Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Les services de sécurité éthiopiens ont arrêté un total de 33 terroristes qui projetaient des attentats en Ethiopie au cours de la période juillet 2019-2020, a indiqué jeudi le Service national de renseignement et de sécurité (NISS).

Un total de 33 terroristes, 16 du groupe Al-Shabaab et 17 de l’état islamique, ont été arrêtés en possession d’explosifs et d’autres documents au cours de la période juillet 2019-2020, précise le NISS dans un communiqué relayé par l’agence éthiopienne ENA.

Au cours de la même période, les services de sécurité ont saisi 499 fusils Kalachnikov, 27 237 pistolets, 11 grenades à main, 8 mitrailleuses et 168 241 balles, ajoute la même source.

Le groupe terroriste Al-Shabaab et l’état islamique ont récemment menacé de perpétrer des attaques terroristes en Ethiopie, rappelle le NISS, ajoutant que les services de sécurité oeuvrent 24 heures sur 24 pour contrecarrer ces attaques.

Les services de sécurité ont appelé la population à signaler aux agents de sécurité toute activité suspecte, est-il souligné.

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Le tueur des mosquées de Christchurch, Brenton Tarrant, a été condamné jeudi à la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle pour avoir assassiné 51 fidèles en 2019 en Nouvelle-Zélande.

Le juge a déclaré que derrière l’idéologie “tordue” de M. Tarrant se cachait une “profonde haine” qui l’a conduit à attaquer des hommes, des femmes et des enfants sans défense.

“Il revient à la Cour d’apporter une réponse de rejet catégorique face à des malfaisances aussi haineuses”, a déclaré le juge en prononçant cette peine sans précédent dans l’histoire judiciaire de la Nouvelle-Zélande.

Le magistrat, qui a souligné le très lourd tribut payé par la communauté musulmane néo-zélandaise, a affirmé que l’auteur du terrible carnage a cependant échoué à promouvoir l’idéologie d’extrême-droite.

“C’était brutal et sans pitié. Vos actions étaient inhumaines”, a-t-il déclaré.

Le 15 mars 2019, le suprémaciste blanc australien Brenton Tarrant avait abattu de sang froid, dans deux mosquées de cette ville du sud de la Nouvelle-Zélande, 51 fidèles pendant la prière du vendredi, suscitant une vague d’indignation dans le monde entier.

Il a été reconnu coupable de 51 meurtres, de 40 tentatives de meurtre et d’un acte terroriste, après avoir plaidé coupable en mars.

Le procureur Mark Zarifeh a estimé que ce carnage est “sans précédent dans l’histoire criminelle de la Nouvelle-Zélande”.

“L’infraction était motivée par une idéologie raciste et xénophobe bien ancrée (…) Il est clairement le pire meurtrier qu’ait connu la Nouvelle-Zélande”, a-t-il lancé.

Pour M. Zarifeh, la réclusion à perpétuité était “la seule peine appropriée” pour M. Tarrant.

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Le président Uhuru Kenyatta a demandé aux agences gouvernementales d’accélérer les enquêtes sur le détournement présumé par “la Kenya Medical Supplies Authority” (KEMSA) de fonds destinés à la lutte contre la Covid-19.

“Compte tenu de l’intérêt public, les agences compétentes devraient accélérer les enquêtes et les conclure dans les 21 jours qui suivent”, a ordonné le président Kenyatta, assurant que “toutes les personnes jugées coupables par les enquêtes en cours sur les fonds Covid-19 devraient être traduites en justice indépendamment de leur statut social ou de leurs affiliations politiques.”

Kemsa a été sous les projecteurs après qu’il est apparu que des responsables avaient lancé des appels d’offres à des entités mystérieuses sous couvert de la pandémie de la Covid-19.

Cela fait suite à un audit qui a révélé des irrégularités en matière de passation de marchés et financières mettant en danger plus de 100 milliards de shillings de fonds des donateurs et l’argent des contribuables.

