Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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vendredi, 11 septembre 2020 13:51

Coupes Africaines: Voici les nouvelles dates

Le comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF) a décidé de reporter la demie finale de la Ligue des Champions africaine et la finale de la Coupe de la Confédération de la CAF.

Les demi-finales de Ligue opoosant Al Ahly-Wydad Casablanca et Zamalek-Raja Casablanca sont programmées pour les 17-18 octobre (matchs aller au Maroc) et les 23-24 octobre (matchs retour en Egypte). La finale aura lieu le 6 novembre.

Le final pour de la Coupe de la Confédération africaine de football a été décalée aux 19 et 20 octobre à Rabat.

Le club égyptien Pyramides affrontera les guinéens de Horoya Conakry, alors que l’autre demi-finale opposera la Renaissance de Berkane au Hassania Agadir. La finale aura lieu le 25 octobre.

 syl
 

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Au cours d’une rencontre avec le Président de la République, Alassane Ouattara, le jeudi 10 septembre 2020, les cadres, élus, chefs traditionnels et guides religieux de la Région du Moronou, lui ont exprimé leur reconnaissance pour les actions de développement qui ont changé qualitativement le visage de leur localité.
 
« Le peuple du Moronou vous est reconnaissant, non seulement pour avoir réussi la transformation structurelle et durable de notre pays, mais surtout pour avoir placé notre région sur une trajectoire de développement avec toutes les infrastructures que vous avez déjà réalisées et celles que vous ne manquerez pas de faire après votre visite », a dit le sénateur Konin Aka, porte-parole des cadres et élus du Moronou.
 
Pour lui, le Président Alassane Ouattara est « un bâtisseur et l’architecte du changement qualitatif de la Côte d’Ivoire». Le sénateur a, au nom des populations de la région, salué les nombreuses infrastructures réalisées dans les différents secteurs (route, électricité santé, éducation, etc). Il s’est particulièrement réjoui de la réhabilitation des axes Bongouanou-Kotobi-Akoupé, Dimbokro-Bongouanou et Kotobi-Daoukro. Sans oublier le revêtement des voiries des chefs-lieux des trois départements (Bongouanou, Arrah et M’batto). « Le visage du Moronou a changé grâce à vous », a-t-il dit.
Pour sa part, le Révérend N’zué Comoé, représentant le Forum des guides religieux du Moronou, a prié pour que Dieu assiste davantage le Président afin qu’il puisse poursuivre le développement du pays et son repositionnement dans le concert des Nations.
 
Alassane Ouattara s’est dit honoré par la qualité de l’accueil qui lui a été réservée. « Cette visite me tenait à cœur. Je suis impressionné par l’accueil. Nous avons senti que les populations étaient heureuses d’accueillir un fils de la région », s’est-il réjoui.
 
Il a exhorté la chefferie traditionnelle et la royauté du Moronou, les guides religieux et toute la population à promouvoir la paix dans la région et dans le pays. « La paix est le trésor le plus précieux pour nous tous. Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire est en paix. Nous devons œuvrer à ce qu’elle reste en paix. Si le pays est en paix, les jeunes pourront avoir des emplois », a insisté le Chef de l’Etat.
Le Président Alassane Ouattara est en visite d’Etat dans la Région du Moronou, notamment à Bongouanou, Arrah et M’batto, du 09 au 12 septembre 2020.
Presidence 

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vendredi, 11 septembre 2020 13:41

Afghanistan: Bientôt le début des pourparlers

Les pourparlers de paix historiques entre les talibans et Kaboul, retardés depuis plus de six mois, démarreront samedi au Qatar afin d’essayer de mettre un terme à près de 19 ans de conflit entre les deux parties en Afghanistan.

Dans un communiqué, les talibans ont annoncé jeudi être “prêts à participer à la cérémonie inaugurale des négociations interafghanes devant se tenir au Qatar (…) le 12 septembre 2020”, soit samedi.

Puis d’insister sur leur intention de “faire avancer le processus de négociation” et “d’apporter une paix globale et un système islamique pur dans le cadre de (leurs) valeurs islamiques et de (leurs) intérêts nationaux supérieurs”.

