Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

LDA Journaliste

Email: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Le Maroc a pris part par visioconférence aux travaux du Forum économique et d’affaires Turquie-Afrique organisé jeudi et vendredi.

Le Maroc est représenté par l’ambassadeur du Royaume en Turquie, M. Mohamed Ali Lazrak, à ce Forum économique dont la séance d’ouverture a été marquée par la participation du président turc Recep Tayyip Erdogan, de ministres africains de l’économie, d’acteurs économiques africains et turcs, ainsi que plusieurs diplomates.

La réunion ministérielle tenue jeudi a connu la participation de 17 ministres africains du commerce ainsi que de la ministre turque du Commerce Ruhsar Pekcan, du Commissaire aux Affaires Economiques de la Commission de l’Union Africaine, Harrison Victor et des représentants d’organisations économiques régionales africaines, entre autres la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

Selon les organisateurs, le forum a offert l’occasion de tenir plusieurs panels thématiques et réunions bilatérales entre acteurs économiques des secteurs public et privé pour examiner les opportunités de coopération et d’intégration économique entre les deux parties.

Dans une intervention à cette occasion, la ministre turque du Commerce a souligné que son pays accorde une importance toute particulière à ses relations économiques avec les pays africains basées sur le principe gagnant-gagnant.

La Turquie a organisé le troisième Forum économique et d’affaires Turquie-Afrique en accord avec l’importance qu’elle attache au développement des relations commerciales et économiques avec les pays africains, a-t-elle dit.

Le Commissaire aux Affaires Economiques de la Commission de l’Union Africaine, a pour sa part fait savoir que l’UA compte établir une coopération de haut niveau entre la Turquie et les pays de l’Union, ajoutant que les relations entre les deux parties ont connu une nouvelle impulsion depuis l’annonce de la Turquie de son partenariat stratégique avec l’Union africaine en 2008.

Il a noté que les ministres et les vice-ministres de 26 pays africains ont participé au forum lors duquel ils ont échangé leurs points de vue sur la reprise économique post-Covid.

Les deux précédentes sessions du Forum ont été organisées respectivement en 2008 à Istanbul et en 2014 à Malabo, alors que la troisième édition est organisée en mode virtuel par la Commission de l’Union africaine, le ministère turc du commerce et le Conseil turc des Relations économiques extérieures, en raison des restrictions imposées par l’épidémie de Covid-19.

hn

 
 

Comment

Le nouveau coronavirus a fait au moins 5.589 morts dans le continent africain depuis son apparition en décembre, avec 207.089 cas infectés, dont 93.711 de guérisons.

Le Maroc a enregistré jusqu’à présent 8.508 cas de contamination à la Covid-19, dont 7.565 personnes guéries et 211 décès, alors que 347.543 cas ont été exclus suite à des tests négatifs effectués au laboratoire.

En Afrique du Sud, le bilan des personnes testées positives a grimpé à 52.991, ce qui en fait le pays le plus touché par la Covid-19 en Afrique. Le pays compte 1.162  décès et 29.006 rémissions.

Les pays les plus touchés après l’Afrique du Sud sont l’Égypte avec 36.829 cas, 1.306 morts et 9.786 guérisons, le Nigeria où le nombre de cas confirmés a grimpé à 13.464 cas, dont 365 morts et 4.206 rémissions et l’Algérie avec 10.484 cas, 732 décès et 7.074 guérisons.

De son côté, la Tunisie a recensé 1.087 cas d’infection à la Covid-19, dont 49 morts et 983 personnes rétablies.

D’autres pays africains ont été également affectés par la pandémie du coronavirus, comme la Côte d’Ivoire (3.995 cas et 38 morts), le Cameroun (8.681 cas et 212 morts), le Niger (974 cas), le Burkina Faso (891 cas), le Ghana (10.201 cas), la Guinée (4.258 cas), Djibouti (4.373 cas), le Sénégal (4.640 cas) ou encore la République Démocratique du Congo (4.390 cas).

Par ailleurs, 3.094 cas ont été recensés à Kenya, 463 cas au Rwanda et 1.667 autres à Mali, alors que l’Éthiopie compte près de 2.506 cas de contamination dont 35 décès et 401 cas guéris.

