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uniFLOW Online offre aux partenaires les fonctions de gestion centralisée permettant de rationaliser les efforts d'intégration, d’accroître la productivité et d’aider les entreprises à maîtriser leurs coûts.
Canon Afrique Centrale et Afrique du Nord (CCNA) (www.Canon-CNA.com) est fière d’annoncer la prochaine génération d’uniFLOW Online – la version 2019.1 – qui permet à ses partenaires, quelle que soit leur taille, de répondre aux besoins en évolution constante de leurs clients en matière de Cloud. Conçue pour répondre à la demande du marché pour des solutions d’acquisition et d’impression basées sur le Cloud, la version 2019.1 d’uniFLOW Online offre aux partenaires les fonctions de gestion centralisée permettant de rationaliser les efforts d'intégration, d’accroître la productivité et d’aider les entreprises à maîtriser leurs coûts. Avec une configuration simplifiée et une flexibilité accrue, les partenaires bénéficient d’une occasion unique d’améliorer leur offre, de se démarquer de la concurrence et de réduire la durée des interventions d’entretien.
Une installation simple
L’obtention d’une accréditation est grandement simplifiée ; six heures de cours en ligne permettent de former les partenaires à l’installation, au paramétrage des comptes d’utilisateurs et à la gestion des périphériques. Avec des exigences allégées en termes de temps, davantage de ressources peuvent être allouées aux besoins des clients. La fonction Device Setup Utility, qui dorénavant prend entièrement en charge les périphériques eULM, fournit un outil unique qui permet aux partenaires d’ajouter et de mettre à jour des dispositifs de manière rapide et simultanée. Par ailleurs, la touche Online Setup élimine la complexité de l’intégration, en connectant les utilisateurs directement depuis le périphérique. Ainsi, la gestion des périphériques devient très simple. Ne nécessitant pas d’ingénieur sur place, les entreprises – petites et grandes – économisent du temps et des ressources.
Une plus grande flexibilité
Les partenaires bénéficient directement d’une excellente solution Cloud avec des exigences techniques et financières minimes. La solution est disponible en trois packs : impression de base, numérisation de base et numérisation avancée, avec différents niveaux de paiement. uniFLOW Online 2019.1, notre solution de gestion des impressions et des sorties, basée sur le Cloud, permet aux clients de facilement parcourir, imprimer et mettre en file d’attente des documents stockés dans des services Cloud sans avoir à faire d’investissement dans des serveurs ou une infrastructure informatique dédiée.
Somesh Adukia, directeur des Ventes B2B et du Marketing chez Canon Afrique Centrale et Afrique du Nord (CCNA), a déclaré : « Nous nous engageons à fournir à nos partenaires des solutions robustes leur permettant de rivaliser dans un contexte de mutation rapide. Avec uniFLOW 2019.1, nos partenaires peuvent offrir une gamme polyvalente de packs d’acquisition et d’impression pour soutenir les clients transférant leur infrastructure informatique sur le Cloud. Notre modèle de paiement flexible, basé sur des abonnements utilisateurs, fournit à nos partenaires une stratégie de tarification compétitive et une solution qui continuera de servir les clients lorsqu’ils passent à une échelle supérieure ou inférieure. »
Une connectivité et une visibilité améliorées
Les partenaires peuvent favoriser la productivité de leurs clients grâce à l’intégration renforcée entre les services Cloud, uniFLOW Online 2019.1 et la gamme d’imprimantes multifonctions en pleine croissance de Canon. Compatible avec un large éventail de services Cloud – dont Dropbox, Google Drive et Microsoft OneDrive – cette solution donne accès à des outils familiers pour faciliter les impressions et numérisations simples vers le Cloud. Ce système facile à utiliser est conçu pour réduire à la fois le risque d’erreur opérationnelle et le besoin de support sur site régulier, procurant aux partenaires davantage de temps pour se concentrer sur la satisfaction des besoins des clients.
Les partenaires peuvent également justifier des meilleurs rapports coûts-avantages d’uniFLOW 2019.1, grâce à une gestion de bout-en-bout des processus d’impression et des documents. Optimisée pour une plus grande visibilité, cette mise à jour permet de fournir à leurs clients des renseignements précieux sur les coûts par utilisateur, service et périphérique. Les avantages pour l’acheteur incluent également la régulation de l’accès et de l’usage des employés via des ouvertures de session uniques par service, ce qui permet aux entreprises de mieux budgétiser leurs dépenses dans les imprimantes multifonctions et de réduire les déchets.
« uniFLOW 2019.1 permet aux partenaires de toutes tailles de fournir une solution personnalisable, répondant aux besoins en pleine évolution des clients, sans de lourdes exigences financières, techniques ou de maintenance », a conclu Somesh Adukia.
