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Après la diffusion de certaines informations dans la presse, faisant état d’une possible fermeture de l’université Charles-Louis de Montesquieu par la direction générale des impôts(DGI) pour des arriérés d’impôts estimés à plus de 18 millions de FCFA, le recteur de cette université le Pr Amoa Urbain a décidé de dire sa part de vérité dans une lettre ouverte dont nous avons reçu copie.
Lettre de vérité sur l'Université Charles-Louis de Montesquieu et la candidature de M. Urbain Amoa à l'élection présidentielle de 2020 en Côte d'Ivoire.
Merci à vous.
D'après mes travaux scientifiques axés principalement sur nos valeurs et civilisations, la résolution durable ou définitive d'un conflit passe par l'identification du "nœud caché " de ce problème.
Dans le cas d'espèce, le vrai problème est loin d'être celui des Impôts puisque sur cette question, nombre d'entreprises entrent en négociation avec les services compétents. Le vrai problème, et c'est ce sur quoi j'ai entrepris de conduire une communication stratégique, c'est la puissance originale de mon université qui, au-delà des pratiques pédagogiques et certifications internationalement compétitives, s'offre comme une tribune intellectuelle d'échange de haut niveau , libre d'y inviter des penseurs et des grands hommes connus et reconnus par leurs pairs comme tels: Mme Liguer Ketty Laubhouet, une mémoire incontestable des Arts et Métiers du Livre, M. Tiburce Koffi (écrivain )une fierté universitaire pour ma génération , S.E.M Daniel Kedem qui a demandé et obtenu que son pays, Israël, ne vende pas des armes à X. à un moment où la Côte d'Ivoire était devenue un champ de tueries ignobles, le Professeur Francis Wodié, un puits de connaissances, M. Essy Amara, une véritable bibliothèque en Haute diplomatie, M. Paul Akoto Yao un brillant intellectuel "oublié", le Général Gaston Ouassenan Koné récemment empoisonné...
Il est connu dans l'histoire que quand un sage sait comment et par quoi le prince est "fait", s'il ne s'oblige à" mourir", le prince s'il n'est pas sage, l'humilie publiquement: tel est le sens caché de la démarche visant à la fermeture de mon Université.
Pour rappel :
1. Trois semaines après la déclaration de ma candidature à la Présidentielle de 2020, ma résidence à NDouci a été attaquée : vol, produits toxiques à forte dose d'asphyxie;
2. Tentative d'étouffement financier par un simple jeu d'"omission " de 172 boursiers d'État soit un peu plus de 80 millions de FCFA par des agents du Ministère de l'enseignement supérieur qui, semble-t-il ne sont soumis à aucun contrôle.
3.Tentative de dénigrement de mon Université en jouant sur les diplômes qui y sont délivrés en partenariat de validation des dossiers de CAMES avec l'Université Alassane Ouattara et l'Université Félix Houphouët Boigny , comme cela l'a longtemps été entre l'Ecole Normale Supérieure d'Abidjan et l'Université de Cocody .
4. Tentative de fermeture de l'Université Charles-louis de Montesquieu par la Direction des Impôts" sur instructions des instances du Premier Ministre.
Tels sont les nœuds cachés de cette tentative d'étouffement en pleine rentrée académique et au moment où toutes universités et grandes écoles attendent encore les bacheliers boursiers d'État qui devraient déjà y avoir été affectés.
Je suis donc bel et bien candidat à la présidentielle de 2020 et mon Université reconnue par l'Etat autant que ses diplômes ne doit pas servir de champ de bataille. Quand j'y suis pour une activité scientifique comme cela l'a été récemment pour la Conférence interuniversitaire des Études Doctorales qui regroupe une dizaine d'universités. Bientôt je serai sur les tribunes politiques et vous redécouvrirez l'Ancien Président des mouvements et associations de jeunesse de Côte d'Ivoire des années 80 et l'ancien candidat du Parti Ivoirien des Travailleurs de 1995 à Agnibilekrou face à un célèbre candidat appelé Jean Michel Kouao.
Et puisque mon Université mérite de recevoir des boursiers d'État comme c'est le cas depuis 2012, j'attends, par respect pour les enseignants, les fournisseurs et tous les partenaires du système éducatif ivoiriens:
- que L'Etat fasse diligence pour faire payer ce que l'Etat doit afin que dans la dignité mon Université honore ses engagements vis à vis de l'administration fiscale, comme cela l'a toujours été depuis sa création en 2005;
- que le Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique nous communique enfin la liste des bacheliers de 2018-2019 affectés dans nos institutions académiques.