Le président kényan a, par ailleurs, formé un comité chargé d’examiner l’efficacité de la réponse du pays à la pandémie.

“Le comité doit formuler des stratégies pour identifier les lacunes en boucle dans nos établissements de santé et recommander les moyens leur permettant de s’améliorer”, a-t-il déclaré.

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mercredi, 26 août 2020 22:30

Liga: Messi veut quitter le Barça (presse)

L’attaquant argentin, Lionel Messi, a informé mardi le FC Barcelone de son souhait de quitter le club espagnol cet été, rapportent des journaux spécialisés dont Marca et AS.

Messi a adressé une lettre à la direction club catalan dans laquelle il a exprimé son souhait de mettre fin a sa carrière au sein de l’équipe, précise la presse sportive espagnole.

La star argentine avait tenu la semaine dernière une réunion avec le nouvel entraineur du Barça, Ronald Koeman.

Lors de cette rencontre, Messi a laissé planer les doutes sur son avenir au sein du club catalan.

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L’UEFA a annoncé mardi qu’elle va autoriser le retour limité des spectateurs pour la Supercoupe d’Europe à Budapest, avec 30% de la capacité du stade.

Le match opposant le Bayern Munich, qui a remporté la Champions League, au Séville FC, détenteur de la Ligue Europa, prévu le 24 septembre, sera ainsi le premier match international à se jouer devant un public depuis la propagation de la pandémie de coronavirus.

“Bien qu’il soit important de montrer que les activités footballistiques peuvent se poursuivre même pendant cette période difficile, sans les supporters, le jeu perd une partie de son âme. Nous espérons que la Supercoupe à Budapest servira de match pilote et marquera à ce titre le début du retour des supporters dans les stades”, a indiqué le président de l’UEFA, Aleksander Ceferin.

Le stade Puskas, où se déroulera le match, peut accueillir plus de 65.000 personnes en temps normal.

Le comité exécutif de l’instance du football européen a confirmé que toutes les autres rencontres internationales allaient se jouer à huis clos, dont celles de l’équipe de France qui doit se déplacer en Suède le 5 septembre et recevoir la Croatie trois jours plus tard.

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Le rythme de la pandémie de coronavirus ralentit dans le monde entier, sauf en Asie du Sud-Est et en Méditerranée orientale, a fait observer mardi l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
« Plus de 1,7 million de nouveaux cas de Covid-19 et 39.000 nouveaux décès ont été signalés à l’OMS pour la semaine se terminant le 23 août, soit une diminution de 4% du nombre de cas et (une diminution de 12%) du nombre de décès par rapport à la semaine précédente », a déclaré l’OMS.

Plus de 23,5 millions de personnes ont été infectées par le nouveau coronavirus dans le monde dont 809.970 décès, selon un décompte établi mardi par l’OMS.
L’Asie du Sud-Est, la deuxième région la plus touchée, a fait état d’un bond représentant 28% des nouveaux cas et 15% des décès, selon le rapport. Dans la région de la Méditerranée orientale de l’OMS, le nombre de cas signalés a augmenté de 4%, mais le nombre de décès signalés a constamment baissé au cours des six dernières semaines, a ajouté l’agence onusienne. Le Liban, la Tunisie et la Jordanie ont enregistré la plus forte augmentation de cas par rapport à la semaine précédente.

