Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Le ministre ivoirien de l’Agriculture et du Développement rural, Mamadou Sangafowa Coulibaly et son homologue ghanéen, Owusu Afriyie, ont planché samedi en marge du Salon international de l’agriculture et des ressources animales (SARA 2017) sur des actions en vue de faire face à la chute des prix du cacao sur le marché international.

Cette rencontre fait suite à la signature lors de sa récente visite au Ghana, d’un protocole d’accord entre le président de la République de Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara et le chef d’Etat ghanéen, Nana Akufo-Addo.

Au terme de cette visite de 48 heures, les deux Chefs d’Etat avaient signé un accord de partenariat stratégique dans plusieurs domaines de l’économie. Dans cet accord, le secteur agricole figure en bonne place.

C’est dans la droite ligne de ce partenariat que le ministre Sangafowa a échangé avec son homologue ghanéen sur la fuite transfrontalière du cacao et de la noix de cajou, le trafic des pesticides, la question du riz, les investissements dans la chaîne des valeurs, les relations économiques, la diversification des exportations, etc.

«Ceci découle du constat de la chute des cours du cacao sur le marché mondial. Et nos deux pays se sont mis ensemble pour élaborer des stratégies pour atteindre leur objectif », a indiqué le ministre Owusu Afriyie.

Selon lui, la chute des prix cacao sur le marché international qui se chiffre à près de deux milliards de dollars américains nécessite des actions vigoureuses pour la consommation du cacao au niveau local mais aussi de stabiliser ces deux économies afin que cette baisse n’ait pas une incidence sur les économies.

«Faire en sorte que ceux qui sont producteurs puissent en tirer profit de leurs produits. La Banque africaine de développement (BAD) ne faisait que répondre à notre invitation sur les requêtes qui lui avaient été soumises. Comment est-ce que le dossier évolue. Et donner des éclaircissements sur l’évolution du dossier », a-t-il fait savoir.

Le ministre Sangafowa Coulibaly a souligné que cette rencontre entre les deux parties a permis de renforcer les liens de coopération dans le domaine agricole particulièrement dans le cacao et la noix de cajou.

« Nous sommes arrivés à la signature d’un accord spécifique dans le domaine agricole qu’il soit dans la suite logique du partenariat stratégique et le document de base que nous avons examinés est un support sur lequel nous avons fait beaucoup de progrès. Nous avons demandé à nos équipes techniques de finaliser la forme des documents pour nous permettre de décider», a révélé Sangafowa Coulibaly.

Lors de sa visite d’amitié, le Président Alassane Ouattara et son homologue ghanéen ont convenu de travailler en collaboration étroite pour une exploitation durable de l’industrie du cacao et renforcer la sécurité des frontières pour enrayer la contrebande de cacao.

(AIP)

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Démis de la présidence de son propre parti, le Zanu-PF, Robert Mugabe a accepté de démissionner ce dimanche, selon son entourage. L'information raportée par les médias internationaux, indique que le chef de l'Etat zimbabween devrait s'adresser à la Nation, après une nouvelle discussion entre lui et les militaires putchistes.

Durant la journée de samedi, plusieurs milliers de personnes ont manifesté dans les rues de la capitale Harare, pour demander le démission de Mugabe, 93 ans, au pouvoir depuis 37 ans.
Il a été remplacé ce dimanche à la tête de son parti par Emmerson Mnangagwa, son ancien vice-président qu’il avait limogé la semaine dernière.

C’est d’ailleurs ce geste qui avait mis le feu aux poudres mercredi et poussé les militaires à se révolter. Le dauphin déchu est donc de nouveau en position de succéder au «Vieux Lion». Le parti l’a d’ores et déjà officiellement désigné candidat à la présidentielle de 2018.

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Le président de l’ONG UNICO, Nicolas Vako a, au cours d’une conférence de presse qu’il a animée jeudi, à Abidjan Cocody Deux-Plateaux, lancé un cri de cœur en faveur des LGBT (Lesbienne, gay, bisexuel, transsexuel)  afin qu’elles puissent jouir comme toutes les autres personnes à leur droit à la santé, rapporte l'AIP.