Puisse cette communication stratégique offrir de nouvelles pistes de recherche et de production de thèses et mémoires !
Urbain Amoa
Recteur Université Charles-Louis de Montesquieu, Abidjan.
Les images du Centre Sportif, Culturel et des TIC Ivoiro-Coréen Alassane OUATTARA, captées par le Service Communication de la Fédération Ivoirienne de Taekwondo sous la supervision du Président BAMBA Cheick Daniel, ce mercredi 23 Octobre 2019 en début d'après-midi. Le moins qu'on puisse dire, c'est que la belle œuvre architecturale est en phase de finition.
Communément appelé Palais du Taekwondo, les travaux du Centre seront achevés sauf cas de force majeure, au plus tard en Janvier 2020. La livraison officielle est annoncée pour le mois de Mars 2020. Cette infrastructure dont le financement a été acquis grâce à l'entregent du Président BAMBA Cheick Daniel, qui a bénéficié de l'appui institutionnel du Chef de l'Etat, Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, viendra à n'en point douter, soulager grandement le Taekwondo ivoirien et toutes les autres disciplines sportives.
Caractéristiques du centre culturel

Il faut rappeler que le Centre Sportif, Culturel et des TIC Ivoiro-Coréen est composé d'un gymnase omnisports d'une capacité d'accueil de 1500 places et d'un bâtiment annexe comprenant les bureaux de la FITKD.
La tôle perforée enveloppant le gymnase apporte une protection passive à l’ensoleillement direct et assure un confort thermique grâce a une ventilation naturelle traversant.
La température quasi constante de la salle omnisport, annule tous les besoins en climatisation. Même quand la température atteint plus de 35° à l’extérieur
Financement…
Ce Centre est financé par la République de Corée à travers l'Agence Coréenne de Coopération Internationale (KOICA) et l'Etat de Côte d'Ivoire à plus de 6 milliards de francs CFA. Il est situé sur le site du bas-fond du Lycée Technique à Cocody, non loin de l'échangeur des 220 Logements.
Sercom FITKD
Le Maroc a réalisé un bond de 7 places au classement Doing Business 2020 de la Banque mondiale, rendu public jeudi 24 octobre dernier à Washington, pour se hisser au 53 ème rang à l’échelle mondiale.
“Cette avancée marque un progrès significatif dans la réalisation de l’objectif du Maroc consistant à atteindre le top 50 des plus grandes économies du monde d’ici 2021”, indique dans un communiqué le Département du Chef du gouvernement.
Le Maroc conserve son avance en Afrique du Nord et se classe au troisième rang des pays de la région de l’Afrique du Nord et du Moyen Orient (MENA), derrière les Émirats arabes Unis (16ème) et le Bahreïn (43ème). Et devant l’Arabie saoudite (62ème), Oman (68ème), la Jordanie (75ème), le Qatar (77ème), la Tunisie (78ème), le Koweït (83ème) et l’Egypte (114ème).
Au niveau africain, le rapport souligne que le Maroc conserve sa troisième position derrière les îles Maurice, qui se classent au 13ème rang mondial, le Rwanda (38ème), et devant le Kenya (56ème), l’Afrique du Sud (84ème), le Sénégal (123ème) et le Nigeria (131ème).
“Le score positif du Maroc dans ce nouveau classement mondial est dû à l’adoption d’une série d’importantes mesures et réformes liées aux affaires et aux activités des entreprises marocaines, et qui s’inscrivent dans le cadre du programme de travail du Comité national de l’environnement des affaires (CNEA)”, souligne le communiqué.
Le secrétariat de ce Comité a également joué un rôle important dans la présentation aux experts de la Banque mondiale des réformes introduites pour améliorer le climat des affaires dans notre pays, principalement liées au développement de cadres juridiques et réglementaires pour les entreprises, ainsi qu’à la simplification et à la numérisation d’un ensemble de procédures administratives liées au cycle de vie des affaires, outre la création de plates-formes électroniques pour les services et des guichets uniques.
Les réformes de la loi N° 17.95 relative aux sociétés anonymes et de la loi N° 5.96 sur la société en nom collectif, la société en commandite simple, la société en commandite par actions, la société à responsabilité limitée et la société en participation, figuraient parmi les réformes importantes entrées en vigueur au cours de l’année.
Ces réformes, explique la même source, ont permis de renforcer la protection des investisseurs minoritaires et d’établir le principe de transparence et de bonne gouvernance fondé sur les normes internationales dans ce domaine.
