Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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L’armée canadienne va apporter un soutien aérien pendant deux semaines à la province de Colombie Britannique où quelque 180 incendies font toujours rage après une vague de chaleur inédite, a indiqué dimanche le ministre de la sécurité publique Bill Blair.

Les forces canadiennes “fourniront un soutien aérien pour aider les régions touchées par les feux de forêt jusqu’au 19 juillet”, a précisé dans un tweet le ministre.

Quelque 184 feux, souvent provoqués par des éclairs, étaient toujours actifs dimanche en Colombie Britannique, dont 41 se sont déclarés dans les deux derniers jours, selon le tableau de bord du service des incendies de la province.

Une vingtaine d’ordres d’évacuation ou d’alertes d’évacuation – appelant les habitants à se tenir prêts à partir rapidement – étaient en vigueur dans la province.

L’armée contribuera à “assurer le transport aérien du personnel, des fournitures et de l’équipement vers et hors des zones touchées par les incendies en Colombie-Britannique” et aidera à “soutenir une évacuation dans une situation d’urgence si nécessaire”, a précisé la Sécurité publique dans un communiqué.

Dès vendredi, le ministre de la Défense Harjit Sajjan avait annoncé la mise en place d’un centre d’opérations à Edmonton, dans la province voisine d’Alberta, où jusqu’à 350 soldats doivent apporter un soutien logistique à la lutte contre le feu.

Au moins deux personnes ont perdu la vie dans l’incendie de la petite localité de Lytton ravagée par les flammes, les premières victimes connues des feux de forêt.

Le sinistre avait débuté mercredi, mais les autorités ont attendu de s’assurer qu’il n’y ait plus de danger, notamment de fumées toxiques, pour envoyer une équipe sur place samedi.

Une enquête a été lancée pour déterminer les causes de cet incendie.

ng

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L’Afrique connait actuellement une troisième vague de contamination du Covid-19, plus virulente que les autres, alimentée par les nouvelles souches hautement contagieuses, a mis en garde la directrice régionale de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour l’Afrique, Matshidiso Moeti.”La propagation galopante des variants plus contagieux porte la menace à un tout autre niveau en Afrique”, a averti Mme Moeti dans un communiqué, ajoutant que l’augmentation de 25% du nombre total de cas de la COVID-19 en Afrique s’explique par la transmission galopante des nouveaux variants au niveau des communautés.

Selon l’OMS, le nombre de cas de la COVID-19 en Afrique a augmenté de 25% et le nombre de décès de 15 pc pendant les six semaines consécutives de la période achevée le 26 juin.

Le variant Delta, 30% à 60% plus contagieux que les autres variants, a été enregistré dans 16 pays d’Afrique, dont neuf connaissent des flambées de l’épidémie notamment en Afrique du Sud, en Ouganda et en République démocratique du Congo.

Mme Moeti a assuré que l’OMS a fourni un soutien technique pour renforcer la capacité des pays africains à effectuer un séquençage du génome sur les nouveaux variants, ajoutant que le déploiement rapide des vaccins était essentiel pour contenir l’émergence des mutations.

Mohamed Compaoré

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La situation humanitaire dans la région du Tigré, en Ethiopie, reste “alarmante”, a déclaré vendredi devant le Conseil de sécurité, le Secrétaire général adjoint de l’ONU aux affaires humanitaires et coordonnateur des secours d’urgence.

“Deux millions de personnes sont toujours déplacées et près de 5,2 millions de personnes ont encore besoin d’une assistance humanitaire, dont la grande majorité sont des femmes et des enfants”, a déploré M. Ramesh Rajasingham, lors d’une réunion extraordinaire du Conseil consacrée à la situation au Tigré.

Le chef de l’humanitaire des Nations-Unies a relevé que l’une des tendances les plus inquiétantes est l’augmentation alarmante de l’insécurité alimentaire et de la faim due aux conflits dans la région.

“On estime que plus de 400 000 personnes ont franchi le seuil de la famine et 1,8 million de personnes supplémentaires sont au bord de la famine. Certains suggèrent que les chiffres sont encore plus élevés”, a-t-il dit.