Partant  du constat selon lequel, la marginalisation de ces populations cibles par la société fait grimper le taux de prévalence du VIH SIDA à environ 39 %  contre 3,7%  de manière générale, Nicolas Vako  a expliqué que, ces populations, isolées, rejetés, lapidées, souvent exclues de leur domicile sont dans l’obligation de se livrer à la profession du sexe qui augmente de manière considérable les risques de contamination au VIH SIDA.

Il a déploré l’attitude du personnel soignant qui n’est pas formé ou même qui n’accepte  pas de prodiguer des soins aux LGBT ou aux UD (Usagers de drogue).

« On ne devient pas homosexuel, on nait homosexuel, « témoigne celui qu’on appelle Grand-mère dans le milieu, président de l’ONG anonyme qui estime que tant que la marginalisation persistera, le taux de prévalence du SIDA  chez ASH (homme ayant sexe avec des hommes ) sera de plus en plus élevé.

S’appuyant sur des vidéos dans lesquelles plusieurs victimes ont témoigné de leur marginalisation, M. Vako a lancé un appel afin que le regard sur ces populations cible change. Il a annoncé pour bientôt, une grande conférence internationale africaine sur la lutte contre le SIDA et la sortie, le premier décembre d’un bulletin de liaison.

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Le gouvernement de la République de Côte d’Ivoire a condamné dans un communiqué publié le 18 novembre 2017, la vente aux enchères comme esclaves des migrants issus d’Afrique Subsaharienne en Lybie. Il est signé du ministère ivoirien des Aaffaires étrangères dirigé par Marcel Amon Tanoh

«La République de Côte d’Ivoire considère que cette pratique d’une autre époque, d’un passé lointain et peu glorieux, constitue une grave violation des droits de l’homme, des libertés individuelles et de la dignité humaine. », déplore le communiqué, interpelant les autorités Libyennes, l’Union Africaine, l’Organisation Internationale pour les Migrations, les Nations Unies et l’ensemble de la communauté internationale, sur l’impérieuse nécessité que soit diligentée une enquête, pour faire toute la lumière sur cette pratique ignoble et situer les responsabilités.

« La Côte d’Ivoire, hôte du 5ème Sommet UA-UE, les 29 et 30 novembre prochains à Abidjan, prendra toutes les dispositions, en relation avec les commissions de l’UA, de l’UE et l’ensemble des pays membres, pour que la question libyenne soit inscrite en bonne place de l’ordre du jour qui sera examiné à ce Sommet.

 

Daniel Coulibaly

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La mouche des fruits reste une grande préoccupation pour les producteurs de mangue de Ferkessédougou, ont-ils souligné lors d’une réunion de sensibilisation des acteurs de la filière sur la nécessité de mettre en place une interprofession, rapporte l'AIP.

« Avant, c’était la cochenille qu’on éradiquait facilement avec un petit produit. Malheureusement en 2013, il y a eu l’avènement de la mouche des fruits. Nos malheurs ont commencé. On regardait dans nos vergers, tout était à terre », a dépeint un producteur, Mamadou Coulibaly, par ailleurs vice-président du comité ad ‘hoc œuvrant pour la mise en place de l’inter profession de la mangue.

Selon lui,  jusqu’en 2014, il y a eu 62 conteneurs saisis  et brûlés en Europe. « Non seulement tu perds ton conteneur mais il faut aller, payer quelqu’un pour aller le détruire », s’est-il indigné.

Il a rappelé que pour éviter  l’embargo qui menaçait la mangue à cause de ce phénomène, l’Etat est venu en aide en octroyant 200 000 litres de produits phytosanitaires pour détruire la mouche qui menaçait les vergers dans les zones de production de la mangue. Et que la CEDEAO s’est même saisie du problème car la mouche en question est aussi présente dans des pays comme la Guinée, la Gambie, le Sénégal et le Ghana.