La présidence afghane, sur Twitter, a ensuite annoncé le départ vendredi pour le Doha de ses 21 négociateurs. Le chef du conseil de réconciliation, l’ex-chef de l’exécutif et candidat malheureux à la dernière présidentielle Abdullah Abdullah, représentera notamment le gouvernement afghan à la cérémonie inaugurale, a-t-elle précisé.

Donald Trump a dans la foulée fait savoir que son secrétaire d’Etat Mike Pompeo quitterait dès jeudi soir Washington “pour un voyage historique à Doha”.

“Nous nous entendons très bien avec les talibans”, a assuré au passage le milliardaire républicain, qui s’efforce d’afficher un bilan de “faiseur de paix” à moins de deux mois de la présidentielle du 3 novembre aux Etats-Unis, malgré ses revers dans les plus graves crises internationales de son mandat.

Avant de partir, Mike Pompeo a appelé les belligérants à ne pas “gâcher” cette “occasion historique” de mettre fin à la guerre en Afghanistan, démarrée de fait il y a plus de quarante ans par l’invasion soviétique de décembre 1979, puis relancée par l’intervention américaine pour renverser les talibans alors au pouvoir à Kaboul et pourchasser Al-Qaïda après les attentats du 11 septembre 2001.

“J’exhorte les négociateurs à faire preuve du pragmatisme, de la retenue et de la flexibilité nécessaires pour que ce processus soit couronné de succès”, a-t-il dit dans un communiqué.

Prévus en mars, les pourparlers de paix, inédits entre les deux camps, ont été reportés régulièrement du fait de désaccords persistants autour d’un échange de prisonniers: quelque 5.000 talibans contre un millier de membres des forces afghanes.

Cette disposition, inscrite dans un accord américano-taliban signé en février au Qatar, qui entérine le retrait des troupes étrangères d’Afghanistan d’ici mi-2021, a dès le départ suscité l’hostilité de Kaboul, non-signataire du texte.

Les autorités afghanes ont particulièrement renâclé à relâcher les 400 derniers insurgés, accusés ou condamnés pour des crimes graves, qu’ils ont fini par libérer la semaine dernière, à l’exception d’une poignée de détenus.

Six d’entre eux ont quitté jeudi soir le sol afghan dans un avion spécial à destination du Qatar, a-t-on appris auprès de deux sources talibanes et d’une source gouvernementale afghane.

“Il y a quelques instants, les six frères (…) sont arrivés en bonne santé au Qatar”, a tweeté Mohammad Naeem, un porte-parole taliban.

Plusieurs pays, dont l’Australie et la France, s’opposent à la libération de ces prisonniers, coupables d’avoir tué leurs ressortissants en Afghanistan.

L’un d’entre eux est un ex-soldat afghan accusé d’avoir abattu cinq soldats français et d’en avoir blessés 13 autres en 2012. Un autre, également un ancien militaire, a tué trois soldats australiens.

Les deux assassins de Bettina Goislard, employée onusienne française tuée en 2003, ont de leur côté été libérés jeudi dans la province du Wardak, proche de Kaboul, ont déclaré deux sources talibanes. Une information non confirmée par les autorités.

Le ministère français des affaires étrangères a exprimé jeudi “sa plus ferme opposition à la libération d’individus condamnés pour avoir commis des crimes contre des ressortissants français, en particulier des soldats et des travailleurs humanitaires”.

Les Etats-Unis, à la tête d’une coalition ayant chassé les talibans du pouvoir fin 2001, n’ont cessé de pousser pour que s’achève l’échange de captifs et que démarrent les négociations.

Le président Trump, qui a promis de “mettre fin aux guerres sans fin” et notamment au plus long conflit de l’histoire de son pays, veut en effet rapatrier au plus vite l’ensemble de ses troupes d’Afghanistan. Une grande partie des démocrates disent aussi vouloir quitter l’Afghanistan, tandis qu’une frange néoconservatrice du camp républicain met en garde contre les risques d’un retrait précipité.

