Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

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La Corée du Sud a approuvé un projet de 750 milliards de wons (605 millions de dollars) visant à améliorer son système de défense antimissile Patriot d’ici 2027, a indiqué lundi 30 mai 2022 l’Administration du programme d’acquisition de défense (DAPA).

Le comité de promotion des projets de défense a entériné le projet en vue de procurer à l’armée un nombre non spécifié de missiles d’interception Patriot Advanced Capability-3 (PAC-3) et de mettre à jour les lanceurs PAC-2 en PAC-3 plus avancés, précise la DAPA.

“Ce projet devrait assurer une défense antiaérienne efficace du système Patriot pour la région métropolitaine de Séoul et les installations nationales clés, et renforcer ses capacités d’interception de missiles balistiques”, a ajouté l’administration sud-coréenne dans un communiqué de presse.

Par ailleurs, un projet destiné à développer, d’ici 2030, un hélicoptère dragueur de mines capable de détecter et éliminer des mines sous-marines a également été approuvé, pour une enveloppe budgétaire de 970 milliards de wons.

Le système PAC-2 utilise une ogive à souffle-fragmentation pour intercepter les cibles hostiles à une altitude d’environ 20 kilomètres, tandis que le PAC-3 emploie une technologie dite “hit-to-kill” pour frapper directement les missiles entrants à une altitude de 40 km.

Ce projet intervient alors que Pyongyang a tiré, la semaine dernière, trois missiles balistiques dont un missile balistique intercontinental (ICBM) présumé.

 hn

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Le chef de l’Etat sénégalais, Macky Sall, président en exercice de l’Union africaine (UA), a exprimé sa ’’grave préoccupation’’ face à la montée de la tension entre le Rwanda et la République démocratique du Congo (RDC) et a appelé “au calme et au dialogue”.

’’ Je suis gravement préoccupé par la montée de la tension entre le Rwanda et la RDC’’ , a tweeté Macky Sall en réaction aux derniers développements du différend opposant les deux pays voisins.

Samedi 28 mai 2022, Kinshasa, qui accuse Kigali de soutenir la rébellion congolaise du M23, a annoncé l’interdiction de son territoire à la compagnie nationale rwandaise (Rwand’Air).

Le président sénégalais a appelé les deux pays au “calme et au dialogue” pour la résolution pacifique de la crise avec le soutien des mécanismes régionaux et de l’Union Africaine.

Le Rwanda a affirmé samedi que deux de ses soldats étaient retenus en captivité après leur enlèvement par des rebelles en RDC, accusant les autorités de ce pays de les soutenir.

Cette déclaration intervient après que la RDC a convoqué l’ambassadeur du Rwanda et accusé son voisin de soutenir le groupe rebelle M23, actif dans sa région orientale.

Selon les Forces de défense rwandaises (RDF), ces deux soldats ont été enlevés lors d’une patrouille et sont détenus dans l’est de la RDC par des rebelles des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR).

Cet incident fait suite à une attaque menée en début de semaine le long de la frontière par les forces congolaises et les rebelles des FDLR, selon l’armée rwandaise.

Les combats entre les forces congolaises et le M23 ont éclaté sur plusieurs fronts cette semaine au Nord-Kivu, une province orientale de la RDC déchirée par la guerre, frontalière du Rwanda.

Kinshasa affirme que le M23 – principalement composé de Tutsis congolais, parmi la centaine de groupes armés opérant dans l’est de la RDC – est soutenu par le Rwanda. Kigali a nié toute implication.

hn

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Le coup d’envoi de la campagne pour les élections législatives française du 12 et 19 juin prochain a été donné lundi 30 mai 2022, près de deux mois après la réélection d’Emmanuel Macron le 24 avril dernier pour un second mandat présidentiel.

Cette campagne, lancée à 13 jours du premier tour du scrutin, s’achèvera le vendredi 10 juin à minuit et enclenche le début de l’affichage électoral dans les communes, ainsi qu'”une campagne officielle à la radio et à la télévision pour les partis présentant des candidats”, selon le site vie-publique.fr.

