Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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Les investissements des banques publiques de développement devraient cibler les femmes qui ont un rôle majeur à jouer dans le développement du continent. Akinwumi A. Adesina, président de la Banque africaine de développement (https://www.AfDB.org/) a pris part ce matin à la conférence de presse du Sommet « Finance en commun », organisé les 11 et 12 novembre 2020, en marge du Forum de Paris pour la paix. S’exprimant aux côtés de Rémy Rioux, directeur général de l’Agence française de développement, Adesina a défini les grandes priorités de l’Afrique à l’ère post-Covid-19 : financer l’infrastructure, créer des emplois et investir dans les femmes.

Pour Akinwumi A. Adesina, même si l’Afrique est durement impactée par la crise du Covid‑19, le sursaut collectif des banques publiques de développement manifesté lors du sommet « Finance en commun » permet d’inverser la tendance.

L’Afrique risque en effet de perdre 173 à près de 237 milliards de dollars américains de produit intérieur brut rien qu’en 2020–2021. Conséquence directe, quelque 48 millions de personnes pourraient tomber dans l’extrême pauvreté et 30 millions de personnes pourraient perdre leurs emplois dans un continent qui accuse des retards importants de développement sur le reste du monde, aggravés par un endettement important qui pourrait s’alourdir si rien n’est fait.

Si les banques publiques de développement harmonisaient effectivement leurs approches et leurs programmes dans la lignée de leur engagement durant le Sommet « Finance en commun », leur volume de prêt cumulé de 2,3 trillions de dollars par an leur permettrait de combler 92 % du différentiel de financement des Objectifs de développement durable (ODD). Encore mieux, prédit Adesina : « Si ces ressources sont bien exploitées, en impliquant le secteur privé et en les alignant sur l’agenda climatique, nous pouvons non seulement atteindre les ODD mais également les dépasser, et il en va de même pour l’agenda climatique. »

La coopération internationale est d’autant plus pressante que l’Afrique revient de loin, avec un déficit de financement de l’infrastructure situé entre 68 et 108 milliards USD par an, un montant que le secteur public seul ne saurait mobiliser.

Ces investissements doivent être toutefois soucieux de l’environnement, préconise Adesina. Cependant, en dépit des besoins énormes en énergie de l’Afrique, nous devons investir dans les énergies propres, car « le futur réside dans les énergies renouvelables », a-t-il lancé, citant l’ambitieux programme Desert to Power doté de 20 milliards de dollars pour produire 10 000 MW d’énergie solaire au Sahel.

La crise du Covid‑19 a également montré l’impérieuse nécessité pour l’Afrique de bâtir des systèmes sanitaires efficients, sans oublier d’autres secteurs tout aussi vitaux comme les TIC, l’eau potable et l’assainissement, le transport.

Tous ces efforts seraient vains, prédit toutefois Adesina, s’ils n’étaient pas générateurs d’emplois pour les jeunes et d’opportunités économiques pour les femmes. « Quoi que nous fassions, nous devons être guidés par l’impérieuse nécessité de créer des emplois durables pour la jeunesse africaine, dont l’avenir réside en Afrique, pas ailleurs », a martelé Adesina.

Adesina a ainsi salué l’engagement pris par les banques publiques de développement pendant le sommet FIC à mettre l’égalité de genre au centre de leurs stratégies. Les investissements des banques publiques de développement devraient cibler les femmes qui ont un rôle majeur à jouer dans le développement du continent.

L’Initiative pour favoriser l’accès des femmes au financement en Afrique (AFAWA), lancée par la Banque africaine de développement avec l’appui de l’Agence française de développement et du président Emmanuel Macron, vise ainsi à mobilier 5 milliards d’euros pour les femmes en Afrique.

C’est ce rôle avant-gardiste que le sommet FIC a voulu mettre en valeur, explique Rémy Rioux. « Les banques publiques de développement peuvent apporter des réponses contracycliques à court terme pour faire face à la crise, mais également développer des mesures de reprise durables qui auront un impact à long terme sur la planète et les sociétés », a-t-il déclaré. Il a également salué la dynamique collective qui est en train de se mettre en place pour favoriser l’émergence d’une réponse mondiale aux défis mondiaux.