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vendredi, 11 septembre 2020 13:38

L'UE renforce le lutte contre la désinformation

La vice-présidente de la Commission européenne chargée des valeurs et de la transparence, Vera Jourová, a appelé jeudi les plateformes en ligne à déployer davantage d’efforts en vue de renforcer la lutte contre la désinformation.

“Les plateformes doivent être plus responsables et rendre des comptes; elles doivent devenir plus transparentes”, a souligné Mme Jourová à l’occasion de la publication d’une évaluation de la mise en oeuvre du code de bonnes pratiques de l’UE contre la désinformation, lancé en 2018.

De son côté, Thierry Breton, commissaire européen au marché intérieur, a insisté que la lutte contre la désinformation est une responsabilité partagée, que le secteur des technologies et de la publicité doit pleinement assumer, notant que le code de bonnes pratiques constitue un outil unique permettant à l’Europe de défendre fermement ses intérêts et ses valeurs.

Selon la Commission européenne, l’évaluation du code de bonnes pratiques a montré qu’il s’agit d’un “instrument très précieux, le premier du genre dans le monde”, et a fourni un cadre pour un dialogue structuré entre les parties prenantes concernées afin de garantir une plus grande transparence des politiques adoptées par les plateformes pour combattre la désinformation au sein de l’UE.

Dans le même temps, relève la Commission, l’évaluation met en évidence certaines carences provenant principalement du fait que le code repose sur l’autorégulation. Par ailleurs, ajoute-t-on, la qualité des informations divulguées par les signataires du code reste insuffisante et des lacunes limitent l’efficacité du code.

Les plateformes en ligne signataires du code de bonnes pratiques de l’UE contre la désinformation sont Google, Facebook, Twitter, Microsoft, Mozilla et, depuis juin 2020, TikTok.

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Le négociateur européen pour le Brexit, Michel Barnier, a indiqué jeudi que des divergences “significatives” persistent entre Bruxelles et Londres dans les négociations sur leur futur partenariat.

“Des différences significatives subsistent dans des domaines essentiels pour l’UE”, a souligné M. Barnier dans un communiqué publié à l’issue du huitième cycle des pourparlers post-Brexit, qui a eu lieu cette semaine à Londres.

Selon le négociateur européen, l’UE a fait preuve de “flexibilité” pour trouver des solutions qui respectent pleinement la souveraineté du Royaume-Uni et maximiser les chances de parvenir à un accord, “cependant, de son côté, le Royaume-Uni ne s’est pas engagé de manière réciproque sur les principes et intérêts fondamentaux de l’UE”.

“Le Royaume-Uni refuse d’inclure les garanties indispensables de concurrence loyale dans notre futur accord, tout en demandant le libre accès à notre marché”, note-t-il, insistant que “pour l’UE, ses États membres et le Parlement européen, tout futur partenariat économique, quel que soit son niveau d’ambition, doit garantir une concurrence à la fois libre et équitable”.

De même, relève-t-il, “il nous manque encore d’importantes garanties de non-régression par rapport aux normes sociales, environnementales, du travail et climatiques”.

Pour M. Barnier, le Royaume-Uni ne s’est pas engagé non plus sur d’autres questions majeures, telles que des mécanismes de règlement des différends horizontaux crédibles, des garanties essentielles pour la coopération judiciaire et l’application de la loi, la pêche ou encore des conditions de concurrence équitables dans les domaines des transports et de l’énergie.

Le négociateur européen a réitéré que l’UE reste attachée à un futur partenariat ambitieux avec le Royaume-Uni, mettant en garde contre “les conséquences pratiques, économiques et sociales d’un scénario sans accord”.

Alors que la date du 31 décembre 2020, qui marque la fin de la période de transition post-Brexit, approche à grands pas, Bruxelles et Londres peinent à réaliser des progrès tangibles dans les négociations sur leur relation future après plusieurs cycles de discussions.