Les électeurs seront appelés ainsi à départager les 6.293 candidats afin de renouveler les 577 députés de l’Assemblée nationale, dans un contexte national et international particulier marqué par la flambée des prix et son impact sur le pouvoir d’achat des Français et les répercussions du conflit en Ukraine.

Les Français vivant à l’étranger et inscrits sur les listes électorales consulaires pour les 11 circonscriptions qui lui sont consacrées ont commencé à voter pour le premier tour du scrutin vendredi dernier et ce jusqu’à mercredi prochain, via quatre modalités de vote : à l’urne, par procuration, par correspondance ou sur internet.

La course à l’Assemblée nationale, dans laquelle la majorité gouvernementale conduite par le parti présidentiel la République en Marche (LREM) qui a changé de nom pour devenir “Renaissance” en vue de ces législatives, tentera à cette occasion d’obtenir une majorité confortable afin de permettre au chef de l’Etat et à son gouvernement de poursuivre la mise en oeuvre des chantiers lancés lors du premier quinquennat et traduire dans les faits les promesse de la campagne présidentielle.

Les oppositions entament cette campagne législative dans la perspective de réaliser un score à même de leur permettre d’assurer un équilibre de pouvoirs face à Emmanuel Macron et ses alliés, qui, selon les médias, partent comme favoris.

La gauche s’est ainsi regroupée au sein d’une nouvelle coalition, composée notamment de la France insoumise, du Parti Communiste, des écologistes et du Parti Socialiste, afin de faire bloc au parti présidentiel et ses alliés.

Dans le même contexte, le parti présidentiel, MoDem et Horizons ont annoncé une confédération baptisée « Ensemble » regroupant ces trois partis de la majorité présidentielle en vue de ces législatives.

Parmi les plus de 6.000 candidats, figurent d’actuels ou anciens membres du gouvernement Macron, des chefs de partis et de nombreuses figures de la politique française.

Parmi les ministres en exercice qui se sont portés candidats aux législatives on retrouve la cheffe du gouvernement Elisabeth Borne, et les ministres des Solidarités, Damien Abad, du Travail Olivier Dussopt, de l’Agriculture Marc Fesneau, de l’Intérieur Gérald Darmanin, ou encore de la Santé Brigitte Bourguignon, de la Transformation et de la Fonction publique Stanislas Guerini et la nouvelle porte-parole de l’exécutif Olivia Grégoire, pour ne citer que ceux-ci.

Toutefois, tout ministre ayant échoué à obtenir l’investiture populaire lors de ces échéances sera amené à démissionner de son poste au sein du gouvernement, avait indiqué la semaine dernière la porte-parole de l’exécutif.

Pour les chefs de file de partis politiques on peut citer le polémiste d’extrême droite et ex-candidat à la présidence française Eric Zemmour pour son mouvement Reconquête, le secrétaire national d’Europe Ecologie-Les Verts Julien Bayou, la finaliste de la présidentielle et cheffe de file du parti d’extrême droite le Rassemblement national et Fabien Roussel, candidat du Parti communiste à la dernière élection présidentielle.

Les observateurs craignent surtout un taux d’abstention qui menace à nouveau d’atteindre des sommets, à la lumière des chiffres enregistrés lors de l’élection présidentielle, alors que le pouvoir d’achat, l’emploi, l’écologie, l’éducation, la sécurité, la souveraineté alimentaire et industrielle semblent être les principaux sujets sur lesquels les différents candidats vont axer leur campagne.

hn

 
 

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La ministre de la Culture et de la Francophonie, Françoise Remarck, à la tête d’une forte délégation, s’est rendue, le 25 mai 2022 au Musée du Quai Branly à Paris, pour discuter du retour en Côte d’Ivoire du "Djidji Ayokwê", le tambour parleur du peuple Atchan.
 
Cette démarche officielle empreinte d’émotion fait suite à la visioconférence qui s’est déroulée le 12 mai 2022, entre le ministère de la Culture et de la Francophonie et la Direction du Musée du Quai Branly, autour de la restitution du "Djidji Ayokwê", une œuvre précieuse pour le peuple Atchan.
 
