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La Côte d’Ivoire a arrêté une liste de cinq maladies zoonotiques ou zoonoses « prioritaires » autour desquelles va se déployer la stratégie nationale de lutte contre ces infections qui surviennent à l’origine chez les animaux mais qui peuvent se propager chez les humains.
Les maladies sélectionnées sont les fièvres hémorragiques, les arboviroses, la rage, la tuberculose, la grippe aviaire, la brucellose (maladie qui se transmet par la consommation de lait) et les syndromes respiratoires à coronavirus (maladies à transmission aérienne).
Les zoonoses représentent pratiquement 75% des maladies infectieuses qui surviennent chez l’homme, selon le directeur de l’Institut national d’hygiène publique (INHP), Pr Bénié Bi Vroh Joseph. La liste identifiée va être utilisée par les autorités ivoiriennes pour l’élaboration et la mise en œuvre de stratégies multisectorielles de prévention et de lutte contre les menaces sanitaires en Côte d’Ivoire.
La priorisation des maladies zoonotiques s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Programme mondial de sécurité sanitaire (Global Health Security Agenda, en Anglais), ayant pour but de renforcer les capacités des pays en matière de prévention et de lutte contre les menaces sanitaires. La Côte d’Ivoire conduit le processus avec le soutien de l’agence américaine Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et de l’USAID (Agence des Etats-Unis pour le développement international).
Un atelier organisé jeudi et vendredi à Abidjan par l’INHP sous l’égide du ministère de la Santé a permis de décliner les priorités ivoiriennes, suivant le concept « One Health » ou « Une seule santé », une approche intégrée de la santé qui met l’accent sur les interactions entre les animaux, les humains et leurs divers environnements.
La méthodologie encourage les collaborations, les synergies et l’enrichissement croisé de tous les secteurs et acteurs dont les activités peuvent avoir un impact sur la santé. Son but est d’améliorer la santé et le bien-être grâce à la prévention des risques et l’atténuation des effets des crises qui proviennent de l’interface entre les humains, les animaux et leurs écosystèmes. L’atelier a réuni une soixantaine de participants issus des ministères impliqués dans la lutte contre les maladies infectieuses en Côte d’Ivoire.
Le concept « Une seule santé », adopté depuis 2007 par la Communauté internationale (l’alliance tripartite entre FAO-OIE-OMS), entre dans le cadre de la sécurité sanitaire mondiale dont l’objectif est de rendre le monde plus sûr et plus sécurisé, en renforçant les capacités de la communauté internationale à prévoir, détecter et répondre aux épidémies de maladies infectieuses.
AIP
Un mémorandum de coopération a été signé, lundi, entre le Conseil économique, social, environnemental et culturel (CESEC) ivoirien et le Comité économique et social (CES) européen au terme d’une visite de cinq jours à Abidjan du président Georges Dassis.
Selon les termes de ce mémorandum qui a sanctionné cette visite, les deux parties réaffirment leur ferme volonté de se concerter pour la consolidation et la coordination de leurs actions au sein des instances internationales et de collaborer au rayonnement de chacune d’elles par la mutualisation de leurs efforts dans leurs domaines de compétences respectifs.
Le mémorandum, conclu pour une durée indéterminée, a pour objet de définir le cadre de la coopération et les mécanismes à mettre en œuvre pour atteindre les objectifs définis, précise le communiqué final.
Les travaux entre les deux présidents ayant porté sur la problématique de « l’immigration illégale et l’emploi jeune », les deux parties ont exprimé leur parfaite convergence de vues sur les enjeux du phénomène de l’immigration illégale et la corrélation qui existe entre ledit phénomène et la définition des politiques de l’emploi jeune.
Les deux présidents d’institution ont exposé les mesures idoines pour juguler ce fléau et ont rappelé la nécessité d’une solidarité agissante de la communauté internationale, conformément aux conclusions du sommet de La Valette, Malte, de novembre 2015, précise le document.