Selon lui, 33.000 enfants souffrent de malnutrition sévère et la crise de l’insécurité alimentaire continuera de s’aggraver pendant la saison des pluies imminente, alors que les réserves alimentaires sont épuisées et que le risque d’inondations et de maladies d’origine hydrique, dont le choléra, augmente. “Considérant où nous en sommes déjà, cela signifie que davantage de personnes mourront certainement si nous ne les atteignons pas avec l’aide humanitaire”, a-t-il alerté.

Le responsable onusien a également souligné que la situation au Tigré reste aussi “une crise de protection”, précisant que le 22 juin dernier, une frappe aérienne sur un marché très fréquenté de Togoga a tué et blessé des dizaines de civils. “Ce n’est qu’une des nombreuses fois où des civils ont été tués au cours des huit mois de conflit au Tigré”, a-t-il déploré.

A ce propos, il a appelé toutes les parties au conflit à respecter leurs obligations en vertu du droit international humanitaire, rappelant que les attaques dirigées contre les civils et les attaques aveugles sont interdites.

“Les allégations de violations graves doivent faire l’objet d’une enquête approfondie et indépendante de la part de l’État, et les auteurs doivent être poursuivis quels qu’ils soient”, a-t-il plaidé.

De son côté, la cheffe des affaires politiques et de la consolidation de la paix de l’ONU, Rosemary DiCarlo, a estimé que l’Éthiopie “se trouve à un moment critique”, en ce sens que les développements récents démontrent “la nécessité de s’attaquer aux problèmes qui affligent le pays d’une manière globale et durable”. “Les conséquences de ne pas le faire pourraient être désastreuses”, a-t-elle déclaré aux membres du Conseil de sécurité.

Elle a aussi rappelé qu’après près de huit mois de conflit, le gouvernement fédéral éthiopien a annoncé le 28 juin un cessez-le-feu unilatéral au Tigré, invoquant la nécessité de faire face à la crise humanitaire dans la région. À la suite de cette annonce, la Force de défense nationale éthiopienne (ENDF) et l’Administration provisoire du Tigré se sont retirées de la capitale du Tigré, Mekelle.

“Bien qu’aucun incident grave n’ait été signalé, les services de base pour soutenir l’acheminement de l’aide humanitaire sont absents. Mekelle n’a ni électricité ni internet. Par conséquent, notre préoccupation immédiate est d’apporter une assistance urgente à ceux dans le besoin au Tigré”, a souligné Mme DiCarlo.

Déplorant que l’insécurité alimentaire n’a fait que s’aggraver ces derniers jours dans la région, la responsable onusienne a appelé à intensifier la réponse humanitaire au Tigré.

“Toutes les parties doivent garantir le passage sûr des travailleurs humanitaires pour la poursuite de la livraison de (l’aide humanitaire)”, a-t-elle plaidé, estimant qu’un cessez-le-feu observé par toutes les parties faciliterait non seulement l’aide humanitaire, mais serait aussi le point de départ des efforts politiques nécessaires pour tracer une voie de sortie de crise.

hn

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Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement a accordé, mercredi à Abidjan, un prêt de 65 millions d’euros au Sénégal destiné à renforcer la mobilisation des ressources internes, élargir l’assiette fiscale et promouvoir les réformes stratégiques pour attirer davantage d’investissements.

L’approbation du Conseil d’administration porte sur la deuxième phase du Programme d’appui à la mobilisation des ressources et à l’efficacité des réformes (PAMRER II), dont la première phase, débutée en 2019, pour trois ans, a été interrompue l’an dernier pour permettre au Sénégal de réagir à la crise sanitaire.

Dans le contexte socio-économique post-Covid-19, les deux axes du programme, à savoir, la mobilisation des ressources internes et l’élargissement de l'assiette fiscale ; et le soutien à la relance via des réformes et projets stratégiques pour l’attractivité des investissements, sont des éléments essentiels du plan de relance de l’économie sénégalaise dénommé Plan d'actions prioritaires ajusté et accéléré (PAP2A).

La phase I du programme tablait sur le lancement des réformes et la mise en place des cadres analytiques et de coordination y afférant. La phase II consolidera les acquis et portera à maturation les engagements du programme.