L’accès à l’énergie et le développement des chaînes de valeurs agricoles et industrielles sont les deux piliers de la nouvelle stratégie de la Banque en Guinée.
La Banque africaine de développement publie sa nouvelle Revue synthétique des résultats pays, consacrée cette fois à la Guinée <https://www.afdb.org/fr/countries/west-africa/guinea/> (http://bit.ly/2Wa3LVk). Ce rapport fait le point sur les progrès accomplis par la Guinée ces dix dernières années et sur la manière dont la Banque y a contribué, notamment dans les domaines de la gouvernance économique et financière, de l’agriculture, des infrastructures routières et énergétiques, et pour améliorer les conditions de vie des populations. Le rapport souligne également les nombreux défis auxquels le pays fait face pour mieux exploiter son vaste potentiel de développement, mieux résister aux chocs et faire davantage bénéficier sa population des fruits de la croissance économique.
La Revue décrit les tendances économiques et sociales récentes en Guinée, en particulier celles liées aux cinq grandes priorités de développement de la Banque que sont ses High <https://www.afdb.org/fr/the-high-5/> 5 : Éclairer et alimenter l’Afrique en énergie ; Nourrir l’Afrique ; Industrialiser l’Afrique ; Intégrer l’Afrique ; Améliorer la qualité de vie des populations d’Afrique. Ces cinq grandes priorités se fondent sur un ensemble d’indicateurs issus du Cadre de mesure des résultats 2016-2025 <https://www.afdb.org/fileadmin/uploads/afdb/Documents/Policy-Documents/Final_fran%C3%A7ais_-_RMF__-__Rev.2_Final_.pdf> (http://bit.ly/2L6DXbW) de la Banque.
Entre autres résultats obtenus au cours de la dernière décennie figurent :
* Dans le secteur de la gouvernance économique, la Banque a contribué à l’amélioration de la gestion budgétaire et financière, ainsi que du système de passation des marchés.
* Dans l’énergie, les projets de la Banque ont permis de faire bénéficier près de 500 000 personnes de raccordements nouveaux ou améliorés au réseau électrique.
* Dans le domaine du développement rural, la Banque a permis que 465 000 personnes bénéficient d’un accès à l’eau potable et à l’assainissement.
* Le soutien de la Banque au renforcement des capacités nationales de négociation dans le secteur minier a permis l’élaboration des nouveaux codes miniers et pétroliers, la renégociation de 19 contrats et conventions miniers et que le pays se conforme à l’Initiative pour la transparence des industries extractives.
* Dans le domaine de la microfinance, 134 PME et microentreprises ont été créées et 132 000 microcrédits accordés grâce au soutien de la Banque.
* Dans les transports, le Projet de réaménagement de la route Tombo-Gbessia a permis de réduire de 80 % le temps d’accès au centre-ville de Conakry.
* La Banque a eu un rôle crucial dans la lutte contre l’épidémie du virus Ébola et a financé la construction de 27 centres spécialisés de traitement épidémiologiques dans tout le pays, à même de faire face à de nouvelles épidémies dans le futur.
La Revue examine également l’efficacité de la gestion des opérations de la Banque en Guinée et décrit les premiers résultats et les perspectives ouvertes par l’entrée en service de son nouveau bureau en Guinée.
« Cette Revue souligne l’étendue des efforts menés par la Guinée au cours des dix dernières années, dans sa quête de développement basée sur son énorme potentiel, malgré les chocs qu’elle a eu à subir, indique Marie-Laure Akin-Olugbade », la directrice générale de la Banque pour l’Afrique de l’Ouest. Et d’ajouter : « Par ailleurs, ce rapport montre également combien l’accompagnement de la Banque africaine de développement a été, est, et sera crucial, tant il s’inscrit dans une logique d’écoute, de proximité et d’excellence pour construire, en coordination avec les autres partenaires au développement, les conditions nécessaires pour une amélioration durable et inclusive du niveau de vie des populations guinéennes ».
La nouvelle Stratégie pays 2018-2022 de la Banque pour la Guinée <https://www.afdb.org/fileadmin/uploads/afdb/Documents/Boards-Documents/GUINEE_-_DSP_2018-2022.pdf> (http://bit.ly/2W40Rl7) s’articule autour de deux piliers, que sont l’amélioration de l’accès à l’énergie et le développement des chaînes de valeurs agricoles et industrielles. Objectifs : aider le pays à relever le défi de la fragilité et à parvenir à l’autosuffisance alimentaire.
Pour télécharger gratuitement la Revue synthétique des résultats 2007-2018, Guinée, cliquer ici <https://www.afdb.org/fileadmin/uploads/afdb/Documents/Project-and-Operations/CRB_Guinee-2007-2018-FR.pdf> (http://bit.ly/2GMr1U6).
