Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Le président du FC Barcelone, Josep Maria Bartomeu, a présenté, mardi soir, sa démission à cinq mois des prochaines élections.

“J’apparais aujourd’hui pour vous communiquer ma démission et celle du reste du comité de direction”, a souligné Bartomeu lors d’une conférence de presse tenue après la défaite du Barça 1-3 samedi contre le Real Madrid.

“C’est une décision réfléchie, sereine, conjointe et approuvée par tous mes collaborateurs”, a déclaré l’ancien dirigeant catalan, cible des critiques après une saison blanche des Blaugranas et une défaite humiliante contre le Bayern (8-2) en quart de finale de Ligue des champions.

Bartomeu a pris les commandes par intérim du Barça en janvier 2014 après la démission de Sandro Rosell, sous le coup d’une enquête judiciaire pour le transfert présumé illicite de Neymar en provenance de Santos à l’été 2013.

Il avait été élu président du club catalan en juillet avec 54% des voix, en devançant notamment Joan Laporta.

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La sélection marocaine U20 de football s’est imposée face à son homologue sénégalaise sur le score de 3 buts à 1, mardi en match amical disputé au Complexe Mohammed VI de football à Maâmoura (banlieue de Salé).

Les buts des Lionceaux de l’Atlas ont été inscrits par Mohamed Amine Sahel (31e), Montassir Lahtimi (71e) et Mohamed El Mehdi Berkaoui (90e).L’unique réalisation des Sénégalais a été signée Camara Mamadou Lamine (52e, s.p).

Il s’agit du deuxième match amical opposant les deux sélections après la première rencontre disputée samedi dernier (1-1).

syl

 
 

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La cheffe de l’opposition au Bélarus Svetlana Tikhanovskaïa s’est dite mercredi “satisfaite” de l’ampleur de la grève générale en cours dans son pays malgré une mobilisation limitée sur fond de pressions du pouvoir.

Faute d’avoir obtenu le départ du président Alexandre Loukachenko, réélu en août de façon frauduleuse selon elle, l’opposition a entamé lundi, au lendemain de l’ultimatum qu’elle avait posé, une grève générale.

Lundi, une marche d’opposition, composée principalement d’étudiants et de retraités, a notamment rassemblé près de 3.000 personnes à Minsk. Les autorités ont annoncé l’arrestation de 581 personnes au total, lors d’actions de protestation ce jour-là.

“Je dois dire que, bien sûr, tout peut être amélioré. Nous voulons que tout le pays se soulève pour cette grève générale. Mais nous sommes vraiment honorés et reconnaissants envers chaque personne, chaque travailleur qui a participé à cette grève”, a dit Mme Tikhanovskaïa.

“Je suis satisfaite de tout parce que c’est comme cela que le peuple bélarusse montre (…) qu’il est prêt à lutter contre cette dictature”, a-t-elle dit. “Je ne peux en vouloir à ceux qui n’ont pas trouvé en eux la force de faire grève (…) mais nous les attendons pour qu’ils rejoignent notre mouvement”.

L’opposante a tenu ces propos lors d’une conférence de presse numérique après un entretien, également numérique, avec la cheffe de la diplomatie norvégienne Ine Eriksen Søreide.

Mardi, des actions de solidarité et des débrayages ont de nouveau été signalés par des médias indépendants dans des établissements médicaux, d’enseignement, ainsi que dans des entreprises privées. Selon Tut.by, des ouvriers ont aussi refusé de prendre leur service dans l’usine chimique Grodnoazot, dans l’ouest du Bélarus.

M. Loukachenko a qualifié ces protestations de “menaces terroristes”.

Mme Tikhanovskaïa, qui a, elle, une nouvelle fois qualifié grévistes et manifestants de “héros”, a fait valoir “à quel point la police anti-émeutes est violente”.

“Notre grève n’a pas échoué. Nous continuons notre lutte”, a-t-elle insisté.

L’Etat bélarusse contrôlant une grande partie de l’économie, de précédentes grèves dans des usines emblématiques n’avaient pas duré, face aux intimidations et aux menaces de licenciements.

