal, se dit satisfaite, de la mobilisation des femmes des départements de Kaniasso et Minignan, un peu plus d’une semaine après le référendum constitutionnel marqué un fort taux du « OUI » (93,42%).
Lors d’un entretien avec l’AIP, lundi, la DRC a exprimé sa reconnaissance aux femmes de la région du Folon pour leur grande mobilisation lors du scrutin du 30 octobre.
« Je remercie les populations du Folon, particulièrement les femmes de Kaniasso, pour leur grande mobilisation lors du référendum du 30 octobre. Les populations sont sorties nombreuses, ce qui nous a permis de faire un score sans appel », a–t-elle indiqué.
La région du Folon a enregistré un score de 99,95% de « OUI » pour un taux de participation de 84,25%.
Ce grand score est le résultat de la mobilisation faite par la directrice régionale de campagne chargée de la mobilisation des femmes qui a parcouru villages et hameaux pour les exhorter à sortir massivement pour voter en faveur de la nouvelle constitution.
Lors du scrutin présidentiel de 2015, Kaniasso a battu un score historique de 99,96% des voix en faveur du président de la République, Alassane Ouattara, rappelle-t-on.
Ousmane Touré, jeune diplomate en poste à l’ambassade de Côte d’Ivoire en France, a été distingué « Prix de l’Etoile montante de la Diaspora » ivoirienne, dans la catégorie « Diplomatie » à la deuxième édition la Nuit de la diaspora, pour ses efforts de mobilisation de ressources et partenaires en faveur des couches défavorisées dans son pays, ainsi que ses actions de sensibilisation contre l’immigration clandestine auprès de ses compatriotes.
Cette cérémonie s’est tenue samedi au Golf Hotel d’Abidjan, en présence du directeur des Ivoiriens de l’étranger, Issiaka Konaté, représentant le ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’étranger, Ally Coulibaly.
Le lauréat Ousmane Touré a profité de cette occasion pour appeler à nouveau les jeunes ivoiriens et africains à l’éveil de conscience, en évitant « ces aventures dont le dénouement est la mort, dans des conditions atroces et difficiles », relevant que le continent africain regorge de plusieurs potentialités pour réaliser leurs rêves.
Il a dédié son trophée à l’ambassadeur Claude Béké, ex-secrétaire général des Affaires étrangères décédé le 17 septembre 2016, auquel il a rendu un vibrant hommage, mais aussi à sa région d’origine, le Denguélé.
Plusieurs diplomates ivoiriens et ivoiriens de la diaspora ont pris part à cette cérémonie qui a vu la distinction d’autres lauréats ivoiriens et africains.
AIP
L’auteur Aimé ADOPO Achi, Docteur en Lettres modernes, spécialiste de grammaire et linguistique française vient de paraître un livre aux éditions HARMATTAN, intitulé « ANALYSES EN GRAMMAIRE FRANCAISE » dans lequel il rappelle quelques méthodes et principes d’analyse en grammaire pour expliquer certaines vérités grammaticales et montre ainsi comment s’approprier ces méthodes et ces principes d’analyse pour identifier correctement les mots, groupes de mots et propositions, ainsi que leurs fonctions dans la phrase.
Ce livre qui remet par ailleurs en question certaines analyses grammaticales traditionnelles devenues des « vérités éternelles » et fait des propositions novatrices va être dédicacé le mercredi 09 novembre 2016 à la Librairie Carrefour Siloé Cocody (Près de l’église St Jean), devant un parterre d’invités et d’hommes de la presse.
L’auteur qui n’est pas à sa première œuvre, a pour cette deuxième parution voulu révéler sa profession première car la première œuvre, un livre biographique intitulée « ADAMA OUEDRAOGO, UNE VIE DE PASTEUR : LA VIE ET L’ŒUVRE DE L’HOMME» parût en octobre 2015 au Centre de Publications Evangéliques (CPE), montrait sa facette spirituelle, vu qu’il est un laïc de l’Eglise des Assemblées de Dieu de Côte d’Ivoire.
Maître-assistant à l’Ecole Normale Supérieure (ENS) d’Abidjan, il est professeur de grammaire au département des Arts et Lettres. Ancien élève de l’ENS, Aimé ADOPO Achi a été enseignant de lycée en tant que professeur de Lettres modernes. Passionné de questions de grammaire, le jeune auteur a pour lui cette riche expérience de la pratique grammaticale scolaire et de celle d’enseignant de grammaire à l’enseignement supérieur.