Cheick Travaly, le directeur des opérations de la région CESA, va lui succéder.
Ecobank Transnational Incorporated, (‘ETI’) (www.Ecobank.com), la société mère du Groupe Ecobank basée à Lomé, annonce le départ en retraite de Samuel Ashitey Adjei, directeur général de la filiale Ecobank Kenya et directeur exécutif régional de la région CESA (Afrique centrale, de l’Est et australe, après 29 ans de service exemplaire à Ecobank.
Directeur général de Ecobank Kenya et directeur exécutif régional de la région CESA, M. Adjei, qui prend officiellement sa retraite le 29 avril 2019, sera remplacé par Cheick Travaly, actuellement directeur des opérations de la région CESA.
M. Adjei, qui fait partie du Comité de direction du Groupe Ecobank, a récemment joué un rôle de premier plan dans l’accord de partenariat du Groupe Ecobank avec la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge. Auparavant, il a également occupé les postes de directeur général de Ecobank Ghana, directeur général adjoint de Ecobank Ghana et directeur exécutif de la Banque de grande entreprise et de la trésorerie.
Ade Ayeyemi, directeur général du Groupe Ecobank, a affirmé : « Tous ceux qui ont connu Samuel Adjei ont été impressionnés par ses compétences et son dévouement, tout au long de ses années à Ecobank. Il a largement contribué à faire de Ecobank Ghana la filiale la plus rentable du Groupe et la première banque du Ghana pendant les dix années où il en était le directeur général, et la situation financière de la région CESA s’est nettement améliorée sous sa direction récemment, son résultat avant impôt ayant augmenté de 79 % en 2018 pour atteindre 111 millions $. Au nom du Groupe Ecobank et du conseil d’administration, je tiens à le remercier de tout cœur et je lui souhaite de bien profiter de sa retraite ».
Samuel Ashitey Adjei a précisé : « Cela a été un grand honneur pour moi d’avoir joué un rôle dans le développement et l’expansion de Ecobank, avec l’objectif de stimuler le développement économique et l’intégration de l’Afrique moyenne. Je considère depuis longtemps la stratégie numérique de Ecobank comme une initiative remarquable qui transforme la vie de millions d’Africains en leur proposant des produits et services novateurs et en évolution constante. Bien que je prenne ma retraite, je suivrai toujours avec intérêt la progression de Ecobank et je suis convaincu que la banque atteindra de nouveaux sommets en apportant le changement en Afrique ».
Cheick Travaly possède 28 ans d’expérience professionnelle, dont 14 en tant que directeur exécutif responsable de six pays. Il est titulaire de deux masters, l’un en administration des affaires et l’autre en économie.
M. Travaly a débuté sa carrière dans le secteur minier en Guinée, avant de rejoindre l’industrie bancaire. À ses débuts, il a exercé la fonction de directeur des grandes entreprises locales pour Citibank Sénégal, mais il a rejoint Ecobank en 2015 pour prendre la fonction de directeur de la Banque de grande entreprise de Ecobank Sénégal.
Ce programme contribuera à l’amélioration de la résilience des populations et des écosystèmes du bassin du fleuve Niger par une gestion durable des ressources naturelles.
Le Groupe de la Banque africaine de développement (www.AfDB.org) et le gouvernement de Guinée, ont signé, mardi 23 avril 2019 à Conakry, des accords de prêts et de don, pour un montant total de 81,1 millions de dollars EU.
Il s’agit de deux nouvelles opérations dans les domaines des transports et de l’environnement, ainsi qu’une aide d’urgence dans le domaine de l’agriculture, qui vont renforcer le portefeuille actif de projets financés par la Banque en Guinée, pour le porter à un montant total d’engagements d’environ 562,36 millions de dollars EU.
Signant pour la Guinée, en présence de plusieurs hauts représentants gouvernementaux et de partenaires au développement, la ministre du plan et du développement économique et Gouverneur de la Banque pour son pays, Kanny Diallo, a souligné les excellentes relations entre la Banque et la Guinée, qui se sont traduites par le renforcement du portefeuille des projets de dans le pays.
Pour le Responsable-pays de la Banque en Guinée, Léandre Bassolé, cosignataire des accords : « Cette signature d’accords dans des domaines aussi variés que l’intégration régionale et transport, le changement climatique et la résilience des agriculteurs, répond à l’une des innovations du Document de stratégie de la Banque (2018-222) pour la Guinée. »
«Cette innovation consiste en l’alignement de ses choix stratégiques sur les principaux défis de développement de la Guinée et sur les High 5s,» dira Bassolé.