Ce tambour long de 3,31 mètres et qui pèse 430 kilos n’aurait pas été conservé dans les meilleures conditions depuis sa saisie en 1916. En présence du chef d’Attécoubé, des propositions de restauration ont été faites et un avis a été donné sur ce sujet.
 
La Côte d’Ivoire s’est engagée à faire en sorte que ce mythique tambour retrouve ses terres et les chefs Bidjan, dépositaires de ce bien patrimonial qui joue un rôle multiforme dans la société Ebrié. 
 
« Les chefs de la communauté seront partie prenante et ce sont eux qui nous guident et nous instruisent même sur ce que l’on peut faire et ce qu’on doit faire. Ce travail se fait en étroite collaboration avec les équipes du Quai Branly », a expliqué Françoise Remarck. 
 
Selon la ministre de la Culture, la volonté de la partie ivoirienne est que ce précieux tambour rentre avant la fin de l’année. « Compte tenu de la qualité des relations entre la France et la Côte d’Ivoire, nous espérons que ce processus aboutira avant la fin de l’année », a-t-elle dit, ajoutant être consciente que ce retour se fera dans un cadre totalement législatif. 
 
Le « Djidji Ayokwê » est attendu avec impatience et dans le respect des us et coutumes requis.
 
La délégation ivoirienne était composée entre autres de, l’ambassadeur de Côte d’Ivoire en France, S.E.M Maurice Bandaman, S.E.Mme Ramata Ly - Bakayoko, ambassadeur, déléguée permanente de la Côte d’Ivoire auprès de l’Unesco, Dr Silvie Memel Kassi, directrice générale de la Culture et Guy Djagoua, chef d’Attécoubé, porte-parole des chefs Bidjan.
 mc

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Situé sur l’ancien site du lycée français, le Centre de bureautique, de communication et de gestion (#CBCG) réhabilité de Bouaké a été inauguré le 15 janvier 2022 par le Premier ministre, Patrick Achi.
 
Étendu sur une superficie de 3 ha dont 1,5 ha bâti, le CBCG de Bouaké comprend 9 bâtiments dont 6 rénovés et 3 nouvellement construits, 22 salles ordinaires, 02 salles informatiques, une bibliothèque de 30 places et un foyer de 200 places.
 
Établissement public d’enseignement technique et de formation professionnelle, le CBCG de Bouaké a accueilli pour l’année scolaire 2021-2022, un effectif de 905 apprenants, dont 609 filles et 296 garçons. 
D’un montant de 565,8 millions FCFA, la réhabilitation de l’édifice est le fruit de l’excellente coopération entre le gouvernement ivoirien et le Fonds saoudien de développement.
 
Créé le 23 juillet 1999, l’établissement forme au Brevet de technicien (BT) dans les filières de Comptabilité, de Comptabilité Commerce et de Secrétariat Bureautique et au BTS en Assistanat de Direction, en Finance Comptabilité et Gestion des Entreprises et en Gestion commerciale.
 
Cette rénovation du CBCG de Bouaké montre l’ambition du gouvernement de faire passer le taux de scolarité dans le secteur de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, à plus de 15% d’ici 2025.
 
Avec la réhabilitation du CBCG de Bouaké, le Président Alassane Ouattara réaffirme sa volonté à investir dans le capital humain, socle du développement socio-économique du pays.
 
Cet établissement d'excellence en matière de formation professionnelle est désormais doté d'une salle multimédia avec un écran intelligent interactif « Smart Board » de 65 pouces disposant de plusieurs fonctionnalités de communication pour un investissement de 17 millions de F CFA. Un véritable atout dans l’amélioration des conditions d’apprentissage des pensionnaires.
 
Les investissements faits permettront au CBCG de Bouaké de mettre sur le marché de l’emploi, des ouvriers, des techniciens, des scientifiques, des ingénieurs compétents pour soutenir la croissance de l’industrie.
 mc

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La ministre de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté, Myss Belmonde Dogo, a exhorté les États membres de l’Union Africaine (UA) à adhérer à la validation du processus de l’opérationnalisation de l'Agence humanitaire africaine.
 
Elle a fait ce plaidoyer en qualité de représentante du Président Alassane Ouattara à la 15ème session extraordinaire de la Conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement de l’UA sur l’humanitaire, le vendredi 27 mai 2022 à Malabo (Guinée Équatoriale).
 