La Somalie a enregistré 2.452 cas, dont 85 décès et 506 guérisons et le Gabon a recensé 3.294 cas dont 21 décès et 956 rémissions.

hg

 
 

Comment

La Turquie a renvoyé lundi un navire d’exploration en Méditerranée orientale pour rechercher du gaz naturel, au risque de raviver une crise avec la Grèce qui a dénoncé une “menace directe à la paix”.

Le navire de recherche sismique Oruç Reis a quitté son port turc dans la matinée, selon des images publiées par les médias, et mènera des activités d’exploration jusqu’au 22 octobre, a indiqué la marine turque dans une notice d’information maritime (NAVTEX).

“Nous allons continuer de chercher (du gaz), de creuser et de défendre nos droits”, a déclaré lundi sur Twitter le ministre turc de l’Energie Fatih Dönmez.

L’Oruç Reis, qui est accompagné de deux navires de soutien logistique, doit notamment être déployé au sud de l’île grecque de Kastellorizo, proche des côtes turques et au coeur de vives tensions entre Ankara et Athènes l’été dernier.

Athènes et Ankara ont en effet connu un mois de forte tension après le déploiement par la Turquie, du 10 août à la mi-septembre, de ce bateau sismique, escorté de navires de guerre, pour procéder à des explorations au large de Kastellorizo, dans une zone potentiellement riche en gaz naturel.

La Grèce revendique sa souveraineté sur les eaux entourant Kastellorizo, mais la Turquie conteste cette domination, soutenant qu’elle devrait avoir des droits plus étendus en Méditerranée orientale en raison de son littoral plus long.

En écho aux échanges tendus quasi-quotidiens le mois dernier, le ministère grec des Affaires étrangères a condamné lundi la décision turque de déployer à nouveau l’Oruç Reis, la qualifiant de “menace directe à la paix et à la sécurité dans la région”.

La Turquie n’est “pas fiable” et “ne désire pas sincèrement le dialogue”, a accusé le ministère grec dans un communiqué.

Le nouveau déploiement de l’Oruç Reis sape les espoirs de désescalade qui étaient nés ces dernières semaines.

Les tensions avaient débuté après le déploiement de ce même navire le 10 août. Ankara avait prolongé plusieurs fois sa mission, ignorant les appels répétés de l’Union européenne et d’Athènes visant à la faire cesser.

L’Oruç Reis avait toutefois regagné les côtes turques le mois dernier, alors qu’il se trouvait dans des eaux revendiquées par la Grèce, dans ce que beaucoup espéraient être un signe d’apaisement d’Ankara pour résoudre cette crise.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan avait alors affirmé que ce retrait visait à laisser une chance à la diplomatie.

Mais les dirigeants turcs ont aussi déclaré que le navire allait simplement effectuer une maintenance prévue, et qu’il retournerait en Méditerranée orientale pour poursuivre son travail.

“Les travaux de maintenance de l’Oruç Reis sont terminés. Notre navire a pris des (équipements) pour radiographier la Méditerranée”, a d’ailleurs déclaré lundi M. Dönmez. S’il y a du gaz naturel, “nous le trouverons”, a-t-il ajouté.

L’espoir était toutefois réapparu lorsqu’Ankara et Athènes s’étaient mis d’accord pour mener des négociations le mois dernier, notamment à la suite d’efforts diplomatiques menés par l’Allemagne pour désamorcer cette crise.

Les échanges du plus haut niveau depuis le début des tensions ont eu lieu la semaine dernière lorsque les ministres des Affaires étrangères turc et grec se sont rencontrés en marge d’un forum sur la sécurité à Bratislava, en Slovaquie.

Lors d’un sommet plus tôt dans le mois, l’UE a menacé Ankara de sanctions si la Turquie ne mettait pas un terme aux activités d’explorations énergétiques dans des eaux revendiquées par Chypre et la Grèce.

La Turquie avait décrit la menace comme “non-constructive” et sa dernière décision risque d’alimenter les tensions entre Ankara et Bruxelles.

Le ministre allemand des Affaires étrangères Heiko Maas doit se rendre à Ankara mercredi, selon la télévision étatique turque TRT, pour une rencontre au cours de laquelle la question de la Méditerranée orientale occupera une place centrale.

aaa

Comment

L’Italien Danilo Petrucci (Ducati) a remporté dimanche le Grand Prix de France MotoGP, alors que le Français Fabio Quartararo (Yamaha-SRT) a conservé la tête du championnat du monde.

