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La société Microsoft, spécialisée en matière de logiciels, de services et de solutions informatiques et Ecobank Transnational Incorporated, société mère du groupe bancaire panafricain Ecobank, ont signé lundi à Lomé, au Togo, un protocole d’accord visant à accompagner les efforts des gouvernements pour moderniser et élever les normes des grandes villes du continent grâce à des solutions numériques de pointe.
Le protocole d’accord porte sur la modernisation des secteurs qui auront l’impact le plus immédiat et le plus important pour les pays africains, rapporte un communiqué de presse.
Ces secteurs comprendront les décaissements de bourses et les frais de scolarité dans le secteur de l’éducation; la collecte par les municipalités auprès des vendeurs du marché et des petites boutiques; les règlements des licences pour les véhicules et des permis de conduire ainsi que les e-visas et les e-passeports.
L’accord soutient également la mise en œuvre d’un programme complet des e-compétences et d’alphabétisation numérique. D’autres domaines clés tels que l’enregistrement des terrains et le recouvrement des droits dans les services municipaux et hospitaliers devraient faire l’objet d’une modernisation considérable.
Cette collaboration résulte de la pression croissante sur les villes africaines due à l’urbanisation et de la nécessité de fournir des services qui assureront un environnement plus sain et plus sûr, de manière juste, ouverte et durable.
L’accord a été signé d’une part par M. Amr Kamel, directeur général de Microsoft pour l’Afrique de l’Ouest, de l’Est et centrale, et d’autre part par le directeur général du groupe Ecobank, Ade Ayeyemi.
AIP
Un guichet unique des réfugiés et demandeurs d’asile a été installé mardi au sein du Service d’aide et d’assistance aux réfugiés et apatrides (SAARA) sis à Cocody-II Plateaux, à l’initiative du ministère des Affaires étrangères et de l’Organisation des Nations Unies et le Haut-commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR).
Selon les responsables des deux entités, cette nouvelle structure va aider à centraliser en un lieu tous les services et informations dont pourraient bénéficier les réfugiés et les demandeurs d’asile vivant en Côte d’Ivoire.
« Nous avons jugé judicieux de regrouper, dans un espace unique, tous les aspects de l’assistance donnée aux réfugiés et demandeurs d’asile, notamment l’assistance sociale et juridique, afin de leur faciliter la tâche et éviter les dispersions », a déclaré le Représentant résidant du HCR en Côte d’Ivoire, Touré Askia Mohamed, estimant que la satisfaction des bénéficiaires va dépendre de l’avenir du guichet.
Pour le conseiller technique du ministre des Affaires étrangères et coordonnateur du SAARA, Dr Kouassi Kouakou Lassina, la création de ce guichet unique répond au souci du Gouvernement d’améliorer les conditions des réfugiés et demandeurs d’asile vivant en Côte d’Ivoire.
« C’est votre maison et vous devez faire en sorte que la collaboration avec les agents se passe en toute convivialité et fraternité afin que vos préoccupations soient résolues en un temps record », a-t-il souhaité.
L’installation de ce guichet unique est un projet pilote en faveur de près de 2.000 réfugiés et demandeurs d’asile vivant en Côte d’Ivoire, signale-t-on.
AIP
Le président directeur général de l’Union textile et industrielle de Côte d’Ivoire (UTEXI-CI), Dr Konaté Vassiliki, s’est engagé à payer les arriérés de salaires dûs aux travailleurs, lors d’une rencontre de médiation présidée par le directeur régional du Travail du N’zi, Koffi Boffo Apollinaire, mardi à Dimbokro.
Dans un mémorandum adressé le 17 janvier à l’Inspection du travail, les travailleurs de l’entreprise ont réclamé à leur employeur six mois d’arriérés de salaires, des allocations de congés de 2016, des gratifications de 2015 et 2016, l’augmentation de salaires de 8% décidée par le Gouvernement, rappelle-t-on.