« Le Chef de l’Etat ivoirien invite les Etats membres à adhérer à la validation du processus d’opérationnalisation de l'Agence Humanitaire Africaine (AHA) à l’occasion de la Conférence des Chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union Africaine de janvier 2023 », a déclaré Myss Belmonde Dogo.
 
La ministre a expliqué qu'il n’y a pas d’alternative au moment où le monde mobilise de moins en moins de ressources pour faire face aux besoins humanitaires de l’Afrique. L’opérationnalisation de cette Agence par l’Union africaine, a-t-elle insisté, permettra de coordonner l’ensemble des programmes nationaux de gestion des situations humanitaires.
 
Elle a relevé qu’en dépit des efforts communs, le nombre de migrants, de réfugiés, de déplacés internes et même d’apatrides ne cesse d’augmenter dans un contexte socio-économique rendu encore plus difficile en raison de la pandémie de la covid-19.
 
Myss Belmonde Dogo a assuré que la Côte d’Ivoire continuera d’assister « dans des conditions de grande dignité », les milliers de ressortissants de pays voisins confrontés au terrorisme, à l’instabilité politique et aux effets du réchauffement climatique.
 
Il faut rappeler que la Côte d’ivoire a marqué sa solidarité par l’octroi d’un don initial de 500 millions de FCFA pour soutenir les actions de riposte de l’Union Africaine face aux différents défis.
 mc

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La ministre de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté, Myss Belmonde Dogo, a appelé à une mutualisation des actions en vue d'apporter des ripostes multisectorielles à la lutte contre la migration interne, le phénomène des réfugiés et personnes déplacées.
 
Elle intervenait dans le cadre de la 4ème session ordinaire du Comité technique spécialisé (CTS) sur la migration, les réfugiés et les personnes déplacées internes à Malabo (Guinée Équatoriale), les 23 et 24 mai 2022.
 
« La mutualisation des actions permettra d'apporter des ripostes multisectorielles intégrées face aux crises humanitaires qui ont des causes multiples et des conséquences parfois irréversibles sur nos économies et nos populations », a recommandé Myss Belmonde Dogo.
 
''En raison des projections démographiques qui prévoient un doublement imminent de la population en Afrique, la migration est désormais au cœur des préoccupations des Chefs d'État et de gouvernement de l'Union africaine. Ce qui leur impose la mise en place d’un nouvel ordre continental qui appelle à une réflexion commune sur la problématique", a-t-elle déclaré.
 
La ministre Belmonde Dogo a également pris part à un panel dont le thème est : « Relever le défi de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans l'espace humanitaire en Afrique ». A cette occasion, elle a annoncé que la Côte d'Ivoire est à l'initiative du thème de l'année 2022 de l'Union Africaine, dont la mise en œuvre des programmes qui en découlent devrait permettre à l'Afrique de renforcer sa résilience en matière de sécurité nutritionnelle et alimentaire. Elle a de ce fait traduit la reconnaissance de la Côte d'Ivoire aux Etats membres pour avoir adhéré à cette importante thématique.
 
« Nous avons suivi avec beaucoup d'intérêt les différentes réactions des Etats membres sur la question relative à l'impact de la sécurité alimentaire et la situation nutritionnelle sur le développement de nos pays et l'épanouissement de nos populations », a-t-elle conclu.
 mc

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En prélude à la grande saison des pluies (juin, juillet et août), le ministre de l'Hydraulique, de l'Assainissement et de la Salubrité, Bouaké Fofana, a officiellement lancé l'opération dénommée ''Pour sauver ma vie, je quitte les zones à risques'' qui démarre le 05 juin prochain, de façon simultanée, dans 54 zones à risques répertoriées dans les 13 communes du district d'Abidjan.
 
Le lancement de cette vaste opération de déguerpissement a été fait au cours d'une conférence de presse, le vendredi 27 mai 2022 à Abidjan-Plateau.
 
L'objectif de cette opération qui va concerner 4 000 ménages (environ 25 000 personnes), selon Bouaké Fofana, ''est de préserver les vies humaines dans ces zones inondables et exposées à toutes sortes de risques en saison pluvieuse''.
 