En conséquence, le classement du Maroc dans l’Indice de protection des investisseurs minoritaires est passé de la 64ème place à la 37ème place, fait-on observer.
En outre, le Maroc s’est classé au 16ème rang mondial pour ce qui est de l’indice d’octroi des permis de construire en lançant une nouvelle version de la plate-forme électronique pour la gestion numérique des permis de construire.
Le classement marocain dans l’indice de raccordement au réseau électrique (34ème au niveau mondial contre 59 l’année dernière) s’est également amélioré grâce à la facilitation du raccordement électrique des entreprises à Casablanca à travers le lancement d’une plateforme électronique, baptisée “e-Raccordement”, pour le dépôt et le suivi des demandes de raccordement en moyenne tension et le développement de l’utilisation des postes de transformation préfabriqués.
Le rapport de la Banque Mondiale évoque également une série d’autres réformes qui ont contribué à l’amélioration du climat des affaires au Maroc et de son classement international, en l’occurrence :
-La mise en place d’un système automatisé pour l’attribution des affaires aux juges et la publication de rapports sur la performance des tribunaux, ce qui a facilité l’exécution des contrats et a permis au Maroc d’atteindre le 60ème rang mondial;
-La mise en place d’un système de paiement électronique des redevances portuaires, la suppression des démarches de transit sur support papier et l’extension des heures de travail dans le port, ce qui a accéléré les opérations de commerce transfrontalier et propulsé le Maroc à la 58ème position mondiale;
-La réduction du taux de l’impôt sur les entreprises en adoptant un système progressif d’imposition des sociétés, qui a permis au Maroc d’atteindre le 24ème rang mondial de l’indice de performance fiscale.
Avec ce résultat, le Maroc a pris une longueur d’avance vers la réalisation de l’objectif fixé par le programme gouvernemental visant à faire intégrer le pays parmi les 50 meilleurs économies du monde en matière d’amélioration du climat des affaires d’ici à 2021.
Dans cette perspective, d’autres réformes sont en cours d’élaboration, telles que la création d’un registre national de sûretés mobilières dans le cadre de la mise en œuvre de loi relative aux sûretés mobilières, ce qui permettra aux PME d’avoir accès aux financements nécessaires et d’améliorer le classement du Maroc.
Autrement dit, le meilleur est à venir au royaume Chérifien.
K.S
L'intelligence artificielle (IA) a un potentiel énorme pour le développement mondial et est déjà largement explorée comme moyen de lutter contre la pauvreté et de stimuler les économies. Dans le secteur de la santé, la technologie de l'IA est utilisée pour diagnostiquer des maladies telles que la dengue et le zika, tandis qu'en agriculture, elle aide les agriculteurs à identifier les parasites et à agir avant que les rendements ne pâtissent . Au Sénégal, les autorités luttent contre l'urbanisation rapide avec de nouvelles «villes intelligentes» pionnières dans lesquelles les résidents vivront dans des foyers connectés et où AI contrôlera les transports, la gestion des déchets et même les services de soins.
Mais dans le monde entier, les conséquences de ces technologies et de leurs conséquences sur la vie privée, la sécurité et les droits de l’homme suscitent des préoccupations - et dans les pays en développement, ces craintes sont amplifiées par le manque d’infrastructures et de réglementation.
Dans cet article, nous examinons comment l’intelligence artificielle est utilisée dans le contexte du développement international et nous demandons ce qui doit être fait pour que son potentiel soit exploité de manière juste et durable.
SciDev
Le Président de la République de Turquie, Recep Tayyip Erdogan a déposé une plainte contre Etienne Gernelle, le président-directeur général de la revue française Le Point, et le journaliste Romain Gubert.
L'avocat du Président Erdogan, Huseyin Aydin a dit, vendredi, avoir déposé, au nom du Président, auprès du Parquet d'Ankara, une plainte de onze pages.
Le dépôt de plainte est motivé par le caractère insultant envers le Président Erdogan de la couverture de son numéro paru le 24 octobre.
Cet acte relève donc de l' "insulte au Président" en vertu de l'article 299 du Code pénal turc, et les autorités judiciaires turques sont compétentes pour l'enquête et la poursuite des suspects, selon le document déposé au Parquet.
Il souligne également que les expressions utilisées par les suspects ne peuvent s'inscrire ni dans le cadre de la liberté d'opinion et de l'expression, ni du débat politique.
