Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Gemalto, le leader mondial de la sécurité numérique, annonce la sortie d'une solution unique pour aider les opérateurs téléphoniques ivoiriens. LinqUs SIM réactivation est la première solution au monde de réactivation en temps réel de cartes SIM en dormance permettant ainsi aux opérateurs téléphoniques de regagner les abonnés perdus des services prépayés pour une fraction du coût d'acquisition.


Les chiffres de la GSMA montre qu'en 2016, la quasi-totalité (99,56%) du marché des télécoms en Côte d'Ivoire est constitué d'abonnés à des services prépayés et que le pays est également marqué par un phénomène de SIM multiples avec 1.91 cartes SIM par utilisateur dans le pays, les utilisateurs ivoiriens jonglent avec près de 2 cartes SIM en moyenne pour bénéficier des meilleures offres tarifaires et leurs cartes non utilisées deviennent rapidement dormantes.

"Face à ce constat, les opérateurs de téléphonie mobile ivoiriens sont confrontés à des défis de taille. Comment retenir leurs utilisateurs dans un tel contexte concurrentiel? Comment "reconnecter" avec d'anciens clients et réactiver leurs cartes SIM?", commente Sherry Zameer, Senior Vice-Président Afrique chez Gemalto. "C'est très précisément à ces problématiques que la solution Gemalto LinqUs SIM Reactivation permettra aux opérateurs de répondre".

LinqUs SIM Reactivation détecte automatiquement les clients qui tentent d'utiliser une carte SIM expirée et la réactive. La plateforme conserve également les données de profil des clients désabonnés, ce qui donne aux opérateurs la possibilité de proposer des offres sur mesure, comme les plans voix/données et le choix du numéro de téléphone, sur la base d'une compréhension approfondie des besoins individuels. L'ensemble du processus s'effectue en temps réel via des menus écran intuitifs pour assurer une parfaite expérience utilisateur.

LinqUs SIM Reactivation est une plateforme solide et évolutive qui offre une personnalisation complète et une intégration facile avec les systèmes et procédés des opérateurs. Elle est construite sur une plateforme de signalisation éprouvée détenue par Gemalto qui connecte les applications au réseau pour gérer les communications des utilisateurs et est déployée avec succès dans 135 pays. La solution LinqUs SIM Reactivation est parfaitement adaptée aux marchés de la téléphonie mobile majoritairement prépayés tels que l'Afrique, l'Amérique latine ou l'Asie du Sud, où les utilisateurs passent sans cesse d'un opérateur à l'autre et engendrent des coûts d'acquisition client élevés pour les opérateurs. L'une des dernières enquêtes menées par Gemalto en Afrique révèle que 76% des opérateurs interrogés considèrent que la réactivation en temps réel de cartes SIM dormantes au travers d'offres promotionnelles est clé pour reconquérir des utilisateurs1.

Gemalto anticipe une adoption significative de ce type de technologie sur le continent africain, améliorant la fidélisation des abonnés à travers une gestion plus efficace de l'expérience client, laquelle est largement reconnue comme étant l'un des principaux défis auxquels sont confrontés les opérateurs de réseau mobile. Selon une étude récente réalisée par Ernst & Young, 68 % des cadres supérieurs du secteur considèrent la gestion de l'expérience client comme leur première priorité stratégique2.

« Face à une concurrence de plus en plus agressive, les opérateurs de réseau mobile doivent tirer parti de tous les canaux et points de contact clients disponibles pour tisser des liens plus personnels et plus forts avec les utilisateurs », commente David Buhan, Vice-président directeur en charge des Services d'abonnement mobile. « La solution LinqUs SIM Reactivation balaie les obstacles qui existent actuellement entre les opérateurs et les abonnés perdus du prépayé et rétablit facilement les relations caduques ».

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Les résultats des concours administratifs, directs et professionnels, de la fonction publique en Côte d'Ivoire, session 2016, ont commencé à être proclamés depuis vendredi 18 novembre 2016 sur le site internet du ministère : http://www.fonctionpublique.egouv.ci/.

Pour consulter la liste des concours dont les résultats sont déjà disponibles, cliquez ici!

Pour consulter la liste des concours dont les résultats ne sont pas encore disponibles, cliquez ici!