« Il y a un comité de lutte qui a été mis en place pour faire ce travail, mais ce comité ne peut être efficace que si on met en place une interprofession pour aider ce comité de lutte », a appelé M. Coulibaly.

A en croire les producteurs de Ferké, la filière affiche une production en moyenne de 32 000 tonnes. Ces deux dernières années, la mouche des fruits a entraîné des pertes se chiffrant à plus de 700 millions FCFA. La filière mangue compte aujourd’hui plus de 5000 producteurs.

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Le faible niveau de qualification de certains enseignants est l’une des raisons du taux élevé des échecs à l’école dans la région du Worodougou, a fait savoir Azialaud Tokoré Christian, le président du comité scientifique de l’atelier sur l’amélioration des résultats scolaires, rapporte l'AIP.

Cet atelier, organisé par la Direction régionale de l’Education régionale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle (DRENETFP) de Séguéla (Centre-Ouest), s’est ouvert jeudi à la préfecture.

« Dans tous les ordres d’enseignement, public et privé, de nombreux enseignants n’ont pas la formation requise », a déclaré M. Azialaud qui est par ailleurs le chef de l’Antenne régionale de la pédagogie et de la formation continue (APFC).

Une centaine de personnes au nombre desquelles les fondateurs d’établissements scolaires, les conseillers pédagogiques et les syndicalistes régionaux prennent part à ce séminaire qui, au dire du premier adjoint au maire de Séguéla, Sindou Dosso, permettra ‘’une renaissance’’ de l’école dans la région du Worodougou.

« Des établissements publics n’ont pas de professeurs affectés par l’Etat. Les enseignements sont effectués par des recrues locales appelées enseignants bénévoles », a ajouté le président du comité scientifique à propos des dispensateurs du savoir. Il y adjoint les ‘’grèves, les retards, l’absentéisme important, l’arrêt des cours avant l’heure prévue’’ ainsi que la réduction du quantum horaire du fait du déficit d’enseignants, sans omettre le manque de personnels d’encadrement et l’insuffisance des structures d’accueil qui induisent le phénomène de la double vacation.

A l’initiative de cet atelier qui s’achève vendredi, le directeur régional M’Bassidjé Augoud Aimé Frédéric entend y définir une vision commune pour avoir une école de qualité dans la région du Worodougou.

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Au total, 179 enseignants du primaire et du secondaire public de la région du Bounkani (Nord-Est), choisis pour un programme de renforcement des capacités à distance ont reçu, vendredi à Bouna, les tablettes devant leur servir de supports d’apprentissage, rapporte l'AIP.

Le projet baptisé « Mobile learning » est une approche nouvelle qui permettra de renforcer le rendement professionnel des enseignants tout en limitant les déplacements vers les centres de formation continue.

« Dans ces tablettes existent des modules de formations déjà conçus et qui co3ncernent aussi bien l’enseignement primaire que secondaire », a expliqué, lors de la cérémonie de remise, le chef de l’Antenne de la pédagogie et de la formation continue (APFC) de Bouna, Gbongué Kessé.

La phase expérimentale du projet « Mobile learning » dans le Bounkani est prévue pour durer six mois. Il est prévu dans les prochains jours, une formation à l’endroit des nouveaux utilisateurs de ces appareils, en vue une meilleure manipulation.

Cette phase pilote pour ce qui concerne spécifiquement le secondaire portera sur quatre disciplines à savoir le français, les mathématiques, la physique-chimie et les sciences de la vie et de la terre.

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Le Rapport mondial 2017 sur la nutrition, présenté lors du cinquième Rassemblement mondial du Mouvement Scaling Up Nutrition (Mouvement pour le renforcement de la nutrition - SUN), tenu du 7 au 9 novembre 2017 à Abidjan, indique que les économies africaines perdent entre 1,9 et 16,5 % de leur PIB chaque année à cause de l’augmentation de la mortalité, de l’absentéisme, des maladies chroniques (et de leurs coûts), et de la perte de productivité associée.
 