Faute d’accord, les échanges entre Européens et Britanniques seraient régis par les règles de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), érigeant brutalement de nouvelles barrières commerciales et causant d’importants coûts pour les entreprises importatrices des deux côtés et des retards aux frontières.

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Pékin a démenti vendredi toute volonté d’ingérence dans l’élection présidentielle américaine du 3 novembre, dénonçant des accusations “inventées de toutes pièces” du géant informatique Microsoft, qui dit avoir détecté des cyberattaques venant notamment de Chine.

“Nous n’avons aucune envie de nous ingérer là-dedans, et nous ne nous sommes jamais ingérés là-dedans”, a réagi lors d’une conférence de presse régulière Zhao Lijian, un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.

Tom Burt, le vice-président du géant informatique, a indiqué jeudi dans un blog avoir détecté ces dernières semaines des cyberattaques venant de Russie et de Chine. Elles auraient visé des personnes et organisations liées à la préparation de l’élection.

Des tentatives de piratage, sans succès, en provenance du territoire chinois, auraient visé directement des personnalités politiques comme le candidat démocrate Joe Biden et une personne “autrefois associée” à l’administration du président Donald Trump.

Un groupe chinois baptisé Zirconium aurait ainsi opéré près de 150 fois entre mars et septembre 2020.

“Microsoft ne devrait pas inventer des faits de toutes pièces, ni se servir de la Chine pour créer des polémiques”, a martelé Zhao Lijian, avant de se livrer à un réquisitoire contre les Etats-Unis.

“Depuis longtemps, le gouvernement et les entreprises américaines enfreignent les lois internationales” afin de “mener des cyber-vols, des surveillances et des attaques” contre des gouvernements, des entreprises et des particuliers étrangers, a déclaré M. Zhao.

“Les Etats-Unis sont le véritable empire du piratage, de la mise sur écoute et de l’espionnage”, a-t-il accusé, citant l’affaire Snowden ou le système d’interception des communications Echelon.

A l’approche de la présidentielle américaine, Facebook et Twitter ont multiplié les efforts pour préserver leurs plateformes des campagnes de manipulation et de désinformation, notamment étrangères, et éviter de répéter les scandales du scrutin de 2016.

saj

 
 

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vendredi, 11 septembre 2020 13:27

Dialogue Libyen : vers un accord

Les délégations du Haut Conseil d’Etat libyen et du parlement de Tobrouk ont annoncé, jeudi à Bouznika, au terme de leurs réunions dans le cadre du dialogue libyen, qu’elles sont parvenues à un accord global sur les critères et les mécanismes transparents et objectifs pour occuper les postes de souveraineté.

Les deux parties ont également convenu de poursuivre ce dialogue et de reprendre ces réunions durant la dernière semaine de ce mois afin d’achever les mesures nécessaires qui garantissent l’application et l’activation de cet accord, indique le communiqué final conjoint lu par Driss Omran de la Chambre des représentants libyenne, en présence du ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita.

Les deux parties au dialogue ont appelé l’ONU et la communauté internationale à soutenir les efforts du Maroc visant à réunir les conditions adéquates et à créer un climat propice pour parvenir à une solution politique globale en Libye, renouvelant leurs remerciements et leur gratitude au Royaume et à Sa Majesté le Roi Mohammed VI pour le soutien et l’assistance afin de surmonter la crise libyenne et réaliser les espoirs du peuple libyen et ses aspirations à bâtir un Etat civil et démocratique qui jouit de la paix, de la sécurité et de la stabilité.

Elles ont aussi affirmé que leurs réunions, qui se sont déroulées dans “une atmosphère amicale et fraternelle marquée par la compréhension et le consensus”, interviennent suite à leur conscience de la situation actuelle du pays, à différents niveaux, une situation extrêmement dangereuse menaçant la sécurité, l’intégrité territoriale et la souveraineté de l’Etat, née des interventions étrangères négatives qui ravivent les guerres et les alignements régionaux et idéologiques.