L’opposition bélarusse exige le départ de M. Loukachenko, 66 ans et au pouvoir depuis 26 ans. Depuis l’élection présidentielle contestée, le mouvement de protestation subit une pression constante des autorités. Dimanche, une nouvelle manifestation monstre a réuni plus de 100.000 personnes dans la capitale.

fm

 
 

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mercredi, 28 octobre 2020 18:38

Erdogan s'en prend à Charlie Hebdo

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a vivement critiqué mercredi une caricature de lui publiée par l’hebdomadaire satirique français Charlie Hebdo, la qualifiant d'”attaque ignoble” commise par des “vauriens”.

“Je n’ai pas regardé cette caricature (…) Il est inutile de dire quoi que ce soit au sujet de ces vauriens”, a déclaré M. Erdogan lors d’un discours à Ankara. “Ma colère n’est pas due à l’attaque ignoble contre ma personne, mais aux insultes contre le prophète”, a-t-il ajouté.

“Nous savons que la cible, ce n’est pas ma personne, mais nos valeurs”, a poursuivi le président turc.

Charlie Hebdo a publié mardi soir sur les réseaux sociaux la une de son dernier numéro, sur laquelle s’étale une caricature de M. Erdogan. Cette représentation peu flatteuse du dirigeant turc a suscité l’ire du gouvernement turc, qui a dénoncé un “racisme culturel” et promis de prendre des mesures “judiciaires et diplomatiques” en réaction.

Le parquet d’Ankara a aussi annoncé l’ouverture d’une enquête contre des responsables de Charlie Hebdo pour “insulte au chef de l’Etat”.

Ces nouvelles tensions interviennent dans un contexte de crise diplomatique entre la Turquie et la France, deux pays membres de l’Otan aux relations mouvementées.

Lundi, M. Erdogan a ainsi appelé ses concitoyens à boycotter les produits français, quelques jours après le rappel par Paris de son ambassadeur à Ankara après que le chef d’Etat turc eut mis en cause la “santé mentale” de son homologue français.

La Turquie reproche au président français Emmanuel Macron d’avoir exprimé son soutien à la liberté de caricaturer le prophète, lors d’un hommage à un enseignant français tué par décapitation pour avoir montré des caricatures de lui en classe.

fm

 
 

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AFUT (Association des Femmes Unies de Touba), Egalité, VIP, Sababougnouman, Barakagny, Lanaya, Bengueman, Binkadi… sont autres, 50 des organisations féminines de Touba et de Ouaninou ayant répondu à l’appel de leur leader, Fadiga Mariam Fofana, Présidente de la cellule chargée des organisations féminines au sein de la coordination de campagne du RHDP du Bafing.

Elles sont sorties nombreuses ce mardi 27 octobre 2020, brandissant fièrement leurs cartes d’électrices pour faire du rendez-vous du 31 octobre prochain, un véritable plébiscite en faveur du candidat Alassane Ouattara.

Mariam Fadiga Fofana, a salué  les femmes pour leur mobilisation exceptionnelle aux noms du Ministre Moussa Sanogo et de la Sénatrice Sarra Sako Fadika, les coordonateurs régionaux. Dynamique, tonique, visiblement revigorée par le nombre impressionnant de femmes, Fadiga Mariam Fofana lance : « Alassane Ouattara, est le candidat de la paix ; le candidat du développement ; le candidat des femmes. En un mot,  le meilleur des candidats. Je voudrais compter sur vous pour voter massivement notre candidat, ADO ».

M3

Bamba Lamine ancien Maire de la Commune de Touba, membre de l’équipe de campagne, a appelé à l’investissement total de toutes les femmes au sens inclusif dans la campagne électorale. « Vous êtes toutes des directrices de campagne. Amener toutes vos paires à se mobiliser le 31 octobre 2020 pour accorder la totalité des leurs suffrages au candidat Alassane Ouattara ».

Il procédera ensuite, à une démonstration du processus de vote. Une simulation suivie d’exerces pratiques pour permettre aux participantes de maîtriser les différentes étapes du vote dans la perspective de faire le plein de voix pour le champion du RHDP, ADO.

Au terme de la cérémonie, les vaillantes femmes sont reparties les mains chargés de présents composés de gadgets (tee-shirts, pagnes à l’effigie du RHDP), de vivres (Riz, huile, pate de tomate concentrée) plus un appui financier. Une cérémonie, tenue dans une ambiance festive entretenue par les champs élogieux à l’endroit du candidat Alassane au refrain du « Un coup KO ».