Les plaignants demandent ainsi l'ouverture d'un procès public contre les suspects Gernelle et Gubert, pour avoir utilisé des expressions nuisant à l'honneur et au prestige du Président Erdogan.
Anadolu Agency
KeyOpsTech annonce l’ouverture d’une nouvelle ligne et permet désormais la livraison de colis vers la 4ème ville de Côte d’Ivoire, Korhogo. Présent en Côte d'Ivoire depuis 2018, KeyOpsTech est une solution informatique qui permet la distribution de colis et de plis entre les villes du continent africain. Grâce à un suivi digitalisé et sécurisé tout expéditeur peut identifier en temps réel la localisation de son paquet et la personne qui en est responsable.
En s’associant aux compagnies de cars ivoiriennes, KeyOpsTech s’appuie sur une architecture de transport existante. Son réseau important de partenaires lui permet aujourd’hui de disposer d’un maillage territorial complet. KeyOpsTech donne la possibilité à tout expéditeur de faire parvenir un colis ou un plis dans des villes situées sur l’ensemble du territoire ivoirien, du nord au sud, de l’est à l’ouest. KeyOpsTech donne aujourd’hui accès à des régions mal desservies grâce à la gestion des interconnexions entres les compagnies de transport.
Cynthia Aïssy, Directrice Générale de KeyOpsTech déclare : « Nous sommes fiers de rendre Korhogo accessible, pour toutes nos livraisons. 4ème ville de Côte d’Ivoire en terme de population et d’économie, cette ville marchande est très attractive et génère énormément de flux. Notre couverture de la Côte d’Ivoire est désormais complète et nous cherchons à aller plus loin et à permettre aux colis de sortir de Côte d’Ivoire.»
KeyOpsTech est la première entreprise qui digitalise le transport de colis et de plis en garantissant une traçabilité totale et une livraison sécurisée. KeyOpsTech ambitionne d’élargir son réseau pour permettre la liaison par voies terrestres des métropoles d’Afrique subsaharienne.
Créée en 2017, KeyOpsTech est la première entreprise qui digitalise le suivi de livraison de colis et de plis en Afrique. Implantée en Côte d’Ivoire et au Sénégal depuis 2018, ainsi qu’au Mali et au Burkina Faso depuis 2019, KeyOpsTech a déjà permis la livraison de plus de 200 000 colis, grâce à sa solution informatique innovante et brevetée.
M.C
Situé à 7 km de la ville de Bondoukou (région du Gontougo) près de la frontière ghanéenne, le village de Soko(Royaume Bron Gyaman) doit son nom à la déformation du terme koulango sokolo, littéralement " le chemin des éléphants ".
Paradoxalement, ce n'est pas le pachyderme que l'on y vénère, mais bien des singes au nombre de deux espèces : les cercopithèques et les patras, avec lesquels les habitants de la localité ont noué une complicité allant bien au-delà du simple apprivoisement.
Si l'histoire retient unanimement le chasseur d'éléphants Mélô comme fondateur du village, les versions divergent quant à l'origine du statut sacré de ces singes.
Selon une première version, celui-ci serait simplement dû aux liens privilégiés qu'aurait naturellement tissé le chasseur avec ces mammifères, après que la poursuite d'éléphants l'a amené à se perdre dans un lieu certes plein de gibier mais éloigné de toute civilisation. Cet endroit seulement peuplé de primates auxquels Mélô aurait fini par s'attacher, faisant promettre aux personnes venues le rejoindre ultérieurement et à ses descendants, de ne point s'en prendre à ces animaux qu'il aimait tant sous peine d'encourir un sévère châtiment.
La seconde version semble être plus mystique. Elle mentionne d’ailleurs l'intervention du féticheur du village, qui aurait transformé les habitants en singes afin de leur éviter d'être massacrés par l'armée de Samory Touré. Une fois le danger écarté, le féticheur mourut avant de redonner forme humaine aux habitants de Soko. Si la population du village se reconstitua naturellement, les descendants de ceux qui avaient été transformés, ne pouvant faire le distinguo entre leurs ancêtres et les singes sauvages, décidèrent de traiter tous les primates avec la même déférence.

Bien qu'allant et venant librement dans le village et ses habitations et interagissant naturellement avec les hommes, femmes et enfants de la communauté (selon certains dires, les descendants de Mélô auraient même le devoir de partager leur repas avec eux), les singes se concentrent dans une petite forêt préservée délimitée par un joli cours d'eau poissonneux, la rivière M'gboulou ; deux sites eux aussi considérés comme sacrés, où il est strictement interdit de s'adonner à la chasse, à la pêche ou à la culture (bien qu'il en faille plus pour décourager les braconniers).