Petrucci a devancé les Espagnols Alex Marquez (Honda), le jeune frère du sextuple champion du monde Marc Marquez, et Pol Espargaro (KTM).

La victoire de Petrucci est la 7e d’un pilote différent cette année en 9 courses, la saison étant marquée par l’absence de Marc Marquez qui s’est fracturé le bras lors de la première épreuve et n’a pas participé à une course depuis.

Danilo Petrucci signe ainsi sa 2e victoire en MotoGP, lui qui avait terminé sur le podium lors des deux dernières éditions du GP de France MotoGP au Mans.

dc

 
 

Comment

Le groupe Attijariwafa bank (AWB) a été désigné “Top Performer RSE” en 2020, pour la 4è année consécutive, par le leader européen de la notation extra-financière, Vigeo Eiris.

Ce palmarès récompense les entreprises cotées à la Bourse de Casablanca, dont les démarches de responsabilité sociétale sont les plus avancées et ayant ainsi obtenu les meilleurs scores selon le référentiel de Vigeo Eiris pour leur capacité à intégrer les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans leur système de management, fait savoir AWB dans un communiqué.

Le référentiel de notation compte plus de 38 critères portant sur six domaines à savoir, le capital humain, les droits de l’Homme, l’environnement, le comportement sur les marchés, la gouvernance et l’engagement sociétal, précise la même source, ajoutant qu’AWB présente en effet des scores parmi les plus élevés du marché, en particulier sur les critères” offre de produits et de services verts”, “amélioration continue des compétences et de l’employabilité des collaborateurs” et “assurance de traitement équitable des actionnaires”.

Attijariwafa bank est également maintenue dans l’indice ESG10 de la Bourse de Casablanca, dont elle fait partie depuis son lancement en septembre 2018. Cet indice, révisé annuellement, regroupe les dix entreprises les plus socialement responsables cotées à la Bourse de Casablanca, suite à leur évaluation par Vigeo Eiris.

Ces distinctions récompensent l’engagement continu du Groupe en matière de responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) et sa capacité à intégrer les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans son système de management, conclut le communiqué.

aaa

 
 

Comment

Le vice-président de la Banque africaine de développement, Solomon Quaynor, a déclaré que la Banque s’intéressait à des projets industriels transformateurs dans les chaînes de valeur agricoles pour des produits réalisés en Afrique à des prix compétitifs.

Le vice-président de la Banque africaine de développement, chargé du Secteur privé, des Infrastructures et de l’Industrialisation, Solomon Quaynor, a fait, le 8 octobre dernier, un vibrant plaidoyer en faveur des investissements à caractère stratégique en Afrique lors d’un webinaire avec des membres de l’Association des entreprises nordiques et africaines (NABA).

Cette visioconférence a été organisée par le ministère norvégien des Affaires étrangères, la NABA (Nordic African Business Association), l’entreprise européenne basée à Oslo, Scatec Solar, et l’institution financière Africa Finance Corporation. Elle visait à mettre en lien les entreprises du nord de l’Europe avec le continent. Le « Sommet des entreprises nordiques et africaines » organisé consécutivement ces neuf dernières années à Oslo, en Norvège, a reçu plus de 3 000 invités et 300 intervenants venant de plus de 40 pays à ce jour.

Solomon Quaynor, auquel s’est joint Paal Bjornestad, directeur exécutif de la Banque pour les pays nordiques, l’Irlande et l’Inde, s’est adressé par visioconférence à des représentants d’entreprises nordiques, du secteur public et du secteur privé.

Le mandat de la Banque visant à stimuler le développement économique durable et les progrès sociaux sur le continent a permis de lever neuf milliards de dollars de prêts commerciaux à des conditions concessionnelles en 2019, a souligné Solomon Quaynor, avant une séance de questions-réponses. Ces prêts ont été affectés à la réalisation des priorités stratégiques de la Banque, les « High5 », à travers des activités transversales clés : intégration de la dimension genre, appui aux marchés fragiles et projets respectueux du climat. Au moins un quart des ressources a été dirigé vers le secteur privé.