Et c’est là tout le mérite du sommet FIC, s’est félicité Koen Doens, directeur général de la Coopération internationale et du développement à la Commission européenne. « L’impact réellement positif du sommet réside dans son inclusivité et sa large ouverture à toute une gamme d’acteurs. Cela représente pour nous un aiguillon supplémentaire pour être encore plus ambitieux dans les années à venir », a-t-il promis.

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Ivoiriennes, Ivoiriens,

En 2015, combien d’ivoiriens se sont-ils posés la question de savoir pourquoi le président Alassane Ouattara a dû se rendre (presque précipitamment) à Daoukro rencontré son ainé le président Henry Konan Bédié pour qu’ensemble ils décident de ne retenir qu’une seule candidature (la sienne) aux présidentielles de 2015 pour le compte du RHDP ? Très peu d’ivoiriens l’ont fait bien évidemment.

Aujourd’hui nous nous obligeons à mettre notre base de connaissance a disposition de tous, car nous sommes de ces rares ivoiriens qui, ne comprenant pas la démarche de cette candidature unique au RHDP à cette époque, avons entrepris de rechercher les raisons profondes qui la sous-tendait, notre radar  avait bien capté le signal émis.

Cette action de captation de signaux par notre radar, de portée hautement stratégique, a permis ainsi de comprendre mieux la situation du moment mais de bien appréhender ce qui se tramait dans l’ombre et qui fait aujourd’hui encore, la trame d’un stratagème rondement conçus et mis en œuvre par des mains obscures tapis à l’étranger et presqu’insoupçonnables, instrumentalisant certains compatriotes avides de pouvoir et d'argent.

De l’analyse des signaux captés, il en résulte qu’à cette époque déjà, une puissance étrangère (dont nous tairons le nom pour l’instant) non contente de l’attitude du président Alassane Ouattara à ouvrir la côte d’Ivoire à tout pays désireux investir en côte d'ivoire et, donner forme à sa vision du développement, de la globalisation et de la mondialisation pour le bien de son pays, a estimé que ses intérêts (ceux de la puissance étrangère) sont menacés, ainsi ; le président Alassane Ouattara devenait un homme à abattre.

Les services spéciaux de cette puissance ont élaboré à cet effet, un plan à déclinaisons multiples en vue de déstabiliser la Côte d’Ivoire.  Nous en listons quelques unes, la première centrée sur l’économie, notamment le café et le cacao (point fort du régime du président Alassane Ouattara) avec une incitation au soulèvement populaire en ligne de mire et la seconde une guerre civile qui serait orchestrée lors des élections présidentielles de 2015, le même scenarii est en cours en 2020 mais avec une criticité moindre. il faut le noter tout de même, à l’époque c'était le prétexte pour « capturer le président Alassane Ouattara » l’expression  est des services spéciaux eux-mêmes.

Le groupe de contact de ce service spécial aurait pourtant bien contacté des personnalités ivoiriennes tels qu’un ancien président de l’Assemblée Nationale aujourd’hui dans l’opposition et un ancien Ministre des Affaires étrangères de la période 2015 etc… en vue de les recruter (tamponner) comme pions locaux pour l’opérationnalité de leur plan de déstabilisation (principe de la tropicalisation du complot oblige),  l’éminent journaliste d’investigation Ivoiro-français nous en donne les prémices de ce stratagème, il en sait un peu plus sur la question nous supposons, nous recommandons d’ailleurs à chacun de visiter son blog ou sa page Facebook. Refermons ici cette parenthèse.

Il est donc démontré que quand vous êtes attaqués vous vous défendez. c’est le principe de toute action de résilience, c’est bien ce que le président Ouattara a fait en partageant avec son ainé le président Bédié le rapport l’informant de ce qu’une puissance étrangère avait concocté comme stratagème pour déstabiliser la côte d’Ivoire et l’écarter du pouvoir, c’est ce que d’autres ont appelé « le lâchage de Ouattara ».

Ainsi,  la candidature unique au RHDP, la date des présidentielles 2015 presque précipitée était la tactique la meilleure pour le président Ouattara et son ainé le président Bédié pour contrer le stratagème mis en place par la puissance étrangère et ses suppôts locaux dont nous parlions plus haut.

Ivoiriennes, Ivoiriens,

Aujourd’hui, avec le desemparentement du PDCI (version Bédié) de l’alliance politique RHDP, diverses notes stratégiques montrent avec persistance que le président Bédié se trouve être la nouvelle recrue de ce service spécial en remplacement des personnes citées plus haut qui entretemps, ont tous deux, fait échec lors de la mise en œuvre du stratagème de 2015.