Dans la région de l’OMS du Pacifique occidental, le nombre de nouveaux cas a chuté de 5%, grâce à une moindre propagation au Japon, en Australie, à Singapour, en Chine et au Vietnam. Dans le même temps, la Corée du Sud a signalé une hausse de 180% des cas, « principalement en raison d’une augmentation des cas associés à des rassemblements religieux ».
« Dans la région européenne, le nombre de cas signalés a constamment augmenté au cours des trois dernières semaines », a relevé l’OMS. « Cependant, seule une légère diminution (1%) a été signalée au cours de la semaine la plus récente, et le nombre de décès a continué à diminuer dans toute la région ».
Pourtant en Europe, tous les pays ne signalent pas une baisse. Par exemple, l’Espagne a signalé une augmentation de 200% du nombre de décès la semaine dernière par rapport à la semaine précédente. « Alors que les pays de la région continuent de signaler une recrudescence des cas, plusieurs pays ont fait état de nombres records au cours des sept derniers jours, notamment la Croatie, la Tchéquie, la Pologne, la Moldavie et l’Ukraine », a poursuivi l’agence onusienne.

Sur le continent africain, le nombre de cas et de décès signalés a diminué de 8% et 11% respectivement au cours de la semaine dernière.
Malgré la diminution globale du nombre de cas dans la région Afrique de l’OMS, l’Ouganda a enregistré une augmentation de plus de 300%. L’agence onusienne l’explique par une transmission communautaire intensive, qui a été signalée dans la capitale Kampala, en particulier dans les zones de Makindye, Nakawa et Kawempe.
A l’image de Kampala, l’Éthiopie a continué à faire état d’une augmentation du nombre de cas et de décès. De même, la Namibie et le Nigéria ont fait état d’une augmentation de 55% et de 19% du nombre de cas respectivement.

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Le Secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo a indiqué mardi que les États-Unis étaient “profondément préoccupés” par les conclusions préliminaires des experts médicaux allemands sur un possible empoisonnement de l’opposant russe Aleksey Navalny.
“Si ces rapports se révèlent exacts, les États-Unis soutiennent l’appel de l’Union européenne en faveur d’une enquête approfondie et se tiennent prêts à contribuer à cet effort”, a souligné M. Pompeo dans un communiqué.
Moscou a jugé hâtives les conclusions des médecins allemands évoquant «une piste parmi d’autres».
“La famille de M. Navalny et le peuple russe méritent qu’une enquête complète et transparente soit menée et que les personnes impliquées soient tenues de rendre des comptes”, a estimé le chef de la diplomatie américaine.
Les médecins en Allemagne, où M. Navalny est soigné, ont annoncé qu’il avait “probablement” été empoisonné, suscitant les critiques de Moscou qui a soutenu qu’aucune substance toxique précise attestant d’un crime n’a été identifiée.
M. Navalny est tombé malade sur un vol de Tomsk à Moscou jeudi dernier. Ses partisans soupçonnent que du poison a été placé dans sa tasse de thé à l’aéroport de Tomsk.

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L’Assemblée nationale du Burkina Faso a procédé, mardi, à l’amendement du Code électoral de telle sorte que les scrutins présidentiel et législatif, prévus en novembre, soient validés même s’ils ne peuvent pas se tenir sur tout le territoire burkinabé.

“En cas de force majeure ou de circonstance exceptionnelle entraînant l’impossibilité d’organiser les élections sur une partie du territoire national, l’élection est validée sur la base de la partie non affectée par la force majeure ou la circonstance exceptionnelle”, selon le nouveau code électoral.

“Cela va nous permettre d’avoir des élections apaisées à travers des instruments juridiques qui protègent le scrutin et les résultats qui vont en sortir”, a réagi le ministre de l’administration territoriale, Siméon Sawadogo.

Lors de la révision des listes électorales, une partie de 7% du territoire national n’a pas été couverte par les organes de la commission électorale nationale indépendante (CENI) en raison de la menace sécuritaire, selon des chiffres officiels.

Le Burkina Faso qui organise des élections législatives et présidentielle le 22 novembre, est confronté depuis 2015 à des violences jihadistes, ponctuées de conflits intercommunautaires, qui ont fait au moins 1.100 morts et contraint près d’un million de personnes à fuir leurs foyers.

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La 55ème Assemblée annuelle de la Banque africaine de développement et la 43ème réunion du Conseil des gouverneurs du Fonds africain de développement (FAD) ont débuté ce mercredi 26 août 2020 à Abidjan, en Côte d’Ivoire.