Les deux parties ont de même souligné que ces réunions interviennent en application de l’article 15 de l’accord politique libyen conclu à Skhirat et en confirmation des conclusions de la conférence de Berlin soutenant la solution politique et sur la base des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité et s’expliquent par leur conscience des répercussions dangereuses nées de la division politique et institutionnelle qui a fait que le citoyen a perdu confiance en le rôle des institutions législatives, exécutives et de contrôle en raison des mauvaises conditions de vie à tous les niveaux.

saj

 
 

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Le Président de la République, Alassane OUATTARA, a animé un meeting à Arrah, ce jeudi 10 septembre 2020, au 2e jour de sa Visite d’Etat dans la région du Moronou.
 
Le Chef de l’Etat a fait le bilan des réalisations dans le Département d’Arrah depuis 2011, notamment dans les domaines de la santé, de l’éducation, de l’électrification rurale, de l’hydraulique et de l’entretien routier.
 
Le Président de la République a, enfin, lancé un appel pour des élections apaisées et a exhorté les populations d’Arrah à l’entente, à l’union, à la préservation de la paix et de la cohésion sociale.
Primature 

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Dans le cadre de la visite d'Etat qu'il effectue du 9 au 12 septembre dans la Région du Moronou, le Président de la République, Alassane Ouattara, a procédé ce mercredi 9 septembre à la mise sous tension du village de Nanan Assouakro dans la sous-préfecture de Bongouanou.

D'un coût de plus de 84 millions de FCFA, cette mise sous tension permettra de sortir une population d'environ 800 habitants de l'obscurité. " Aujourd'hui est un jour spécial pour notre village. En plus de recevoir pour la première fois un Chef de l'État, celui-ci vient nous sortir des ténèbres, avec cette électrification. Nous pourrons maintenant entreprendre des activités génératrices de revenus", a dit la présidente des femmes de Nanan Assouakro,Tanoh Asso.

Pour Thierry Séa, un jeune de la localité, l'électrification de Nanan Assouakro va ouvrir une nouvelle ère pour les populations. " La vie que nous avons menée des décennies durant dans l'obscurité et avec des lampes tempêtes est aujourd'hui derrière nous. Nous sommes heureux de bénéficier désormais des commodités liées à l'électrification. Nous disons merci au Président Alassane Ouattara ".

De 2012 à 2020, ce sont quatre nouvelles localités qui ont été raccordées, portant le nombre de localités électrifiées à 37 sur 43 dans le département de Bongouanou, soit un taux de couverture de 86,5%. Les six (6) localités restantes seront prises en compte dans le cadre du Programme National d'Électrification Rurale (PRONER) du Président de la République qui vise l'électrification des villages de plus de 500 habitants.

Ces travaux d'électrification ont coûté près d'un milliard de FCFA et généré plus de 300 emplois temporaires dans le département. 
 
 CICG
 
 

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jeudi, 10 septembre 2020 14:32

Les JO auront lieu en 2021

Les Jeux olympiques doivent avoir lieu l’année prochaine “par tous les moyens”, a déclaré mercredi la gouverneure de Tokyo, Yuriko Koike, malgré la pandémie du coronavirus.

La déclaration de Mme Koike intervient après celle du vice-président du Comité international olympique (CIO), John Coates, selon qui les Jeux de Tokyo, initialement prévus en 2020, se dérouleraient en 2021 “avec ou sans” Covid-19.

“Les athlètes traversent de grandes difficultés en raison du report d’un an, étant donné que leur condition physique et leur motivation” étaient tournées vers cet été, a déclaré Mme Koike, lors d’un événement organisé à Tokyo.

“Nous devons aller de l’avant avec les Jeux de l’été prochain par tous les moyens”, a-t-elle insisté, précisant que la ville de Tokyo va “mettre en œuvre toutes les mesures possibles” pour garantir la sécurité de l’évènement.

Mardi, la ministre japonaise des Jeux olympiques a également déclaré que les JO devraient avoir lieu l’année prochaine.

Les JO de 2020 ont été reportés en raison de la pandémie. Ils doivent s’ouvrir le 23 juillet 2021.

syl

 
 

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