L’ex président de l’assemblée nationale, Guillaume Soro est lui aussi indexé comme étant une recrue de ce service spécial, la preuve il mène des actions politiques depuis des pays européens sans être recadré, chose jamais vu en Europe.

D'autres tamponnés (termes des services de renseignement, désignant une personne en collusion avec un service secret) se feront remarquer à travers des mises en scène qu’ils appellent démission. Nous vous révélerons des noms plus tard.  

 Aujourd’hui l'on comprend mieux les raisons de cette valse de démission.

Conseil National de Transition organe subversif dont ils devraient être des membres influents.

Ivoiriennes, Ivoiriens, fiers Ivoiriens

La Côte d’Ivoire de 2020 ne peut plus se permettre d’être la république de l’immobilisme aussi, si nous voulons échapper à la dégradation voire la déstructuration de notre pays, il est plus qu’impérieux de dessiner certes une alternative qui romprait avec les discours purement démagogiques et les agitations médiatiques (facebook …) pour éclipser une sombre réalité préoccupante, qui ne fait qu’enfoncer la Cote d’ivoire dans une sinistre dérive.

L’inaction, le vandalisme, la guérilla urbaine ou rurale et l’invective ne planifient pas le développement, mais préparent la ruine de notre pays, Nous sommes dans un processus de sélection naturelle, conjugué à un monde en perpétuel changement et, le peuple ou la nation qui ne s’adapte pas, disparaîtra.

C’est pour quoi « Si le général est généreux, mais incapable de diriger, bienveillant, mais incapable de rétablir l’ordre, ses soldats, tels des enfants gâtés, seront inutiles. »: Un bon leader (Président de la république) doit être à la fois souple et rigoureux, quand il le faut. Gentillesse ou compassion ne suffisent pas, et doivent être associées à une discipline de son esprit, de ses émotions, et de ses actions. Cette discipline doit se transmettre à tous ceux qui approchent le leader (le président de la république). Merci d’avoir compris que ce général est bien Alassane Ouattara.

Malheureusement, au moment précis où nous devons opérer un changement radical de notre façon de nous apercevoir, de notre logiciel mental et de notre façon de nous projeter dans le monde qui nous entoure, la meilleure offre politique de l’opposition, se caractérise par le vandalisme, la guérilla, pendant que le parti présidentiel oppose une offre audacieuse, le moindre appel à la responsabilité est accueillis par une levée de boucliers indignée, une fin de non-recevoir, souventes fois par l’indifférence de notre opposition notamment. Ce refus global du changement peut faire très mal à la Côte d’Ivoire qui s’enliserait silencieusement et se noierait progressivement dans les labyrinthes des républiques en déshérence, et ce au profit de la puissance ordonnatrice de cette crise fabriquée de toute pièce.

La situation serait inquiétante pour la Côte d’Ivoire qui a survécu contre vents et marées à la crise post-électorale de 2010, mais beaucoup de politiciens ne semblent pas être concernés par les écueils qui menacent aujourd’hui l’avenir de la Côte d’Ivoire si les choses se passent comme ils l’entendent, seules leurs aspirations comptent.

Ce fait insinue clairement que ceux et celles qui nient le danger sont aveuglés par les actions psychologiques de manipulation du service spécial tapis dans l’ombre, par le vent de corruption et de passe-droit à grande échelle qu’ils projettent une fois au pouvoir dont ils profiteront à souhait, afin de brader les richesses du pays et gangréner ses institutions jusqu’à ce que mort s’en suivent.  Ils sont habitués à semer la pagaille, afin que la magouille leur soit toujours profitable, c’est la devise de ces politiciens qui parasitent la Côte d’Ivoire depuis son indépendance. 

Sinon c’est la raison d’être de l’état qui est remise en cause tout simplement. Aussi, il est plus que prégnant aujourd’hui, de rendre à la politique toute sa noblesse, à la démocratie son sens et sa splendeur et aux peuples de Côte d’Ivoire son droit d’avoir des droits à coté de ses devoirs avant qu’il ne soit trop tard.