Le président Georges Dassis, lors de son séjour, a échangé avec les acteurs socioprofessionnels à savoir le Patronat, des syndicats et la société civile. Il a été reçu en audience par le Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly et le président de la République, Alassane Ouattara, rappelle-t-on.
AIP
Certains, au moins trois, ont été mis aux arrêts par la police économique et séjournent depuis près de trois semaines à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA). En attendant leur jugement. Mais les autres, une quinzaine, se sont enfuis. De sources proches du dossier, La Diplomatique d’Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net) apprend que ces derniers seront dans les jours à venir visés par des mandats d’arrêts internationaux, délivrés par le procureur de la République.
Les suspects, ce sont les promoteurs des entreprises d’« agro-business ». Ils se sont enfuis du pays depuis livraison, fin décembre, des premières conclusions d’une enquête menée sur leurs activités soupçonnées d’arnaque et malversation financière à grande échelle, basée sur un système pyramidale. Et les sommes d’argent en jeux dans cette cavalerie financière sont importantes.
Escroquerie
En effet, un groupe de travail a été mis en place, en novembre, par le gouvernement ivoirien pour enquêter sur les activités de ces sociétés qui proposaient à leurs souscripteurs des plans d’investissement agricoles dans le domaine de l’agroalimentaire, contre des retours sur investissement (RSI) dans des délais de trois à six mois s’élevant entre 300 et 1000% d’intérêt.
Le groupe a listé un total de 28 sociétés dites d’agrobusiness avec un nombre de souscripteurs estimé à 36 699 (résidents comme non-résidents) pour un montant investi de 66 milliards de FCFA. Par contre, selon le groupe de travail, seulement un montant de 22,7 milliards F CFA est disponible sur les comptes de l’ensemble des entreprises là où les promesses de RSI sont évaluées à 660 milliards FCFA. Contrairement à ce qu’allèguent ces entreprises quelques-unes seulement (sur 28 listées) disposent à peine de terres, et même pas mises en valeur. Les autres n’ont que des plantations virtuelle, conclut le groupe de travail.
Mandats d’arrêt
La thèse de l’escroquerie étant confirmée selon cette première investigation, le procureur de la République, Adou Richard, qui s’est depuis lors saisi du dossier, a ordonné le gel des avoir de ces entreprises. D’après lui, leurs dirigeants avaient commencé à s’emparer des fonds existants sur leurs différents comptes dès que les travaux de vérifications ont démarré. Alors que les premiers dirigeants en détention ont été inculpés des présumés « gros poissons » comme Christophe Yapi, PDG d’Agromix, maison mère de Monhévéa.com qui détient le plus grand nombre de souscripteurs- ont les estime à 20.000 sur un ensemble de 36.000 souscripteurs-, est en fuite.
Depuis exil, il s’est fendu d’une vidéo publié sur youtube le dimanche 29 janvier 2017, dans lequel il dénonce un « complot » contre l’agro-business. Il est en première ligne concerné par les mandats d’arrêts internationaux qui seront bientôt délivrés contre les suspects en fuite, assure notre source. Ils risquent dit-on, jusqu’à 20 ans de réclusion.
Désarroi et colère des souscripteurs
Les souscripteurs qui croient malgré tout en la fiabilité de ce business, sont partagés entre désarroi et colère. Certains se plaignant de l’Etat, réclamant leurs RSI, donc le dégel des avoirs des entreprises, quand d’autres, choqués et désemparés par cette nouvelle tournure des choses ne s’en remettent qu’à la prière. « Je connais une dame qui devait recevoir plus de 30 millions à la fin décembre. A cause de ce problème, elle a fait un AVC. A l’heure où je vous parle, elle hospitalisé », grogne un souscripteur rencontré par LDA. Mais les souscripteurs des structures d’agrobusiness n’attendent pas s’arrêter là. Après une première manifestation, le mercredi 25 janvier 2017 à Abidjan, en vue d’exiger la levée de scellée sur les comptes des entreprises d’agro-business, ils entendent récidiver dès cette semaine, avec un grand rassemblement. En attendant, ils ont initié une pétition sur le net pour la même cause.