« Je m’engage à payer un mois de salaire dès fin janvier et le reste va être payé selon des modalités que nous allons arrêter ensemble », a promis Dr Konaté Vassiliki devant une dizaine de représentants des travailleurs et du délégué syndical, Soro Moussa.
Il a justifié le non-paiement des salaires par l’absence de production due au manque de matière première, le coton.
Le PDG qui a révélé un déficit annuel de plus 1,4 milliards au titre de l’exercice 2016, a indiqué que la solution était la mise en chômage technique des travailleurs.
« Nous n’avons pas fait cela pour un problème d’ordre social et moral. Ivoire coton s’est engagé à nous fournir 500 tonnes de coton. Nous demandons aux employés de reprendre le travail dès mercredi, car si cela est fait l’usine pourra fonctionner », a-t-il ajouté. Les travailleurs ont accepté de reprendre le travail et remercié le PDG pour sa compréhension.
AIP
La société Microsoft, spécialisée en matière de logiciels, de services et de solutions informatiques et Ecobank Transnational Incorporated, société mère du groupe bancaire panafricain Ecobank, ont signé lundi à Lomé, au Togo, un protocole d’accord visant à accompagner les efforts des gouvernements pour moderniser et élever les normes des grandes villes du continent grâce à des solutions numériques de pointe.
Le protocole d’accord porte sur la modernisation des secteurs qui auront l’impact le plus immédiat et le plus important pour les pays africains, rapporte un communiqué de presse.
Ces secteurs comprendront les décaissements de bourses et les frais de scolarité dans le secteur de l’éducation; la collecte par les municipalités auprès des vendeurs du marché et des petites boutiques; les règlements des licences pour les véhicules et des permis de conduire ainsi que les e-visas et les e-passeports.
L’accord soutient également la mise en œuvre d’un programme complet des e-compétences et d’alphabétisation numérique. D’autres domaines clés tels que l’enregistrement des terrains et le recouvrement des droits dans les services municipaux et hospitaliers devraient faire l’objet d’une modernisation considérable.
Cette collaboration résulte de la pression croissante sur les villes africaines due à l’urbanisation et de la nécessité de fournir des services qui assureront un environnement plus sain et plus sûr, de manière juste, ouverte et durable.
L’accord a été signé d’une part par M. Amr Kamel, directeur général de Microsoft pour l’Afrique de l’Ouest, de l’Est et centrale, et d’autre part par le directeur général du groupe Ecobank, Ade Ayeyemi.
AIP
Désillusion. Déception. Pour être franc, on ne peut pas dire qu’ils n’ont pas démérité. Absence d’animation dans le centre-jeu, manque de précision, combativité relative… Les Eléphants de Côte d’Ivoire se sont logiquement inclinés (1-0) face aux lions l’Atlas ce mardi 24 janvier 2017 en match comptant pour la troisième et dernière journée de la Coupe d’Afrique des nations, au stade d’Oyem au Gabon. Mettant ainsi fin à leur participation à cette compétition dont ils sont les champions sortant.
Les ivoiriens, il faut le reconnaitre, ont manqué d’efficacité et d’ardeur face à leurs adversaires, qui tenaient déjà leurs affaires avec un match nul. Les Lions de l’Atlas du Maroc, sous la férule de leur sélectionneur français Hervé Renard, ont scoré à la 64ème minute de jeu grâce à un lobe d’Alioui depuis les 30 mètres, qui finit directement dans la lucarne de Sylvain Gbohouo, le portier ivoirien.
Par cette splendide réalisation les Lions marocains venaient de dévoré les derniers espoirs de qualification des Eléphants pour le second. Plus aucun but ne sera marqué jusqu’à la fin du match. Sortis prématurément du tournoi, les Ivoiriens, tenants du titre, entrent dès mercredi au bercail.
Armand Tanoh
La société de distribution d’hydrocarbures, Vivo Energy, titulaire de la franchise Shell dans 16 pays africains, et l’opérateur des télécommunications, Orange, ont annoncé, mardi, la signature d’un partenariat en vue de permettre aux clients d’Orange Money de payer, déposer et retirer de l’argent de leur compte dans les stations-service et les boutiques Shell gérées par Vivo Energy.