Il est vrai que nous ne sommes pas au milieu d’une grave crise apparente comme celle des années 90, 2000 et 2010, mais les signaux sont tous feux allumés. La particularité de la situation actuelle, c’est que le danger ne se présente pas sous forme de précipice, mais d’une longue pente descendante, orchestrée par une force étrangère qui ne voit que ses intérêts et ne fait que faire coïncider ceux-ci avec les aspirations de certains d’entre nous (politiciens) en les incitants à s’opposer systémiquement aux tenants du pouvoir du moment.

Quoiqu’au premier coup d’œil, il ne semble pas y avoir de risque. Mais une fois amorcée, la glissade sera inexorable, fatale pour les générations futures.

Encore faut-il que nous ayons, au préalable, la lucidité et la responsabilité pour arrêter de nous bercer d’illusions afin de reconnaître l’ampleur des obstacles à surmonter et des défis à relever. Que nous prenions nos responsabilités en faisant, individuellement et collectivement, les choix qui s’imposent.

L’objectif aujourd’hui et avant tout est de sensibiliser les Ivoiriens aux défis qui se présentent à nous. Nous n’avons pas de potion magique à offrir; il nous importe, nous Ivoiriens et Ivoiriennes, d’adopter davantage le changement d’attitudes pour une participation active, lucide et responsable de tous pour affronter les problèmes auxquels notre pays est confronté sans faux-fuyants.

Est-il nécessaire encore de préciser qu’une seule certitude émerge ? : Celle qui sache mettre la Côte d’Ivoire au cœur de tous les débats, de toutes les actions et attentions.

Ivoiriennes, Ivoiriens, fiers Ivoiriens

La Cote d’ivoire a besoin d’un consensus national pour un rééquilibrage harmonieux. Il est important de rappeler qu’aucune dictature, aucune manipulation extérieure, aucune armée étrangère, n’est plus forte qu’un peuple avisé et déterminé.

En effet, face à des menaces externes qui pleuvent de partout,  de plus en plus pesantes et un danger interne encore plus menaçant, notamment les errements et louvoiements de l’opposition qui minent notre pays, le dogme de l’incompétence qui règne à tous les niveaux, les manipulations tribales et ethniques(en politique), il est inconcevable et difficilement envisageable que l’appel pour la reconstruction d’un consensus national n’ait pas encore trouvé un plus large écho dans la classe politique de l'opposition.

La construction du consensus national est l’unique alternative démocratique pour préserver l’unité nationale et l’intégrité territoriale. En fait, c’est le seul socle de la solution à toute crise.

La Côte d’Ivoire de 2020 a plus besoin de faire un consensus autour de l’indépendance de la justice, consensus autour du patrimoine (matériel et immatériel) nationale, sur les ressources foncières rurales (le président  Bédié avait presque détruit, voire le déclassement des forêts classées du GoinDebé, du Scio etc…) et agricoles, consensus autour de l’identité nationale, consensus autour d’une politique de promotion des peuples Ivoiriens, consensus sur la lutte contre la violence sous toutes ces formes, consensus sur l’égalité entre homme et femme, consensus sur le renforcement de la participation des citoyens à la prise de décision politique etc… des consensus à construire dans la société, pour elle et avec elle, car sans la société, aucune construction durable n’est possible

Après les consensus révolutionnaires qui ont libérés le pays suivant les époques d’Houphouët (1990) à Gbagbo (2010) en passant par Bédié (1999) et dans l’espoir de sortir de la torpeur actuelle que l’opposition s’échine à instaurer sans succès, il est plus qu’impératif d’envisager un consensus démocratique qui permettra d’arrêter notre avilissement avancé, éviter notre effondrement amorcé et assurer la pérennité et le développement économique et humain de notre pays. Il s’agit d’un appel à la lucidité et à la responsabilité qui passent inéluctablement par un consensus national pour le salut de la Côte d’Ivoire. Le silence et l’inaction sont confortables pour certains, mais le péril nous l’interdit. Un consensus national permettra aux Ivoiriens de prendre leur sort en main, car le peuple qui veut exister, doit s’affirmer, c'est pourquoi être allé aux urnes le 31 octobre 2020 exprimer son choix est un acte responsable.

L’espoir de faire de la Côte d’Ivoire un havre de la démocratie, de liberté intellectuelle et économique pour ouvrir les vannes de l’émergence, de l’originalité et de la créativité est une question d’intelligence individuelle et collective, l’intelligence de ne pas accepter la fatalité pour rendre possible cet espérance. L’avenir de la Cote d’ivoire n’est donc pas ce qui va arriver, mais plutôt ce que nous entreprenons ici et maintenant.