L’un des exemples de ces affectations est celui de la mine et du port de Boké en Guinée, présenté comme étant un projet « véritablement transformateur ». Ce projet, qui intègre des infrastructures destinées à une exploitation minière, auxquelles se sont ajoutées des infrastructures de transport connexes, a bénéficié d’un prêt de premier rang de la Banque africaine de développement d’un montant d’environ 100 millions de dollars, avec un délai de remboursement de quatorze ans, dont une période de grâce maximale de trois ans. Le projet devrait accroître de 400 millions de dollars le PIB de la Guinée et de 300 millions de dollars la balance commerciale du pays chaque année au cours de la phase opérationnelle. Plus de 4 000 emplois seront créés au cours de sa phase de construction, ainsi que 700 emplois permanents et 1 500 emplois temporaires au cours de sa phase opérationnelle.

Les projets agro‑industriels pour lesquels la Banque sollicite l’appui de ses partenaires nordiques comprendront ceux à forte valeur ajoutée, et compétitifs, liés à des produits tels que le cacao, le coton ou l’élevage. Leur mise en œuvre devrait tirer parti de l’accord signé sur la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), qui va créer un vaste marché unique de 1,2 milliard de personnes. Ils ajouteront de la valeur et « permettront à la production africaine de participer davantage à ces chaînes de valeur et d’augmenter les emplois et les revenus du secteur privé et de l’économie africaine », a déclaré Solomon Quaynor. L’approche de l’Africa Finance Corporation et du groupe de sociétés Arise de A. P. Moller Capital, en partenariat avec Olam de Singapour, est une bonne illustration.

Relever les défis aux projets de financement et de bancabilité

Solomon Quaynor a rassuré les participants sur le fait que la question de la bancabilité est toujours prise en compte : elle comprend les risques liés au marché, à la rentabilité et à la trésorerie, l’absence d’un environnement propice à l’investissement, les évaluations d’impact environnemental et social (ÉIES) de qualité et les questions relatives à l’intégrité des promoteurs et des contractants.

Certaines questions ont concerné la disponibilité des financements des projets cités pour les investisseurs, les financements commerciaux et la possibilité pour la Banque de financer des projets touristiques. La Banque apporte son soutien à « tous les projets qui favorisent le développement économique, mais nous avons décidé d’être sélectifs et de nous concentrer sur les domaines où nous détenons un avantage comparatif », a précisé Solomon Quaynor.

La Banque est dorénavant plus sélective et cible de grands projets d’industrialisation transformatrice. « Nous appuyons également les institutions financières afin de soutenir indirectement de petits projets. Nous allons également faire davantage pour maximiser nos prêts directs en utilisant des garanties afin d’attirer d’autres investisseurs privés », a-t-il poursuivi.

« Dans des domaines comme les énergies renouvelables hors réseau, nous apportons notre soutien à travers des plateformes comme le Fonds pour l’énergie durable en Afrique (SEFA). Il nous faut des projets bancables et des plans d’affaires crédibles, et nous devons nous assurer que les ESG (critères environnementaux, sociaux et gouvernementaux) et les travaux de conformité ont été réalisés », a conclu Quaynor.

fm

Comment

Contrairement aux attentes de l’opposition qui avait beaucoup misé sur cette importante mission pour faire aboutir sa revendication de report des élections, c’est un soutien clair et total que la communauté internationale a apporté au processus électoral.

Le communiqué qui a sanctionné la mission des trois organisations internationales est on ne peut plus clair sur cette adhésion à la prochaine présidentielle : "La mission, peut-on lire dans le document, a informé les autorités et les acteurs politiques ivoiriens du déploiement d’observateurs électoraux de la CEDEAO et de l’Union Africaine dans le cadre de l’élection présidentielle du 31 Octobre 2020 afin de contribuer à sa crédibilité".

En d’autres mots, ce que disent à l’opposition les trois organisations, c’est qu’à l’issue de leurs investigations, elles sont entièrement satisfaites de toutes les décisions et actes posés jusqu’ici. Elles annoncent vouloir, à travers les observateurs dont elles ont annoncé le déploiement, s’assurer également que le vote et la proclamation des résultats respecteront la même transparence. Outre d’être un cinglant camouflet pour l’opposition ivoirienne, il s’agit en même temps d’une invite aux opposants à prendre part à la présidentielle.