Cette nouvelle phase doit notamment accompagner la mise en place de cadres juridiques et opérationnels pour la transparence fiscale et l’échange automatique de données, passer des phases pilotes à une couverture notable des contribuables sur la numérisation fiscale, renforcer la transparence des mesures fiscales et cadrer le nouveau code des investissements et la politique industrielle. Elle vise à appuyer la mise en œuvre effective et efficace des Zones économiques spéciales, à adopter une nouvelle loi sur les partenariats public-privé, à élaborer une nouvelle stratégie de développement du secteur privé et une meilleure gestion des risques liés à l’endettement public.

Après avoir enregistré une croissance de 5,5% sur la période 2018-2019, l’économie sénégalaise s’est contractée de 1,5% en 2020 en raison de la pandémie. L’impact de la crise sur les recettes publiques et les dépenses engagées pour contenir les effets de la pandémie ont entraîné une augmentation du déficit budgétaire de 6,4% du PIB l’an dernier. Après avoir réagi rapidement face au Covid-19, le gouvernement a lancé un plan de relance et actualisé le Plan Sénégal émergent (PSE) via le PAP2A. La croissance devrait atteindre 3,7% cette année et 5,5% en 2022, portée par des exportations et les investissements privés dans l’exploitation des hydrocarbures, en parallèle à la reprise de la croissance mondiale.

Le programme bénéficiera à la population. En effet, une politique fiscale adaptée devrait accroître les ressources de l’État et financer les services publics pour améliorer les conditions de vie des populations ; une administration fiscale plus performante devrait baisser les coûts de transaction pour les particuliers et entreprises lors de leur déclaration d’impôts ; enfin, la mise en œuvre des réformes et projets stratégiques devraient accroître l’attractivité des investissements et stimuler la création d’emplois. Par ailleurs, les mesures pour développer le secteur privé et l’industrie s’inscrivent dans le renouveau de la politique industrielle sénégalaise également soutenue par la Banque africaine de développement via une assistance technique.

« Si les deux axes de réformes soutenus par le PAMRER, à savoir la mobilisation des recettes et l’attractivité du pays en tant que destination d’investissements, étaient importants avant la pandémie, ils sont désormais essentiels pour la relance de l’économie, mais aussi sa résilience à moyen terme. L’approbation de la deuxième phase de ce programme est une grande avancée, sachant néanmoins que les efforts doivent être maintenus et intensifiés en vue de la phase III », a déclaré Marie-Laure Akin-Olugbade, directrice générale de la Banque africaine de développement pour l’Afrique de l’Ouest.

hn

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Radisson Hotel Group et Madaëf, sont fiers d'annoncer la signature de sept hôtels au Maroc, dont quatre qui ouvriront leurs portes courant juillet, dans les destinations touristiques d’Al Hoceima, Saïdia et Taghazout. Ce nouveau portefeuille, composé d’hôtels et de résidences hôtelières, comptera plus de 1 600 chambres supplémentaires et portera à 10 le nombre d'hôtels du groupe au Maroc, accélérant la mise en œuvre de sa stratégie visant à atteindre 15 hôtels en exploitation et en développement dans le pays à horizon 2025.

Elie Younes, Executive Vice President & Chief Development Officer EMEA, Radisson Hotel Group, déclare : " Nous sommes ravis d'annoncer ce portefeuille de sept nouveaux hôtels, car il accélère non seulement notre présence croissante au Maroc, mais réaffirme également notre engagement envers le pays et son avenir. En tant que pont entre l'Europe et l'Afrique, le Maroc est la première destination touristique d'Afrique en termes d'arrivées étrangères et constitue un marché prioritaire pour notre stratégie de développement en Afrique en raison du vaste potentiel du Maroc. Nous restons engagés dans la Vision Royale du pays, la nouvelle campagne du Maroc pour promouvoir le développement du tourisme national et international. Nous tenons à remercier nos partenaires pour la confiance qu'ils accordent à nos marques et à nos équipes, et nous sommes impatients d'ouvrir ensemble ces hôtels de classe mondiale à travers des destinations clés au Maroc."