Très patriotiquement.

Le Groupement des Vétérans du Renseignement

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La Vice-secrétaire générale des Nations Unies, Amina J. Mohammed, s'adressera le mois prochain aux dirigeants africains des entreprises, des gouvernements et de la société civile lors d'un événement virtuel pour discuter des progrès accomplis sur les objectifs de développement durable en Afrique.

Making Global Goals Local Business - Africa sera convoqué le 3 décembre par le Pacte mondial des Nations Unies en collaboration avec les réseaux locaux du Pacte mondial en Afrique du Sud, au Kenya, au Ghana, en République démocratique du Congo, au Nigéria, en Tanzanie, au Maroc et dans le réseau régional de l'Océan Indien et l'Île Maurice.

L'événement en ligne d'une journée a pour thème «Unir les entreprises pour l'Afrique que nous voulons: Décennie d'action et d'opportunités» et devrait attirer des dizaines de journalistes et plus de 3 000 participants, principalement du secteur privé. Les billets sont gratuits mais l'inscription est obligatoire.

À l'occasion du 20e anniversaire du Pacte mondial des Nations Unies, fondé par l'ancien secrétaire général des Nations Unies Kofi Annan, l'événement mettra en vedette de hauts dirigeants africains, dont Célestin Mukeba, PDG d'Equity Bank Congo (RDC); Phyllis Wakiaga, PDG de l'Association kényane des fabricants (Kenya); Siddarth Ramaswamy, vice-président (chaîne d'approvisionnement), Unilever Afrique de l'Ouest; Jane Karuku, PDG, EABL (Kenya); IL. Hanna Tetteh, Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies auprès de l'Union africaine, Brahim Benjelloun, Directeur exécutif, Bank of Africa Group BMCE (Maroc), Prosper Burnson, Directeur exécutif, Green Carbon (Ghana), Richard Rushton, PDG, Distell ( Afrique du Sud), Samuel Kimeu, membre du conseil d'administration, Conseil consultatif de l'Union africaine contre la corruption; Bernard Muselet, PDG, Crédit du Maroc (Maroc), Sanda Ojiambo, PDG et Directrice exécutive, UN Global Compact, et bien d'autres encore à confirmer.

Les sessions exploreront nombre des problèmes clés auxquels les pays africains sont confrontés pour réaliser des progrès afin de se développer de manière durable dans les années à venir, y compris l'impact du COVID-19. Par exemple, la session de la Décennie d'action africaine replacera le défi du monde des affaires dans le contexte de la réalisation des ODD d'ici 2030, date limite pour les objectifs mondiaux, qui comprennent l'élimination de la pauvreté et de la faim, l'amélioration de la santé et du bien-être, l'eau potable et l'assainissement, et l'industrie, l'innovation et l'infrastructure. La session Jeunesse et Innovation mettra en vedette des entrepreneurs et des étudiants diplômés. Des séances en petits groupes avec des chefs d'entreprise comme Mme Karuku de l'EABL et M. Muselet du Crédit du Maroc aborderont l'action pour le climat: anniversaire de l'Accord de Paris et le rôle des entreprises, l'égalité des sexes et la résilience de l'eau.

En tant qu'initiative spéciale du Secrétaire général des Nations Unies, le Pacte mondial des Nations Unies est un appel aux entreprises du monde entier à aligner leurs opérations et leurs stratégies sur dix principes universels dans les domaines des droits de l'homme, du travail, de l'environnement et de la lutte contre la corruption. Lancé en 2000, le mandat du Pacte mondial des Nations Unies est de guider et de soutenir la communauté mondiale des affaires dans la promotion des objectifs et des valeurs de l'ONU grâce à des pratiques d'entreprise responsables. 

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Le gouvernement a prorogé, lundi 16 novembre 2020, la mesure de suspension des marches et autres manifestations sur la voie publique, par un arrêté du ministre de la Sécurité et de la Protection civile, ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation par intérim, Général Vagondo Diomandé, dont copie a été transmise à l’AIP.