Cet accord, justifie-t-on, contribue à renforcer la présence d’Orange et de Vivo Energy sur le continent africain et à améliorer l’expérience client en offrant davantage de simplicité.
Les clients Orange Money ont accès à un réseau de plus de 1 000 stations-service et boutiques de Vivo Energy déjà disponibles au Mali, en Côte d’Ivoire et à Madagascar, avec la possibilité d’extension, au second semestre 2017, à d’autres pays dans lesquels les deux partenaires sont présents.
Selon le vice-président de Vivo Energy, David Mureithi, « cette initiative s’intègre à notre stratégie globale consistant à offrir des solutions innovantes, une expérience client simple et à développer une relation durable avec eux (les clients d’Orange Money) ».
« A travers ce partenariat avec Orange, nous voulons étendre la gamme de services que nous fournissons à nos clients et également leur permettre de payer facilement dans notre réseau », a-t-il ajouté.
Pour sa part le directeur des Services financiers mobiles et NFC du groupe Orange, Thierry Millet, « avec Vivo Energy, à travers ce partenariat sur plusieurs pays, nous augmentons significativement le nombre de marchands qui acceptent les transactions via Orange Money. C’est un progrès réel en termes de proximité pour nos clients communs, qui peuvent payer rapidement, de manière sécurisée, et effectuer les dépôts et retraits sur leurs comptes dans les points de vente de Vivo Energy ».
AIP
La Côte d’Ivoire va disposer bientôt d’une agence nationale de sécurité sanitaire des aliments, dans le cadre de la mise en œuvre du projet d’appui à la construction d’un système national de contrôle de la sécurité sanitaire des aliments (FADCI-SSA), financé par le deuxième contrat de désendettement et de développement (C2D).
Les activités de ce projet, inscrit au programme filière agricole durable de Côte d’Ivoire (FADCI), ont été lancées mardi au cours d’un atelier à Abidjan, en présence du directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Coulibaly Siaka Minayaha.
« Ce projet a été conçu pour permettre la participation de l’ensemble des acteurs de la chaine alimentaire et de la société civile, conscient que la protection du consommateur nécessite une approche intégrée, du champ à l’assiette, de la fourche à la fourchette et le développement de synergies », a souligné le directeur exécutif du fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole, Dr Angniman Ackah Pierre, maître d’ouvrage du projet.
Le projet FADCI-SSA, a-t-il noté, intègre les autorités compétentes en matière de sécurité sanitaire (zoosanitaire, phytosanitaire et sécurité sanitaire des aliments), les opérateurs des différentes filières agroalimentaires, les acteurs de la recherche scientifique et les consommateurs.
Pour la coordonnatrice du secrétariat technique du C2D, Léa Djatti Diaté, la structuration institutionnelle et l’installation effective de l’agence de gestion des risques sanitaires des aliments ainsi que les appuis aux filières alimentaires et aux associations de consommateurs devraient améliorer la crédibilité de l’origine Côte d’Ivoire et augmenter la part de marché à l’international des opérateurs agroalimentaires ivoiriens.
« Ce dispositif de surveillance veillera et évaluera le risque d’après des indicateurs et critères à suivre en des points critiques au sein même des chaines de valeur », a expliqué pour sa part, le directeur de l’Agence française de développement en Côte d’Ivoire, Bruno Leclerc, assurant que la mise en place d’une telle agence impliquera plusieurs activités. Il s’agit, a-t-il indiqué, de l’élaboration du cadre institutionnel, organisationnel et financier de l’agence, mais aussi des programmes de formation des équipes de l’agence et de leurs relais dans les différents ministères et organisations, de même des appuis techniques sur la gestion des risques.
« Ce projet vise à construire un système national de contrôle des aliments pérenne et capable d’assurer la protection du consommateur ivoirien et d’accompagner le secteur privé », a fait remarquer le directeur de l’agence française de développement en Côte d’Ivoire.