Karamoko Yahaya

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Suite aux délibérations des Conseils d’Administration d’Orange Burkina Faso, Orange Libéria et Orange Money Côte d’Ivoire du 21 octobre 2020, Orange Côte d’Ivoire annonce la nomination de deux membres de son comité de Direction, à la tête des filiales Orange Libéria et Orange Money Côte d’Ivoire.

Ces nominations prennent effet à compter du 1er Novembre 2020. Jean Marius Yao, qui a porté avec succès le développement des services financiers mobiles d’Orange Côte d’Ivoire via l’offre Orange Money, est nommé Directeur Général d’Orange Libéria. Fort de son expérience à la tête d’Orange Money Côte d’Ivoire depuis près de six ans, il aura pour principale mission de poursuivre la dynamique de développement d’Orange Libéria et maintenir son leadership sur le marché libérien.

Jean Marius Yao est diplômé de l’ESCA. Depuis 2014, il a successivement occupé les postes de Directeur Projets et Orange Money puis Directeur Général Orange Money Côte d’Ivoire. M. Yao Jean Marius remplace à ce poste M. Mamadou Coulibaly, qui est le nouveau Directeur Général d’Orange Burkina Faso. Mariame Diaby épse Touré, précédemment Directrice de Cabinet du Directeur Général d’Orange Côte d’Ivoire, est nommée Directrice Générale d’Orange Money Côte d’Ivoire. Elle aura à charge de relever les principaux challenges liés à l’inclusion financière, à la conformité et à l’amélioration de l’expérience client de l’ensemble des activités de mobile money, qui demeure l’un des principaux axes de diversification du plan stratégique d’Orange Côte d’Ivoire. Mme Mariame Touré est diplômée de l’Institut National des Télécommunications de l’Université Lyon II Lumière et a exercé en tant que Conseiller Technique du Ministre en charge du Budget avant de rejoindre Orange Côte d’Ivoire en 2018 en tant que Directrice de Cabinet.

Pour Mamadou Bamba, Directeur Général d’Orange Côte d’Ivoire : « C’est pour moi l’occasion de remercier Mariame et Jean Marius pour l’excellent travail réalisé chacun à leur niveau. Forts de leurs expériences réussies au sein d’Orange Côte d’Ivoire, je suis totalement confiant en leurs succès à venir, et tous mes vœux de réussite les accompagnent dans leurs nouvelles fonctions ", a-t-il déclaré.

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La médiation internationale en Guinée a “exhorté” mardi les autorités guinéennes “à lever (le) dispositif” de sécurité qui empêche l’accès au domicile du chef de l’opposition, Cellou Dalein Diallo, et au siège de son parti, après huit jours de violences qui ont suivi la réélection contestée du président sortant Alpha Condé.

La mission des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), de l’Union africaine (UA) et de l’ONU “exhorte” dans un communiqué “les autorités guinéennes à lever ce dispositif dans la perspective d’un dialogue inclusif”, au lendemain d’une rencontre avec M. Diallo à son domicile, où il affirme être séquestré depuis plusieurs jours par les forces de l’ordre.

La médiation demande en outre “aux autorités guinéennes de faire en sorte que les forces de défense et de sécurité agissent avec retenue et professionnalisme dans la gestion des manifestations”. Elle appelle aussi à des “enquêtes pour faire la lumière sur les violences afin de traduire les auteurs en justice”.

Le gouvernement guinéen a déclaré lundi soir que 21 personnes ont été tuées depuis le 19 octobre dans les violences post-électorales dont des membres des forces de l’ordre.

Les autorités avaient jusqu’à présent fait état d’une dizaine de tués, tandis que l’opposition évoque au moins 27 morts.

Lors d’une conférence de presse lundi, le gouvernement a par ailleurs indiqué que plus de 240 personnes avaient été interpellées à travers le pays depuis huit jours.

La médiation internationale a rencontré depuis son arrivée dimanche à Conakry le président Alpha Condé, des membres du gouvernement guinéen et de la Cour constitutionnelle, la commission électorale (Céni) et des ambassadeurs de pays occidentaux et africains.