Nadège KOFFI
La Fédération nationale des sociétés coopératives du vivrier de Cote d’Ivoire (FENASCOVICI), Irié Lou Irié Colette, a présenté, lundi, aux producteurs agricoles de la région du Béré, le projet de construction du futur marché de gros de la localité qui coûtera 2 milliards de francs CFA.
Il s’agit d’un projet qui s’inscrit dans la l’exécution du programme d’appui à la production vivrière et à la sécurité alimentaire (PAPSA), qui vise la construction de marchés modernes de gros dans le pays, en vue de lutter contre la pauvreté, la faim et la cherté de la vie.
Le projet de ce marché sera réalisé au niveau du village de Tiéma, à 500 mètres de la ville de Mankono, sur un site de deux hectares, a-t-elle précisé.
La ville d’Abidjan abrite une rencontre sur la cyber-sécurité, mercredi et jeudi. Dénommée « Ivoire cyber security », cette rencontre qui se déroulera à l’hôtel Radisson Blu, dans la commune de Port-Bouët, est organisée par un groupe de partenaires soutenus par l’ambassade des Etats-Unis et la Chambre de commerce américaine en Côte d’Ivoire.
Durant deux jours, la rencontre permettra aux experts de la cyber-sécurité de dégager, à l’occasion des panels, des tables rondes, des conférences, etc., des pistes contre les cyberattaques « qui deviennent de plus en plus récurrentes », afin de créer un environnement sécurisé dans le business et les échanges intellectuels.
Ce rendez-vous sera celui du partage des expériences entre l’ensemble des acteurs du cybermonde afin de mener des réflexions sur la question de la cyber-sécurité en Afrique, un sujet d’actualité, selon la note qui concerne visiblement tous les domaines d’activités.
Pour les organisateurs, l’Afrique vit actuellement une révolution économique portée par le numérique. De plus en plus, l’internet est au cœur des échanges. Les hommes, les femmes, les enfants, les objets s’interconnectent au jour le jour. Malheureusement, regrettent-ils, la cybercriminalité prend de l’ampleur et les cyberattaques se multiplient, des entreprises aux gouvernements, en passant par les opérateurs économiques, les citoyens lambadas, personne n’est épargné par « ces criminels du numérique ».
présente à la conférence des Parties (COP22) à Marrakech avec une forte délégation, la Côte d’Ivoire assure de son engagement dans l’action pour l’atténuation et l’adaptation aux effets du changement climatique, a exprimé, lundi, le professeur Ochou Delphin, président du comité scientifique de la participation ivoirienne à ce rendez-vous mondial dédié au climat.
« La COP 21 à Paris a été un tournant décisif en matière de lutte contre les changements climatiques, et la Côte d’Ivoire s’y est engagée en présentant ses contributions pour réduire les émissions des gaz à effet de serre tout comme les autres pays, mais aussi pour rechercher des voies et moyens de s’adapter aux impacts du changement climatique qui sont déjà très manifestes. Nous sommes à cette COP 22 pour nous engager dans l’action », a déclaré à l’AIP, le professeur Ochou.
Cet engagement, a-t-il dit, est à l’image du monde entier, qui après l’accord de Paris, va s’engager dans «les actions d’atténuation et d’adaptation conforment au thème de cette COP qui est « l’atténuation aux effets du changement climatique et l’innovation en matière d’adaptation ».
La Côte d’Ivoire, selon l’expert, a commencé à se préparer pour « la mise en œuvre de l’accord de Paris qui est prévue en principe pour 2020, mais il faut déjà se préparer, et c’est dans ce cadre que nous sommes encore ici avec un portefeuille de projets émanant des différentes entités, des ministères, des collectivités territoriales, des ONG, du secteur privé et de la société civile ».
Il s’agit de projets sur « les énergies renouvelables, l’agriculture intelligente, l’agriculture zéro déforestation, comment rechercher de nouvelles voies pour l’efficacité énergétique, des énergies nouvelles, lutter contre l’érosion côtière ».
Des conférence et panels sur 12 thématiques seront animés au cours desquels « les autres pays devraient pouvoir venir pour (…) échanger… C’est le rendez-vous du donner et du recevoir de façon à ce qu’on puisse affûter nos armes pour pouvoir capter les financements qui sont proposés aux pays en développement notamment les 100 milliards de francs par an puis le fonds vert climat ».