L’aménagement de la route Boké-Québo sera financé sur une période de 4 ans conjointement par la Banque pour 60,06 millions de dollars américains et par l’Union européenne pour 36,63 millions de dollars américains. Les ressources allouées à la Guinée par la Banque pour cette opération sont de 37,40 millions de dollars réparties en 7,40 millions de dollars de prêts et 30 millions de dollars dons. Par ailleurs, la Guinée bénéficiera d’un financement parallèle de la Banque Islamique de développement d’environ 40 millions de dollars américains pour la réalisation de la phase 2 du projet à partir du deuxième semestre de cette année 2018.
Ce tronçon qui rentre dans sa première phase, constitue une liaison d’importance nationale et régionale reliant la Guinée et la Guinée Bissau et desservant une zone à fortes potentialités agricoles et minières. Ce projet contribuera au désenclavement intérieur des deux pays et au renforcement de l’intégration et du commerce sous régionaux. A cet effet, le volume des échanges entre la Guinée et la Guinée Bissau connaitra une augmentation significative tout en réduisant le coût du transport ; les points de contrôle douanier seront réduits. Le projet contribuera à une forte augmentation de la population dans la zone du projet et renforcera le rendement des activités des groupements féminins, leurs revenus, ainsi que les productions vivrières et de rente.
Le Programme intégré de développement et d’adaptation au changement climatique dans le Bassin du Niger (PIDACC), quant à lui, d’un coût global de 218,65 millions de dollars américains, avec une contribution de la Banque de 79,13 millions de dollars américains pour neuf pays, dont 10,84 millions à la Guinée sous forme de prêt. La Guinée bénéficiera des autres partenaires au développement d’environ 7,20 millions de dollars financés principalement par le Fonds Vert pour le Climat (FVC) et l’Union Européenne. Il est important de souligner que la coopération allemande KfW apportera à la Guinée un cofinancement parallèle de 15,8 millions de dollars.
Ce programme contribuera à l’amélioration de la résilience des populations et des écosystèmes du bassin du fleuve Niger par une gestion durable des ressources naturelles. Les principaux résultats attendus de cette opération qui couvre outre la Guinée, 8 autres pays sont : la récupération de 140 000 ha de terres dégradées ; la construction de 209 infrastructures hydrauliques pour des activités agro-pastorales et piscicoles ; la mise en œuvre de 450 sous-projets de développement de chaîne agricole et de 184 PMEs des jeunes. Le projet permettra le renforcement des capacités d’adaptation au changement climatique d’un million de ménages et l’opérationnalisation d’un mécanisme de financement durable des activités de gestion durable des ressources naturelles. Le programme bénéficiera directement dans les 9 pays à 4 millions de personnes dont 51% de femmes.
Le don d’urgence pour la résilience agricole, vise à lutter contre l’invasion de la chenille légionnaire d’automne et réduire les pertes de productions de maïs d’environ 40% (soit environ 300 000 tonnes chaque année). La chenille légionnaire qui en est la principale cause a une forte capacité de propagation. Ses dégâts pourraient s’étendre à d´autres cultures si des mesures ne sont pas prises au niveau national à court et à moyen terme. Face à ces défis, cette opération d’urgence de 1 million de dollars, financée par le Groupe de la Banque africaine de développement, à travers son Fonds spécial de secours contribuera à renforcer la résilience des agriculteurs, hommes et femmes, face aux attaques de la chenille légionnaire d’autonome ; à favoriser la gestion intégrée et durable de cette chenille; à doter les services de protection des végétaux et de la recherche agricole de capacités techniques et matérielles pour endiguer ce fléau.
L’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) sera responsable de la coordination de la mise en œuvre des activités de l’aide d’urgence, en étroite collaboration avec le gouvernement.
La 31e Assemblée Générale Annuelle a également été l’occasion pour la banque de montrer sa volonté de favoriser un changement environnemental et social
Ecobank (www.Ecobank.com) ouvre la voie alors que la technologie révolutionne le modèle bancaire ; La banque réaffirme son engagement en matière de responsabilité sociétale.
Ecobank Transnational Incorporated (“Ecobank”), société mère du Groupe Ecobank, la première banque panafricaine présente dans 36 pays du continent, a achevé sa 31e Assemblée Générale Annuelle hier, à Lomé, au Togo.
Le Président du Groupe Ecobank, Emmanuel Ikazoboh, a précisé : « Ces dernières années, nous avons pris des mesures fortes pour consolider les bases de Ecobank ; le conseil d’administration estime aujourd’hui que notre stratégie, et les mesures que nous avons prises jusqu’ici, vont favoriser une croissance durable à l’avenir avec un rendement des fonds propres supérieur au coût des fonds propres ».