Cette mesure vise à prévenir les troubles à l’ordre public. Les manifestations ou rassemblement de personnes, organisés par les partis et groupements politiques ou associations légalement constitués dans les lieux fixes relèvent du régime de la déclaration préalable, conformément aux dispositions légales en vigueur et demeurent soumis au droit commun dans le respect des mesures barrières édictées dans le cadre de la lutte contre la COVID-19, indique l’arrêté.

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Les 14 militaires burkinabè tombés dans une embuscade, mercredi 11 novembre 2020, ont été inhumés lundi,  au cimetière militaire du 11e Régiment d’infanterie commando (RIC) de Dori, en présence du ministre de la Défense nationale, Moumina Chériff Sy et du chef Etat-major général des armées, le général de brigade Moïse Minougou ainsi que des anciens combattants, rapporte l’Agence d’informations du Burkina Faso (AIB).

Avant d’être portés à leurs dernières demeures, les soldats tombés sur le champ de bataille, ont été décorés à titre posthume de la médaille militaire. Puis, s’en est suivi l’office religieux au cours duquel, les aumôniers militaires ont imploré Dieu pour le repos des âmes des disparus.

S’exprimant au nom des familles endeuillées, Issa Balima a signifié qu’en tant que croyant, il est convaincu que tout être humain qui nait est assez vieux pour mourir. Pour lui, il ne doute point que ce n’est qu’une série de rencontres et de séparations, selon la volonté de Dieu.

M. Balima a fait remarquer que depuis cinq ans, l’on tente par des acrobaties politico-militaires de faire accepter aux Burkinabè que l’insécurité est devenue la règle et l’insécurité l’exception.

«De deux choses l’une, soit la capacité militaire est en déca de l’ennemi dont l’identité demeure un mystère depuis cinq ans, soit les décisions politiques sont totalement en déphasage avec la réalité », s’est-il lamenté.

L’unité du détachement militaire de Tin-Akoff avait quitté Gorom-Gorom, chef-lieu de la province de l’Oudalan pour rejoindre sa base et elle est tombée dans une embuscade tendue par des hommes armés non identifiés dans le village de Beldiabé le mercredi 11 novembre 2020. Le bilan fait état de 14 soldats morts et de huit blessés, rappelle-t-on

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Le préfet du département de Kong, Soumahoro Soualiho, a mis en garde la confrérie des chasseurs traditionnels communément appelés “Dozo” contre toute ingérence dans les affaires administratives, lors de la célébration, dimanche 15 novembre 2020, de la journée nationale de la paix dans sa circonscription.

S’exprimant sur le volet sécuritaire, M. Soumahoro a décrié le comportement de certains dozos qui porte souvent atteinte à la paix et à la cohésion sociale à Kong. Selon lui, ces chasseurs traditionnels s’invitent très souvent sur la scène administrative en se substituant aux forces de l’ordre.

” Je n’accepte pas que des dozos érigent des barrages ou bien même se constituent en agent de constat de dégâts de culture alors qu’ils n’ont pas la qualité et le cursus requis pour régler ces problèmes”, a t-il dénoncé, précisant que ces cas sont récurrents pendant la saison sèche.

A l’approche de cette période, il demande l’implication de toutes les forces vives de Kong pour que de telles décisions n’empiètent pas la cohésion sociale entre les différentes communautés à Kong.

Source : AIP

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La ville de Kounahiri, dans la région du Béré, a abrité  lundi 16 novembre 2020, le 75ème anniversaire de la naissance de l’UNESCO, organisé par la Fédération ivoirienne des associations et club de l’UNESCO (FIACU), au lycée municipal de Kounahiri.

La cérémonie s’est tenue sous la présidence du préfet Célestin Wonblégnon, en présence du représentant du maire Bomisso Gérald, des enseignants du lycée municipal de Kounahiri, des chefs traditionnels, des guides religieux et les élèves.

Le président de la FIACU, Kouakou Any Bertin, a rappelé que l’institution est née dans un contexte post guerre avec pour ambition de préserver la paix dans le monde et promouvoir l’éducation, la science et la culture en combattant la guerre dans l’esprit des hommes.

Le préfet Wonblégnon a adressé des mots de félicitations à l’endroit du président de la FIACU pour  l’initiative de la délocalisation de la cérémonie à Kounahiri.

La lecture de l’acte constitutif de l’UNESCO en français, en anglais et dans les langues locales ont mis fin à la cérémonie.