Armand Tanoh
Une organisation non gouvernementale, dénommée ONG Mosaïque, a offert, en partenariat avec la mairie de Dimbokro, au groupe scolaire de village communal Soungassou, une cantine, d’une valeur de 10 millions de FCFA, lors d’une cérémonie d’inauguration présidée par le représentant du préfet de région, le préfet N’guessan Brice, samedi en présence des autorités politiques administratives et éducatives de Dimbokro.
Pour la présidente Thérèse Aly Kouamé N’da, le don de ce bâtiment flambant neuf de 200 places est la concrétisation de la volonté de l’ONG Mosaïque et de la municipalité de Dimbokro d’œuvrer à l’épanouissement et au développement de l’enfant. « L’enfant doit avoir des bases solides pour affronter son avenir. Plus que jamais nous devons à tous les niveaux faire des efforts pour que les élèves en général et ceux de Soungassou en particulier aient au moins un repas quotidien pour une fréquentation assidue de l’école, car c’est bien l’école qui donne l’égalité des chances pour tous »», a-t-elle soutenu.
Le représentant du directeur régional de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, Lolou André, qui a réceptionné le bâtiment a, au nom de la tutelle, salué les donateurs.
Il a affirmé que cette cantine est un soulagement pour les parents et un facteur d’amélioration des résultats scolaires. Le DREN a appelé les différentes coopératives du Soungassou à la mobilisation pour soutenir « ce joyau, socle du paradis » que doit constituer l’école pour l’enfant.
Pouvant servir 224 rationnaires, la cantine est gérée par l’institutrice Kouassi Florence et offre aux écoliers deux repas par semaine, composés de riz et de sardine, à raison de 25 FCFA par repas.
AIP
L’Institut international des affaires en entrepreneuriat (2IFA-2IAE), un établissement tourné vers l’agriculture, a présenté samedi, dans le cadre de l’ouverture officielle de sa première école à Yamoussoukro, un champ école pour servir de support pédagogique à la formation pratique de ses étudiants.
Le site, d’une superficie de 3,5 ha, est constitué d’une ferme de 12 hangars pour la production de 2000 poulets de chair et 3000 poussins d’un jour, ainsi qu’un vaste périmètre de maraîcher pour les étudiants des filières production animale et végétale.
L’école de l’entrepreneuriat débute officiellement lundi avec plus d’une cinquante d’étudiants inscrits pour l’année académique 2017 à 2IAE de Yamoussoukro.
« Le champ école sera pour ces premiers étudiants de Yamoussoukro, un centre d’incubation et permettra d’allier la formation théorique à la formation pratique », a déclaré le directeur des études, Ernest Kouakou, à l’occasion d’une émission télé, dénommée « Ferme école », produite sur le site avec la participation des étudiants du groupe 2IAE en provenance d’Abidjan pour un voyage d’études.
Le groupe 2IFE-2IAE est implanté à Abidjan, sur deux sites à Cocody et à Yopugon, et l’intérieur du pays, à Azaguié avec des sites d’expérimentation en agro-pastorale.
La vision de cet institut est de former des professionnels, « c’est-à-dire une nouvelle classe de dirigeants pour développer la Côte d’Ivoire » , a indiqué le directeur général, Séraphin Koua.
Créée en 2006, l’école de l’entrepreneuriat 2IFE-2IAE a débuté avec quatre étudiants pour atteindre à ce jour plus de 1000 étudiants affectés de l’État pour récompenser l’engagement du groupe 2IAE dans la formation à l’auto-emploi des jeunes et la lutte contre le chômage à travers l’élevage et l’agriculture.
AIP
Le vice-président de la République, Daniel Kablan Duncan, représentant le président Alassane Ouattara au 26ème Forum des chefs d’Etat et de gouvernement du Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (MAEP), a annoncé, samedi, que des moyens financiers appropriés seront dégagés pour permettre une mise en œuvre réussie du processus en Côte d’Ivoire.