« La Côte d’Ivoire, avec toutes ses parties prenantes est ici, à Marrakech, pour montrer ce qu’on sait faire, mais aussi apprendre des autres, pour que nous puissions en synergie au niveau national, sous régional, voir comment nous devrions prendre à bras le corps la lutte contre le changement climatique pour assurer la résilience climatique aux populations vulnérables », a conclu le professeur Ochou Delphin.
Le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Dosso Moussa, a annoncé lundi à Yamoussoukro, lors de la cérémonie d’ouverture du symposium international sur la couverture maladie universelle, que le lancement de la phase pilote de la couverture maladie universelle (CMU) va s’effectuer dès le premier trimestre 2017.
Il a expliqué que le système d’information et de gestion de la CMU est opérationnel, le panier de prestations tenant compte de l’état de santé des populations est également défini.
« Tous ces acquis nous permettent d’envisager avec beaucoup d’optimisme le lancement d’une phase pilote dès le premier trimestre 2017, avec pour cible les étudiants des villes d’Abidjan, de Yamoussoukro, Bouaké, Daloa et de Korhogo estimés à environ 150.000 personnes », a indiqué le ministre Dosso Moussa.
Selon lui, le processus d’enrôlement des populations, entamé il y a un peu plus d’un an, a permis d’avoir une base de données de plus de 600.000 assurés.
Le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale a souligné que ce processus se poursuit sur toute l’étendue du territoire pour prendre en compte l’ensemble des populations.
Le représentant des partenaires techniques et financiers à cette rencontre, Emré Ozaltin, a rassuré le gouvernement ivoirien de l’engagement de ses pairs à l’accompagner dans ce projet important.
« Chaque pays doit aboutir à la CMU en dépit des difficultés, la Banque mondiale se félicite de l’avancée de l’opération en Côte d’Ivoire et s’engage à l’y aider davantage », a-t-il déclaré.
Une centaine de participants en provenance du Mali, du Ghana, du Rwanda, du Maroc, du Burkina Faso, du Togo, du Niger, du Sénégal et de la Côte d’Ivoire vont, durant trois jours, saisir l’opportunité de cette plateforme pour échanger et partager leurs expériences sur les systèmes d’assurance et de couverture maladie universelle.
Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, conduit la délégation ivoirienne à la 85ème Assemblée générale de l’Organisation internationale de la police criminelle (OIPC-Interpol) qui se tient à Bali, en Indonésie.
Outre le ministre d’Etat Hamed Bakayoko, la délégation ivoirienne comprend le directeur général de la Police nationale, le Contrôleur général Brédou M’Bia, le directeur de la police criminelle, Elloh Wodje Raymond, et le chef du BNC-Interpol Abidjan, Camara Souleymane, a-t-on souligné.
Cette assemblée générale de l’OIPC-Interpol qui s’est ouverte ce lundi sera marquée par le renouvellement du Comité exécutif comprenant 13 membres.
Le président ivoirien, Alassane Ouattara, a reçu en audience, lundi, son homologue centrafricain, Faustin Archange Touadera, qui a, à sa sortie, traduit la volonté de son gouvernement de s’inspirer de l’exemple ivoirien en matière de sortie de crise.
« La République Centrafricaine sort d’une crise et nous allons entamer le processus de désarmement. Nous voulons nous inspirer de votre expérience du DDR et de votre processus de réconciliation. Nous voulons féliciter le peuple ivoirien pour ce progrès », a notamment déclaré M. Touadera, qui séjourne depuis lundi en Côte d’Ivoire dans le cadre d’une visite d’amitié et de travail.
Il a également indiqué compter sur la Côte d’Ivoire pour le retour des investisseurs dans son pays. « Nous comptons sur vous pour pousser les investisseurs à venir chez nous. Je voudrais vous remercier et profiter de votre expérience pour solliciter des partenaires », a poursuivi le chef de l’exécutif centrafricain, félicitant le gouvernement ivoirien pour les « progrès remarquables » accomplis par la Côte d’Ivoire en matière de développement, notamment dans le domaine des Infrastructures.
Le Président Alassane Ouattara s’est pour sa part dit honoré de la visite de son homologue notant qu’il est chez lui en Côte d’Ivoire où il a passé une partie de sa jeunesse.
Outre des rencontres avec les officiels ivoiriens, Faustin Archange Touadera aura également des réunions de travail avec les dirigeants de la Banque africaine de développement (BAD).