Selon Amnesty International, les forces de sécurité ont fait depuis une semaine un usage excessif de la force, tirant à balles réelles contre des manifestants. L’ONG a aussi condamné les coupures d’internet.

M. Diallo, est crédité de 33,5% des votes, selon les résultats provisoires annoncés samedi par la commission électorale (Céni), contre 59,5% pour le président sortant Alpha Condé.

Le chef de l’opposition a confirmé lundi son intention d’introduire un recours contre ces résultats, entachés selon lui de fraudes massives, devant la Cour constitutionnelle.

fm

 
 

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Le procès des auteurs présumés des attentats de l’hôtel Radisson Blu et du restaurant La Terrasse en 2015 à Bamako s’est ouvert mardi dans la capitale malienne, en présence du principal accusé mais en l’absence des représentants des victimes occidentales.

Principal accusé, le Mauritanien Fawaz Ould Ahmed (ou Ahmeida), alias “Ibrahim 10”, lieutenant du chef algérien Mokhtar Belmokhtar, dont la présence était incertaine jusqu’à la dernière minute, a été amené sur le banc des accusés par des hommes cagoulés.

L’homme, né dans les années 1970 à Nouakchott, est accusé d’avoir tué avec un fusil d’assaut un Français, un Belge et trois Maliens le 6 avril 2015 dans le restaurant La Terrasse, une action pour “venger le prophète” perpétrée dans la foulée des attentats contre l’hebdomadaire français Charlie Hebdo, selon l’enquête.

Il est également soupçonné d’avoir “planifié et fait exécuter” l’attaque, le 20 novembre de la même année, contre l’hôtel de luxe Radisson Blu. Deux hommes avaient alors “tiré sur tout ce qui bouge”, tuant 20 personnes, dont 14 étrangers, avant d’être abattus.

De nombreuses parties civiles maliennes étaient présentes à l’ouverture du procès, mais nul proche de victimes occidentales.

Une retransmission par visioconférence a toutefois été mise en place.

“Il s’agit d’une retransmission en direct pour que les parties civiles françaises puissent suivre, mais en aucun cas d’un enregistrement. Seulement du direct”, a expliqué le président de la Cour.

Le procès, dont la durée n’a pas été précisée, se déroule dans les locaux de la Cour d’appel, dans le sud de Bamako. Des soldats d’élite étaient placés dans et autour du bâtiment.

Fawas Ould Ahmed est apparu vêtu d’un long boubou gris. Ses cheveux crépus et une barbe fournie cachaient sa fine balafre sur le visage.

A la question, “Avez-vous un avocat?”, il a répondu qu’il “ne le connaissait pas”. Au Mali, dans les affaires de terrorisme, de nombreux accusés se voient commettre un avocat d’office, souvent le matin même du procès.

“Ibrahim 10” a déclaré préférer s’exprimer en arabe. “Un traducteur traduira”, a répondu la cour.

Sa présence était entourée d’incertitudes, après des rumeurs ayant indiqué qu’il faisait partie des quelques 200 détenus libérés début octobre en échange de quatre otages, dont la Française Sophie Pétronin et l’homme politique malien Soumaïla Cissé.

Seul un de ses deux co-accusé était également présent à l’ouverture du procès.

fm

 
 

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En Côte d'Ivoire, la croissance démographique et l’urbanisation galopante de ces dernières années ont accru la demande en logements. Le déficit annuel est estimé à environ 400 000 unités. Pour tenter de le résorber tout en facilitant l'accès à la propriété à toutes les couches de la société, le promoteur immobilier CNE-CI TP N'SIKAN en partenariat avec l'Ordre National des Médecins de la Côte d’Ivoire (CNMCI), a invité les médecins le samedi 24 octobre 2020, à une visite des lotissements de la cité N'Sikan de Grand-Bassam.

Bâtie sur une surface de 40 hectares, la cité est situé dans la commune balnéaire de Grand-Bassam sur la nouvelle autoroute. Ellecomprend des terrains nus, des villas et des duplex de 3,4 et 5 pièces bâties sur une surface de 200 à 250 m2. Cette visite guidée de la société CNE-CI TP N’SIKAN en compagnie de la CNMCI, a consisté pour l’opérateur immobilier de présenter ses lotissements aux médecins.