''L'objectif unique du gouvernement, à travers cette opération de déguerpissement des zones à risques, est de sauver des vies humaines en saison pluvieuse. L'urgence est que nos compatriotes acceptent de partir de ces zones exposées à des risques d'inondation, donc à des dangers de mort. Je lance un appel pressant à l'endroit de ces personnes à quitter ces zones avant le 05 juin'', a insisté le ministre. Ajoutant que la SODEXAM annonce pour cette année de fortes pluies.
 
Car a-t-il expliqué, le gouvernement ne peut pas rester indifférent aux drames qui surviennent pendant les saisons des pluies qui sont le théâtre de désolation et de morts à cause des inondations, des éboulements et glissements de terrains, etc.
 
Il rappelé l'épisode déplorable de la saison pluvieuse de 2018 où en la seule nuit de pluie du 18 au 19 juin, 18 personnes résidant dans les zones à risques à Abidjan avaient perdu la vie du fait des inondations.
 
''95% des morts en saison pluvieuse proviennent des 54 zones à risques bien ciblées dans le District d'Abidjan'', a-t-il déploré.
 
Pour ce qui est du dédommagement des personnes déguerpies, le ministre a précisé que l'heure est d'abord au déguerpissement. Et étant donné que tous ces résidents ont été recensés, leur dédommagement suivra.
 
Il a assuré qu'une fois que ces sites seront démolis, ils seront sécurisés et des aménagements y seront faits pour en éviter la recolonisation.
 
Pour la réussite de cette opération qui concerne, à la fois, des sites légaux ou illégaux, le ministre Bouaké Fofana a sollicité une forte implication de la presse et des médias afin de relayer largement l'information de déguerpissement qui fait suite à une longue période de sensibilisation.
 
Selon Bouaké Fofana, la première partie de cette opération de déguerpissement va coûter 2,5 milliards de FCFA.
 
Les 13 communes concernées sont les 10 communes d'Abidjan et Anyama, Songon et Bingerville.
 mc

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Lumière du monde télévision (LMTV) a célébré du 25 au 26 mai 2022 au temple, le chandelier de l’église des Assemblées de Dieu de Cocody Angré (Abidjan), la deuxième édition de “Ascension Day” autour des thèmes « Leadership et intégrité » et « Serviteurs et leadership ».

Des présidents des fédérations évangéliques des pays africains (Niger, Cameroun, Bénin, Burkina Faso, Congo, Mali, République démocratique du Congo (RDC), Togo) ont pris part à cette célébration. Près de 600 pasteurs y ont pris part.

Dr Billy Wilson, président de Oral Roberts University et de la communauté pentecôtiste mondiale, venu spécialement des Etats-Unis pour officier le culte de l’Ascension.

En effet, il a insisté sur l’amour et la présence réelle de Dieu. « Chaque personne compte aux yeux de Dieu. Il veut que tout le monde goûte à son eau vive », a-t-il fait savoir. Non sans invité les chrétiens à se rapprocher au Saint-Esprit.

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Selon Dieudonné Gollet., directeur général de LMTV, cette initiative vise à promouvoir la célébration de la fête de l’Ascension, moment commémorant la montée de Jésus-Christ, 40 jours après la Pâques auprès des fidèles chrétiens.

« “Ascension Day”, c’est juste le jour de l’Ascension que nous avons voulu célébrer en invitant certains frères d’autres pays et en rassemblant tous les présidents d’églises protestantes évangéliques de Côte d’Ivoire, afin qu’ils puissent se joindre à nous pour la circonstance et encourager les chrétiens évangéliques à prendre à bras le corps cette fête qui est aussi importante comme celle de Pâques », a-t-il expliqué.

A cette 2ème édition de “Ascension day” était présent l’Ambassadeur d’Israël en Côte d’Ivoire, Leo Vinovezky. Plusieurs temps forts ont marqué cette célébration. notamment l’adoration, la prière et la louange.

A noter que ce fut une occasion solennelle pour la chaine généraliste de procéder au lancement officiel de son groupe musical dénommé « Owr Ha ‘olam », qui signifie « Lumière du monde » en hébreux.