NB: Si le site internet de la Fonction publique ne passe pas, insistez car il y a plusieurs utilisateurs sur le lien en ce moment. S'il est mentionné "Patientez" devant un concours dont les résultats sont supposés disponibles, revenez sur le site plus tard. Bonne chance à tous!

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Une université franco-arabe va ouvrir ses portes pour l’ année académique 2017-2018 à Damé, une sous-préfecture du département d’Agnibilékrou (Est, région de l’ Indenié-Djuablin), a-t-on appris de l’initiateur du projet, le professeur Amoa Urbain.

Lors d’une cérémonie d’information et de présentation de l’institution aux populations, le fondateur de l’Institut Charles Louis de Montesquieu d’Abidjan a présenté les avantages et les opportunités qu’offrira l’université franco-arabe à Damé, son village natal, et à la Côte d’Ivoire. Pour lui, elle apportera des solutions de formation et d’insertion professionnelle à ses auditeurs.

Le professeur Amoa Urbain est  l’initiateur du Festival de la route des rois, un événement de promotion des valeurs traditionnelles et des richesses culturelles de l’Afrique. Promoteur de l’esthétique langagière, il est le pionnier de l’Université des vacances à l’Ecole normale supérieure (ENS) et recteur de l’Université des temps libres rebaptisée Université Charles Louis de Montesquieu.

Les populations ont salué cette initiative et remercié leur fils pour avoir choisi le village de Damé pour abriter le siège de l’institution, une première dans la région de l’Indenié-Djuablin.

AIP

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Trente cadres policiers du district des Montagnes (Ouest) ont suivi de lundi à mercredi à Man, une session de formation sur la prévention et la gestion des conflits identitaires.

Il s’agit de la première d’une série de restitutions de la formation sur la «Prévention et gestion des conflits identitaires», donnée en 2015 aux cadres de la police nationale pour le renforcement du dialogue socio-sécuritaire à l’intérieur du pays (12 sessions) et 10 sessions à Abidjan prévus jusqu’en février 2017.

En 2015, au total 131 cadres de la police nationale ont été formés à la culture de la paix. Cette formation vise à renforcer les capacités de la haute hiérarchie de la police ivoirienne pour prévenir les conflits, les violences et les divisions au sein de la population d’une part, et entre la police et la population, d’autre part, dans un contexte préélectoral.

A la fin de cette formation, l’une des recommandations pour influer positivement sur le processus du dialogue socio-sécuritaire a été d’encourager le pool de formateurs issus des fonctionnaires de la police nationale de restituer les acquis de la formation dans les différentes unités de la Police. Cette restitution fera l’objet de sessions formelles éclatées dans différents sites à l’intérieur du pays et à Abidjan.

En marge de cette activité de restitution, des sessions de formation à la prévention et la gestion des conflits communautaires à base identitaire seront organisées à l’endroit des unités d’intervention par l’Institut de formation  et d’appui pour la prévention des conflits identitaires  (Verbatims).

Le Projet d’appui au renforcement du dialogue socio-sécuritaire (PARDS) est financé par l’Union Européenne à travers le PNUD et exécuté par l’ONG Verbatims. Il vise plusieurs actions de rapprochement entre la police et la population, notamment par l’organisation d’ateliers de dialogue police / population et les forums publics, afin de réduire considérablement la méfiance entre la population et la police.

AIP

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Un investissement de 30 milliards FCFA pour régler les problèmes d’eau potable dans plusieurs ville de Côte d'Ivoire. C'est ce que la Banque mondiale va bientôt est réaliser. Les fonds sont déjà disponibles, a fait savoir le le directeur général de l’Office national de l’eau potable (ONEP), jeudi 18 novembre 2016 à Tiassalé, ville située au Sud de la Côte d'Ivoire. Selon M. Berthé les travaux de réhabilitation des infrastructures pour la production d’eau potable et d’adduction en eau potable des populations de Tiassalé seront lancés dès le premier trimestre de 2017, dans le cadre de ce vaste projet, pour un coût global de quatre milliards de F CFA.