Le FADCI-SSA d’une durée de cinq ans dispose d’un financement de 10,5 milliards de francs CFA, comprenant 2,62 milliards de FCFA pour la structuration et l’installation de l’agence et 7,87 milliards de FCFA pour l’appui aux filières et aux organisations de consommateurs, dont 2,095 milliards pour le fonds d’appui à l’investissement pour les filières agroalimentaires. Les filières agricoles pilotes concernées sont le maïs, le légume/maraîchage, le porc et la volaille. Le programme lui-même est crédité d’une enveloppe de 50,5 milliards de francs CFA financé par le C2D.
AIP
L'émission représente la première transaction du marché mondial sous forme de Sukuk en dollars US pour 2017 et le premier Sukuk à être émis par une entité supranationale africaine.
L'Africa Finance Corporation (AFC), institution financière panafricaine leader spécialisée dans le développement multilatéral et le développement de projets, a émis son premier Sukuk, dont la valeur est la plus importante jamais émise par une institution africaine.
Suite à un très grand intérêt manifesté par les investisseurs, l'objectif initial de 100 millions de dollars US a été sursouscrit de plus de deux fois, résultant en l'augmentation de la transaction à 150 millions de dollars US et en un carnet de commandes final d'une valeur d'environ 230 millions de dollars US. Il s'agit non seulement du premier Sukuk de 2017, mais également du premier Sukuk à être émis par une entité supranationale africaine.
Le Sukuk représente la deuxième percée de l'AFC au sein de la finance islamique ; l'entreprise a accepté une offre de financement d'un montant de 50 millions de dollars US sur 15 ans de la part de la Banque islamique de développement (Islamic Development Bank - IDB) en 2015 afin de financer des projets de finance islamique dans de nombreux pays africains membres de l'IDB.
Le Sukuk Murabaha à 100 %, placé de manière privé et noté obligation de premier rang A3 non garantie par le service aux investisseurs de l'agence Moody, dispose d'une échéance de trois ans et arrivera à terme le 24 janvier 2020. Emirates NBD Capital, MUFG et RMB sont intervenus comme courtiers et gestionnaires principaux associés, Emirates NBD Capital agissant également en tant qu'unique coordinateur global.
Andrew Alli, Président Directeur Général de l'AFC, a commenté l'annonce : « Les valeurs fondamentales de la finance islamique, le besoin d'investir de manière éthique dans des actifs bénéficiant d'un impact social positif et tangible : l'émission d'un Sukuk s'est imposée comme un choix évident pour nous. Nous offrons aux investisseurs mondiaux l'opportunité de s'associer à des projets d'infrastructure à fort potentiel dont l'objectif n'est pas seulement de promouvoir le développement social et économique en Afrique mais également de générer un rendement économique pour nos investisseurs.
« Ce Sukuk représente une étape importante au sein de nos activités de financement, une étape qui va nous permettre de continuer à diversifier nos sources de financement, d'établir de nouvelles relations avec des investisseurs clés sur les marchés internationaux et nous aider à diversifier notre portefeuille de projets pour continuer à faire la différence sur le continent africain. »
Ahmed Al Qassim, Directeur général de Emirates NBD Capital, a ajouté : « Emirates NBD Capital est ravi d'avoir participé à l'émission du premier Sukuk d'une durée de 3 ans et d'une valeur de 150 millions de dollars US. Le bon déroulement de la transaction constitue la preuve que l'AFC est solidaire de la communauté internationale des investisseurs, et de son engagement pour le développement de nouvelles sources de financement.