Ade Ayeyemi, directeur général du Groupe Ecobank, a déclaré : « Le plus important est le succès financier à long terme de la société. Nous continuerons donc de développer les plateformes technologiques qui nous permettent d’accéder à davantage de clients et de partenaires, et de déployer une stratégie de communication numérique efficace. Le modèle bancaire traditionnel évolue rapidement et nous devons continuer de bien nous positionner pour réussir cette transformation technologique ».
La 31e Assemblée Générale Annuelle a également été l’occasion pour la banque de montrer sa volonté de favoriser un changement environnemental et social, avec le lancement de l’Ecobank Group Chairman Sustainability Award, qui encourage tous les employés et toutes les filiales de Ecobank à élaborer des projets durables ayant des effets bénéfiques dans les domaines de la santé, de l’éducation et de l’inclusion financière.
Les actionnaires se sont montrés satisfaits du résultat de Ecobank pour l’exercice clos au 31 décembre 2018 et ont approuvé toutes les résolutions de l’AGA, notamment la ratification de la cooptation de Mme Aichatou Agne Pouye, Mme Arunma Oteh et Dr Aasim Ahmad Qureshi en qualité d’administrateurs. Mme Pouye et Mme Oteh sont des administratrices indépendantes tandis que Dr Qureshi représente la Qatar National Bank. Les actionnaires ont également voté en faveur du renouvellement des mandats de trois ans de M. Ade Ayeyemi, Dr Catherine Ngahu et M. Mfundo Nkuhlu (représentant de Nedbank Group Limited), qui étaient parvenus au terme de leur mandat d’administrateur d’une durée de trois ans.
Le contrat de commissaire aux comptes des cabinets Deloitte & Touche, Nigeria, et Grant Thornton, Côte d’Ivoire, a été renouvelé pour une durée d’un an.
Orange Digital Center est un dispositif d’accompagnement de l’écosystème des startups qui couvre un large champ d’activités.
Orange (www.Orange.com) inaugure ce jour à Tunis un tout nouveau concept de lieu entièrement dédié à l’innovation, « Orange Digital Center », en présence de Anouar Maarouf, Ministre des Technologies de la Communication et de l’Economie Numérique, Abdelkoddous Saadaoui, Secrétaire d'État tunisien chargé de la Jeunesse, Alioune Ndiaye, Directeur Général d’Orange Afrique et Moyen-Orient, Christine Albanel, Directrice RSE, Diversité, partenariats et Solidarité et Présidente déléguée de la Fondation Orange et Thierry Millet, Directeur Général d’Orange Tunisie.
C’est en Tunisie qu’ouvre ce jour le premier Orange Digital Center d’Afrique et du Moyen-Orient. Orange Digital Center est un dispositif d’accompagnement de l’écosystème des startups qui couvre un large champ d’activités. De la formation de jeunes au codage, en passant par l’accompagnement, l’accélération des start-up et l’investissement dans ces jeunes pousses, ces nouveaux lieux adresseront tous types de publics. C’est une nouvelle preuve de la capacité d’Orange à agir en tant qu’acteur responsable, accompagnant la transformation numérique et l’innovation locale dans tous les pays où l’opérateur est implanté.
« Je suis très fier d’inaugurer le premier Orange Digital Center à Tunis. D’ici la fin de cette année, nous nous doterons de structures similaires au Sénégal, en Côte d’Ivoire, en Jordanie, au Cameroun, au Burkina Faso et en Sierra Leone. Dès 2020, le Maroc, l’Egypte puis l’ensemble des pays de la zone Afrique et Moyen-Orient auront leur Orange Digital Center. Ces nouveaux espaces, dédiés au développement de nos pays par le digital, ont vocation à consolider le positionnement d’Orange en tant qu’acteur de référence de la transformation digitale des pays dans lesquels nous sommes présents. Fonctionnant en réseau, ces lieux permettront un échange d’expériences et d’expertises qui bénéficieront aussi bien aux étudiants, aux jeunes diplômés ou non diplômés, aux jeunes en reconversion professionnelle ainsi qu’aux entrepreneurs. Nous travaillerons donc en étroite collaboration avec l’ensemble des parties prenantes, dont les gouvernements et le monde académique, afin de renforcer l’employabilité de ces jeunes et les encourager à entreprendre et à innover » indique Alioune Ndiaye, Directeur Général d’Orange Afrique et Moyen-Orient.
Christine Albanel, pour sa part, déclare : « La mission de la Fondation Orange, dans les pays où elle opère, est de faire du numérique une chance pour tous. Cette nouvelle initiative s’inscrit dans l’ambition de placer l’inclusion numérique au cœur de notre engagement sociétal. Le Fab Lab Solidaire, qui participe aux programmes de la Fondation sur l’inclusion, est une passerelle qui va permettre aux jeunes de développer de nouvelles compétences et de se placer résolument dans un parcours professionnalisant ».