Ramsay Rankoussi, Vice President, Development, Afrique et Turquie, Radisson Hotel Group, déclare : " Ce portefeuille diversifié, composé de quatre reprise d’actifs existants et de trois nouvelles constructions, répartis entre Al Hoceima, Saïdia et Taghazout, renforce notre offre globale d’ hôtels loisirs et résidences hôtelières. En complément de nos établissements existants à Marrakech et Casablanca, ces nouveaux établissements consolident également la présence de notre marque phare Radisson Blu, ainsi que l'empreinte grandissante de notre marque Radisson en Afrique. L'ajout de ces hôtels, renforcé par l'ouverture prochaine de quatre d’entre eux, va assurément décupler et diversifier notre présence sur ce marché clé, dans lequel nous sommes impatients de continuer à nous développer rapidement."

Mamoun Lahlimi Alami, Administrateur Directeur Général de Madaëf, la société propriétaire, déclare : " Nous sommes fiers de renforcer notre position de leader dans l'investissement touristique au Maroc grâce à ce partenariat avec Radisson Hotel Group qui porte sur l’ouverture de sept hôtels dans trois destinations stratégiques à fort potentiel. Il s'agit notamment de deux nouvelles ouvertures représentant près de 600 chambres cette année à Al Hoceima et la création de 1500 emplois directs et indirects. Quatre actifs seront repositionnés avec pour objectifs la montée en gamme du produit et l’amélioration de l'expérience client, en plus d'un septième hôtel en cours de développement. Nous sommes ravis de nouer ce partenariat durable avec Radisson Hotel Group qui s’inscrit dans la nouvelle politique de gestion des actifs de Madaëf, visant à maximiser la performance de son portefeuille."

Al Hoceima, surnommée "la perle de la Méditerranée", souvent décrite comme un paradis terrestre en raison de ses nombreuses plages et de son eau bleue cristalline, est située au nord du Maroc, sur la côte méditerranéenne. Cette destination est réputée pour ses plages de sable et ses zones montagneuses, offrant une toile de fond spectaculaire à l'une des plus belles baies du pays.

Radisson Blu Resort, Al Hoceima
Le nouveau complexe hôtelier, qui ouvre ses portes ce mois-ci, comporte 432 chambres. Implanté dans un site naturel d’exception, le resort offrira à ses clients une expérience balnéaire idéale avec un accès direct à la plage et une multitude d'activités nautiques.

Radisson Blu Residences, Al Hoceima
Cette nouvelle résidence de 142 unités, qui ouvrira également ses portes ce mois-ci, comprendra des appartements contemporains d'une, deux ou trois chambres. Les résidents auront accès aux trois piscines de la résidence et pourront profiter des nombreuses installations du Radisson Blu Resort, Al Hoceima, situé à proximité.

Saïdia Resorts, est nichée dans un environnement naturel préservé, avec un arrière-pays offrant de sublimes paysages et une culture millénaire intacte.

Riche en activités, Saïdia Resorts comprend une imposante Marina de plus de 850 anneaux, 2 parcours de golf de 18 trous, un aquaparc, un centre commercial, des restaurants, des hôtels et une composante résidentielle haut standing. Baptisée la « perle bleue », la station préserve son cachet marocain. Base de départ idéale pour visiter la région, elle permet de nombreuses excursions naturelles et culturelles. Sans compter l’éventail d’activités sportives qui y sont proposées.

Radisson Blu Resort, Saïdia Beach
Le complexe de 397 chambres, qui ouvre ses portes aux clients dès ce mois-ci, est situé dans le centre de la station, à côté de la marina, et offre à ses clients des séjours mémorables avec un accès direct à la plage ainsi qu’à une vaste gamme d’équipements d’animation et de loisirs.

Radisson Blu Resort, Saïdia Garden
Avec une ouverture pour la saison 2022, ce complexe de 150 chambres rebrandées accueillera les clients avec ses chambres standards modernes et ses suites luxueuses. Les clients auront non seulement accès au centre de remise en forme, aux divers concepts et points de restauration, mais ils pourront également profiter des installations du Radisson Blu Resort, Saïdia Beach, situé à proximité.

Radisson Blu Residences, Saïdia
Avec 192 unités, comprenant des appartements et suite standards, cette résidence brandée Radisson Blu ouvrira pour la saison 2022. Elle comprendra divers concepts et points de restauration. Les clients pourront profiter des installations de bien-être de la résidence, ainsi que de celles du Radisson Blu Resort, Saidia Beach, situé à proximité.