Ces travaux consisteront à réhabiliter et renforcer la station de pompage et de traitement d’eau potable des villes de Tiassalé et N’Douci, ainsi qu’à réhabiliter et réaliser de nombreuses pompes à motricité humaine dans l’ensemble des villages des sous-préfectures de Tiassalé et Morokro.

De façon particulière, pour l’agglomération de N’zianouan et de Morokro, où la question de l’eau se pose avec acuité, il a aussi annoncé aux populations que leurs préoccupations « seront bientôt un mauvais souvenir ». Selon lui, le financement de la Banque mondiale est disponible, il ne reste plus que les aspects techniques qui sont liés à la procédure d’appel d’offres. 

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L’UNESCO entreprend d’emmener les Etats de l’Afrique de l’Ouest à la création de parcs scientifiques et technologiques et l’a traduit jeudi à Abidjan par un atelier régional regroupant huit pays de la sous-région, à savoir le Ghana, le Nigéria, le Libéria, la Sierra Leone, le Togo, le Bénin, la Guinée et la Côte d’Ivoire.

Le représentant résident de l’UNESCO à Abidjan, Ydo Yao, a expliqué à l’ouverture des travaux que cet atelier vise à promouvoir l’installation des parcs scientifiques, technologiques et d’ingénierie (STI) dans les Etats de la sous-région. Il a pour ambition aussi de renforcer les capacités des experts et gestionnaires des parcs STI pour l’élaboration d’un cadre stratégique et d’un plan d’actions pour la création de parcs STI dans les pays représentés.

Yao Ydo a rappelé que la directrice général de l’UNESCO, Irina Bokova, dans un message à l’occasion de la Journée internationale des sciences commémorée le 10 novembre, a souligné l’importance de la science et la technologie dans l’atteinte des objectifs du millénaire du développement Agenda 2030 et dans l’atteinte des objectifs de l’Agenda de l’Union Africaine 2063 pour une autre Afrique.

« La science et la technologie boostent le développement et permettent d’utiliser les résultats de la recherche pour promouvoir le développement. Les défis pour la Côte d’Ivoire et les pays d’Afrique, c’est comment utiliser les résultats de la recherche scientifique », a indiqué Yao Ydo. Il a estimé qu’en Afrique, la recherche est sous financée et les résultats de la recherche scientifique ne sont pas suffisamment exploités et restent encore dans les enceintes universitaires.

Le premier parc scientifique et technologique a été créé sur le campus de l’Université de Stanford (Etats-Unis) il y a plus que 50 ans. Ce parc a transformé la région de la Silicon Valley, l’une des régions les plus pauvres des États-Unis, en un centre mondial de technologie, finance, éducation et recherche.

Des centaines de pôles de haute technologie semblables ont été créés dans diverses parties du monde et leur nombre continue de croître. Ces parcs technologiques sont considérés comme un outil important de développement économique et comme une partie intégrante du système d’innovation national ou régional. Ces parcs sont attractifs pour de nombreuses raisons car ils catalysent l’évolution économique, ils sont un moteur de croissance, ils apportent une stabilité et sont un gage de réussite économique, explique-t-on.

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Le gouvernement ivoirien entend renforcer et dynamiser ses actions en faveur des entreprises en vue de faire faire émerger une industrie nationale forte du cajou, a annoncé jeudi, le Premier ministre Daniel Kablan Duncan.

« Le gouvernement ivoirien a adopté un programme de développement de la transformation de l’anacarde dont l’objectif est d’accroître significativement le taux de transformation des noix brutes », a-t-il déclaré à l’ouverture de la deuxième édition du Salon  international des équipements et des technologies de transformation de l’anacarde (SIETTA 2016).

Selon M. Duncan, plusieurs mesures, notamment l’adoption d’une loi portant institution du système de récépissés d’entreposage qui sera opérationnel au cours de l’année 2017, ont été prise dans cette optique d’amélioration la compétitivité du secteur. « Ce système permettra de garantir les crédits agricoles par les stocks », a-t-il noté.

Le chef du gouvernement ivoirien a également annoncé le renforcement des capacités techniques des travailleurs des unités de transformation, avec la création du Centre des Technologies du Cajou et le renforcement du dispositif de prime d’incitation à la transformation de l’anacarde.