Les primates sacrés sont réputés sortir en grand nombre chaque vendredi, jour que l'on choisira donc, dans la mesure du possible pour visiter Soko
Source : page officielle facebook: Le peuple Bron-Akan de Côte d'Ivoire
Le Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA, a pris part, ce jeudi 24 octobre 2019, au Centre Olympique de Sotchi (Russie), à la cérémonie solennelle d’ouverture du premier Sommet de haut niveau Russie - Afrique.
Ce Sommet, consacré à la Paix, à la sécurité et au développement, a réuni autour du Président de la Fédération de Russie, S.E.M. Vladimir POUTINE, plus de 40 Chefs d’Etat et de Gouvernement africains. Il visait aussi à rechercher les voies et moyens de renforcer la coopération entre la Russie et le continent africain dans les domaines politique, économique et culturel mais également à aborder les questions régionales et les défis du monde.
L’ouverture du Sommet a été marquée par plusieurs interventions dont celles des Présidents Vladimir POUTINE, Abdel Fattah AL- SISSI et Alassane OUATTARA.
Le Chef de l’Etat ivoirien a indiqué, dans sa déclaration, que le réengagement de la Russie en Afrique se concrétise à un moment décisif pour notre continent, confronté à d’importants défis, notamment sécuritaires et économiques.
Au plan sécuritaire, il a souligné que la présence de la Russie aux côtés des pays africains contribuera à renforcer les capacités des Armées pour lutter plus efficacement contre le terrorisme, en particulier dans les régions du Sahel et du bassin du lac Tchad.
Au niveau économique, le Président Alassane OUATTARA a indiqué que la Russie pourrait aider l’Afrique à réaliser son potentiel énergétique et à accroitre sa production électrique afin de répondre aux besoins des populations et des industries.
Pour le Chef de l’Etat, l’importance des relations économiques et la constante augmentation du volume des échanges commerciaux entre l’Afrique et la Russie, estimé à plus de 20 milliards de dollars US en 2018, augurent d’un partenariat solide. C’est pourquoi, il s’est félicité de la tenue du Forum économique, en amont du Sommet, qui permettra de diversifier les échanges et de tirer profit de l’extraordinaire potentiel de nos économies.
À cet égard, il a insisté sur la nécessité de mettre un accent particulier sur l’industrialisation des pays africains et sur la transformation de nos matières premières en vue de mieux lutter contre la pauvreté et d’offrir des opportunités à la jeunesse.
Abordant les questions internationales, le Président de la République a salué l’action déterminée du Président Poutine contre le terrorisme. Il s’est félicité de l’importante contribution de la Russie aux opérations de maintien de la paix en Afrique tout comme son soutien dans le cadre de la réforme du Conseil de Sécurité des Nations Unies.
Pour terminer, le Président Alassane OUATTARA a salué la bonne qualité des relations entre la Russie et la Côte d’Ivoire ainsi que l’augmentation constante du volume des échanges. C’est pourquoi, il a invité le secteur privé et les entreprises russes à venir investir dans notre pays, notamment dans les secteurs de l’agro – industrie, de l’énergie et des infrastructures de transport.
Avant l’intervention du Chef de l’Etat, le Président Vladimir POUTINE s’est, quant à lui, réjoui de la mobilisation des Chefs d’Etat et de Gouvernement africains à l’occasion de la tenue de ce premier Sommet, démontrant ainsi leur volonté de renforcer davantage la coopération Russo – africaine.
Pour lui, l’Afrique est un continent – clé dans le système multipolaire international. C’est pourquoi, a-t-il ajouté, son pays a décidé de renforcer sa coopération avec le continent africain, notamment en matière de lutte contre le terrorisme, d’échanges de renseignements et de formation des Forces de défense et de sécurité africaines. Il a enfin émis le vœu que les Sommets Russie – Afrique se tiennent tous les trois ans.
Quant au Président égyptien, Abdel Fattah AL – SISSI, Président en exercice de l’Union Africaine, il a salué son homologue russe pour la qualité de l’accueil et pour la brillante organisation du Sommet et du Forum économique.
Il a ensuite présenté les enjeux et défis auxquels le continent africain est confronté de nos jours et en a appelé à la solidarité et à l’expertise de la Russie ; dans le cadre d’un partenariat gagnant – gagnant et dans le respect mutuel.