Félicitant les pays « frères et amis » de Djibouti, du Tchad, du Sénégal, du Kenya, du Soudan et de la Zambie, pour leurs efforts remarquables dans l’évaluation de la gouvernance, à travers leurs rapports présentés, Kablan Duncan a promis un renforcement de la sensibilisation et la communication avec le lancement de la collecte d’informations descriptives et statistiques que mèneront les instituts techniques de recherche qui vont bénéficier de moyens financiers, conformément aux engagements pris par le Président de la République de Côte d’Ivoire devant ses pairs, le 29 janvier 2015. « Cela nous permettra d’amorcer la phase d’autoévaluation de notre gouvernance », a affirmé le vice-président ivoirien devant le parterre de personnalités membres du MAEP.
Selon Kablan Duncan, la stratégie de communication élaborée par la Commission nationale de Gouvernance, en collaboration avec les différentes couches de la société ivoirienne, notamment les faîtières des associations, les organisations de la société civile, le secteur privé, les partis politiques, les syndicats et ONG, parties prenantes au processus, en plus d’être inclusif, a été soutenu par une forte campagne de communication et de sensibilisation.
Se félicitant, au nom du chef de l’Etat ivoirien, de l’accroissement du nombre d’Etats membres du MAEP qui est passé aujourd’hui à 35 pays africains, le vice-président de la République de Côte d’Ivoire exhorte les autres Etats membres de l’UA « à franchir le pas décisif de l’adhésion à cet important instrument de promotion de la Bonne Gouvernance et du développement économique et social de nos Etats ».
Le 26ème Forum des chefs d’Etat et de gouvernement du Mécanisme africain d’évaluation par les pairs s’est tenu en marge du 28ème Sommet de l’Union africaine qui s’ouvre lundi dans la capitale éthiopienne, Addis-Abeba, rappelle-t-on.
AIP
Le candidat de l’Union pour la démocratie et la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI), Coulibaly Famoussa, et l’indépendant Youté Wonsebéo Innocent ont été déclarés vainqueurs respectivement de Divo Commune et de Kouibly, Nidrou, Ouyably-Gnondrou et Totrodrou, Communes et sous-préfecture, à l’issue du scrutin repris samedi dans les deux circonscriptions électorales.
Selon les résultats provisoires donnés dimanche par la Commission électorale indépendante (CEI), Coulibaly Famoussa a obtenu 64,61% des suffrages exprimés à Divo quand Youté Wonsebéo Innocent a été déclaré élu dans la circonscription de Kouibly, Nidrou, Ouyably-Gnondrou et Totrodrou, Communes et sous-préfecture avec un taux de 41,61% des votants. Les taux de participation sont respectivement de 28,14% à Divo contre 42,02% à Kouibly, a indiqué la porte-parole de la CEI, Me Victoire Alley.
Le scrutin du 18 décembre 2016 a désigné les deux candidats élus dans leur circonscription électorale respective avant d’être annulé, le 1er janvier, par le Conseil constitutionnel qui a décidé de la reprise de ces élections, rappelle-t-on.
AIP
Dans un comminiqué publié le dimanche 29 janvier 2017, le président de la Fédération ivoirienne de football (FIF), Augustin Sidy Diallo, porte à la connaissance de l’opinion publique nationale et internationale qu’au retour de la CAN « Gabon 2017 », Michel Dussuyer, Sélectionneur de l’Equipe nationale A, les « Eléphants », a donné sa démission. Après consultation du Comité d’urgence de la FIF, le président de la Fédération a pris acte de la décision de M. Dussuyer.
"Le Président de la FIF et le Comité exécutif tiennent à exprimer leurs remerciements à Monsieur DUSSUYER Michel pour le travail effectué à la tête de l’encadrement technique des Eléphants depuis 18 mois. Ils saluent sa qualité humaine, son engagement, son professionnalisme, son humilité et sa discrétion. Le Président de la FIF tient à rassurer l’opinion publique que les mesures idoines seront prises afin de pourvoir à son remplacement", conclut le communiqué.