On aura remarqué qu’il n’y a aucune mention du criminel de guerre gbagbo ou de soro, preuve que le rejet de leur candidature a parfaitement respecté la loi ivoirienne et les normes juridiques internationales.

Ce qui est vrai, est vrai !

Par Saïd Penda/ Ancien de la BBC et de l’Union Européenne -Journaliste d’investigation et analyste politique.

Comment

L’Argentine Nadia Podoroska, 131e mondiale, s’est qualifiée, mardi, pour les demi-finales de Roland-Garros, en éliminant l’Ukrainienne Elina Svitolina (5e) en deux sets 6-2, 6-4.

Podoroska est devenue ainsi la première joueuse issue des qualifications à atteindre le carré d’as de Roland-Garros.

Agée de 23 ans, Podoroska, qui joue pour la première fois le tableau principal du Majeur parisien, affrontera Iga Swiatek (54e) ou Martina Trevisan (159e et également issue des qualifications) pour une place en finale.

Avant de venir à Paris, elle avait remporté le tournoi ITF de Saint-Malo, en France, doté de 60.000 dollars.

Elle est également devenue la première Argentine à atteindre les demies à Paris depuis Paola Suarez en 2004.

dc

 
 

Comment

Ce vendredi 2 octobre, le Centre d’Information Gouvernemental inaugure les nouveaux locaux de son centre d’appel, en présence de SEM Hamed BAKAYOKO, Premier ministre de Côte d’Ivoire. Partenaire de cet évènement, Orange Côte d’Ivoire est heureuse de soutenir la démarche de digitalisation des services publics impulsée par l’Etat de Côte d’Ivoire.

Alors que l’État ivoirien déploie son plan de riposte face à la pandémie de Covid-19, Orange Côte d’Ivoire se mobilise aux côtés de l’État afin d’accélérer la digitalisation des services publics. Forte de son expertise dans l’accompagnement de la digitalisation des entreprises de Côte d’Ivoire, Orange Côte d’Ivoire confirme son double statut d’entreprise citoyenne et de partenaire de confiance.

Situés dans le quartier de la Riviera Palmeraie (commune de Cocody – District d’Abidjan), les locaux du centre d’appel accueilleront un effectif de plus de 100 téléconseillers et 10 superviseurs afin de prendre en charge les préoccupations des populations relatives à la gestion de l’information et leur orientation dans le cadre du suivi opérationnel de la Riposte contre le Covid-19.

Opérateur digital engagé, Orange Côte d’Ivoire est le partenaire technique qui a réalisé l’équipement de ce centre d’appel et sa fourniture en infrastructures télécoms de dernière génération. L’ensemble de ces équipements permettra de garantir l’excellence opérationnelle et un meilleur niveau de connectivité dans la gestion des activités des agents du Centre d’Information Gouvernemental.

« Nous marquons une fois de plus notre solidarité dans la lutte contre le Covid-19. Après avoir temporairement hébergé ce centre d’appel, nous saluons les efforts du Gouvernement pour la mise à disposition de ces nouveaux locaux en partenariat avec l’ensemble des partenaires privés et publics, acteurs de ce beau projet. » a déclaré M. Didier KLA, Directeur Orange Business et Broadband.

orange CI

Comment

L’Union européenne (UE) a salué, jeudi, l’initiative du Maroc visant à soutenir le processus de médiation mené par les Nations unies pour résoudre le conflit libyen.

 «L'UE accueille favorablement toute initiative visant à soutenir le processus de médiation mené par les Nations unies et à faire progresser la résolution du conflit libyen par le biais d'un processus politique», a déclaré le porte-parole de l’UE pour les Affaires étrangères, Peter Stano.

 «L'UE continuera à soutenir activement le peuple libyen dans ses aspirations à établir un pays pacifique, stable et prospère », a-t-il ajouté.

 Cette déclaration du porte parole de l’UE réitère la position exprimée par le Haut représentant de la politique étrangère de l’Union européenne Josep Borrell, en septembre dernier, à l’occasion d’un entretien qu’il a eu avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger Nasser Bourita.

M. Borrell avait «salué et encouragé cette initiative marocaine comme une contribution opportune aux efforts déployés par les Nations Unies en vue d’une solution politique de la crise en Libye, de nature à garantir la cohésion du pays, son intégrité territoriale et sa souveraineté».

hn

Comment