« En tant que coordinateur global unique du Sukuk, Emirates NBD Capital poursuit le développement du Sukuk en tant que produit dans un contexte international et d'offrir à ses clients des solutions uniques correspondant à leurs besoins de financement. »
L'AFC dispose d'une base de financement variée dont l'éventail de sources est disponible sur divers marchés. L'an dernier, l'entreprise émettait sa première obligation de trois ans en francs suisses, levant ainsi 100 millions de francs suisses, et acceptait un prêt d'une valeur de 150 millions de dollars US et d'une durée de 15 ans de la part de KfW Development Bank. En 2015, la première obligation internationale 144A/Reg S à 5 ans et d'une valeur de 750 millions de dollars US a été plus de six fois sursouscrite pour plus de 4,7 milliards de dollars US, attirant des investisseurs institutionnels d'Asie, d'Europe, du Moyen-Orient et des États-Unis.
L'entreprise fêtera son 10e anniversaire en 2017, lors du sommet AFC Live, qui rassemblera de nombreux acteurs internationaux de premier plan du domaine de l'investissement dans les infrastructures africaines. Ils débattront en profondeur des nombreux défis auxquels le secteur doit faire face et des solutions potentielles.
Le 4ème salon international de la sécurité et de la défense, ShieldAfrica, s’est ouvert mardi à l’Ecole nationale de la police, à Abidjan, avec la participation de quelque 130 sociétés exposantes et en présences des ministres ivoiriens en charge de la Sécurité et de la Défense.
Le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, patron de l’édition 2017, a indiqué que « ce salon s’impose comme un carrefour des technologies de sécurité de tout le continent africain » auquel 25 pays prennent part.
Le ministre d’Etat a assuré que le gouvernement de Côte d’Ivoire soutiendra le développement de ce salon qui est devenu « incontournable pour une Afrique plus sûre ».
« L’Afrique aujourd’hui est un continent en développement, marqué par une urbanisation rapide, par l’arrivée massive de nouvelles technologies, mais aussi, dans certaines zones, par une instabilité chronique », a affirmé Hamed Bakayoko, ajoutant que la croissance du continent ne peut se poursuivre que dans un environnement apaisé et sécurisé et se félicitant de ShieldAfrica « dont les solutions doivent être efficientes et adaptées aux budgets des pays ».
Le commissaire général du salon, Stéphane Konan, a expliqué que, après trois éditions réussies, l’Afrique s’est alliée avec les organisateurs du salon Eurosatory qui apportent leur savoir-faire du numéro un mondial du secteur.
« ShieldAfrica a pour vocation de réunir les grands responsables africains de la sécurité et de la défense avec les industriels du monde entier proposant des solutions dans l’optique de créer une Afrique plus sûre », a-t-il dit.
ShieldAfrica propose un grand nombre de produits et de technologies adaptés aux besoins de tous les acteurs africains. Ce salon aussi répond aux attentes des forces de sécurité et de défense, des organismes d’Etat chargés de la sécurité intérieure et de la protection des populations, des entreprises civiles impliquées dans la surveillance et la sécurité (…), explique-t-on.
AIP
L’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) procède au transfert, lors d’une cérémonie officielle, mardi, à l’Ecole de police de Cocody, de ses modules de formation à la Police nationale de Côte d’Ivoire.
Ce projet se propose notamment de renforcer les capacités nationales en programmation, en mise en œuvre et en suivi-évaluation des programmes de formation continue de la Police ivoirienne.
Il permettra également de renforcer le dispositif opérationnel de formation continue en améliorant le professionnalisme et l’image du travail du policier, précise le communiqué.
Ces modules sont conçus sur la base de deux grandes branches de la police, la Police administrative et la Police judiciaire, et de cours relatifs à l’informatique, au management, à l’éthique et à la déontologie, indique le communiqué.
Ce présent projet est la contribution du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et de ses partenaires, notamment l’Agence japonaise de coopération internationale, la police des Nations Unies et le ministère d’Etat, ministère de l’Intérieur et de la Sécurité, à la réponse au défi de la sécurité et de la cohésion sociale. Il est mis en œuvre sur une période de trois ans, de novembre 2016 à mars 2019, signale-t-on.
Ce transfert des activités résiduelles à l’équipe pays ainsi qu’à l’Etat ivoirien se fait conformément à l’une des recommandations de la résolution 2284 du Conseil de sécurité, rappelle-t-on.
AIP