Taghazout Bay, est une station balnéaire située sur la côte atlantique au sud-ouest du Maroc, nichée dans un arrière-pays riche et un environnement naturel exceptionnel de collines couvertes d'arganiers et de dunes de sable scintillantes.

En front d’une bande côtière de 4,5 km de plages d’une beauté infinie, Taghazout Bay place la préservation des ressources naturelles, l’authenticité socioculturelle de la région et la valorisation du capital humain au cœur de ses priorités. Ses produits, composés d’ensembles hôteliers, touristiques et résidentiels haut de gamme, intègrent l’univers du sport, de la culture, de la nature et de l’écotourisme, selon une approche intégrée durable.

Radisson Blu Resort, Taghazout Bay Surf Village
Le quatrième hôtel du portefeuille à ouvrir ses portes ce mois-ci, le Radisson Blu Resort, Taghazout Bay Surf Village, comprendra une offre d’hébergement diversifiée idéale pour les escapades en famille. Il disposera également d'un large éventail d’équipements de restauration, de loisir et de sports.

Radisson Residences Taghazout Bay
Sur la voie d'une ouverture au premier trimestre 2023, la nouvelle résidence de 208 clés comprendra des appartements de deux et trois chambres et offrira également aux clients l'accès à sa piscine extérieure.

En ligne avec l'engagement de Madaëf en faveur du développement durable, les hôtels seront exploités en tenant compte de leur environnement naturel et viseront à mettre en œuvre le programme d'entreprise responsable de Radisson Hotel Group.

La priorité absolue du Radisson Hotel Group est la santé, la sûreté et la sécurité de ses clients, des membres de son équipe et de ses partenaires commerciaux. Le groupe applique son protocole de sécurité Radisson Hotels Safety Protocol , créé en collaboration avec SGS, le leader mondial de l'inspection, de la vérification, du test et de la certification. Il a récemment dévoilé son nouveau programme de test complet en tant que premier groupe hôtelier à déployer un service de test rapide pour les participants aux réunions et aux événements dans les établissements de son portefeuille EMEA. Tous les hôtels adhéreront au protocole de sécurité de Radisson Hotels et à la validation SGS dès leur date d'ouverture.

fm

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La communauté burkinabè de Soubré a fait parler son cœur à l’endroit des commerçants du marché central, suite à l'incendie intervenu dans ledit marché en décembre dernier. Elle a fait don d’un montant de deux millions (2 000 000) de FCFA au bureau des commerçants du marché central de la commune en guise de soutien aux victimes de l’incendie. La cérémonie de remise du don est intervenue le mercredi 23 juin dernier dans les locaux du Consulat Général, sous la présidence du Consul général et en présence du maire de la commune, les donateurs et les membres du bureau des commerçants.
 
Prenant la parole, le Consul général, Hervé Bazié, a indiqué que le don est la manifestation de la solidarité et de la compassion suscitée au sein de la communauté burkinabè vis-à-vis de leurs frères en difficulté.
 
Quant au maire de la commune, il a salué le geste de la communauté burkinabè et invité les bénéficiaires à en faire un bon usage. Il a, par ailleurs, traduit ses remerciements à M. Bazié pour ses actions de bonne collaboration, tout en réjouissant de la marque de sympathie et de solidarité que renferme ce geste, qui, selon lui, profite à l’ensemble des membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest exerçant des activités commerciales sur le marché. 
 
En rappel, c’est dans la nuit du 15 décembre 2020 qu’un incendie avait ravagé une partie du marché central de Soubré causant de nombreux dégâts matériels.
 
Sercom Ambassade du Burkina Faso en Côte d'Ivoire 
 
 
 

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Les Etats-Unis et la France envisagent toutes les options contre les responsables politiques libanais, y compris des “sanctions”, pour résoudre la crise qui paralyse ce pays, a déclaré mercredi un responsable français.

“La position américaine est je crois la même (que celle de Paris), maintenir la pression maximale, n’écarter aucune option, y compris de sanctions supplémentaires”, a indiqué le secrétaire d’Etat aux Affaires européennes Clément Beaune lors d’une audition au Sénat. Le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken et son homologue français Jean-Yves Le Drian ont convenu vendredi dernier à Paris d’exercer une pression commune sur les responsables de la crise, sans préciser quelle forme elle pourrait prendre.