Catalyseur de l’innovation
Orange Digital Center réunit ainsi dans un même espace quatre programmes stratégiques : l’école du code, le Fablab Solidaire, Orange Fab et Orange Digital Ventures Africa.
Vingt-sept universités partenaires viennent compléter le dispositif en Tunisie, ainsi que cinq centres en région. Ils ont vocation à offrir au plus grand nombre l’accès et l’accompagnement aux meilleurs usages des réseaux.
Pour Thierry Millet, Directeur Général d’Orange Tunisie : « L’engagement d’Orange Tunisie en faveur des jeunes, et cela depuis son lancement, est une réelle success-story et 4 chiffres l’illustrent parfaitement. Avec notre programme, ce sont en effet, 16 000 jeunes tunisiens qui ont été formés et accompagnés au numérique, 1 800 ont bénéficié de stages de reconversion professionnelle, 800 collégiens et lycéens ont été initiés au code et 95% d’entre eux ont été recrutés en Tunisie et à l’international. »
Orange est présent dans 19 pays en Afrique et au Moyen-Orient et compte 120 millions de clients (à fin 2018). Avec 5,2 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2018, cette zone est une priorité stratégique pour le Groupe. Orange Money, son offre de transfert d’argent et de services financiers sur mobile disponible dans 17 pays compte 40 millions de clients. Orange, opérateur multi services, partenaire de référence de la transformation numérique apporte son savoir-faire pour accompagner le développement de nouveaux services digitaux en Afrique et au Moyen-Orient.
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Dans une région qui offre de solides perspectives de croissance, Kasada prévoit la construction de nouveaux hôtels ainsi que la rénovation et l’acquisition d'hôtels existants (greenfield et brownfield) |
Kasada Capital Management (www.Kasada.com), nouvelle plateforme d'investissement dédiée à l'hôtellerie en Afrique subsaharienne, a clôturé sa première levée de fonds pour Kasada Hospitality Fund LP avec des engagements en fonds propres de plus de 500 millions de dollars. Cette annonce fait suite au communiqué de juillet 2018 par Katara Hospitality et Accor, qui contribueront respectivement à hauteur de 350 millions et 150 millions de dollars. Dans une région qui offre de solides perspectives de croissance, Kasada prévoit la construction de nouveaux hôtels ainsi que la rénovation et l’acquisition d'hôtels existants (greenfield et brownfield). Le secteur de l’hôtellerie en Afrique subsaharienne est l’un des plus prometteurs dans une région qui bénéficie d’économies en forte croissance et d’une classe moyenne émergente. Il est cependant l’un des moins bien desservis, avec des marchés à fort potentiel encore largement inexploités. Pionnière en Afrique subsaharienne, la plateforme Kasada Capital Management entend créer le lien entre les acteurs locaux du marché de l'hôtellerie et les investisseurs internationaux. L'équipe est codirigée par Olivier Granet (CEO & Managing Partner), précédemment Directeur général d'AccorHotels Afrique et Moyen Orient, et David Damiba (CIO & Managing Partner), ancien Associé chez Helios Investment Partners. Olivier Granet possède plus de 20 ans d'expérience dans le secteur hôtelier chez Accor, où il a dernièrement supervisé un portefeuille de plus de 200 hôtels comprenant 50 000 chambres à travers 30 pays. De son côté, David Damiba cumule 25 années d'expérience dans le secteur financier, aussi bien sur les marchés matures que les marchés Africains, notamment chez Helios où il était spécialisé dans les portefeuilles d’investissements en crédits structurés à fort potentiel d’appréciation. Olivier Granet et David Damiba seront à la tête d’une équipe unique rassemblant des expertises aussi bien dans le secteur hôtelier que dans le private equity et le financement de projet avec une excellente connaissance des marchés africains. Afin de devenir le premier fonds durable dédié à l’hôtellerie en Afrique subsaharienne, Kasada s’engage pour que son impact social positif soit visible à chaque étape de ses investissements. Sa stratégie de co-investissement avec des partenaires locaux soutiendra la création d'emplois et encouragera l’entrepreneuriat local. Ainsi, l’ensemble des acteurs du secteur hôtelier, aussi bien les investisseurs que les constructeurs ou les équipementiers, bénéficieront de l’engagement de Kasada. À l'occasion de cette première levée, Olivier Granet a déclaré : « Les conditions sont actuellement réunies pour investir de manière innovante dans le secteur hôtelier en Afrique. Dans le reste du monde, des plateformes semblables à Kasada sont déjà établies et rentables, mais elles n'existent pas encore avec la taille critique et la structure intégrée nécessaires en Afrique subsaharienne. Le moment est donc venu de mettre en œuvre des stratégies audacieuses. Avec le soutien d'Accor et de Katara, nous bénéficions d'un avantage compétitif unique grâce à un solide portefeuille de marques et un accès aux institutions de financement locales et internationales. Nous sommes ainsi mieux équipés pour répondre aux besoins de la région, offrir à nos clients des produits attractifs et atteindre prochainement une position de leader sur le marché. Notre équipe, composée aussi bien d'experts du financement de projets que de la gestion hôtelière, tous dotés d'une solide connaissance du terrain, a tous les atouts nécessaires pour réussir. ». |
Tewolde Gebremariam, directeur general d’Ethiopian Airline (ET) était face à la presse ce vendredi 27 Avril dans un grand hôtel de la Capitale ivoirienne. Etaient à ses côtés les représentants d’Ecobank, le représentant d’Ethiopian Airlines en Côte d’Ivoire, Tadele Barega. Le DG a profité de cette occasion pour parler de la vie de la compagnie, mais aussi sur le partenariat qui la lie à la banque panafricaine Ecobank.