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Le Réseau des Journalistes Sportifs des Agences de Presse, membres de la Fédération Atlantique des Agences de Presse Africaines (RJS-FAAPA), a été créé jeudi 26 mai 2022, en marge du séminaire de formation qui se tient à Rabat à l’initiative de la FAAPA.

Le RJS-FAAPA a pour objectifs de promouvoir l’échange d’expériences et de données ainsi que le partage des compétences entre ses membres dans tous les domaines d’intérêt commun, notamment dans le domaine du journalisme sportif.

Les membres de ce nouveau réseau de la FAAPA entendent organiser des séminaires et des symposiums thématiques sous l’égide de la FAAPA, mais également en partenariat avec des organismes et institutions à l’échelle africaine et internationale.

La FAAPA organise à Rabat un séminaire de formation sous le thème “Maîtrise des techniques pour la bonne pratique du journalisme sportif”, au profit de plus d’une vingtaine de journalistes des agences de presse africaines.

Tenu au Centre africain de formation de journalistes (CAFJ), au siège de la MAP, ce séminaire de formation (23 – 27 mai) est encadré et animé par des journalistes professionnels et des formateurs experts en matière de presse sportive.

Le RJS-FAAPA, créé à l’unanimité des participants à ce séminaire, exerce son action grâce au concours actif de ses membres qui lui apportent leur soutien et leurs compétences. Il peut s’assurer, en cas de besoin, le concours d’experts ou d’organismes qui lui sont extérieurs.

La création de ce réseau vise à faciliter la connaissance, la circulation de l’information et l’entraide entre journalistes membres de la FAAPA, a souligné M. Mamadou Salif Diallo, Chef du Service Sports à l’Agence de Presse Sénégalaise (APS), qui a été désigné Coordonnateur du RJS-FAAPA.

«Les agenciers africains ont du mal à couvrir les évènements sportifs continentaux et internationaux, en raison, entre autres, du manque d’information, de formation et de soutien, d’où l’idée de créer un réseau des journalistes sportifs des agences de presse», a-t-il déclaré à la MAP.

M. Salif Diallo a indiqué que ce nouveau réseau de la FAAPA compte lancer prochainement le «prix du sportif africain au cœur d’or», qui va récompenser les sportifs africains, ou d’origine africaine, qui s’illustrent dans leurs disciplines respectives, mais également ceux qui impactent positivement leurs sociétés.

L’idée de ce prix sportif africain sera proposée à l’approbation de l’Assemblée générale de la FAAPA, a-t-il précisé.

M. Amadou Sy, journaliste à l’Agence mauritanienne d’Information (AMI), a été désigné secrétaire général du RJS-FAAPA. Ce dernier a estimé que la mise en place de ce réseau vise à «fédérer davantage les journalistes sportifs des agences de presse membres de la FAAPA, leur donner plus de force, de voix et d’opportunités pour couvrir les compétitions internationales».

Le Réseau va permettre non seulement de renforcer les capacités des journalistes sportifs des agences de presse membres, mais également faire un plaidoyer pour qu’ils puissent être davantage présents dans les événements sportifs internationaux, a dit le SG du RJS-FAAPA, ajoutant que cette nouvelle structure sera appelée à mieux défendre la voix de l’Afrique lors des compétitions internationales et du vote pour l’attribution des récompenses et prix.

Outre un secrétaire général et un coordonnateur général, le RJS-FAAPA comprend sept membres conseillers représentant l’Agence d’information du Burkina (AIB), l’Agence Capverdienne de Presse (INFORPRESS), l’Agence Gabonaise de Presse (AGP), l’Agence de Presse de Namibie (NAMPA), l’Agence de Presse du Nigéria (NAN), l’Agence de Presse de Sierra Léone (SLENA) et l’Agence Marocaine de Presse (MAP).

Créée en marge du 1er Forum des Agences de presse de l’Afrique atlantique et de l’ouest à Casablanca, la FAAPA constitue un jalon essentiel pour la modernisation de l’information et une plateforme professionnelle qui permet aux pays africains de partager leurs expériences et leur savoir-faire dans le domaine des agences de presse.

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