Durant la visite, les médecins ont pu découvrir les lots phares de l’opérateur immobilier CNE-CI TP N’SIKAN, à savoir dans un premier temps la villa '’Le Lilipus'', une villa de 4 pièces construit sur une surface de 200 m2, ensuite la villa '’Mea’’, qui est un duplex de 5 pièces bâtie sur une surface de 250 m2, et enfin une villa basse de 4 pièces. En outre l’aménagement du site a été évoqué. Selon l’opérateur immobilier la cité comprendra une piscine, une salle de gym et une supérette.

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Selon le Directeur Général, gérant de la société CNE-CI TP N’SIKAN, KouaméDjella Manassé, toutes les garanties sont prises pour assurer la viabilité, la transparence et la crédibilité du projet. En effet, selon lui, « les médecins n’ont rien à craindre », puisque la société est agréée auprès du ministère de la Construction, du logement et de l'urbanisme, détient les titres fonciers et l’arrêté de concession définitive (ACD). De plus, selon le gérant les maisons sont prêtes et n'attendent que les acquéreurs.« Pour ceux qui sont désireux d'acquérir un logement le lundi, on peut passer chez le notaire le mardi et sur la base de l'acquisition de l'ACD, il rentre en possession de sa propriété immobilière », a rassuré KouaméDjella Manassé.

Partenaire sur ce projet, l'ordre des médecins représenté M. Adon Serge, directeur commercial et marketing, a tenu à rassurer les médecins sur le sérieux du l’opérateur immobilier. « Nous avons pris le temps de vérifier si le promoteur disposait de tous ses documents nécessaires pour la réalisation d’une opération immobilière crédible. Nous nous sommes renducompte que la société disposait de ces documents. Nous n'avons pas de crainte », a dit M. Adon Serge.

Dans la foulée, il a aussi rassuré les médecins sur la garantie des souscriptions. Selon lui, les souscriptions se feront à travers un fonds séquestre de la CNMCI. « Les souscriptionsn'iront pas directement dans les poches de l’opérateur mais dans les caisses de l'ordre. C’est à la livraison du logement que les fonds seront décaissés et le médecin pourra rentrer en possession de son bien immobilier », a dit M. Adon Serge qui a par ailleurs invité les médecins à saisir cette opportunité pour s'offrir une maison de haut standing.

Le coût des maisons vont de 49 millions à 74 millions avec en prime un apport initial de 5 millions de FCFA.

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Le Gouvernement ivoirien, avec l’appui de la Banque africaine de développement (BAD), a décidé d’apporter un « appui à la mise à niveau des entreprises industrielles » dans le cadre du Projet d’appui au renforcement de la compétitivité du secteur industriel (PARCSI).

Réunis, les 21 et 22 octobre 2020 à Grand-Bassam, les acteurs de la filière ananas ont pris part à une formation sur divers modules notamment l’« Itinéraire technique innovant de l’ananas » et l’« hygiène en plantation, à la récolte, à la station de conditionnement et dans les unités de transformation ».

Cette formation a permis de renforcer les capacités des producteurs et des unités de transformation de la filière Ananas. Elle leur a permis de maitriser les techniques d’amélioration de la productivité, la chaine de valeurs de la production de la matière première à la commercialisation du produit mais également l’hygiène à toutes les étapes de production et de transformation.

Le PARCSI a pour objectif principal de soutenir la compétitivité industrielle par l’adaptation des entreprises ivoiriennes à l’ouverture des marchés dans le cadre des accords de libre-échange, et l’augmentation de leur contribution à la création de richesse et d’emplois.

La filière fruits et légumes occupe une place importante dans l’économie Ivoirienne, mais elle est marquée par un manque à gagner. La part commercialisée se répartit entre l’exportation, la commercialisation locale et la transformation. En plus de l’exportation, une partie de la production est transformée (soit industriellement soit de manière artisanale) en jus, etc.

Les producteurs dans leur ensemble ne maîtrisent pas parfaitement ni les itinéraires techniques ni les programmes de production qui tiennent compte des exigences de l’exportation, faute de formation, explique-t-on.

AIP

 

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