AIP

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Le préfet du département de Kong, Soumahoro Soualiho, demande propriétaires terriens d’éviter l’installation anarchique des éleveurs et agriculteurs, afin de préserver la paix et la cohésion sociale.

Pour M. Soumahoro, l’installation “anarchique” des agriculteurs et éleveurs rend souvent difficile la cohabitation, et constitue potentiellement une menace à l’équilibre social.

Il s’exprimait au cours de la célébration de la journée nationale de la paix dimanche 15 novembre 2020.

“Nous avons demandé au propriétaires terriens de saisir les directions départementales de l’agriculture et des ressources animales pour ces cas. Le message semble ne pas être perçu par les propriétaires terriens. Nous allons poursuivre la sensibilisation”, a t-il affirmé.

Un cultivateur à Korowita, Ouattara Daouda, souhaite que cette mesure soit appliquée parce qu’il y a beaucoup de tensions entre agriculteurs et éleveurs. “Faisons tout pour éviter le pire”, a t-il dit.

AIP

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L’Union européenne (UE) a annoncé lundi l’allocation de 20 millions d’euros au “Programme d’appui à la réforme de la police” en République Démocratique du Congo (RDC), dans le cadre de son engagement en faveur de la paix et la sécurité en RDC.

Selon un communiqué de la Commission européenne, cette nouvelle aide porte à 60 millions d’euros le soutien total de l’UE au Programme d’appui à la réforme de la police en RDC.

“Il ne peut y avoir de développement et de croissance durable que dans un environnement pacifié. C’est pourquoi l’Union européenne renforce son appui en faveur de la sécurité, de la paix et de la stabilité en RDC. Nous soutenons donc le gouvernement de la RDC dans sa détermination à poursuivre les réformes engagées dans le secteur de la sécurité, de la défense et de la justice en respectant pleinement les droits de l’homme”, a commenté la commissaire européenne pour les partenariats internationaux, Jutta Urpilainen, citée dans le communiqué.

Ce nouveau programme d’aide européen en faveur de la RDC vise notamment l’amélioration de la mise en œuvre de la réforme et de la redevabilité de la police, le renforcement de la professionnalisation de la police et de la chaîne pénale, ainsi que l’amélioration de la gestion des ressources humaines.

Pour la période 2014-2020, l’Union européenne a apporté un soutien total de 670 millions d’euros en faveur de la République démocratique du Congo.

D’après l’exécutif européen, les secteurs prioritaires de l’aide européenne en RDC sont la santé, l’agriculture durable, l’environnement, les infrastructures et la gouvernance, y compris la défense, la police, la justice et les finances publiques.

fm

 
 

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Le Directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a prévenu lundi  16  novembre 2020 a Genève, qu’un vaccin ne suffira pas à lui tout seul à vaincre la pandémie de Covid-19, rapporte le site d’information des nations unies ( Onu.Info).

« Un vaccin à lui seul ne mettra pas fin à la pandémie de Covid-19 », a mis en garde le chef de l’OMS,  Tedros Adhanom Ghebreyesus à l’ouverture de la 147ème session du Conseil exécutif de l’OMS.

Il estime qu’un éventuel vaccin ne remplacerait pas les autres outils pour contenir la pandémie de Covid-19.

« Dès le début de la pandémie, nous savions qu’un vaccin serait essentiel pour maîtriser la Covid-19, c’est pourquoi l’OMS a proposé l’ACT-Accelerator. Mais  il est important de souligner qu’un vaccin va « compléter les autres outils que nous avons et pas les remplacer», a-t-il ajouté.

Selon lui, dans un premier temps, les quantités seront limitées et par conséquent les personnels soignants, les personnes âgées et celles à risque auront la priorité, tout en espérant que cela va faire baisser le nombre de morts et permettre aux systèmes de santé de résister »

, a souligné le Directeur général lors de la tenue du Conseil exécutif de l’OMS dont les travaux ont repris ce lundi après une interruption le 22 mai dernier en raison du coronavirus.

147ème session du Conseil exécutif de l’OMS s’est ténue lundi 16 novembre 2020 a Genève après une interruption le 22 mai dernier en raison du coronavirus.

Deux entreprises pharmaceutiques  a savoir  Pfizer et BioNTech  ont annoncé  que des données préliminaires des essais de leur vaccin en phase III montraient « une efficacité de 90% ».

 

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