Ce partenariat entre ces deux géants africains dans leur domaine respectif, permettra de faciliter la vie de leurs clients. En révolutionnant la digitalisation des opérations de voyages, cela permettra aux voyageurs de faire la réservation de leurs billets jusqu’à l’embarquement à partir de leur téléphone mobile.
Dans sa communication, le DG a expliqué le projet du vol direct CI-USA. Selon lui, il répond à un besoin de coopération sud-sud entre la Côte d’Ivoire et l’Ethiopie d’une part. Et d’autres parts, entre Air Côte d’Ivoire et Ethiopian Airlines. Cela fait partir aussi de l’un des principes fondamentaux que défend l’Union Africaine. A savoir, créer les échanges entre les Etats membres. La compagnie ne compte pas évoluer seule. Mais avec les autres compagnies sœurs de la sous régionale.
Après Abidjan-Newark, cap sur Abidjan-New York et Washington
Revenant sur les vols Abidjan-Newark (USA) lancés depuis le 12 mai 2018, il a expliqué que les choses ont très vite évolués pour la compagnie.
« Nous avons un retour satisfaisant de la part de nos clients. Avec ce vol direct, plus de visa de transit dans les aéroports européens. Aussi, les usagers gagnent en temps, dans le confort avec moins de tracasseries», A-t-il soutenu avec fierté.
Il a également annoncé le début de vols directs vers deux autres villes des USA. New York JFK et Washington DC.
Crash du 10 mars : « des causes externes »
Parlant du crash survenu le 10 mars d’un de ses avions qui a fait 157 morts, Tewolde Gebremariam a expliqué que « les causes sont externes » à la compagnie, et imputable à Boeing.
Il évoque pour preuve un rapport des autorités éthiopiennes sur l'accident du Boeing 737 MAX, qui conclut que le personnel navigant a respecté les procédures. Toutefois, « les enquêtes sont en cours », se réserve-t-il.
Donc selon Tewolde Gebremariam, la compagnie est sûre et sérieuse. La preuve, elle est la 34e meilleure compagnie aérienne au monde avec 4 Etoiles, vue la qualité de ses prestations de service vis-à-vis des clients.
Il a profité de l’occasion ce jour pour annoncer pour bientôt, une flotte de dernière génération pour garantir le bonheur et la sécurité de ses usagers.
Il est bien de noter que cet accident malheureux n’a pas eu d’impact négatif sur ses activités. Bien au contraire, elle a connu une évolution de 7% en mars en termes de chiffre d’affaire et 10 % en avril.
Un forum des affaires Union européenne-Côte d’Ivoire s’est tenu le jeudi 26 avril au palais des congrès du Sofitel hôtel Ivoire. Ce forum, organisé par l’Union européenne, en collaboration avec Eurocham et en partenariat avec le patronat ivoirien, s’est tenu sur le thème : « l’Union européenne accompagne le secteur privé ». Il visait à soutenir le secteur privé ivoirien pour une croissance durable et créatrice d’emplois.
Cadre de rencontres et de partage d’expériences entre des acteurs institutionnels et privés européens et ivoiriens, ce forum a permis de découvrir les outils de financement et levier de promotion de l’investissement de l’Union européenne en faveur des PME et PMI.
Ce forum des affaires Union européenne – Côte d'Ivoire d'Ivoire s’inscrivait dans l’alliance Afrique-Europe pour un investissement direct et concret. Il a enregistré la présence de l'ambassadeur de l'Union européenne (UE) en Côte d’Ivoire, Jobst von Kirchmann, du Secrétaire d'Etat ivoirien chargé de la Promotion de l'investissement privé, Essis Esmel, et des partenaires de mise en œuvre, notamment Jean-Luc Ruelle, président d'Eurocham.