Ce rapport précède de quelques jours celui du Bureau régional de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l'Afrique, publié ce jour et qui révèle que la dénutrition persiste dans la région et que le nombre d'enfants souffrant d'un retard de croissance a augmenté.

“Nous n’atteindrons aucun les ODD d’ici à 2030 sans un changement radical dans notre réponse à la malnutrition sous toutes ses formes.”

Jessica Fanzo


A l’occasion du rassemblement d'Abidjan – le premier du genre organisé en Afrique par le mouvement SUN -, acteurs, experts et spécialistes venus de plusieurs pays ont relevé l’urgence d’agir sur la nutrition, "sous peine de freiner le développement humain dans son ensemble". 

"Nous n’atteindrons aucun les ODDd’ici à 2030 sans un changement radical dans notre réponse à la malnutrition sous toutes ses formes", prévient, d’entrée, Jessica Fanzo, coprésidente du groupe d’experts indépendants du rapport mondial sur la nutrition. 

Sécurité alimentaire


Pour le président de la Banque africaine de développement (BAD), Akinwumi Adesina, il faut d’abord vaincre la faim pour lutter efficacement contre la malnutrition. 

Déplorant que 800 millions de personnes vivent dans la faim alors que 1,3 milliard de tonnes d’aliments sont jetés chaque année dans le monde, Akinwumi Adesina plaide pour une politique orientée vers la productivité agricole, la transformation des produits et la diversification des cultures. 

Une fois que les populations disposeront de suffisamment d’aliments pour se nourrir, "le reste ne sera qu’une question d’éducation", ajoute le président de la BAD, par ailleurs lauréat 2017 du Prix mondial de l’alimentation. 

En Afrique, où 300 millions de personnes sont sous-alimentées, Akinwumi Adesina trouve inadmissible qu’on dépense 35 milliards de dollars (près de 19.500 milliards de CFA) par an en importation de produits alimentaires, alors que ce continent dispose de 65% des terres arables non cultivées de la planète. 

Il faut donc améliorer les techniques culturales et de traitement des sols pour répondre effacement à la faim, estime-t-il.   

Mais "il faut aussi un équilibre de la répartition des ressources dans le monde, car certaines régions ont suffisamment de ressources, pendant que d’autres n’ont presque rien", suggère pour sa part Jean-Christian Amédée Mandjéka, spécialiste en nutrition et science des aliments et enseignant-chercheur à l’Université de Bangui, en République centrafricaine, dans une interview avec SciDev.Net. 

"Ancrage institutionnel"


"Le Rapport mondial sur la nutrition démontre que nous ne pouvons pas traiter les différents problèmes nutritionnels de manière distincte les uns des autres, qu’ils sont intimement liés et qu’ils peuvent être imputés aux inégalités partout dans le monde", explique pour sa part Anthony Lake, directeur exécutif du Fonds des Nations unies pour l'Enfance (UNICEF), également président du Groupe principal du mouvement SUN. 

"Il est crucial d’abandonner cette approche cloisonnée qui entrave les progrès, tout en reconnaissant le rôle de tous les autres secteurs du développement qui sont susceptibles d’impulser le changement", soutient-il. 

Le fait que les points focaux en matière de nutrition sont rattachés ou logés au cabinet du Premier ministre dans certains pays comme en Côte d’Ivoire, est ainsi considéré une option idéale. 

LIre la suite sur SciDev.net

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La deuxième usine, en Côte d’Ivoire, de la cimenterie « Ciments d’Afrique » (CIMAF), filiale du groupe marocain Addoha, ouvre le lundi 20 novembre 2017 à San Pedro (Sud-ouest), deuxième ville portuaire du pays.

Le PDG de ce groupe, Anas Sefrioui, rappelle-t-on, avait annoncé lors d’une visite à Abidjan, que cette usine démarrerait ses activités en 2017.