Dans son discours d’ouverture, le président de la République de Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, a souligné le contexte particulier de ces Assemblées annuelles marquées par la pandémie de Covid‑19. Il a magnifié le soutien déterminant de la Banque pour son pays et les autres membres régionaux : « C’est l’occasion pour moi de saluer la Banque africaine de développement, son président et son Conseil d’administration, pour le soutien sans faille exprimé en ces moments difficiles aux Etats africains. En effet, la facilité de réponse au Covid‑19 de la Banque, a permis de financer et de soutenir les pays africains dans la mise en œuvre rapide des plans de lutte contre la pandémie. »

Le président Ouattara s’est par ailleurs félicité de la « grande capacité d’adaptation dont la Banque a su faire preuve en poursuivant ses opérations et en fonctionnant en mode virtuel, depuis le mois de mars 2020 », mais également du travail accompli par le président Adesina « qui a su poursuivre avec succès l’œuvre de transformation de la Banque africaine de développement et lui donner une grande crédibilité et une notoriété dont nous pouvons être fiers ».

Les réunions se tiennent en mode virtuel en raison des contraintes liées à la crise sanitaire du Covid‑19. Un accent particulier est mis sur les réunions statutaires à huis clos des gouverneurs de l'institution et sur l'élection du président du Groupe de la Banque.

Selon les estimations de la Banque africaine de développement, le continent pourrait perdre au moins 173,1 milliards de dollars de PIB en 2020 et 236,7 milliards de dollars en 2021 en raison de la pandémie. À ce jour les restrictions et mesures de confinement strictes imposées au début de la crise, et assouplies progressivement, ont causé la fermeture en masse d’entreprises et des millions de pertes d'emplois. L’objectif est donc d’amortir le choc d’une récession d’ores et déjà envisagée.

S’adressant aux participants, le président de la Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina, s’est félicité de l’excellente qualité des relations entre son institution et la Côte d’Ivoire, pays hôte du siège de la Banque, dont il a salué les bonnes performances économiques. « À cause de la pandémie, l’Afrique a perdu plus d’une décennie des gains réalisés en matière de croissance économique. La reprise sera longue et difficile pour l’Afrique. Nous devons maintenant aider le continent à se relever, avec audace, mais aussi avec intelligence, en accordant une plus grande attention à une croissance de qualité : la santé, le climat et l’environnement. », a-t-il ajouté.

Dès le mois d’avril, la Banque avait réagi rapidement, par une série de mesures vigoureuses, pour soutenir et accompagner ses pays membres régionaux, face à la pandémie. Ainsi, la Facilité de réponse au Covid‑19, dotée d'un montant de dix milliards de dollars, a été lancée. La réponse, à la mesure de la crise, a atteint une échelle continentale. De l’Afrique du Nord à l’Afrique australe, l’appui de la Banque pour renforcer la résilience des pays membres régionaux a été massif.

Les entités régionales ont été soutenues, comme la CEDEAO en Afrique de l’Ouest, à hauteur de vingt-deux millions de dollars, pour le renforcement des systèmes de santé de pays à faible revenu, ainsi que la CEMAC, en Afrique centrale. Il en a été de même pour les pays du G5 Sahel, également soutenus par la Banque à hauteur de vingt millions de dollars.

Au-delà des aspects statutaires de ces assises, les gouverneurs de la Banque africaine de développement, issus des 54 pays membres africains régionaux et des 27 pays membres non régionaux de la Banque, mettront l’accent sur les acquis de la réponse à la pandémie, qui aideront à bâtir une Afrique post-Covid‑19 véritablement résiliente.