Le chef de la diplomatie française évoque de son côté régulièrement, y compris au niveau européen, “la possibilité ou la nécessité de sanctions”, a rappelé Clément Beaune devant la Commission des Affaires européennes du Sénat.

“Je ne sais pas si une décision sera prise (au niveau de l’UE) car c’est un débat sensible mais il y a la volonté européenne d’examiner de possibles sanctions dans les semaines qui viennent, et en tout cas de maintenir la pression”, a-t-il expliqué.

L’idée c’est “d’élaborer un régime de sanctions, pour signaler au Liban que nous sommes prêts à le faire, contre les acteurs politiques qui demeurent les responsables du blocage”, a ajouté le secrétaire d’Etat.

Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell “travaille à un paquet possible de sanctions à notre demande et nous continuerons à manier la carotte et le bâton pour que ce paquet de sanctions européennes soit disponible”, a-t-il dit.

La France a de son côté récemment adopté des restrictions d’accès au territoire français à l’encontre de personnalités libanaises jugées responsables du blocage, sans dévoiler leur identité. Antony Blinken, Jean-Yves Le Drian et leur homologue saoudien Fayçal ben Farhan ont aussi appelé mardi, en marge d’une réunion du G20, les dirigeants libanais à surmonter leurs différends pour résoudre la crise traversée par leur pays.

Depuis le début de la crise à l’automne 2019 — l’une des pires dans le monde depuis 1850 selon la Banque mondiale –, la livre libanaise a perdu 90% de sa valeur face au billet vert sur le marché noir. Le pays souffre de graves pénuries, notamment d’essence, et connaît une explosion du chômage et une paupérisation à grande échelle. Il est aussi sans gouvernement depuis dix mois, faute d’entente entre les partis au pouvoir, accusés par la rue de laisser couler le pays. Les principaux soutiens du Liban réclament la formation d’un nouveau gouvernement pour mettre en oeuvre les réformes structurelles réclamées par la communauté internationale en échange de nouvelles aides.

hn

 
 

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La distance minimale entre l’Europe et l’Afrique est de 14 kilomètres. Une proximité forte, pour un océan d’opportunités : le continent africain connait depuis quelques années une croissance notable, et des transformations d’ampleur. Dans cette veine, l'initiative 14 km - créée en 2020 - lancera du 16 au 17 septembre 2021 la première plateforme internationale dédiée aux mobilités vers l’Afrique.

Travailler et entreprendre en Afrique, vivre au quotidien à l'étranger, gérer son argent et son patrimoine : tels sont les aspects sur lesquels la plateforme 14 km entend accompagner tous ceux qui, originaires d’Europe, souhaitent s’établir en Afrique. La structure s’est donnée pour mission de mettre à disposition des candidats à la découverte du continent (européens issus des diasporas, cadres et dirigeants d’entreprises de toutes origines, étudiants, entreprises, investisseurs…) la possibilité d'interagir avec un écosystème adapté et regroupé en un seul lieu organismes publics, institutions, entreprises, associations , afin de réussir leur projet de mobilité.

La plateforme sera lancée du 16 au 17 septembre 2021, en ligne. Initiée par Keshia Dupros, passionnée d’Afrique et spécialiste de marketing digital (Women in Africa Initiative, Jeune Afrique Media Group…), 14 km organise aussi des événements à l’image des Virtual Afro Talks, dont la dernière édition a rassemblé 33 leaders afro du monde entier face à 611 participants issus 19 pays. Parmi les personnalités impliquées dans les projets de 14 km, Elisabeth Moreno, Ministre française déléguée chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances et ex-PDG HP Africa, Wilfrid Lauriano do Rego, Global Partner chez KPMG et Coordinateur pour le Conseil Pour l'Afrique ou encore Toyin Sanni, fondatrice et PDG d’Emerging Africa Capital.

Keshia Dupros, Fondatrice de 14 km, déclare : « C’est avec enthousiasme et conviction que nous lançons cette plateforme dédiée aux mobilités en Afrique, qui permettra de faire des amoureux du continent issus d’Europe une force pour l’émergence de l’Afrique de demain. 14 km est né d’une conviction : celle que les destins de l’Europe et du continent africain sont intimement liés, qu’un renouvellement de la relation entre les deux espaces est possible, notamment à travers des initiatives de ce type ».