1 million de tonne par an

Avec une capacité annuelle d’un million de tonnes, CIMAF San Pedro est un investissement global de 35 milliards CFA, qui crée 250 emplois. Une affaire qui porte à 85 milliards les investissements de CIMAF en Côte d’Ivoire.

Le groupe vise également Bouaké, la deuxième ville ivoirienne, pour y implanter sa troisième usine de broyage, avec une usine d'une capacité de 500 000 tonnes par an.

CIMAF a ouvert sa première usine ivoirienne en 2013 à la zone industrielle de Yopougon (Abidjan ouest), avec une capacité de production de 500.000 tonnes à son démarrage. Une production qui a été doublé à un million de tonnes grâce à l’extension de cette unité, début 2016.

Egalement présent dans le secteur de l’immobilier, le groupe ADDOHA est engagé dans un projet de construction de 8620 logements à Abidjan, dont 8000 de deux ou trois pièces à Locodjro, dans la commune d’Attécoubé et 620 habitations de 3 ou 4 pièces à Koumassi (Abidjan sud). Mais ces projets n’ont pas encore connus de véritables avancées en raison de divers problèmes dont des litiges fonciers.

Kassy Kobénan

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Alors que la ville d’Abidjan attend avec impatience le démarrage imminent des premiers travaux de son futur train urbain dénommé « Projet Métro d’Abidjan, les caractéristiques de cette infrastructure de transport se dévoilent peu à peu.

En effet, en attendant le lancement officiel des travaux, on en sait un peu plus sur la nouvelle configuration technique de ce projet gigantesque qui va significativement contribuer à la transformation structurante de la capitale  économique ivoirien.

Métro électronique

D’après une source proche du dossier, au lieu d’utiliser les rails déjà existant à Abidjan, comme cela avait été annoncé auparavant, le train urbain, qui sera un type de métro électrique. Il aura sa propre voie sa voie ferrée, qui requiert un écartement de 1,425 m contre 1 m pour la voie existante.

Son itinéraire sera donc construit sur une plate-forme ferroviaire propre sur 37km, avec une double voie d'écartement de 1,435 m chacune, et qui sera surélevée à chaque intersection avec une voie routière par la construction de plus d'une vingtaine d'ouvrages d'art.

Conformément aux normes internationales en la matière, l’emprise de la voie sera totalement sécurisée et protégée d'une clôture, pour permettre une utilisation optimale du train, dont la vitesse de conception est de 100 km/h maximale, et 80 km/h en situation d’exploitation. Ce qui lui permettra d’effectuer une fréquence de passage toutes les 5 min, et de transporter environ 500.000 passagers par jour sur une distance de 37,9 km, allant d’Anyama (Abidjan-nord) vers Port-Bouët (Abidjan-sud).

A en croire notre source, il est également prévue la construction de passerelles piétonnes le long du trajet, la construction d'un pont ferroviaire pour la traversée de la lagune, ainsi que 20 stations modernes, futuristes et multimodales avec parking, galeries et commerces dont certaines en R+3/R+2.

918 milliards FCFA, Macron pour lancer les travaux

Le démarrage des travaux lourds de ce projet est prévue, sauf changement de derdernière heure, le 30 novembre par le président ivoirien, Alassane Ouattara, en présence de son homologue français Emmannuel Macron, en marge du Sommet Union africaine-Union européenne qui se tient du 29 au 30 novembre dans la capitale économique ivoirienne.

Alassane Ouattara, faut-t-il le rappeler, avait bouclé, fin août, le financement du dossier avec son homologue français Emmanuel Macron, grâce à un appui de la France. 

La conception, le financement, la réalisation et l’exploitation du métro d’Abidjan est assuré par le consortium dénommé Société de transport abidjanais sur rail (STAR), dont l’Etat de Côte d’Ivoire, l’actionnaire majoritaire, détient 42% du capital. Le français Bouygues (33%) et Keolis, filiale de la SNCF (25%), font également parties des actionnaires de cette entreprise.

Armand Tanoh

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