La fédération ivoirienne des sports paralympiques a dressé, samedi, au cours de son assemblée générale ordinaire de l’année tenue au stade Robert Champroux, un bilan de 13 médailles toutes compétitions internationales confondues dont cinq en or et trois en argent.
« En 2016 nous avons participé à quatre compétitions internationales (…) Nous avons réussi a remporté huit médailles dont trois or et cinq en argent au 10e meeting international de Tunis, quatre médailles dont deux en or et trois argent au meeting international d’Athlétisme de Marrakech et une médaille d’argent aux jeux paralympiques de Rio avec Fatimata Diasso », a détaillé le directeur technique de la Fédération, Ahua Koffi Edmond.
M. Ahua a indiqué que la fédération a été classée troisième sur huit fédérations nationales présentes aux derniers jeux africains. Au niveau national, il a noté que toutes les compétitions se sont tenues à l’exception du championnat de basket-ball en fauteuil à cause de l’indisponibilité d’infrastructure.
Le président Trazié Serges Pacôme a souligné que la victoire de Fatoumata Diasso aux jeux paralympiques de Rio leur a valu d’être reçu par le gouvernent qui a doté les athlètes et l’encadrement d’une enveloppe de 170 millions F CFA.
Cependant, selon M. Trazié il existe de nombreuses difficultés. Il s’agit, entre autres, selon lui, de l’insuffisance des ressources eu égard aux nombreux besoins, le manque de sponsors et partenaires financiers, le vieillissement du matériel sportif disponible et qui ne répond plus aux normes internationales du handisport et le manque d’engouement des personnes handicapées à s’adonner à la pratique du sport.
AIP
Le président iranien Hassan Rohani, a présenté samedi son pays comme un pays de paix et d’amitié.
« Le temps de la construction de murs entre les peuples est révolu, certains ont oublié la chute du mur de Berlin», a déclaré le Président dans son discours à la 17ème convention des guides touristiques à Téhéran.
Il a ajouté que dans le monde contemporain « on ne peut pas séparer les peuples et mettre de la distance entre les nations » et « s’il y a des murs on doit les faire tomber » se référant à la chute du mur de Berlin.
« Aujourd’hui c’est le temps des bonnes relations de voisinage. Nous sommes tous des voisins culturels, scientifiques, civilisationnels. Les technologies de communication ont réduit les distances entre les Etats et personne ne peux faire face à la mondialisation », a-t-il ajouté.
« Le renoncement des traités du système commercial mondial ne favorise ni l’économie ni le développement ni le boom commercial » a évoqué le président iranien, affirmant qu’« Aujourd’hui est venu le temps de la réconciliation et de la coexistence pacifique ».
« L’Iran est un pays qui a toujours contribué à promouvoir la paix, la stabilité régionale et mondiale », a déclaré le président Rohani.
« Notre peuple ressent profondément les conséquences de l’extrémisme de l’agression dans la région où les flammes du terrorisme brûlent encore » a-t-il déclaré devant les guides touristiques de 40 pays, en se référant aux souffrances des peuples en Irak, en Syrie, en Afghanistan, au Pakistan, en Yémen et en Libye.
Selon le président iranien, « Le terrorisme n’a pas coûté seulement la vie d’hommes innocents, mais a freiné la croissance en endommageant le développement et la croissance des pays de la région tout en frappant le patrimoine culturel notamment en Irak et en Syrie ».
« Nous défendons tous les pays qui recherchent la liberté et qui veulent lutter contre le terrorisme partout dans le monde », a-t-il déclaré.
« L’Iran a fait tout son possible pour rétablir la stabilité de la région et pour défendre les peuples innocents » a déclaré le Président Rohani évoquant que s’il n’y avait pas d’aide de l’Iran à l’armée irakienne et au peuple syrien, le terrorisme aurait pris le pouvoir à Damas et à Bagdad.
« Grâce à la bravoure des peuples irakien et syrien et aux soutiens de l’Iran le terrorisme régional est en déclin », a-t-il conclu.
IRNA/AIP