Créée en 2020, l'initiative 14 Km a pour ambition de devenir la première plateforme internationale autour des mobilités en Afrique. L'objectif de 14 Km est de promouvoir et d’avoir un meilleur accès au savoir lié le continent, de favoriser une meilleure compréhension des régions africaines sans stéréotypes. Initiée par Keshia Dupros, 14 Km veut ainsi devenir un acteur clé fournissant tous les outils nécessaires pour réussir et prospérer en Afrique. Son équipe est impliquée dans la construction de nombreux projets mettant en lumière les réussites et en créant des ponts interculturels forts

hn

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La France accueille de mercredi à vendredi, sous format hybride en présentiel et en ligne un forum de l’ONU destiné à faire progresser la cause des femmes.

L’événement, coprésidé par la France et le Mexique sous l’égide d’ONU femmes, en partenariat avec les jeunes et la société civile, a commencé en mars à Mexico pour clore ses travaux à Paris, du 30 juin au 2 juillet.

Le forum, qui réunira des milliers de délégués d’États et d’ONG, devra déboucher sur des “engagements concrets” pour faire progresser la cause des femmes, mise à mal par la pandémie de Covid-19.

Ce “Forum Génération Égalité”, la plus importante convention de l’ONU sur ce sujet depuis la Conférence de Pékin de 1995, devra lancer “une série d’actions concrètes, ambitieuses et transformatrices pour réaliser des progrès immédiats et irréversibles en faveur de l’égalité hommes-femmes”.

Il doit contribuer à faire “progresser les droits des femmes et des jeunes filles partout dans le monde” et répondre ainsi à une situation “très préoccupante”, a résumé le président français Emmanuel Macron, qui doit lancer lui-même l’événement mercredi après-midi lors d’une cérémonie au Carrousel du Louvre, à Paris.

L’événement doit accueillir des personnalités comme la vice-présidente des États-Unis Kamala Harris (à distance) ou l’ancienne secrétaire d’État américaine Hillary Clinton (à Paris).

Il doit déboucher sur un “plan mondial d’accélération” vers l’égalité, autour de plusieurs thématiques comme les violences envers les femmes, le droit à disposer de son corps, ou encore l’égalité économique.

L’augmentation de l’aide au développement et des financements spécifiques dévolus à l’égalité de genre sera également l’un des enjeux de la conférence.

fm

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L’Assemblée générale de l’ONU n’est toujours pas parvenue à un accord sur le budget annuel des missions onusiennes de maintien de la paix, au risque de voir ces dernières contraintes de geler leurs opérations sur le terrain dès le mois prochain, a indiqué lundi un haut responsable des Nations-Unies.

Lors d’une conférence de presse, le Secrétaire général adjoint de l’ONU aux opérations de maintien de la paix, Jean-Pierre Lacroix, a estimé que cette situation était “préoccupante”, surtout dans le contexte où la plupart des missions “opèrent dans des conditions très difficiles et dans des environnements très dangereux”.

Dans l’absence d’un accord au niveau de l’Assemblée générale sur le budget annuel des opérations de paix, qui s’élève aux alentours de 6,5 milliards de dollars, les missions onusiennes se retrouveront “limitées strictement à la mise en œuvre de mesures pour protéger leurs personnels et les biens des Nations-Unies”, a expliqué M. Lacroix, précisant que ceci “exclut toute autre action résultant des mandats” de ces missions, y compris la protection des populations civiles dans les zones de conflit.

Le budget actuel des opérations de paix, qui fait l’objet de discussions annuelles avant son adoption au niveau de l’Assemblée générale, devra expirer le 30 juin.
A ce propos, le Secrétaire général adjoint de l’ONU a rappelé que l’année dernière “une situation comparable” s’était produite avant d’être “résolue à temps” suite à une décision de l’Assemblée générale, “et c’est ce que nous espérons maintenant”.

Il a toutefois ajouté que les missions onusiennes de maintien de la paix, qui sont au nombre d’une vingtaine, doivent être “notifiées” de cette situation afin de mettre en place des plans de contingence jusqu’au déblocage des négociations au niveau de l’Assemblée générale.

hn

 
 

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