Le SIETTA 2016 se déroule sur trois jours au Palais de la culture de Treichville autour du thème « L’industrialisation de la filière anacarde citoyenne pour une Côte d’Ivoire nouvelle ».

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Le processus de bitumage de la route Divo-Yocoboué- côtière, en passant par Guitry, a démarré jeudi avec la visite de reconnaissance de chantier qu’effectue à Divo M. Léandre Assié, le directeur du développement des routes de PFO Africa, l’entreprise chargée des travaux.

En compagnie du maire de Divo, Kouakou Koffi Amédé, les hôtes de la cité du Lôh-Djiboua sont allés apprécier un site de quatre hectares près du village de Godililié devant servir de plateforme pour abriter les engins de l’opération.

« Nous allons faciliter l’installation rapide de l’entreprise car il y a longtemps que nos populations attendent ces travaux », a indiqué le maire de Divo.

Le bitumage de l’axe Divo-Guitry est une des principales promesses du Président de la République, Alassane Ouattara, lors de sa visite dans la région du Lôh-Djiboua en septembre 2015, rappelle-t-on.

« Ces travaux vont désenclaver Guitry, grande zone économique qui souffre de problèmes d’accessibilité », a indiqué le secrétaire général 2 de la préfecture de Divo, Abo Kouadio Anderson.

Le bitumage de Divo-Guitry sera couplé avec le replâtrage de la nationale Autoroute-Divo-Gagnoa, a-t-on appris.

Cette route est actuellement en piteux état en dépit de récentes œuvres de raccommodage. Elle a déjà fait de nombreuses victimes notamment dans les parages du village de Blé où la dégradation est profondément accentuée.

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Lors de l’audience correctionnelle des flagrants délits de la section de tribunal de Séguéla (Nord-ouest, région du Worodougou), mercredi, Touré Laurent, mécanicien et père de six enfants, a été condamné pour avoir porté main à Bakayoko Losseni, un couturier qui n’honorait pas les multiples rendez-vous convenus.

Le prévenu qui a constamment reconnu les faits à la barre déclare avoir agi ainsi après que le couturier s’en soit pris à lui alors qu’il n’avait pas cousu les tenues de ses enfants prévues d’abord pour être portées durant le Ramadan puis à la Tabaski.

‘’On ne se rend pas justice. Dans un tel cas, vous pouvez vous rendre à la gendarmerie, à la police ou même venir ici au tribunal’’, a conseillé le président de l’audience devant lequel Bakayoko Losseni comparaissait pour ‘’violence et voie de fait’’.

Le tribunal, statuant publiquement, contradictoirement, en matière correctionnelle et en premier ressort, a infligé au prévenu une peine de deux mois de prison avec sursis et à 50 000 francs CFA d’amende.

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Les entreprises Orange et ENGIE ont lancé jeudi, un plan de déploiement de près de 1 000 kits solaires au Sénégal, en Côte d’Ivoire et au Cameroun, rapporte un communiqué de presse publié par l’Organisation de la presse africaine (APO).

Plusieurs villages dans des zones rurales ont été identifiés à ce jour pour participer à la première phase de ce programme pilote, avant un déploiement à plus grande échelle.

Les kits se présentent sous la forme d’un panneau solaire relié à une batterie permettant l’alimentation des appareils domestiques. Ils comprennent une solution de pilotage à distance et un système de paiement par téléphone mobile, fournissant à des foyers non connectés au réseau une électricité renouvelable et décentralisée. Ils peuvent être utilisés comme solution d’éclairage avec lampes LED et pour faire fonctionner de petits appareils électriques (poste de radio, de télévision…) ou pour recharger des téléphones mobiles.

Selon le texte, cet équipement propose une solution alternative et à moindre coût pour remplacer les lampes à pétrole, les piles jetables ou encore la consommation du diesel, alternatives polluantes et potentiellement dangereuses.

Dans le cadre de ce partenariat, ENGIE fournira les kits solaires au travers des entreprises BBOXX et Fenix International et se chargera de l’installation et de la maintenance des équipements. Orange assurera le déploiement commercial et la gestion du paiement via « Orange Money ». Ce service permettra aux clients de payer un loyer pour l’utilisation de l’équipement, permettant d’étaler le coût de l’investissement initial.

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