Jobst von Kirchmann a soutenu que la Côte d’Ivoire est le numéro 1 en Afrique en termes de potentiel d’investissement. " Créer et développer son entreprise, investir et s'investir dans ce projet entrepreneurial, c'est aussi contribuer au développement économique et social de son pays. C'est pourquoi l'Union européenne et ses Etats membres soutiennent et accompagnent le secteur privé en Côte d’Ivoire, en collaboration avec le gouvernement ivoirien".
Jean-Marie Ackah, président de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), Jean Louis Menudier, président de L'Union des grandes entreprises industrielles de Côte d'Ivoire (UGECI) et Jane Fehan, représente régionale de la Banque Européenne d’Investissement (BEI), y ont également pris part.
Prenant la parole a suite, le ministre de l’économie et des finances, Adama Koné a affirmé que la Côte d’Ivoire est un pays où l’on doit investir. Car, sous la houlette du président de la République Alassane Ouattara, la Côte d’Ivoire a connu un taux de croissance de 7% en 2018 et un taux d’inflation de -0,4%. Il a donc rassuré les investisseurs européens sur le climat des affaires. Et les a appelés à investir en Côte d’Ivoire, une terre d'opportunités.
L’UE veut accompagner le secteur privé ivoirien à travers le projet "S'investir ensemble!" avec un montant de 1,5 million Euros qui vise à contribuer au développement économique durable et inclusif et à l’amélioration de l’employabilité des jeunes.
Selon Jane Feehan, Représentante régionale de la Banque européenne d'investissement (Bei) a indiqué que : «en En Côte d'Ivoire, notre portefeuille actuel est plus de 175 millions d'Euros, soit 113,750 milliards de FCFA ». Elle a également précisé que leurs activités en Afrique visent à créer une croissance inclusive pour éradiquer la pauvreté et lutter contre les changements climatiques.
Ce forum qui était meublé de panels, a pris fin avec la signature du projet "S'investir ensemble".
Mohamed Compaoré
Le produit servira aux besoins généraux d’Ecobank Transnational Incorporated (ETI) et au refinancement des obligations existantes de la holding
Ecobank Transnational Incorporated (ETI), maison mère du Groupe Ecobank basée à Lomé, annonce la levée de 450 millions de dollars dans le cadre de sa première euro-obligation, qui a été sursouscrite.Cette émission mondiale porte sur un billet non garanti à 5 ans (144A/RegS) coté sur le marché principal de la Bourse de Londres. L’obligation arrivera à échéance en avril 2024 et a été émise avec un coupon de 9,5%, les intérêts étant versés semestriellement à terme échu. Le produit servira aux besoins généraux d’ETI et au refinancement des obligations existantes de la holding.L’émission a suscité l’intérêt des investisseurs du monde entier, notamment du Royaume-Uni, des États-Unis, de l’Europe, du Moyen-Orient, d’Asie et d’Afrique.
À l’occasion de cette première émission d’euro-obligation, M. Ade Ayeyemi, Directeur Général du Groupe, ETI, a déclaré : « Il s’agit à nouveau d’une première pour Ecobank et je suis très optimiste quant aux perspectives du Groupe à un moment où nous poursuivons la deuxième phase de notre stratégie quinquennale baptisée « Feuille de route pour le leadership ». Nos efforts d’amélioration de l’efficacité opérationnelle et financière portent leurs fruits, et cette émission témoigne des mesures que nous prenons pour renforcer notre établissement et créer de la valeur pour toutes nos parties prenantes. »
M. Greg Davis, Directeur Financier du Groupe, a également commenté l’opération : « Le succès de cette euro-obligation reflète l’appétit des investisseurs institutionnels de premier ordre sur ressources propres à l’échelle mondiale et la confiance dont bénéficient toujours notre établissement et les marchés auxquels nous avons choisi de prendre part. »
Créée à Lomé, au Togo, en 1985, Ecobank Transnational Incorporated (‘ETI’) est la maison mère du Groupe Ecobank, le principal groupe bancaire indépendant panafricain. Le Groupe est présent dans 36 pays africains, à savoir : Afrique du Sud, Angola, Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Cap-Vert, Congo (Brazzaville), Congo (République démocratique), Côte d’Ivoire, Éthiopie, Gabon, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Guinée Équatoriale, Kenya, Libéria, Malawi, Mali, Mozambique, Niger, Nigeria, Ouganda, République Centrafricaine, Rwanda, Sao Tomé et Principe, Sénégal, Sierra Leone, Soudan du Sud, Tanzanie, Tchad, Togo, Zambie et Zimbabwe. Il emploie plus de 16 000 personnes dans 40 pays différents, dans plus de 850 agences et bureaux.
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