Pour terminer, le Président AL – SISSI a émis l’espoir de voir les résolutions adoptées au cours de ces travaux, répondre aux attentes des deux parties.
Mohamed Compaoré avec Sercom Présidence
Avec l'introduction du service de visa électronique en juin 2017, l'Éthiopie a ouvert ses portes aux visiteurs étrangers comme jamais auparavant. Depuis, le service de visas électroniques a redéfini l’expérience de voyage des visiteurs, facilitant ainsi l’entrée dans le pays grâce à un service numérisé accessible de partout dans le monde. À l'aide du service de visa électronique, plus de 200 000 voyageurs de 217 pays ont déjà visité l'Éthiopie.
Soutenu par un service client dédié 24h/24 par e-mail, le service e-Visa permet aux voyageurs d’obtenir l'e-Visa en moins de six heures réduisant ainsi le délai d'attente à l'aéroport.
«Le nombre important de voyageurs qui ont visité l'Éthiopie par le biais du service de visa électronique est une bonne nouvelle pour nous tous dans l'industrie du tourisme et du voyage», a déclaré Tewolde Gebre Mariam, Directeur général du groupe, Ethiopian Airlines. «Les 200 000 utilisateurs indiquent que le nombre de visiteurs qui utilisent le service numérisé est en augmentation. Cela apportera plus d'avantages à l'Éthiopie en termes de facilitation des voyages et de promotion du tourisme, du commerce et des investissements dans le pays. »
Avec le boom des rencontres internationales, du tourisme d’affaires, du secteur des conférences et des expositions (« MICE »), le service de visa électronique donne à l’Éthiopie un avantage décisif pour tirer parti des avantages offerts par le secteur.
La connectivité aérienne dont jouit l’Éthiopie en tant que plaque tournante du groupe Ethiopian Airlines, associée à la multiplication des hôtels et des hébergements dans le pays, fera de l’Éthiopie une plaque tournante privilégiée pour ces types d’événements et d’activités.
L’Éthiopie a fait de grands progrès ces dernières années pour rendre les voyages simples. Outre le service de visa électronique, les voyageurs volant avec Ethiopian bénéficient également d’un service intégré et de bout en bout en utilisant l’application mobile innovante de la compagnie.
Il faut savoir que Ethiopian Airlines (« Ethiopian ») est la compagnie aérienne ayant la plus forte croissance en Afrique. Depuis 70 ans qu’elle mène ses opérations, Ethiopian est devenue l'un des principaux transporteurs aériens du continent, inégalée dans l'efficacité et la réussite opérationnelle. Ethiopian se taille la part du lion du réseau de passagers et de fret panafricain, exploitant la flotte la plus jeune et la plus moderne à travers les cinq continents.
Mohamed Compaoré avec Sercom.
L’Exposition ivoirienne d’Atlanta dénommée « Ivorian Expo d’Atlanta » s’est tenue le 1er septembre 2019, dans la ville d’Atlanta (Etat de Géorgie), aux Etats Unis, sous le thème de la « culture et de l’entrepreneuriat made in Côte d’Ivoire ».
Cette Exposition qui en était à sa première Edition a été placée sous le parrainage du Ministre ivoirien de la Solidarité, de la Cohésion Sociale et de la Lutte contre la Pauvreté, Madame Mariatou Koné et sous la présidence de l’Ambassadeur de Côte d’Ivoire aux Etats Unis, S.E.M Haidara Mamadou.
Le principal objectif de cette Foire était de « faire découvrir la culture ivoirienne aux communautés américaines en vue de susciter leur intérêt pour la Côte d’Ivoire », a expliqué la promotrice de l’évènement, Madame Mada Diakité, résolue à faire de Ivorian Expo d’Atlanta une Foire pérenne de promotion de la Côte d’Ivoire.
Les nombreux visiteurs qui se sont rendus à cette foire ont pu apprécier la qualité des produits exposés, de même que la richesse culturelle de la Côte d’Ivoire, à travers la diversité des stands d’exposition des produits de consommation fabriqués par des Ivoiriens, la prestation des groupes de danses traditionnelles, un défilé de mode et des jeux « questions-réponses » sur la culture ivoirienne.
Madame Diakité qui a reçu les encouragements et le soutien de l’Ambassadeur pour la réalisation de ses ambitions de promotion de la Côte d’Ivoire, a plaidé pour un appui et un accompagnement des Autorités ivoiriennes, afin de donner plus d’envergure à cette exposition dont la première Edition a tenu toutes ses promesses.
M.C