Madame Nialé Kaba, ministre du Plan et du développement de Côte d’Ivoire et présidente du Conseil des gouverneurs de la Banque a pour sa part souligné que la pandémie constituait, malgré tout, une opportunité pour « relever le défi de la digitalisation de nos économies ». Elle a encouragé la Direction de la Banque « à apporter un appui substantiel aux pays africains individuellement et collectivement afin de renforcer l’infrastructure numérique nationale et régionale pour une connectivité plus grande. »

Les Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement ont réuni des délégués, notamment des ministres des Finances, des gouverneurs de banques centrales, des décideurs politiques, des organisations de la société civile, des dirigeants d'organisations internationales et des représentants clés de l'industrie et du secteur privé.

Le 27 août 2020, les gouverneurs voteront pour l’élection du huitième président de la Banque. Akinwumi Adesina, premier citoyen nigérian à occuper ces fonctions, a été élu le 28 mai 2015 pour une durée de cinq ans par le Conseil des gouverneurs de la Banque, au cours des Assemblées annuelles, qui s’étaient tenues cette année-là à Abidjan, en Côte d’Ivoire.   

Les gouverneurs de la Banque sont généralement des ministres des Finances et de l’Économie ou des gouverneurs de Banque centrale des 54 pays membres de la région Afrique et des 27 pays membres issus d’autres régions du monde. 

Dans son adresse, Akinwumi Adesina a souhaité la bienvenue à l’Irlande le 81e membre du Groupe de la Banque.

Le président Ouattara a souhaité bonne chance à Adesina, candidat unique à sa réélection.

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Le Fonds de développement de la formation professionnelle (FDFP) en partenariat avec la ConfédérationGénérale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) ont initié un projet stratégique de remise à niveau des grandes entreprises et les PME touchées dans leurs grandes majorités par la COVID-19, dénommé projet de redynamisation des entreprises.

Ce projet permettra de créer les conditions de repositionnement de 500 entreprises dont 150 grandes et 350 PME réparties sur toute l’étendue du territoire. Pour mener à bon port cet important projet, le FDFP et la CGECI ont lancé depuis le 25 juin 2020 un Appel à Manifestation d’Intérêt, afin de choisir de façon transparente et équitable les meilleurs prestataires.

 

Au terme dudit appel 188 offres ont été jugés recevables. Ce séminaire qui s’ouvre
du 24-27 Août 2020, à Grand-Bassam permettra aux différents acteurs et partenaires du FDFP de sélectionner les meilleurs profils et les meilleures offres pour la mise en œuvre du projet de redynamisation des entreprises post-crise sanitaire.

A l’ouverture du séminaire le secrétaire général, Ange Leonid Barry-Battesti n’a pas manqué de signifier le rôle capital qu’à jouer son partenaire technique, la CGECI, grâce à ses actions spécifiques d’envergure, a aidé les entreprises à résister à cette crise sanitaire.  « La CGECI constitue pour le FDFP, un partenaire incontournable, les résultats de son étude de mesure d’impact de la crise sanitaire sur les activités des entreprises ont constitué un fondement important pour notre AMI, nous en sommes reconnaissant»indique-t-il.

Ange Léonid Barry Battesti a rappelé aux séminaristes, l’intérêt qu’attache le FDFP à ses premiers Avis à Manifestation d’Intérêt (AMI). « L’impartialité et la transparence doivent être la boussole qui conduit ces travaux, le seul gage de réussite et de crédibilité du processus, je compte sur votre engagement et compétence, votre sens de l’honneur et du travail bien fait pour conduire ce projet », informe son auditoire.

Les séminaristes se tacheront d’analyser les offres, effectuer la mise en commun des résultats et sélectionner les meilleures offres afin rédiger le rapport final.Les résultats attendus: les offres analysées et classées par mérite, la mise en commun des résultats réalisés et l’obtention des meilleures offres pour atteindre les objectifs du projet, seront publiés le 27 Août 2020 à la cérémonie de clôture.

Le FDFP créé depuis 1991, contribue au développement des ressources humaines des entreprises par le financement dans le domaine de la formation en Côte d’Ivoire.

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